La colère divinsinistre des Occidentaux
 

Ecrit par Sechy, le 29-12-2011 19:32

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Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur

 
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La colère divinsinistre des Occidentaux

American way of life = American way of dead
 
 
 
IMPÉRIALISME.
Message à tout être humain « créé à l’image de Dieu » [seulement à l’image], qui lui prédit que, dans le futur, le peuple du Grand Dieu [élu] se fera le guide des modes de vie de tous les mortels [Cf. Valentin Nikiprowetzky, La Troisième Sibylle, cité par Shlomo Sand, dans : Comment le peuple juif fut inventé] :
« Le paganisme est vil et bas mais, à son opposé, la croyance juive représente l’enseignement de la justice, de la fraternité et de la charité. Les païens sont contaminés par la pédérastie, alors que les juifs résistent aux tentations et s’éloignent des impuretés. C’est pourquoi ceux qui se prosternent devant le bois et la pierre doivent adopter la vraie foi, sinon ils seront punis par les foudres de la colère divine ».

Ainsi nous avons une opinion inquisitoriale de plus, genre raison contre transcendance. Et en plus impérialiste ou dictatoriale car imposant à tous cette opinion. Par la propagande il s’agit toujours de vendre, de convertir, on impose à l’autre sa vérité. Il ne faut pas s’étonner que cet orgueil se retrouve chez les francs-maçons spéculatifs de 1717, dont une grande partie des cérémonies et des symboles ont un aspect liturgique judaïque. La maçonnerie de 1717 emprunte aussi aux mystères d’Eleusis et autres mystères dont évidemment Orphée/Thot façon « instructeur du monde ». Orphée étant plus spécialement un « musicien » puisqu’il charmait même les cailloux (aspect vibratoire). Les mystères d’Eleusis (1) sont typiquement synonyme d’initiation.

L’essai « Sagesse de Salomon » datant probablement du 1er siècle avant notre ère fait aussi sa propagande pour vendre ou convertir les bougnoules ou les pagans ou païens du temps. Le prosélytisme ça marche aussi bien dans le spirituel que dans le laïc ! Et avec l’apport des philosophistes grecs, le mépris du paganisme et du cultes aux objets et aux animaux étaient méprisés. La police de la pensée était au combien largement à l’œuvre et on se permettant d’accuser l’autre d’immoralité, de pécheur, et l’inquisition portant la sentence que ceux là devaient en porter le prix ; ce qui frôle aussi la magie, qu’elle soit blanche ou noire elle tombe facile dans la noire et la sorcellerie (magie négative ou qui fait le mal, qui lance des sortilèges).

Cet essai en forme de Sibylle, selon une rhétorique totalement grecque et inspiré par des allégories de Platon à travers Salomon le Sage, est destiné aux rois, comme le précise Shlomo Sand ; la pensée unique cherche partout à s’imposer et le mondialisme ne date pas d’aujourd’hui.

La dictature du monothéisme ça existe aussi.

Et dès ces temps anciens la jalousie de la concurrence religieuse était grande, car les Juifs vendaient mieux leur produit, leur opinion !!! (Référence à Flavius Josèphe, cité par Shlomo Sand)

Comme la Droite et la Gauche en politique de la république, on ne devrait tomber dans l’intégrisme du prophète Mani, pour qui, de nos jours, le marxisme serait le mal absolu et l’Église romaine le bien absolu ! Et les vainqueurs imposeraient leurs lois aux vaincus. Mais à propos de la seconde guerre mondiale et de ses drames, comme TOUT EST CYCLES, on retrouve  chez le philosophe Sénèque une vive attaque contre les juifs, qu’il déclare « peuple maudit » parce que leurs dirigeants étaient très fort dans la vente... c’est-à-dire que les vaincus imposaient leurs lois aux vainqueurs (en référence à Sénèque, De la superstition, VI, 11, cité par Shlomo Sand)
 
 
 
LA CAROTTE ET LE BÂTON : On le voit tous les jours avec notre civilisation de la consommation, c’est très PARADIS et RÉCOMPENSE, comme le SALAIRE récompense l’esclavage : la croyance en un Paradis et pire, en la résurrection des morts est vendeur, et encourage « l’achat » de la foi et de la divinité juives, comme l’écrit Shlomo Sand dans le chapitre de son livre : L’invention de l’exil, prosélytisme et conversion.

Toujours est-il que depuis de nombreux millénaires le sens de l’être humain est perdu, le : Je suis CE JE SUIS. Ainsi depuis tous ces millénaires la civilisation est une aberration existentielle sur le plan social.
Par exemple dans les écoles du franc-maçon Jules ferry, tout a été fait pour empêcher cet accès à la connaissance de l’être humain, parce qu’il fallait fabriquer de bons petits esclaves pour les industries des Couilles en Or. On n’y apprend jamais à être RESPONSABLE, ou plutôt on y apprend la responsabilité À L’ENVERS : le libéralisme, et l’individu comme son nom l’indique est indivisible, comme la république !!! Il est de ce fait « responsable » car totalement livré à lui-même, mais à l’opposé du : Je suis CE JE SUIS. Comme l’explique Jean Coulonval dans son livre : Synthèse et Temps Nouveaux : « La liberté est le dialogue entre un agissant qui est le ‘Je’ divin et un agi qui est le Moi humain, selon la Vérité du Verbe qui est médiane entre le Ciel et la Terre. Hors de là, parler de la responsabilité de la personne n’a aucun sens « Mon Père, pardonnez-leur, car ils ne savent ce qu’ils font ».

