Isme contre Isme
 

Ecrit par Sechy, le 19-10-2011 00:29

Pages vues : 7749    

Favoris : 44

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Yokaï

 
Free Image Hosting at www.ImageShack.us
 
 
Isme contre Isme

Immanentisme contre Transcendantalisme


Monarchisme contre Républicanisme ou
Marianne Notre-Dame des Droits de l’Homme

Ou Droite contre Gauche


La Tyrannie de l’égalité ou le monde tenu par les Couilles
 
 
 
Il faut savoir que la soi-disant « liberté du culte » fabriquée par la franc-maçonnerie tout au long de la troisième république et déclenchée en 1905 par la loi de séparation de l’Église et de l’État, c’est Église contre Église ! Une universalité de plus, une guerre d'opinions de plus. Les fabricants d’âmes et autres philosophistes qui nous vendent leur package « triomphe du droit à la liberté de croire ou dogme de l’opinion », instituant du même coup un rejet du divin et son « pouvoir d’oppression », ne font que laver la cervelle des gens en leur faisant rejeter la seule l’Église catholique ; tout en ignorant le protestantisme, le judaïsme, l’islamisme. Ainsi la république ne jure que par le mot « laïcité », jamais par le mot « athéisme ». Ce sont de faux-culs, car l’athéisme renvoie à tout autre chose qu’à la laïcité.
 
 
 
ATHÉISME : mot de 1555, de athée (il n’y a pas de hasard !). Doctrine des personnes qui nient l'existence d'un Dieu personnel (panthéiste). Le contraire de l’athéisme : croyance, religion, théisme.

Donc la laïcité est une forme de religion déguisée ! à l’envers, et de nos jours la plus fanatique des religions ! Satanique, comme le crucifix planté la tête en bas ou le bougeoir trafiqué pour que la flamme ne monte pas. Il est bien connu que personne ne fait de mal à personne !!! « Le pouvoir c’est l’éteignoir de la chandelle », écrivait H.P. Blavatsky.

Voilà où nous en sommes réduit présentement, avec une république franc-maçonnique héritée des peuples greco-latins. Un immanentisme incluant l’humanisme et son dogme de l’égalité, et de l’égoïsme. Cela fait vraiment beaucoup de prisons des « ismes » !

La prison inclue bien-sûr les systèmes philosophiques et autres fabricants d’âmes. La hiérarchie sociale ancienne plus ou moins fondée sur des privilèges et choses héréditaires est remplacée par le libéralisme ou pragmatisme, encore un « isme » du pouvoir uniquement de l’argent. Pas étonnant que le sens du mot « Noble » soit perdu. À cet humanisme s’ajoute le terrible mental : la raison résonnante comme une cloche. Le Paradis des marchants était né en 1789, qui exploitera les nouveaux esclaves : la masse des salariés. Donc division Gauche-socialisme-égalité, et Droite-libéralisme-escroqueries. Toujours les « ismes ». Et jusqu’à nos jours, en passant pas les dictateurs Bonaparte et Hitler et n’importe quel centrisme, personne n’a réussit à recoller la brèche ou « faille temporel » Gauche-Droite ouverte en 1789.
Par exemple : le général de Gaulle : militaire et héros de la résistance ; Georges Pompidou : ancien directeur chez Rothschild !

Le dogme de l’égalité est une dictature de plus : « cette loi qui, dans un grand souci d’égalité, interdit aux riches comme aux pauvres de coucher sous Les ponts, de mendier dans les rues et de voler du pain » (d’après Anatole France).
Le dogme de l’égalité c’est l’OPINION : une religion en creux ou à l’envers, qui est renoncement volontaire de l’être humain à sa liberté propre, parce qu’avec ce dogme, toute conception de l’être humain en lui-même n’est bâtit que sur l’expérience de l’existant dans le monde spatio-temporel. Or, la connaissance de Soi, sa réalisation, ne peut être qu’individuelle : je ne peux pas manger pour vous !

Nous sommes entré dans les systèmes à la Hegel et des ergoteries grecs : la pire des choses : la PHILOSOPHIE et le noircissement du papier, ce qui tue de nombreux arbres nécessaire à le fabriquer. La Philozozophie ou Notre-Dame des Droits de l’Homme.


