Holocauste avec les Francs-maçons
 

Ecrit par Sechy, le 05-04-2011 23:48

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Monarchie, Mondialisme, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Révolution, Russie, Sagesse, Satan, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Temps, Terreur

 
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Holocauste avec les Francs-maçons

Leurs, pardon, les lois de l’esclavage
 
 
 
Dissimuler son initiation c’est être intéressé car c’est en vue d’une récompense matérielle. Tel est le lot de la franc-maçonnerie moderne (voir la vidéo en fin d’article). Ces francs-maçons qui n’en ont rien à foutre de la libération de l’être humain, puisque à la fin de sa vie, on a offert au maçon Lafayette une propriété avec plein de serviteurs esclaves... Franc-maçonnerie qui en sous-main doit entretenir le trafic de drogue et d’armes, car si les maçons voulaient libérer l’être humain, il y a longtemps que les drogues et le trafic d’armes n’existeraient plus ; mais c’est  la plus grosse source économique du monde. D’ailleurs on doit se poser des questions sur la police française et son Ministère de l’intérieur, aussi responsable des cultes, tien-donc ! Tous bourrés de franc-maçons, tien-donc !
 
Franc-maçons et services secrets : même combat laïque ! mais surtout matérialiste (voir ci-dessous). Les États-Unis actuels en connaissent un rayons avec la franc-maçonnerie juive partout et les agences alphabétiques États dans l’État. En France nous avons notamment le CRIF !...

1789 fut le résultat de la franc-maçonnerie.
1917 fut AUSSI le résultat de la franc-maçonnerie, Alexandre Kerenski était maçon. Dans les deux cas, sans la franc-maçonnerie, comment ces révolutions pouvaient exister ? et sans le fric qui va avec ? et quelle aubaine pour les marchands d’armes et de munitions... puis pour la reconstruction avec les esclaves des goulags...

Dans les deux cas il s’agissait de détruire l’autorité, ou plutôt le symbolisme, la référence, la valeur que représentait le Roi ou le Tsar.
En Russie la destruction de l’autorité a été faite par les maçons ; ensuite ils ont passé la main aux bolcheviks ; puis quand ceux-ci ont fait totalement effondré la société russe, c’est la maçonnerie qui a repris les rênes en mains, ce qui donna le résultat que la maffia russe a de nombreux contact avec les États-Unis (comme expliqué dans la vidéo plus bas).

La franc-maçonnerie tente par tout moyen de freiner l’accès au mysticisme de l’être humain, et leur laïcité est là pour ça. Le franc-maçonnerie ne veut pas que les êtres humains expérimentent avec le divin, alors qu’eux-mêmes se mettent sur une estrade au-dessus du « vulgaire ».
Il y a une « rencontre de Dieu » dans la maçonnerie mais c’est une rencontre d’opposition.

Tous les pays qui aident la rencontre vers Dieu sont la visée des franc-maçons, alors l’Islam est à abattre.


LA MÊME SOUPE POUR TOUT LE MONDE.

La laïcité, nouvelle religion de l’État républicain français.


