Mensonges de la démocratie
 

Ecrit par Sechy, le 24-12-2011 00:12

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur

 
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Mensonges de la démocratie
qui n’est que franc-maçonnerie mercantile et perverse et tordue, puisque né en 1717 à Londres ! C'est donc une corporatocratie sous le dicta de la satanique City.
 
FRANCS-MAÇONS ET COUILLES EN OR SONT DES PARASITES
 
 
Au sommet de la pyramide, le véritable ennemi n’est pas le fric, mais LE POUVOIR de l’intellect : le FAIRE, et nous sommes à l’âge de Fer.

C’est très simple : avec la démocratie et la république : ce n’est plus LA Chute du Jardin d’Eden, mais LES Chutes au niveau matériel pour chaque individu !


Page importante car la situation est grave et d’ici presque 2012 jusqu’à environ 2022 tout va s’écrouler, et beaucoup mourront.
 
 
 
Des communistes et de l’Église de Rome : « Besoin spirituel égaré, oui, et on ne le dira jamais assez ; mais besoin religieux et recherche d’un centre immuable. L’athéisme n’a jamais été qu’une forme de religion ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux). Tout comme la laïcité maçonnique est une forme de religion.
« Le mystique de la philosophie communiste, laquelle joue le rôle d’une théologico-métaphysico-physique, d’une révélation absolue, ce mystique, tyrannisé au nom de ce culte, l’accepte fort bien et renonce avec joie à sa pensée propre » (Jean Coulonval). Ceux qui veulent sortir du culte sont bien-sûr des « hérétiques », ou selon Saint-Just : « Des ennemis de la liberté ».
 
 
 
Les mensonges de la « démocratie » ce sont d’abord le non respect des trois pouvoirs : spirituel, politique, économique. Trois pouvoirs qui ressemblent un peu à la répartition sociale trinitaire du Moyen-Âge : les oratores (ceux qui prient), les bellatores (ceux qui protègent comme les chevaliers et le roi), les laboratores (ceux qui exercent maints métiers et travaillent aux champs) ; cette répartition même si elle permettait une circulation trinitaire engendrait naturellement des classes. Mais CES CLASSES ÉTAIENT SOLIDAIRES.
Car « la force des trois classes de la féodalité vient de chacune de ses classes et de chacun de ses membres individuels dans l’État, ainsi elle justifiait leur existence et assurait leur subsistance. Au temps de Philippe Auguste, Robert de Courçon déclarait que l’on ne pourrait obtenir de réforme que si chaque membre de l’État était obligé à un travail intellectuel ou manuel sous peine d’excommunication et de condamnation civile », écrit le Docteur Psychiatre A. Stocker dans Folie et Santé du monde. Donc le système féodal était très matérialiste : la Terre. Bien-sûr la troisième classe des laboratores était la plus brimé, mais malgré cela, cette classe était en accord avec les deux autres ; tout simplement parce que : « Grandes vertus gisant es chouses petiotes créées par Dieu », écrivait prophétiquement Cyprian Piccolpassi Durantoys dans : Les trois Livres de l’Art du Potier. C’est-à-dire que le PEUPLE VIENT AVANT LES SEIGNEURS, ce sont eux qui doivent prêter serment aux paysans. Alain Soral dans son livre : Comprendre l’Empire tombe dans le piège quand il écrit page 148 à propos de ‘démocratie’ : « Une égalité formelle, celle du droit positif, offerte comme un progrès au peuple, face à la société théocratique et aristocratique inégalitaire qui la précédait, qui ne conduit jamais à l'égalité réelle, bien au contraire ». C'est peu compréhensif !