IMPORTANT : puisque il n’y a plus de continuité sociale en politique du fait de la suppression de la transmission par hérédité, ou par cooptation, dans le monde républicain franc-maçonnique si la cooptation est toujours fonctionnelle, le RÉSEAU doit être important soutien, allégeance, obligations, etc.). Réseau étant dans la même famille de l’égalité. Un homme politique, quel que soit ses dons et son honnêteté, doit s’appuyer  sur une force collective en dehors de sa sphère, et qui ne pouvant plus être dans sa lignée ou dans l’Église ne pourra qu’être dans un réseau. Caché évidemment. De tout temps il exista des réseaux d’influences.
RÉSEAU : rets, tissu à mailles très larges, filet, entrelacs. Réseau de la famille ou lignée : le lien du sang (de père en fils, entreprise machin et fils), les fratries... Clans, tribus, paroisses, lobby...
Il doit y avoir une idéation porteuse d’un ensemble, sinon on tombe dans l’individualisme égoïsme uniquement relié par le matérialisme d’un « contrat ».
Avec le déclin du support métaphysique du roi, à partir de 1717 entre en piste le réseau franc-maçonnique souterrain, une abstraction, une convention de plus intercalé entre le citoyen (la masse) et le gouvernement de l’État.
La république qui doit souder le peuple est une entité qui n’existe pas : la communautés nationale, la nation ; d’où les divisions et querelles à n’en plus finir. La république qui veut se faire aussi grosse qu’un bœuf : « Qui trop embrasse mal étreint ». Car si tous les pouvoirs se réclament du peuple, jamais aucun ne lui échoit.

Quelques réseaux en dehors de la maçonnerie française et européenne : les Jésuites, les Triades asiatiques, le B’naï B’rith, etc.
Enfin, il est bien connu, notamment avec la seconde guerre mondiale, que « si le réseau tombe, mouillé comme tu es, tu tombes avec ! »

MAÇONNERIE SPÉCULATIVE = COMPLICITÉ = SOUMISSION = MENSONGE = POUVOIR = TRAFIQUES = CONSPIRATIONS
LOGE = GEÔLE


Il paraît que tout étude sociologique sur les réseaux maçonniques et leur pouvoir sur la république est immédiatement taxée, malgré l’évidence, de théorie du complot et d’extrême droite ; on a la même chose avec le remise en cause, pardon, le « doute » sur la version officielle du 11 septembre 2001 : théorie du complot, négationisme, révisionisme, anti-juifs, voir nazis.


Dans l’Égypte ancienne, la société était aussi trinitaire qu’au Moyen-Âge : les Pât, les Rekhyt, les Henememet.
- Les Pât sont plutôt les patriciens, les nobles, mais aucune équivalence par rapport aux Grecs ou aux Romains n’est valable. Les Pât selon les Anciens Égyptiens étaient les plus anciens habitants autochtones du pays.
- Les Rekhyt ont peut-être été surtout des gens du Delta. Ce sont plutôt des gens du peuple, comme la partie des Laboratores (paysans) au Moyen-Âge.
- Les Henememet sont des orientaux qui adorent le Soleil. Parfois le mot semble être pris, sous l’empire, au sens d’être humain en général. Mais il n’existe que trop peu de documents permettant de se faire une idée exacte.
- Une quatrième classe semble exister : Nedjes, traduit par « bourgeois », soit en ce temps une classe de gens modestes. Ce terme englobait peut-être les gens qui n’avaient pas de titre et qu’on désignait d’après leur fonction : scribe, maçon, jardinier, sculpteur, berger, barbier, menuisier, forgeron, tisserand, etc. Donc une catégorie de population au sort plutôt misérable. On ne sait rien de leur condition sociale. Les métiers urbains étaient peut-être exercés par des gens libres. Les gens qui dépendaient des temples et des domaines et ateliers royaux paraissent avoir été des serfs, attachés à la terre ou à leur lieu d’emploi, ce qui semble naturel.

Impossible de résumer les plus de huit termes désignant la condition de servilité. Aucun terme ne peut se traduire par « esclave ». Par contre, de nos jours... Et pour les républicains francs-maçons, n’oublions jamais que les Grecs et les Romains pratiquèrent parfaitement l’esclavage à grande échelle et au sens stricte du mot, et ils n’ont jamais eu qu’un mot pour désigner l’esclavage.
On ne connaît pas en Égypte d’affranchissement, ni de classes spéciales de gens affranchis.
Il existe des documents concernant la vente et l’achat des esclaves, mais ceux-ci possèdent un certain nombre de droits fondamentaux incompatibles avec l’état de servitude proprement dit.