« ... de M. Guéant [que les usagers des services publics ne devraient pas afficher leur religion, NdA], comme l’idée de M. Chatel d’interdire aux mères dites « voilées », en fait portant un foulard, d’accompagner leurs enfants dans les sorties scolaires, comme l’idée de M. Copé d’imposer que les prêches dans les mosquées soient dit en français, toutes ces idées reposent sur une interprétation tendancieuse et fausse du mot « public », qui a plusieurs sens en France. Et derrière la confusion entretenue par certains entre ses différents sens, se profile une attitude qui réclame pour l’Etat le droit de vider subrepticement la loi de 1905 de son contenu, et aussi d’exercer un pouvoir absolu sur les pratiques et les consciences. Or cette attitude est contraire tant à nos lois qu’aux conventions internationales qui protègent les libertés individuelles, et d’abord la liberté de conscience. Ou, pour le dire autrement, aucune de ces propositions n’est légale, et elles ne peuvent avoir l’apparence de la raison que parce que ceux qui les émettent, et probablement une partie de ceux qui les écoutent, jouent sur le mot « public », d’une part, et d’autre part voient sans déplaisir le contrôle de la société civile par l’Etat s’agrandir de jour en jour. Mais d’abord en poussant toute une partie de la population française, les Musulman.es, hors de la loi commune, hors de la vie commune ; en les déclarant fautifs, voire criminels, en leur retirant les protections et les droits usuels. (…) La religion pour n’être évidemment pas d’Etat, n’est pas pour autant « privée » au sens de «privée d’expression publique » : car la liberté de conscience garantie par la loi implique la liberté d’expression, et parce que l’espace public n’appartient pas à l’Etat. (…) C’est qu’il existe une confusion extraordinaire entre «public : du ressort de l’Etat », et « public : ouvert au public ». (…) Le deuxième sens de « public », c’est en effet ce qui appartient au public : à tout le monde. Et c’est bien dans cet espace que tout le monde doit pouvoir exprimer ses opinions et défendre ses convictions. Car s’exprimer en « privé », nous le pouvons toujours ; c’est s’exprimer en public qui est un droit que l’Etat doit protéger, et d’abord respecter lui-même. Présenter les croyances religieuses comme relevant ou devant relever du « privé » et de l’ « intime », et interdites d’espace public, cela revient à attaquer la liberté d’expression qui est la traduction concrète de la liberté de conscience. (…) Renouant avec la tradition de l’Eglise « gallicane », aujourd’hui l’Etat veut intervenir dans la religion musulmane, tentant de créer un « Islam de France », et prétend lui dicter même sa langue de culte. Ceci aussi est contraire à la loi de 1905, qui protège l’Etat de l’ingérence ecclésiastique, mais réciproquement protège les religions de l’ingérence étatique. La loi de 1905 est bafouée sans cesse depuis plusieurs années ; la liberté de conscience, la liberté d’expression, la liberté de culte n’existent plus. Aujourd’hui, le doute n’est plus permis : le gouvernement procède, en quelques jours et par des voix différentes (Chatel, Copé, Guéant) à un tir groupé ; si leurs recommandations deviennent lois, il deviendra illégal de manifester sa religion de façon publique. Mais peut-on interdire une religion ? Peut-on interdire les religions ? Non, toutes les croyances, et l’athéisme est aussi une croyance – contrairement à l’opinion qui est devenue dominante en quelques années, selon laquelle la laïcité devrait favoriser l’athéisme – doivent être traitées à égalité. Peut-on interdire que les religions soient visibles ? Non, leur visibilité est protégée par la loi de 1905. Peut-on assimiler les usagers à des représentants de l’Etat ? Non. Peut-on assimiler les lieux publics à des lieux étatiques ? Non encore. Toutes ces nouvelles lois, et toutes ces lois en projets ne bafouent pas seulement la loi de 1905 ; elles sont contraires à notre constitution, et elles sont contraires aux conventions internationales ratifiées par la France. Et ces manœuvres ne tendent pas seulement à mettre hors la loi les religions : ce faisant elles instaurent une mainmise de l’Etat sur les consciences, et dessinent les contours d’une religion d’Etat, d’une seule croyance qui sera imposée, tandis que les autres seront interdites. »

La suite sur alterinfo.

Selon Sarkozy la franc-maçonnerie est à l’honneur au Ministère de l’Intérieur, alors il est facile d’imaginer ce qu’il y a de maçons dans la police... Facile aussi de deviner pourquoi en ce début avril 2011 la laïcité revient sur le devant de la scène à propos de l’Islam ; je répète encore une fois : l’Islam fait peur aux franc-maçons parce qu’elle utilise les trois pouvoirs (spirituel, économique et politique), afin d’accéder au divin. C’est parfaitement clair.



Maintenant imaginons deux cas dont l’un est réel :
-  « La religion la plus con, c'est quand même l'islam. Quand on lit le Coran, on est effondré... effondré », s’exclamait « l’écrit vain » Michel Houellebecq, avec un art de diviser et donc de semer la haine pour mieux régner et se prendre pour le « peuple élu ». Il déclara aussi : « les juifs sont plus intelligents et plus intéressants que la moyenne ». Dans ce premier cas, rien ne se passe, tout au plus un passage devant les tribunaux pour racisme, mais il est blanchit et peut poursuivre sa tâche de noircir du papier. Comme les médias sont aux mains des Juifs, il peut continuer à noircir du papier.
- Mais dans le deuxième cas, s’il remplace le mot « Islam » par « Judaïsme », il se retrouve non seulement devant les tribunaux et avec condamnation effective, mais il ne trouve plus de boulot d’écrits vains qui lui allaient si bien...
En conclusion, il faut aider les personnes comme Houellebecq à sortir de l’enfer dans lequel ils se sont enfoncé et ne pas les enfoncer encore plus, car c’est cela qu’ils cherchent : « viendez, viendez, me taper sur la gueule pour que je puisse appeler la police qui va vous mettre en prison ».
« Viendez, viendez, vendez, vendez Saint Holocauste à honorer chaque année pour entretenir la haine mais surement le business ».

