Occident = civilisation de sauvages
 

Ecrit par Sechy, le 26-02-2012 21:38

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Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
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Occident = civilisation de sauvages
une civilisation de barbares


CRACHEZ VOTRE INTELLIGENCE !
 
 
 
Conseil à un chef d’État (ou à une élite ou oligarchie) par Maître K’ouang-tch’eng, et reflétant notre mondialisme actuel du confort et du sécuritaire : Ce que vous voulez connaître, c’est la substance des êtres. Mais ce que vous voulez réglementer, c’est leur destruction. Si vous gouvernez ainsi, les nuages ne s’amasseront pas et cependant la pluie tombera ; les herbes et les arbres ne jauniront pas et cependant les feuilles tomberont.... Que votre esprit de plaire [comme faire de la propagande] est donc étroit ! Comment pourrais-je vous parler de la voie suprême ?
(Tchaoung-tseu, chapitre 11, Laisser faire et tolérer)
 
 
 
L’Occident une civilisation de sauvages parce que bâti à coups de compas et équerres franc-maçonniques, reflétant un être qu’on baptise de nos jours du nom de « scientifique », donc celui qui veut tout tracer au cordeau pour être sous le joug de la ligne droite, celui qui veut tout mesurer et tout mettre en chiffres pour se rassurer, pour être DANS LE CONFORT, au détriment de la spontanéité, au détriment de l’Instant.

Oui, j’adhère totalement à Tchaoung-tseu lorsqu’il dit que le maillet et le ciseau taillant la pierre est une atteinte aux lois naturelles de la vie, une atteinte à l’Instant et donc à la SPONTANÉITÉ ; et j’ajoute, c’est encore plus dramatique avec l’équerre et le compas.

« Qui se sert du crochet, du cordeau, du compas et de l’équerre pour rectifier, offense la Nature ; qui se sert de la corde, de la ficelle, de la colle et de la laque pour consolider les choses va à l’encontre de leurs qualités propres. Qui plie les hommes par le rite et les rompt par la musique, qui les protège par la bonté et les relie par la justice, celui-là corrompt leur nature originelle » (Tchaoung-tseu, chapitre 8, Pieds palmés).
Ceci s’adresse directement aux francs-maçons.
La pensée de Tchaoung-tseu est très proche de celle de Ramana Maharshi.

Tchouang-tseu, chapitre 11 : Laisser faire et tolérer.
« On doit laisser le monde à lui-même et être tolérant à son égard et non le gouverner. On doit le laisser à lui-même afin que les hommes ne s’écartent pas de leur nature innée [ne se coupe pas de la Nature]. On doit être tolérant afin qu’ils n’altèrent pas leur vertu propre. Si chacun ne s’écarte pas de sa nature et conserve intacte sa vertu [donc avant la Chute], est-il besoin d’un gouvernement ? ».
Effectivement, naturellement, un gouvernement est inutile ; et cela n’a rien à voir à ce qu’on appel de nos jours « anarchie » (le bordel, l’absence de chef, la confusion, et son contraire : l’ordre et le despotisme).


Ce qui m’amène plus bas à dire le contraire de la Sagesse, dans la Bible et l’Ancien Testament cher aux frères chapeautés (les francs-maçons), le contraire de leur cher Hiram et de leur cher Temple du roi Salomon :

Sg 7:16 - nous sommes en effet dans sa main, et nous et nos paroles, et toute intelligence et tout savoir pratique.
Sg 7:17 - C’est lui qui m’a donné une connaissance infaillible des êtres, pour connaître la structure du monde et l’activité des éléments,
Sg 7:18 - le commencement, la fin et le milieu des temps, les alternances des solstices et les changements des saisons,
Sg 7:19 - les cycles de l’année et les positions des astres,
Sg 7:20 - la nature des animaux et les instincts des bêtes sauvages, le pouvoir des esprits et les pensées des hommes, les variétés de plantes et les vertus des racines.
Sg 7:21 - Tout ce qui est caché et visible, je l’ai connu ; car c’est l’ouvrière de toutes choses qui m’a instruit, la sagesse !

SAGESSE : cela je suis (ça-je-être) : connaissance de Soi, mais uniquement connaissance, donc ce n’est pas la libération !...
L’origine du mot temple ne peut venir que de celui de Salomon, puis, peut-être, plus anciennement des Atlantes...
Oui, la sagesse n’est pas libération, ce n’est qu’un outil, et comme tout outil ils peuvent devenir instruments de la tyrannie.
Voici un cours passage de ce que dit Tchouang-tseu de la sagesse (même chapitre 11, chiffre du Tao, donc ce n’est pas un hasard) : Hélas ils [les Trois Dynasties] n’ont ni pudeur ni honte. La sagesse et le savoir ne visent-ils donc qu’à fabriquer les cangues ? [carcan dans lequel on engageait le cou et les poignets du condamné]. Il semble que Tseng et Che ne font que forger les instruments efficaces pour le tyran Kie et le brigand Tche.
C’est pourquoi il est dit : « Anéantissez la sagesse et rejetez le savoir, le monde retrouvera l’ordre ».
...
Vouloir trop apprendre [donc privation de prendre] amène la RUINE. Qui trop embrasse mal étreint, dit un proverbe populaire européen.