À l’ancien empire, il régnait un certain libéralisme, donc un droit plus individualiste, donc les mot HOM et MÉRYT désignent des serviteurs jouissant d’une certaine liberté. L’Égypte ancienne était peuple d’un très grand nombre de serviteurs, et des métiers de l’agriculture semblent avoir été pratiqués par des gens de condition libre. Rien n’autorise à penser qu’il existe un esclavage privé. Les prisonniers de guerre capturés lors d’expédition militaires à l’étranger ont dû augmenter les contingents de serviteurs publics dépendant du roi.
L’esclavage proprement dit n’apparaît qu’avec les importantes guerres extérieurs. Les prisonniers devenus esclaves d’État étaient marqués au fer rouge (tatouage) et ne pouvaient donc plus être libérés ni vendus. Quant aux esclaves privés, leur sort semble moins dur. Rapidement, les esclaves fait à la guerre semblent se fondre dans la population des villes et des campagnes.
C’est vers la 19è dynastie (-1300 avant notre ère) qu’il existe des contrats connus de vente d’esclaves. Au début de l’époque saïte des personnes libres se vendent comme esclaves (BAK), une servitude volontaire, qui rappelle le début du 19è siècle et les paysans sans terre (peon) qui se « louaient » à un riche bourgeois propriétaire de terres. Les BAK peuvent posséder des biens et ils jouissent d’une semi-liberté.

Un jeune homme : « Senpekote, fils de Thoutmes et dont la mère est Khetbesierbone, susnommé, est présent, alors qu’il dit : « Écris et exécute toute parole ci-dessus. Mon cœur est satisfait. Je suis ton esclave avec mes enfants, avec tout ce qui nous appartient et tout ce que nous pourrons produire. Ils ne pourront plus se considérer comme libres vis-à-vis de toi ».
En résumé, l’esclavage fut rare en Égypte, sauf au lendemain de grandes conquêtes, puis cet esclavage est vite résorbé. Par contre l’état de servage est fréquent. mais on ne trouve pas au bord du Nil ces masses serviles qui déshonorent la Grèce et surtout Rome.
L’Égypte ancienne, qui descendrait des Atlantes et du groupe des plus sages, ne pouvait pas pratiquer l’esclavage. Le sort des plus humbles classes de population permet d’entrevoir la qualité de vie de cette civilisation. On peut jauger la qualité d’une civilisation à la manière dont elle reçoit les étrangers qui viennent pacifiquement sur son territoire ; c’est la marque qui ne trompe pas. Donc la France actuelle n’a pas de leçon a donner...

RAPPEL : Il n’existe pas de vérité en matière de gouvernement ou de société consistant à piocher un peu partout des vérités partielles les meilleures pour en faire un « monde meilleur ». Le Tout est autre chose et plus que la somme des parties. Il n’existe pas de « modèle de démocratie », surtout quand on en voit le résultat à ce jour ! C’est plutôt un totalitarisme qui va prendre bientôt sa vitesse de croisière avec le MES (mécanisme européen de stabilité).

Les Anciens Égyptiens vivaient selon les lois cosmiques : en Haut comme en Bas. Dans tous les actes de la vie quotidienne, ceux qu’exécutaient les Anciens Égyptiens les engageaient dans un monde de correspondances et de symboles laborieux. Sans cesse, dans les activités les plus naturelles, on peut entrevoir leur préoccupation de se conformer aux archétypes mythiques et primordiaux et aux exigences d’une métaphysiques, qui en échange leur assurait sur le concret de la réalité une puissance dont ont a aucune idée. Il n’est pas jusqu’à leurs jeux et distractions qui n’aient de significations en rapports avec le divin.

Enfin, il devait bien exister, jadis, une civilisation où 100% de la population se régulait les uns les autres. Puis le langage parlé apparu, ce fut alors le désordre et le basculement vers les 1% de la population commandant les 99% restant.
Le cirque n’est pas terminé entre la loi du plus grand nombre, et le pouvoir des 1% qui dirige une nation, et maintenant le monde.


(Références à : Comprendre l’empire, de Alain Soral ; La civilisation de l’Égypte pharaonique, de François Daumas)



La dictature de l’Europe se met en place.
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 19-10-2011 01:07

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved