OPINOCRATIE franc-maçonnique et VIOLENCE
 

Ecrit par Sechy, le 26-06-2011 22:05

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Temps, Terreur, Yôkai

 
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OPINOCRATIE franc-maçonnique et VIOLENCE
 
 
 
Opiner : Donner son suffrage, dire son avis en élection, en une délibération ou une consultation de juges, d’avocats, de docteurs, de médecins. La moitié des juges opinèrent à la mort. Les médecins consultés ont opiné à la saignée. Pour bien opiner, ce n’est pas assez de donner son avis, il faut l’appuyer de raisons.

Opinant : Celui qui donne son avis en une compagnie, en une délibération. Ils étaient trente opinants en cette assemblée, qui ont tous donné leur voix en faveur d’une telle proposition.
Ces deux termes et le suivant sont tirés du Dictionnaire universel d’Antoine Furetière (1619 - 1688).
 
En rapport avec 1789 et le marxisme : le prolétariat : LA COMMUNE.

Commune : Le menu peuple. La commune s’émeut facilement [opinion et hypnose des foules]. Les magistrats ne peuvent pas retenir la commune. Autre sens : peuple de la campagne. On a fait armer les communes pour garder les côtes et empêcher la descente des ennemis. Quand il y a des brigands qui volent à main armée, les magistrats enjoignent aux communes de leur courir sus. Ce sont aussi des terres qui appartiennent à des villes, à des bourgs ou villages, où les habitants envoient paître leurs bestiaux, couper du bois pour leurs usages et s’en servir dans leurs autres besoins. Les seigneurs des lieux usurpent souvent les communes des paysans. On les appelle en quelques pays des communaux.

Cela pour dire que nous ne savons toujours pas résoudre le dilemme « individu-collectif ». Le capitalisme comme en 1789 et la république exacerbe le libéralisme de l’individu et son opinion et son pouvoir d’achat et de faire fortune à l’américaine ; tandis que le marxisme exacerbe la masse, la commune comme expliqué plus haut, donc il en fait l’équivalent des patates, des marchandises.
Pour le communisme, les patates humaines, la masse, représente le monde, avec l’Homme. Donc pour ce système « dans le principe était la matière » et non le Verbe, ce qui entraîne tout le dogme auquel doit se référer toute action individuelle et sociale. Le communisme est une religion car il mobilise la volonté dans la recherche et l’adhésion à un absolu, à une réalité ultime qui est la matière, comme pour les révolutionnaires de 1789 et 1793 puisque le clergé et la religion était interdit.
Des marchandises, car tout le système communiste soviétique a utilisé en toute conscience les camps de la mort, où vers 1925, près de deux millions de pauvres bougres sont, à chaque instant, mécaniquement selon « le plan » et sans état d’âme, transformés en valeur économique à usage très limité et, avant tout, en bois d’exportation. D’ailleurs on appelait les esclaves noirs « le bois d’ébène ». Le système communiste à la soviétique transforma la Russie en un « communisme cadavérique ». Des détenus furent loués à des entreprises privées, ce qui prouve finalement que le communisme fut obligé de s’appuyer sur le système capitaliste et donc sur l’individualité !!! (Voir aussi le communisme en Chine...) Donc des exploitations forestières de Carélie et d’autres endroits se chargèrent de la surveillance et de l’alimentation des esclaves, tandis que leur utilisation était entièrement décidée par l’entreprise ayant acheté leur force de travail.

Cette dictature communiste fonctionnait, comme avec les révolutionnaires de 1789 et 1793, dans le but d’éliminer « les ennemis de la liberté ou ennemis du peuple » ; on parle « d’isoler » mais c’est un mensonge politique pour cacher les assassinats ! Mais avant d’assassiner les opposants au régime, il fallait en tirer le maximum et au moindre coût évidemment, afin de remplir les objectifs (le plan) décidé d’abord par le démiurge, puis pas ses anges et archanges. Tout cela concourait à éliminer plus ou moins rapidement et discrètement une majorité écrasante d’esclaves.
Donc les esclaves sont impitoyablement exploités, ils reçoivent si inhumainement peu en terme de nourriture, de vêtements, de conditions de vie minimum et d’aide médicale que la mort est la seule issue de délivrance. Les détenus tombaient comme les feuilles mortes à l’Automne.
Comme pour la Vendée en 1793, il s’agit d’éliminer la MASSE de façon discrète, premier signe d’eugénisme d’élimination de population mondiale... La vie dans le Goulag est soumise à une discipline militaire démultipliée, portée à un point de cruauté maximal par l’arbitraire total auquel les détenus sont soumis. Le but est d’annihiler chez les prisonniers la moindre velléité de résistance ou de désobéissance.