Par exemple, l’américanisme ou capitalisme unifie les moyens de sa classe dans le culte de la technologie et l’identité des besoins de consommation imposée par la technique publicitaire ; et il abandonne le domaine de l’esprit à la propagande religieuse et autres sectes et publicités.
Le communisme prétend connaître l’être humain et tend à substituer aux classes, lesquelles se définissent par des critères économiques, une autre classification selon les critères d’une pseudo-spiritualité qui engendre des pseudo-castes : celles des paysans, des ouvriers, des fonctionnaires, des politiques. Castes ouvertes, en principe, n’étant pas légitimées par la naissance, mais d’autant plus réelles qu’elles se définissent par un certain degré d’accès aux mystères dogmatiques d’une pseudo-spiritualité.

Rappel : la classe est de la Terre. La caste est de l’Esprit. La caste comme fait spirituel tend toujours à se signifier et à dégénérer en classe. C’est ce qui est arrivé à l’ancienne noblesse de sang, et la Révolution de 1789 n’a fait que supprimer ce qui avait perdu la conscience de sa nature. Elle n’a fait que couper du bois mort.
« Inversement, la classe la plus basse, opprimée et avilie, tend toujours, pour guérir ses malheurs, à retrouver les sources de l’Esprit, et, partant, le sens de la caste, c’est-à-dire de sa dignité d’homme en tant qu’être métaphysique et religieux. Cette dialectique de la classe et de la caste est la cause la plus profonde de la naissance du communisme, bien plus que la dialectique marxiste qui n’a fait que dévier et défigurer la première dans un sens pervers », écrit Jean Coulonval.

La révolution de 1789 a non seulement divisé les gens entre Droite et Gauche, mais à aussi désolidarisé ces classes de l’ancien régime qui étaient solidaires. C’est pourquoi désormais on parle de « lutte des classes » qui se transforme de nos jours en « lutte pour le pouvoir d’achat ». Cette démocratie devenue mercantile et bancaire avec sa religion des « droits de l’homme » n’est que pourvoyeuse de bassesses, de violences et de guerres (voir la Libye, la Syrie, etc., entre 2011 et le futur proche à venir).
Et cette violence démocratique est savamment entretenue, un comble ! par une monarchie... celle de l’actuelle Angleterre et de son inséparable coffre-fort : la CITY DE LONDRES... Cette diabolique monarchie constitutionnelle anglaise née pour entretenir une tension perpétuelle, évidemment pour alimenter la City !!!


La prise du pouvoir par le Tiers-État une fois éjecté la Noblesse et le Clergé, n’a pas débouché sur le machin franc-maçonnique « liberté-égalité-fraternité », mais sur l’EXPLOITATION, à l’intérieur de ce Tiers-État, d’un prolétariat industriel par la bourgeoisie capitaliste et pourvoyeuse d’usines à esclaves. On le voit avec la montée en puissance des familles Rothschild et Rockefeller et autres Couilles en Or avec l’institution des billets de banques, la valeur matérielle devenant sacrée, à tel point qu’alors le crime ultime était le vol, punit des bagnes et pour enfants et pour adultes.
Ce résultat des capitalistes installés dès la fin de la révolution de 1789 fut plus dur envers ses esclaves, pardon, ses salariés, que ne l’était la noblesse avec ses paysans (voir comment vivaient les Vendéens juste avant leur massacres par les républicains entre 1793 et 1794).

Ces violences sont synonyme de la progression d’un mélange d’humanisme et d’un socialisme dont on sentira la montée vers 1830, ne serais-ce qu’à travers le film Les Misérables, mis en scène par Raymond Bernard.
Et dans la lignée de l’installation de la technologie à l’époque de la Renaissance, le marxisme s’installe dans cette technologie.

Les OUVRIERS ET ARTISANS étaient eux-mêmes ; alors qu’après 1789 ils ne furent qu’une création de la bourgeoisie. J’écris ici à nouveau cette phrase si juste : « C’est la bêtise bourgeoise commencée au milieu du 19ème siècle, qui a distingué l’Art gratuit du travail qui n’aurait pour fin que l’argent ». Ainsi il ne faut plus s’étonner de l’imbécilité des brevets et de « la propriété intellectuelle » !
Le libéralisme était né.