Évidemment puisque depuis 1789 nous sommes tombé dans la « religion de l’homme », notamment avec sa Bible : « les Droits de l’Homme ». Donc on confond universel (de l’Esprit), et général (de la terre) ; comme on confond individu (marchandise), et personne (être humain). Ainsi ‘individu’ va de pair avec ‘collectivité’, alors on parle d’humanisme et en cette dérive vers le mondialisme on parle de « religion de l’humanité »...



« Mon Père, pardonnez-leur, car ils ne savent ce qu’ils font »

Oui, car d’après les nombreux témoignages d’EMI cités dans le livre du Docteur Jean-Pierre Jourdan : Deadline, Dernière Limite, la LIBERTÉ est absolu : pas de jugement, de prosélytisme, ni de Faire et Fer. Et surtout par de carotte genre paradis ou son inverse l’enfer, ni d’anges et de démons et tous les outils des religions monothéistes. Pas non plus de « voyage astral » ni de « corps astral » à la mode occultisme New Age, car il s’agit de PURETÉ, de BLANC.
D’autre part le « lieu » EMI est comme le Soi : éternel, ainsi les témoignages d’EMI parlent tous de « revenir chez eux », comme s’ils n’avaient jamais quitté cette éternité : l’Instant, le Soi, « là où on est enfin complet ».

D’après les recherches d’un certain nombre d’anthropologues et le recherches dans le domaine des NDE (EMI) et phénomènes connexes, ce « ne sont pas les figures religieuses instituées qui façonnent notre inconscient et ses projections, mais bien ce dernier qui les préforme », comme écrit le Docteur Jourdan en citant l’anthropologue Évelyne-Sarah Mercier. Comme le dit dans ses entretiens Ramana Maharshi : la totalité du monde extérieur et de notre corps sont des constructions du mental.

Le corps humain n’est qu’un vaisseau, un contenant : on ne devrait pas dire : « j’ai faim », mais « c’est mon corps physique qui a faim ».
« Mes premiers souvenirs débutent, j’étais au plafond, je dirais que tout ce qui était conscient en moi vivait, c’est cela qui est important, c’est là qu’on se rend compte que l’on est l’habitant de son corps seulement, avant on s’identifiait à son corps, on vit par rapport à un corps et là, on n’est que l’habitant d’un corps.
...
Je ne m’identifiais plus à mon corps, j’étais quelque chose, quelqu’un d’autre ». (Extrait d’un très long témoignage de plusieurs pages).

Rappel :
Ne jamais oublier que les cités, villes et villages sont des créations et conventions humaines récentes : environs 10.000 ans ; avant les peuples étaient le plus souvent nomades.
NOMADE : mot grec : pasteur. Par la suite ce mot prend un sens péjoratif : vagabond, errant, itinérant, juif, tzigane, gitan, forain, "sans domicile fixe" (SDF).
NOMADE = FLUIDITÉ, CIRCULATION.
CIVILISATION s'entend : si vile, et les villes et villages en sont les symptômes principaux.
Aujourd'hui en France républicaine, seule la cité a "droit de cité" puisqu'on nomme aussi bien les habitants des campagnes comme ceux des cités : "citoyens", ce qui exclue les habitants des campagnes ou les force à habiter dans les villes !



Note.
1. Eleusis : centre d’un culte de Déméter dès l’époque mycénienne, rattaché à Athènes. A 20 km environ du Nord d’Athènes, au bord du golfe que ferme l’île de Salamine, Eleusis commande la petite plaine agricole de Thria. Là, selon la légende, Déméter s’était assise au cours de sa course errante à la recherche de Coré. Le Télestrion servait aux initiations. C’était une salle carrée de 52 m x 54 m, fermée de toutes parts, avec 42 colonnes intérieures supportant la toiture, surmontée en son centre d’un lanterneau. Au milieu de la salle, sur une plate-forme, une petite construction, l’Anactoron, abritait les objets sacrés.
Bien-sûr les mystères d’Eleusis concernent « l’autre monde » (celui décrit dans les EMI), et qui rappellent beaucoup le Livre des Morts des Anciens Égyptiens. Là où l’âme devait obtenir une éternelle félicité : le Soi, l’Instant. Je suis tenté de dire que Déméter n’a rien inventée !

« A l’initié, qu’on appelait un myste, on faisait manipuler des objets et réciter des formules ayant trait à un symbolisme sexuel, puis on présentait un spectacle également symbolique, sorte de drame sacré qui évoquait la quête douloureuse de Déméter errant à al recherche de sa fille perdue, ainsi que de diverses autres scènes, parmi lesquelles figurait peut-être un rite de fécondité, si connu ailleurs. La présentation au public d’un épi de blé complétait la cérémonie. Les allusions indignées des Pères de l’Église, dont certains, comme Clément d’Alexandrie, avaient peut-être eux-mêmes reçu l’initiation éleusinienne avant de se convertir au christianisme, forment l’essentiel de nos sources sur ces Mystères dont le secret a été fort bien gardé, à travers les siècles, jusqu’à la fin de l’Antiquité », écrit François Chamoux, dans son livre : La civilisation grecque.

Mais alors pourquoi garder un tel mystère sur le sort dans l’au-delà ??? Peut-être à cause de toujours cette dualité qui voudrait faire passer pour « bienveillant éternellement » le passage en enfer, qui est encore une invention humaine irradiant jusque dans les basses dimensions comme l’astral. My God !!! Dire que par la suite on inventa le « purgatoire » !


(En haut de page : détail du Purgatoire)
 
 

Dernière mise à jour : 29-12-2011 21:37

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