Comme déjà expliqué, une société harmonieuse se compose de trois pouvoirs : spirituel, politique, économique ; or la franc-maçonnerie ne veut pas du spirituel, ou elle veut le sien ! aussi se réserve-t-elle le troisième pouvoir « spirituel » en souterrain et bien-sûr mâtiné de pouvoir politique, puisqu’elle rejette l’autorité officielle ou gouvernement constitutionnel.
Société secrète ou pas le vrai pouvoir est secret car comment l’exercer avec cette trinité : pouvoir, richesse, violence ; il faut rester « démocratique » pour hypnotiser le peuple.
Comme depuis des siècles en politique tout est en inverse : il faut savoir mentir pour l’exercer ! et donc utiliser soit naturellement, soit à ses dépends, le pouvoir souterrain et nauséabond (forces occultes).

Les « forces occultes et financière » sont à l’œuvre contre la Libye : « Kadhafi avait fait de la Libye le pays le plus riche du continent africain... les citoyens libyens avaient une espérance de vie plus haute que les autres nations arabes environnantes, qu’elles ne payaient pas d’impôts, ni la lumière, ni le gaz, ni l’électricité, qu’un million et demi de travailleurs étrangers étaient venus en Libye pour y trouver du travail qu’ils n’ont maintenant plus. L’essence coûtait jusqu’à aujourd’hui un euro… les 18 litres... »

Voir aussi ici.



Socialisme - Goulags et peur fabriquée

ANTI-COMPASSION du socialisme

Depuis la révolution de 1917, en Russie, tous vivaient dans une peur et une méfiance de chaque instant, s’attendant toujours à quelque nouveau malheur d’une minute à l’autre, vivant même dans la peur les uns des autres. Dans un pays où tout le monde, du plus modeste au plus important, vivait dans la terreur des mouchards... Mouchards institués en système dont tout le monde avait peur, afin de tuer toute tentative d’opposition au régime.
L’expérience humiliante de l’interrogatoire, de la prison et de la déportation en avait privé plus d’un de la volonté de vivre, a fortiori de la volonté de s’opposer aux autorités du moment. Penser à une grève de la faim relevait de l’absurdité. Pourtant des prisonniers trotskistes l’ont fait en octobre 1936, et ça a marché. Faire la grève tout court aussi. Mais ça a existé : les caïds ont mené des grèves du travail, courtes et apolitiques, quand ils voulaient obtenir quelque chose des autorités du goulag. Mais le surpeuplement et la mauvaise nourriture pouvaient produire des explosions d’hystérie semi-organisée : des femmes nues se précipitant dans la cour, positions obscènes, hurlements, convulsions, elles s’arrachent les cheveux, etc.
Évidemment par la suite ces différentes grèves et « fêtes des fous » furent réprimées par le NKVD de l’époque : fusillade des grévistes. mais rien n’y fit, surtout après la mort de Staline.

Dans la Russie du Tsar existait une tradition de sympathie, de compassion envers les forçats et les serfs en fuite, à l’intention desquels, la nuit, on plaçait sur le pas de sa porte des coupes de pain et de lait. Une vieille chanson de prisonnier d’avant la Révolution résume bien cette attitude :

J’ai eu du pain des mains des villageoises
Et les gars m’ont fourni en tabac.
(On retrouve la même atmosphère émouvante dans les contes russes)



Encore une fois TOUT EST INVERSÉ ! Dans le communisme de Staline, l’état d’esprit est à l’envers : la majorité du peuple est enclin a livrer un « ennemi du peuple » en fuite, et plus encore un « criminel récidiviste ». C’est la même chose qu’en 1789 avec le Saint-Just qui déclara : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ». La plupart des gens croyaient à la propagande sur les prisonniers, mais aussi parce que ceux qui ne dénonçaient pas un fugitif risquaient eux-mêmes de longues peines en prison.

Bien-sûr il exista des « chasseurs de primes »...
Beaucoup d’évadés étaient abattus sur-le-champ. Les cadavres des fuyards morts servaient de « publicité » pour le Parti : « Un corps nu accroché sur un poteau avec les mains et les pieds liés par du fil de fer, la tête affaissée de côté, ses yeux rigides resté à demi ouverts. Au-dessus de sa tête un écriteau : ‘Tel est le sort de ceux qui tentent de s’évader de Norilsk’. D’autres fois, les cadavres étaient abandonnés pendant un mois au beau milieu du goulag.