Alain Soral dans Comprendre l’Empire résume bien la situation de cette après révolution de 1789 tout au long du 19è siècle : « Projet socialiste prétendant s’appuyer sur le logos grec pour réaliser le projet juif messianique et missionnaire chrétien réconciliés, et résultant sans doute de la triple culture juive, chrétienne et grecque du philosophe Karl Marx, principal théoricien du socialisme dit scientifique... ».
Rappel : le communisme est une catholicité, un universalisme en creux, comme l’envers d’un cuivre repoussé. Le communisme ou la république à sa maturité ne fait qu’installer la tyrannie de l’opinion (et de la SÉDUCTION)(1), aboutissant à une religion à l’envers, en creux, donc au renoncement volontaire de l’être humain à sa liberté propre puisque le communisme n’admet pas la liberté de penser. Le communisme fabriquant son universalité est bien-sûr contre la moindre nation et lui voue une haine terrible ! Et comme il fabrique son propre universalisme en forme du culte de l’opinion, cela le conduit au désir d’une UNITÉ DE L’OPINION, ainsi la liberté de penser n’existe plus. La république de 1789 procédait de même (voir les guerres de Vendée).
Tout cela ne procède pas d’une volonté délibérée de faire le mal, mais DE FAIRE LE BIEN, soit un besoin spirituel d’apporter la vraie Paix ; c’est bien là où se situe la tragédie !
Personne n’est moins dogmatique que le vrai mystique. « L’Esprit comprend tout, pardonne tout ».

La plupart des révolutions ne sont pas pensées par le peuple trop occupé à suer sang et eau, mais par ceux qui ont du fric et donc appartiennent à une classe supérieure ; ils ont fait des études et ont des diplômes, bref : un bagage que n’a pas le peuple pauvre qui trime.
Par exemple Alain Soral cite deux groupes d’intellectuels pouvant fomenter des projets politiques :
- La petite bourgeoisie nationale genre socialistes libertaires ou syndicalistes révolutionnaires.
- La grande bourgeoisie genre ashkénaze qui de ce fait se place à l’international tels les Karl Marx et Ferdinand Lassalle, des théoriciens intellectuels qui évidemment étaient totalement étrangers au monde ouvriers !

Tout ce beau monde puissant allègrement comme toujours en Occident chez les philosophistes grecques. Étrangement l’Occident va chercher le « modernisme » dans la cité antique grecque, celle de l’équerre et du compas (2) et de l’institution de l’esclavage !
Un autre intellectuel et théoricien qui avait le temps de pondre des élucubrations, car gosse de riche banquier, fut Georg Lukacs. C’est ce genre de personnages qui fomentent les pires totalitarismes, notamment il participa à la dictature de Béla Kun. L’exemple typique de ce que peut chier un philosophiste à côté de ses pompes ou coupé de la réalité, coupé de l’Instant.

Un autre exemple d’élitisme mal placé est celui de la musique dite classique. Or « la musique est une art qui veut qu’on chante et danse » comme l’écrivait Guillaume de Machaut, c’est-à-dire qu’elle s’adresse à tout le monde entier et à tous quelque soit ses connaissances.
Or pour « apprendre la musique classique », avant d’entrer dans le Conservatoire National de Musique, il faut déjà pratiquer huit ans d’un instrument de musique !!! C’est pourquoi certains musiciens classiques comme Pierre Boulez font des concerts gratuits pour « le grand publique ». Bref, MUSIQUE CLASSIQUE = GUINDÉ ET PÈTE-SEC.

C’est vrai comme le fait Alain Soral que l’on peut classer en deux le socialisme :
- Les socialistes libertaires genre Bakounine qui essayent d’utiliser leur bon sens.
- Les socialistes technocrates et bureaucratiques genre Marx et Engels qui font passer leurs opinions pour des essences ! Des purs produits de philosophistes.

