Une religion satanique : le communisme
 

Ecrit par Sechy, le 04-01-2012 19:32

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Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Yokaï

 
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Une religion satanique : le communisme
Staline : le dernier prêtre laïque, le « Petit Père des peuples »


« L’Homme ne peut atteindre l’Absolu que si l’Esprit vient lui-même le chercher pour le placer au centre, c’est-à-dire en LUI » (Jean Coulonval)
 
 
 
Toutes révolutions utilisent l’outil TERREUR, mais pour installer une révolution, il faut quelque chose de plus, un projet grandiose « qui a des couilles », donc issu du mâle, le « Petit Père des peuples », c’est-à-dire le Grand Administrateur ou Grand Architecte de l’Univers, le GADLU franc-maçonnique (tout dépend de ce que l’on entend par ce nom : ou un travail au sein d’un petit groupe, ou imposer le dogme de ses conventions au monde, ce qui se résume à DICTATURE). POUVOIR et HIÉRARCHIE sont les deux plaies du monde.

La véritable politique est bien-sûr l’INSTANT, là où l’ego disparaît, là où le ‘je’ personnel est en équilibre avec le ‘Je’ éternel, où l’on vit l’identité de l’être individuel et de l’être absolu, où se dissout l’antagonisme de l’individuel et du collectif dans le Creuset ou point Focal du « Je suis ce JE SUIS ». On n’a pas à y sacrifier son ‘je’ à la pérennité du collectif. On n’a pas à y nier le collectif pour affirmer son ‘Je’ à soi. C’est cela la vraie civilisation, et pas une civilisation dirigée par une oligarchie régnant sur les partis, et à la dictature de celui qui fabrique la Vérité : la perfection du Numéro 1 (genre Staline), singerie de « l’infaillibilité » papale !

Ne jamais oublier que le « devoir de voter », n’est que l’accomplissement d’un acte uniquement en vertu de l’imposition d’une opinion ou convention.

RAPPEL :
à propos de vérité, il ne peut pas exister deux globalités de connaissance et donc d’existant, car aucune ne pourrait alors être dite universelle, parce que ne contenant pas l’autre et étant limité par elle. Cela pour la même raison que, si l’on tient que Dieu est infini, il y en a nécessairement un seul, puisque s’il y en avait deux, chacun étant limité par ce qui le distingue de l’autre (sujet-objet), aucun ne pourrait être dit infini.
 
 
Le monde s’enfonce dans le communisme, qui n’est que la république à sa maturité. « Le communisme fait la partie du règne de l’opinion prenant le masque de l’Universel en renversant les rôles : Ce sont les accidents qui engendrent les essences, ce qui est la marque du satanisme absolu. Maurice Clavel voit clair. Le communisme est une catholicité en creux, comme l’envers d’une cuivre repoussé ». Je reprend les mots de Jean Coulonval (Synthèse et Temps Nouveaux) dont je n’ai trouvé nul part la simplicité aussi radicale. Le communisme est une « métaphysique du corps, de la matière », mais à l’envers, comme par exemple en regard du travail d’un Alchimiste authentique. Le communiste soviétique ne verra jamais Dieu nul part, c’est sa certitude-prison, car c’est un matérialiste qui utilise uniquement son mental, et il n’y a pas pire ennemi ! (Voir Ramana Maharshi).
Le communiste soviétique veut établir le « Royaume de Dieu » sur Terre, alors que le « Royaume de Dieu » est en nous. Le « Royaume de Dieu » sur Terre se résume par le mot CONFORT, comme par exemple : « Les drones sont l’arme parfaite de la démocratie. On obtient tout le mérite d’avoir tué les ennemis du pays et on ne porte pas le blâme de pertes militaires. Le massacre occasionnel d’un garçon de 16 ans est certes regrettable, mais pratiquement sans conséquence du point de vue politique ». Les « ennemis de la liberté » seront éliminés proprement et au moindre coût et dans le monde entier ! C'est désormais la quantité qui compte...
 
DÉMOCRATIE = PARLOTE/OPINION
 
Le GADLU
Encore un philosophiste des plus dangereux.


Le communisme russe ou totalitarisme prend naissance avec Nikolaï Fiodorov qui s’inspira probablement du siècle des lumières, du monde gréco-latin et de la révolution de 1789, mais surtout qui veut établir sur Terre le « Royaume de Dieu », donc une parfaite impossibilité doublée du satanisme dans tout son clinquant du DORG (Demain On Rase Gratis) :


1) La Mort est le Mal Absolu. Elle doit être vaincue par l’évolution générale de l’humanité.

2) La résurrection devra être faite non par Dieu, mais par l’Homme, par l’Homme Nouveau “théurgique” [définition de l’humaniste].