La Nature du climat (gelées de 10 mois par endroits), les murs et les miradors, l’isolement géographique des goulags éloignés de toutes routes et chemins de fer, ne facilitaient pas les envies d’évasion. Donc enchaîner les esclaves n’était pas nécessaire.

En mai 1925 deux russes Blancs, S.A. Malsagoff et Iouri Bessanoff réussirent à s’évader d’un camp. Après avoir attaqué les gardes, ils marchèrent 35 jours durant vers la frontière de la Finlande et retrouvèrent la paix.
1925 est l’époque de la première phase d’expansion des goulags et « l’âge d’or » des évasions. Bien-sûr par la suite la répression se resserra : nouvelles lois pour infliger des peines supplémentaires aux évadés. De plus les Rouges savaient qu’ils pouvaient toucher une récompense s’ils abattaient un détenu qui tentait de s’enfuir.

Il faut savoir aussi que les prisonniers politique étaient particulièrement « soignés », et pour cause : le régime craignait avant toute chose la contre-révolution ; il y avait de quoi car l’Armée Blanche fut à deux doigts de stopper tous les crimes de Lénine et de sa clique de Juifs bolcheviks. Ainsi les gardes de goulags ne prenaient pas au sérieux l’évasion de criminels ou de voleurs et ne se donnaient guère de peine pour les traquer : ils se feraient pincer lorsqu’ils s’approcheraient de la voie ferrée ou atteindraient une ville.
Par contre, il suffit de lire le livre de Ferdynand Ossendowski : Bêtes, Hommes et Dieux, pour se rendre compte que pour les politiques, on organisait aussitôt des détachements : parfois, tous les villages voisins étaient mobilisés et les gardes-frontières appelés à la rescousse. Le politique essayait toujours de fuir à l’étranger (cas de Ossendowski pourchassé d’abord par le Tsar, puis par les bolcheviks), car dans sa patrie il n’avait plus de refuge.



CANNIBALISME

La « provision ambulante » ou « saler la chair ».

Pour s’évader et marcher dans le froid dans des zones désertiques, il faut bien se nourrir. La solution était le garde-manger mobile : un candidat à l’évasion que deux autres compères d’évasion avaient secrètement désignés comme « la viande », notamment pour sa rondeur ! Le pauvre bougre ne se doutait absolument pas qu’il servirait de pitance au cours du périple.
Mais une fois dévoré le pauvre bougre, les deux survivants avaient souvent encore une longue route devant eux, aussi chacun surveillait son sommeil sous peine de se retrouver égorgé par celui qui avait le plus faim !
La « provision ambulante » : une idée pour la prochaine crise économique et le manque de nourriture dans les super-marchés...
 
Il existe une multitude de récits d’évasion des goulags, certains vrais, d’autres romancés et inventés.
« S’évader, surtout en rêve, était une des formes d’opposition les plus claires au régime ». Cela peut s’apparenter à une sorte de spiritualité. Les jeunes surtout faisaient des plans d’évasion au cours de discussion passionnées, façon de combattre le sentiment d’impuissance. Les gens ramassaient n’import quoi, des bouts de verre, de métal, avec l’illusion de se fabriquer une boussole.

Un prisonnier officier de la cavalerie polonaise apporte un témoignage émouvant : « J’ai survécu dans les camps grâce à l’espoir que j’avais de m’en évader et j’ai survécu à mon passage à la morgue grâce à ma provision de croûtes. Un homme en peut pas vivre s’il ne sait pas pourquoi il vit ». Effectivement, ce prisonnier trouvait assez d’énergie durant les pires périodes de famine du camp, de prélever une fine tranche de pain de sa ration quotidienne, la sécher au-dessus du feu, et mettre ces miettes de côté dans un sac qu’il déposait dans une cachette.

Comme évoqué plus haut avec les rébellions et les grèves dans les goulags, la meilleur arme contre tous les enfers : LE RIRE, LA DÉRISION ; IMAGINEZ Staline ou n’importe quel dictateur ou un incapable comme Sarkozy, ou une révolutionnaire en train de CHIER : voilà la véritable égalité... voilà la véritable politique : le sens de l’humain. A moins d’adopter la nourriture pranique, nous sommes tous égaux aux cabinets sur la cuvette, ou au-dessus d’un trou dans le cas de toilettes à la turque ou en camp scouts, ou chier dans sa couche-culotte quand on ne peut plus se lever.


(Référence principale : Goulag, de Anne Applebaum)



Document de Mecanopolis sur la franc-maçonnerie.
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 06-04-2011 01:00

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