La « démocratie » actuelle n’a même pas un rapport avec celle des Athéniens :
Laquelle était une oligarchie ou fratries de 40.000 propriétaires et soldats servis par 200.000 esclaves sans droit ! Donc ces libres habitants des cités ou citoyens servaient de relais entre l'État et les particuliers. Le mot fratrie comme le mot tribu évoquent déjà la notion d'égalité : une même famille, les humains ! Mais cela ne concerne que L'APPARENCE ! Pour l'esclavage, cela concerne les bonniches, aussi bien mâle que femelle ! Seul un pauvre, un gueux, ne possède aucun esclave. Les oligarques méprisaient le travail manuel. Et la véritable tâche de l'homme libre, c'est de participer à la "démocratie", ou affaires publiques : on discute, on donne dans la rhétorique ! Ainsi on parla déjà de libéralisme, d'éducation "libérale". Un comble pour toute "éducation" qui consiste à couler dans un moule un élève. Et l'oisiveté était déjà fortement condamné, ce qui donnera naissance en partie au matérialisme. Mais tout ce qui touche aux métiers manuels sera abandonné aux esclaves, aux métèques dont le nombre était considérable. Par exemple pour la construction du temple dit Erechthéion sur l'Acropole, parmi 107 ouvriers, figurent 14 citoyens, le reste étant formé de métèques et d'esclaves. Athènes était donc une cité totalement aristocratique, même quand elle se proclame "État populaire".
Le "démocratie" à la mode athénienne est donc, encore une fois, un attrape-couillons, car chez les Hellènes, seuls participent aux activités de la politique une petite minorités de privilégiés, et cela dans toutes les cités grecques importantes. Les métèques et les esclaves n'ont aucun droit politique.

Aujourd’hui, depuis que la bourgeoisie a dégommé l’aristocratie régissant la terre dans une société accordée avec le Dieu chrétien, seul compte le « pouvoir d’achat », et un mot LE FRIC.

La tyrannie s’exerce aussi dans l’ÉGALITÉ, et ses promoteurs doués furent Saint-Just et Robespierre !
Comme déjà écrit sur d’autres pages, notamment sur le franc-maçon Alain Bauer, le pire piège de la démocratie est de faire croire au peuple qu’il a un pouvoir à travers le « suffrage universel », qui a enflé sous les empereurs Napoléon 1er et Napoléon III, ce sinistre instigateur des bagnes pour enfants, ce criminel coquin des familles Rothschild et Rockefeller (comme le Bonaparte d’ailleurs). Le criminel Napoléon III qui le premier inventa une loi « sécuritaire » contre les enfants qu’il fallait « éduquer » à coups de fouet, de cachots, de menottes, de privation de tout. Sinon bien-sûr le suffrage dit universel date de 1793-1795, plein pot pendant l’ethnocide de la Vendée.
La souveraineté populaire n’est que du bluffe. On appelle ça « démocratie d’opinions ».



Notes.
1. « La manipulation des masses par cet organe exécutif du gouvernement invisible qu'est La propagande ; soit ce processus de modelage des opinions pour les intérêts d'une certaine élite », Alain Soral citant judicieusement Edward Bernays. Cela se résume encore par le mot POUVOIR.

2. La géométrie c’est l’Occident et les ergoteurs grecs dont Euclide. Par contre l’Orient rejette totalement la géométrie, la ligne droite, la symétrie. Pour l’Asie la géométrie est une conception du mental, c’est d’ailleurs pourquoi j’appelle tous les francs-maçons avec leurs équerres et leurs compas des « travailleurs du chapeau ». Ce sont de diaboliques emmerdeurs au même titre que tous les philosophistes.

(En haut de page : Karl Marx avec l’œil du Mossad)


Conférence fondamentale de Pierre Hillard le 27 octobre 2011 sur le merdier oligarchique mondialiste. Une oligarchie qu’aucune justice humaine ne pourra poursuivre, ce qui donnera naissance à une nouvelle maffia, tout simplement.
Un parlement juif européen ?
Pourquoi pas un parlement chrétien européen ;
Un parlement européen protestant ;
Un parlement européen islamique.
Bref, encore un coup des francs-maçons et de Tel Aviv et des sionistes !
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 24-12-2011 05:07

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