3) La résurrection doit s’accomplir a l’aide des procédés scientifiques et psychiques. Toute l’Humanité doit nécessairement participer dans cet Acte Suprême.


4) L’Homme Nouveau doit acquérir le pouvoir absolu sur la Nature, il doit contrôler les phénomènes athmosphériques.


5) Le Temple comme la place du Sacre par excellence devrait se transformer en Musée (ou le Sacre s’alliera avec la Science).


6) L’évolution de l’Humanité est arrivée a son apogée. Les hommes doivent commencer l’œuvre de la résurrection de ses ancêtres ici et maintenant (sic).


7) La Chrétienté doit s’allier avec l’Aryannite des ancêtres (sic) pour créer une Humanité Nouvelle, unifiée, théurgique, commune.


8) La Cause Commune c’est la lutte scientifique, sociale, économique, culturelle, psychologique, spirituelle, industrielle, cosmique contre la Mort et pour la Vie Absolue et Infinie [le Royaume de Dieu sur Terre]. La stratégie de cette lutte que Fiodorov, qui se considérait comme un prophète, nommait “Le Projet” tout court [et que d’autres à juste titre nomment LE PLAN].


Les constructeurs de systèmes intellectuels, de « ismes » comme Fiodorov ont bouffé la pomme ! La science parvenue à son terme en inverse, car coupée de la Nature, et croyant avoir atteint la frontière et la liaison entre le physique et le métaphysique, rencontre la logique de l’illogique !!! Les Occidentaux devraient découvrir l’invisible alors que les Orientaux devraient découvrir le visible !!!

La technologie ne peut conduire qu’à des systèmes et n’est légitime qu’en mécanique, en outillage. Transposé en politique, elle devient fatalement une mécanisation des âmes, un viol des foules. Historiquement, la technologie de la mécanisation sociale a progressé parallèlement à la mécanisation industrielle au court du 19è siècle, avec l’aide de l’arrivée et installation massive des banques et du système du libéralisme. Comme Jean Coulonval, je ne suis pas « mécanisable », même en musique ! Ce n’est pas du tout confortable de ne pas se sentir comme tout le monde et d’être regardé comme un idiot, ou dans l’enfance d’être celui a qui on jette des cailloux ou fait des farces.

Le système de Fiodorov est le même que celui de la religion franc-maçonnique et sa « république universelle » ou « projet de civilisation » comme dit le gouvernement français actuel : La QUANTITÉ au détriment de la qualité : les moteurs occultes de la maçonnerie sont l’OPINION et le principe de la majorité tous deux érigés en dogmes, en critères infaillibles de la Vérité. Cela aussi est du pure satanisme.


On dit que Nicolas Roerich fait la partie du thème « Royaume de Dieu sur Terre »... Je veux bien croire cela car Roerich eut des activités avec l’AMORC de l’homme d’affaire Harvey Spencer Lewis.

Tout cela entre dans le système de l’Alpha et Oméga maçonnique à la Teilhard de Chardin dans le thème évolutionnisme, religions du salut ou de la rédemption.


RAPPEL : Le monde a été créé en mesure, nombre et poids et c’est vrai pour l’éternité. Rien de nouveau sous le Soleil, il n’y a de nouveau que ce qui a déjà été oublié.

La CONNAISSANCE est trinitaire : Humain - Essence - Mémoire. La Connaissance n’est pas un Alpha et Oméga ou enregistrement d’un Tout, elle est Amour, ou haine lorsque le péché a établi une distorsion entre l’Essence et les accidents (monde spatio-temporel). L’Essence étant inviolable, le mal ne pouvait oxyder que le monde spatio-temporel.

« Le communisme est la dictature par excellence et aussi radicale que possible d’un philosophisme, d’une idéocratie. Il professe le dogme que les accidents engendrent les essences. C’est une naïveté infantile mais le monde en crève. Il est bien connu que les enfants sont cruels », écrit superbement Jean Coulonval.

RAPPEL : le besoin de perception de l’Absolu régit tous les individus, ceux qui se disent civilisés comme ceux que l’on nomme « sauvages » ; mais tragiquement l’être humain a toujours été tenté de rechercher cet absolu au travers des accidents du monde spatio-temporel, et qu’il est difficile d’atteindre la perception pure de « Je suis ce JE SUIS ». Les civilisations se sont jusqu’à présent construite sur des compromis entre l’Absolu et les perceptions, contingences et conventions du spatio-temporel.


J’ai déjà maintes fois exposé cette religion inverse qu'est le communisme, mais en ces temps difficiles où semble se mettre en place un « nouveau système » humaniste des plus terrifiants, il n’est pas inutile de rappeler ce dogme du communisme, qui interdit toutes les religions qui n’entraient pas dans son dogme ! C’est ce que fait la laïcité chez nous en France et en Occident sous courants souterrains de la franc-maçonnerie spéculative.
À ses débuts, la révolution de 1789 se comporta exactement comme en 1917, les soviets qui d’ailleurs copièrent sur la France !
Pour les soviets, Dieu n’existe pas puisque leurs Dieux furent Lénine, puis Staline. Ils l'imposèrent à leur peuple.