Tous ces actes se résument par le mot VIOLENCE.


Bien-sûr il y a de la violence dans la Nature quand on voit un félin poursuivre son garde-manger et tuer sa proie, quand on voit l’accouchement humain dans la douleur, etc., la liste est longue.
Maintenant la relation entre VIOLENCE et COMMUNISME, ou DÉMOCRATIE fait qu’à notre époque la VIOLENCE est devenue COMMUNISTE. Elle est devenue terrorisme d’État. Elle est devenue RÉPUBLICAINE, NATIONALE, c’est-à-dire que le communisme ou marxisme est en train de gagner : la mode du sécuritaire est bien là et c’est l’État en ses outils justice et police qui est chargé de RÉPRIMER la violence. C’est devenu AUTOMATIQUE, mécanique, TECHNOLOGIQUE, il n’y a qu’à voir comment sont équipé les forces de l’ordre !!!

On parle de plus en plus souvent de banalisation de la violence, à cause des écoles du franc-maçon Jules Ferry, à cause du grand nombre de guerres et conflits de toutes sortes dans le monde et tout cela est retransmis par les médias, d’où effectivement une banalisation. Et avec les moyens modernes, les jeux vidéos tout devient faux et virtuel, ce qui renforce cette violence de façon plus terrible, car VIOLENCE SOURNOISE ; alors qu’autrefois on emmenait bobonne, la grand-mère et les mouflets voir un type se faire couper la tête ou écarteler ; c’était directe et vrai ! Ça puait...

Sur ce site ou ailleurs, notamment sur les sites anti nouvel ordre mondial, si on parle de plus en plus souvent de la violence c’est parce qu’on la supporte de moins en moins, ce qui est un progrès sur l’éveil de la conscience.
La violence de notre monde est tout aussi redoutable que celle des Juifs bolcheviks ou autres sionistes. Actuellement 54 guerres dans le monde, plus les violences policières, conjugales, sexuelles ; et les procès sont inondés d’incestes et de viols.
Le mot violence découle directement de VIOL : abus de la force, ce qui se comprend parfaitement du régime communiste soviétique et évidemment de la république de 1789 et des suivantes, je n’hésite pas à l’écrire. Dans la famille violence se trouve les sévices et la brutalité, la maltraitance, l’émeute, l’attentat, et le bon vieux terroriste. Les mots viol et violence indique une PÉNÉTRATION, si elle n’est pas sexuel ce sera le poing sur la gueule et la balle dans le ventre d’un bonhomme ou ailleurs.

Là encore, comme les physiciens, on part faussement de l’extérieur pour aller vers l’intérieur, alors que ça devrait être le contraire... dans le futur proche...

Comme la violence est dans la Nature et que nous sommes la Nature, cette violence est naturellement présente en TOUT. Le mot grec PAN désigne ce TOUT, donc la Nature, et le mot PANIQUE en est directement issu ! Donc la panique c’est lorsqu’il n’y a RIEN entre la Source ou Instant et le sujet.
S’il y a panique c’est qu’on a accès AU RÉEL, comme l’enseigne Ramana Maharshi on réalise le Soi, qui est naturellement présent chez tout être humain ! Alors normalement on ne devrait pas « le réaliser ». S’il y a panique, c’est que l’être, humain ou animal, n’a pas eu le temps de faire fonctionner le mental !!! Il n’a pas eu le temps d’aviser (privé de viser !), ni de se retourner, opération de volte-face qui est habituelle et humaine pour faire face à quoi que ce soit. Donc la panique c’est EN APPARENCE, l’absence de la chronologie tueuse : pas de décalage donc de résistance (la volte-face... de voltare : tourner) pour retrouver le réel par le biais de la représentation, tardive ou anticipée...

Donc si on ne sait pas boire à la Source, à l’Instant, c’est effectivement la PANIQUE, évidemment naturelle. Ne parvient pas qui veut à l’endroit du Point Focal !!!