La république de 1789 repris le système inquisitorial de l’Église de Rome : ainsi, il en va de la défense du dogme, donc de la position mentale ou intellectuelle qui, pour l’accusation en cas de protestation de la dictature, de la laïcité surtout, est censée être implicitement acceptée par tout le monde (même soupe pour tous), comme un centre dont on ne doit pas s’écarter sous peine de raisonnement faux. Si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent sont nécessairement faux. Ainsi, Galilée, et tous membres d’un parti politique, surtout d’un parti communiste, sont supposé avoir parfaitement conscience d’avoir défailli au dogme, sauf cas de psychose. Aussi le condamné, s’il sait qu’il a failli au dogme, comme Galilée, comme Luciolo Vanini (qui n’eut pas la chance de Galilée) est obligé de s’auto-critiquer pour amoindrir ou supprimer la punition, comme pour les communistes chinois ou russes. Ainsi on peut comprendre que tout parti, tout ‘isme’ sont des dictatures QUI IMPOSENT À L’ENSEMBLE. Ce système d’auto-critique est particulièrement vicieux et sadique.
Le parti politique nie le libre arbitre de l’individu et en même temps exige de lui une abnégation volontaire (le libre arbitre est à la fois affirmé et nié, comme le système de la laïcité franc-maçonnique). Le parti nie que l’individu eût la possibilité de choisir entre deux solutions et en même temps il exige qu’il choisisse constamment la bonne (la possibilité de choix est à la fois niée et affirmée)...

Ces communistes qui voulaient brûler les églises du monde entier dans un incendie « universel ». C’est bien une idée humaniste ou de la « religion de l’Homme » !


Les communistes parlent beaucoup de CLASSES, de « lutte des classes ».

CASTE : de 1659, du portugais : casta ; féminin : casto « pur ».  Classe sociale fermée, observée d’abord en Inde. De façon péjorative : groupe social attaché à ses mœurs et à ses privilèges et qui exclut toute personne étrangère (clan). (D’après le dictionnaire Le Robert).

La caste est de l’Esprit (mais ne concerne que le corps selon Ramana Maharshi), la classe est de la Terre.
CASTE = PAROISSE, la caste est donc une DIVISION, une cassure allant à l’encontre de l’Instant.

CLASSE :
Dans un groupe social, Ensemble des personnes qui ont en commun une fonction, un genre de vie, une idéologie, etc. Dans l’antiquité : chacune des catégories entre lesquelles les citoyens étaient répartis (d’après le montant de leur fortune). Depuis 1788 on parle de « classe sociale » puisque le symbole du roi est absent (D’après le dictionnaire Le Robert).
La classe est un phénomène psychologique de masse, né des réactions du sensible et du mental d’un groupe social de gens soumis à des conditions sociales et économiques massivement identiques. Dans le sens actuel c’est plutôt une image publicitaire : la tripe et le sentie (le pouvoir d’achat par exemple), même soupe pour tous où agglutination des états individuels sentimentaux psychiques : classe ouvrière, classe bourgeoise, des cadres, etc. Ne pas oublier que les dirigeants bolcheviks étaient rarement des ouvriers ! Donc tous les ouvriers ne sont pas à mettre dans le même sac...

La caste comme fait spirituel dérive toujours vers le temporel, le matériel et l’économique, se transformant ainsi en classe. C’est ce qui est arrivé à la noblesse par hérédité d’avant 1789, révolution qui n’a fait que supprimer ce qui avait perdu la conscience de sa nature. Au contraire, la classe la plus basse, pauvre et opprimée, tend toujours vers que quête pour atténuer ses malheurs, et se hisse ainsi au niveau de la caste, c’est-à-dire à sa vraie nature : sa dignité d’être humain : « Je suis ce JE SUIS ».

Jean Coulonval dans son livre : Synthèse et Temps Nouveaux écrit que la dialectique de la classe et de la caste est la cause la plus profonde de la naissance du communisme, bien plus que la dialectique marxiste qui n’a fait que dévier et défigurer la caste dans un sens pervers.

Les castes en Inde ne sont pas seulement un type d’organisation sociale avec une hiérarchie ou une ségrégation. Elles expriment une répartition des fonctions propres symboliquement liées au divin, car la complexité de l’être humain, qui est lui-même un cosmos en miniature (macrocosme et microcosme) devrait faire de celui-ci une société en miniature. Aux fonctions sacerdotales correspondent les activités spirituelles ou intellectuelles ; aux fonctions royales du pouvoir politique correspond les activité politique de gouvernement, de justice et de force ; aux fonctions économiques correspondent les fonctions commerciales et agricoles, les fonctions d’échanges ; aux fonctions inférieures de service correspondent les activités plus modestes. Ces répartitions nécessaires comprennent des activités qui se vérifient dans la vie collective et dans la vie individuelle. Naturellement le monde social devrait être le reflet du monde cosmique...
« Aux yeux des analystes, il n’est pas exclu que ces divisions sociales, cosmiques et historiques correspondant à des tendances, à des nivaux de structures, à des phases d’évolution, qui se rencontrent dans la vie intérieure de toute être humain. Elles symbolisent ainsi des fonctions psychiques. La caste, en tant que symbole, même si les conditions sociales changent historiquement, reste d’une permanente actualité », écrit le Dictionnaire des Symboles, de Chevalier et Gheerbrant.

Les castes en Occident chrétien avant 1789 s’appelaient Clergé, Noblesse, Tiers-États. C’était les trois pouvoirs du Moyen-Âge : les oratores (ceux qui prient), les bellatores (ceux qui protègent comme les chevaliers et le roi), les laboratores (ceux qui exercent maints métiers et travaillent aux champs). Depuis 1789 il ne reste plus qu’un mélange intime de pouvoir politique avec le pouvoir économique, le pouvoir « spirituel » étant passé sous terre dans la franc-maçonnerie !

CAPITALISME = PRODUCTION LIBÉRALE
COMMUNISME = PRODUCTION LIBÉRALE D’ÉTAT

 
« La France vient de se trouver devant ce dilemme, qu'elle a résolu en se donnant un roi. Car le peuple de France a toujours eu la nostalgie de ses rois. On y joue à la royauté, mais c'est une royauté noire, comme il y a des messes noires. Son apparente indépendance cache en réalité sa dépendance des puissances économiques mondiales et occultes.
Pour résoudre ce dilemme, le communisme a franchi le Rubicon en décrétant que l'homme n'est qu'une émanation de la matière, prenant ainsi une position diamétralement opposée à celle des mystiques chrétiens, saint Ignace entre autres, qui enseignent la sainte indifférence envers les choses de la Terre.
Cette indifférence du cœur pour la raison intellectuelle n'est pas si facile qu'il peut le sembler, car cela suppose qu'on place l'amour, les valeurs du cœur, bien au-dessus des valeurs intellectuelles. C'est l'abandon de tout orgueil intellectuel et c'est terriblement difficile. Car on tombe facilement dans l'illusion que c'est par amour de la Vérité qu'on recherche la science, alors qu'en réalité la science fait naître l'orgueil intellectuel et devient sa propre finalité. L'opinion se pare alors du titre de pensée, d'Esprit, et se soumet le cœur. Il devient obligatoire d'avoir des sentiments qui ne contredisent pas les dogmes scientifiques. d'où la prétention de « fabriquer » des sentiments qui leur soient conformes. Il s'agit réellement d'une foi, d'une religion, d'une identification du cœur et de l'intellect avec la matière. Et c'est cela qu'a codifié et réglementé la dialectique marxiste qui se présente ainsi comme théologie inversée, une anti-théologie. Elle tend à réaliser une impossible fusion de la mémoire sensible et de l'intellect et, du même coup, de la volonté qui ne peut que s'identifier à ce que réclament les lois du monde physique.
C'est l'illusion démoniaque que la Paix peut se réaliser par résorption des conflits entre la sensibilité, l'intellect et la volonté après épuisement du mouvement pendulaire de la dialectique, par aboutissement à une unité ontologique de l'âme. Mais ce ne pourrait être qu'une unité arithmétique, et non pas métaphysique et qualitative, telle que la réclame le dogme catholique de la Trinité. Ce refus de la Trinité apparente le communisme à l'Islam. L'un la nie au nom de Dieu, l'autre au nom de la Terre », écrit Jean Coulonval.
 
 
 
 

 
 
Le communisme fut voulu et installé par les Juifs : entre 60 et 100 millions de morts russes entre 1917 et 1952. On ne saura jamais le nombre de morts, même approximatif, tant les Juifs bolcheviks et leurs suiveurs s'ingénièrent à maquiller et effacer le décès de leurs victimes, comme ils maquillèrent le Goulag en "camps de vacances" lors de visites par des étrangers. Le national-socialisme allemand des années 1930-1940 était une société sentimentale, un romantisme devenu fou qui ne pouvait que coller à l’Allemagne de cette époque ; alors que le communisme avec sa théologie, son clergé, est l’anti Église parfaitement exportable au monde entier.
 
 
 

Dernière mise à jour : 04-01-2012 23:05

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