Il se pourrait que la PREMIÈRE VIOLENCE fut la découverte du FEU, par exemple frapper deux silex pour en faire jaillir deux étincelles-éclairs et enflammer un brin de paille, certainement plus tardivement frotter deux bouts de bois dont l’un va finir par s’enflammer. L’idée d’OUTIL, et donc au final de TECHNOLOGIE fut déclenché et fut probablement une variation de LA CHUTE décrite dans la Bible.
Mais ce départ de la technologie s’accompagne du développement du mental et de la découverte de la parole, qui dû passer de grognements en des sons de plus en plus clairs. Le langage parlé fit son apparition et avec lui la poursuite du drame du mental. La coupure d’avec la Nature commença : on l’observe, ainsi il y a sujet et objet, donc DIVISION. On peut comprendre que Ramana Maharshi qui fut si proche de l’Instant soit entouré de toutes sortes d’animaux, qui devaient reconnaître en lui un frère et un ami, donc ils s’en trouvaient rassurés.

Il est évident que le regroupement en société donc en État, a été un prolongement de la violence, et même de « l’extrême violence de la vie quotidienne ». C’est pour cela qu’autrefois, sous l’ancien régime, les gens étaient très solidaires et vivaient en clans ou familles, ou minis communautés afin de se protéger. Ils ne pouvaient compter que sur eux, et pas sur un quelconque État ou une quelconque Nation !

Par exemple si une domestique était violé et devenait enceinte, elle était renvoyé tout simplement. Alors peut-on juger avec notre logique de maintenant et parler de violence ? L’autre violence faite aux femmes était l’énorme mortalité en couche, pourtant des bébés naissaient, sinon nous ne serions pas là, et les femmes continuaient tant bien que torturées à faire toujours et encore des bébés.

Comme déjà écrit maintes fois sur le site, nous nous sommes éloignés fortement du réel en un bond énorme à l’époque de la Renaissance à cause non seulement du « savant » Galilée, mais surtout à cause de l’invention de l’imprimerie qui débouchera sur la prodigieuse explosion du langage écrit et avec lui la déferlante technologique qui va suivre d’abord lentement, puis s’accélérer au 19è siècle avec les banquiers.

Là encore il y eut une grosse coupure d’avec la Nature, nous nous éloignons du réel, tout va devenir conventionnel jusqu’à aller à notre FAUX actuel, qui n’a d’ailleurs pas finit sa croissance !!!
Donc comme nombre de chercheurs le disent, dont Georges Bernanos avec La France contre les robots, la TECHNOLOGIE nous éloigne du réel et de l’être humain en tant qu’être, elle nous éloigne de l’affectivité (sensibilité ou la non coupure d’avec la Nature).
Comme dit plus haut, autrefois pour faire face à la dureté de la vie et donc à sa violence on se groupait. Pour faire face à cette violence on parlait à l’ancêtre, au sage, aux vieux, au père de famille, à la mama.
Aujourd’hui, grâce à la technologie, les enfants sont à 1000 kilomètres de leurs parents, et la violence est remplacé par la JUDICIARISATION. Donc on fait intervenir l’État, la police, et son corollaire LE SÉCURITAIRE. Donc la passification de la violence réelle ou spectaculaire est passé à une FAUSSE violence ou camouflée.

Donc cette étatisation de la violence camouflée dans le cas d’une république mais certainement pas dans le communisme, et grâce au dogme ou à la tyrannie de l’égalité et du libéralisme révolutionnaire de 1789, la victime se retrouve au premier plan, c’est-à-dire au même niveau que l’autorité. On pourra facilement se rendre compte qu’avec les exécutions capitales en publique pendant les périodes 1789 et 1795, sous la guillotine figurait la victime, considéré comme une HONTE pour la république, pour le communisme, donc on l’exécutait.
Tragique de l’humain : c’est une question de mode parce que sous les juifs bolcheviks, un pauvre gamin de seize ans, Fadeiv, se retrouve dans un Goulag aux travaux forcés et qu’il ne comprend même pas ce qu’il lui arrive. Son père avait un petit atelier de reliure avec deux employés. Le fisc des bolcheviks a voulu que son père paye un énorme impôt. Évidemment son père ne pouvait pas payer. La police politique l’a arrêté, a convoqué sa mère, qui a répondu qu’elle devait faire vivre cinq personnes (fils, père, elle et les deux employés)... Son pauvre père a été condamné à cinq ans aux Solovki, sa mère été arrêté quelques temps après et envoyé dans un autre camp pour trois ans. La police a posé des scellés sur tous les biens de la famille de Fadeiv et lui on dit d’aller s’installer ailleurs. Il a vécu un peu chez sa tante, qui elle aussi a été arrêté pour « vente de produits manufacturés au marché », et envoyé pour trois ans aux Solovki. Fadeiv a été chez sa grand-mère, a mendié, puis un agent des bolcheviks l’a arrêté, envoyé en prison pendant deux semaines et finalement aux Solovki. Ce pauvre gosse a été condamné pour : « élément socialement dangereux », et il ne sait pas ce que cela veut dire !!! Bien-sûr, comme en 1789, en 1917 et après, « socialement dangereux » voulait dire dangereux et nuisible pour le système des juifs bolcheviks ou pour celui des républicains de 89 et l’édification de leur dogme-prison, pour l’un le socialisme, et pour l’autre la république façon empire romain. En fait, les deux se regroupent sous le ‘socialisme’ : le bien de l’intérêt général ou du « progrès » social, mais c’était la même chose sous la monarchie !!! SOCIAL : qui est agréable aux autres, de associés, de alliés, de compagnons...
Rappel : le progrès social ne pourra être réel que lorsque l’ordre social sera le reflet de l’ordre cosmique : en Haut comme en bas, et l’inverse...

Cette époque tragique de la révolution russe et profondément émouvante, et si violente, correspond à ce qu’on a appelé « les NEPmen », de NEP (nouvelle politique économique), où en 1921 une bouffée d’air économique fut ouverte sur la Russie bolcheviks, permettant un mini capitalisme, avec « propriété privée », bien vite réprimé par ceux qui l’avait mit en place !!!

Donc ces victimes sont considérées comme HONTEUSES. De la même façon que la bonne à tout faire d’avant la révolution de 1917, qui, violée par le fils du patron, devenait la honte et la résignation (abandonnée à son sort).
Aujourd’hui la victime est devenu un héros, et évidemment elle se sert de son statu de victime pour légitimer sa propre violence : j’ai le droit de me défendre ! bien-sûr puisque nous sommes en démocratie !!! Cela ne vous rappelle pas le business de l’Holocauste et autres excès de commémorations et autres « devoirs de mémoires » de l’après seconde guerre mondiale ?
Donc cela change le statu de l’autorité : ce n’est plus le père de famille qui a tout naturellement l’autorité, c’est la mode du sécuritaire : LE FLIC !!! et ensuite le JUGE, donc l’État. Les Juifs bolcheviks ont gagné ! Nous sommes bien entré dans leur système communiste ! Revers de la médaille, peut-être par rapport aux communistes et aux républicains de 89, actuellement dans 83 % des cas les juges sont des femmes.
Donc l’autorité maintenant est délégué à l’État, aux flics, puis aux femmes juges qui désormais sont loin de faire la soupe et de torcher les mouflets, la technologie des couches-culottes est passé pas là ! DONC C’EST LA VIOLENCE ADMINISTRATIVE, JUDICIAIRE.

La violence actuelle à totalement changée de forme grâce à la technologie, mais n’a pas disparue, au contraire... Et puis, ne pas oublier la violence de l’OPINION...

La violence actuelle camouflée, psychiatrisée et médicalisée est plus terrible que celle d’autrefois, comme par exemple en Vendée vers la fin de 1794. L’abbé Louis Jousset, réfugier au Cellier, dans sa paroisse natale, est surpris à dire la messe dans la forêt voisine, il subit un sort horrible : après d’affreuses tortures, on le tue et ses membres sont jetés aux chiens.
Un autre abbé, Joseph Cosneau, arrêté par les Bleus, toujours en 1794, est attaché à la queue d’un cheval et traîné à Ancenis en passant par Saint-Herblain. Là, il est mutilé à coups de sabre, puis attaché sur une planche mise ensuite sur la Loire. Des rives, les soldats se font un jeu de décharger leurs fusils sur la victime.
Voilà deux autres exemples de violence terrible et terriblement humain, portant un profond désespoir sur la vie ; violences si proche de notre époque : 217 ans seulement... (Référence sur la Vendée dans : La Vendée - Vengé - Le génocide franco-français, de Reynald Secher)

(Sur la violence à notre époque : référence à Boris Cyrulnik et Histoire d’Homme, par Marie-Odile Monchicourt, sur France-Info ce dimanche 26 juin 2011)


Des violences prévisionnelles récoltés sur l’Internet, vraies ou fausses :
- Établissement d’une « capitale mondiale » en Jérusalem, entre 2011 et 2013.
- Déclenchements d’attaques virales en tous genres.
- Attaques sur des centrales nucléaires.
- Attaques par micro-bombes nucléaires sur des lieux publiques.
- Possible assassinat du Pape pour mettre en place une nouvelle religion qui se veut une nouvelle universalité. Une de plus !!!
- Tentatives de tuer le peuple japonais, allemand...
Et cela n’est que le fait des humains ; c’est sans compter sur les éléments naturels ou extérieurs...
 
 

Dernière mise à jour : 26-06-2011 23:23

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