Toutes les civilisations sur cette planète sont barbares et sauvages, tout au moins depuis plus de 10.000 ans.

Brûlez les équerres et les compas, ces instruments de tortures abominables. Car tous les êtres naissent de la Terre et font retour à la Terre.

Tchouang-tseu dit comme Ramana Maharsi : « La santé de l’esprit s’obtient ainsi : observez le non-agir et les hommes s’améliorent d’eux-mêmes [le psychiatre doit rester absolument neutre envers son patient]. Dépouillez-vous de votre corps, crachez votre intelligence, oubliez les êtres et leur rapport, et tout se résorbera dans l’indistinction primordiale. Relâchez votre cœur, laissez votre esprit, anéantissez votre âme et les êtres différents du monde retrouveront leur racine commune [le ‘Qui le dit ?’ de Ramana Maharshi à propos de son interlocuteur]. Qui retrouve sa racine sans le savoir ne s’écartera pas de l’indistinction primordiale, alors que qui prend conscience de sa racine en est définitivement écarté [oui car le mental devient le tueur, ce qui amène la suite]. Ne donnez pas de nom [convention], ne cherchez pas à savoir ce qu’ils sont et tous les êtres naîtront tout NATURELLEMENT ».
Ceci correspond AU SILENCE, à LA VÉRITÉ.


DE LA MÊME SOUPE POUR TOUS ou PENSÉE UNIQUE


Puis Tchouang-tseu poursuit : « L’homme ordinaire aime celui qui lui ressemble et déteste celui qui est différent. Celui qui aime la ressemblance et déteste la différence veut, à son insu, surpasser les autres hommes du monde [cela concerne l’empire US-Israël et tous les Occidentaux]. Mais celui qui cherche à s’élever au-dessus des autres y parvient-il vraiment ? Non certes, car en réalité, c’est lui qui a pris les autres pour modèle, du seul fait que son expérience est obligatoirement moins étendue que celle de tous les autres réunis ».
Effectivement, puisque les États-Unis est un jeune pays, ou une jeune réunion d’États ; c’est pareil pour Israël, « pays » fabriqué de toutes pièces au nom d’opinions obscures, et évidemment d’intérêts financiers et stratégiques en vue du contrôle du Moyen-orient face à la Russie...

« Celui qui est possesseur de la terre possède une grande chose ; il ne doit pas s’attacher aux intérêts matériels. Seul celui qui fait usage des choses sans en être possédé peut maîtriser les choses. Celui qui parvient à comprendre que le véritable possesseur n’est point matériel, celui-là non seulement est capable de gouverner le peuple, mais encore il a le libre accès des six directions, il y pénètre et en sort à sa guise, il se promène librement dans les neufs régions.... Une telle indépendance confère à l’homme sa plus grande noblesse ».

« Ce qui est commun à tous n’a pas d’existence propre, et comment ce qui n’a pas d’existence propre pourrait-il posséder l’existence ? Ceux que l’on voit comme existants ne sont que les sages de l’antiquité ; ceux que l’on voit comme sans existence, ceux-là sont les amis du ciel et de la terre ».

« En résumé : Qui ne comprend pas la Nature [qui se coupe de la Nature] ne peut atteindre à la pureté de sa vertu ; qui ne comprend pas le Tao échoue partout. Misérable est celui qui ne comprend pas le Tao !
Qu’est donc le Tao ? Il y a le Tao du ciel, il y a le Tao de l’homme. Ne pas agir mais s’imposer à tous, voilà le Tao du ciel ; agir mais être lié par ses actes, voilà le Tao de l’homme. Le prince s’identifie au Tao du ciel, les sujets au Tao de l’homme. On doit bien saisir la différence entre les deux ».


Notre civilisation actuelle


« Si l’homme déborde de joie [crée artificiellement : médias, culture, drogue, savoir, fric, pouvoir, bien, sagesse, merveilleux, etc.], cet excès le fourvoie dans la lumière [celle de Lucifer ou du GADLU]. Si la colère l’envahit, il s’égare dans l’obscurité ».... Bref, mauvais équilibre entre le Yin et le Yang.

Rappel :
le compas c’est Saturne (ça tourne, la chronologie tueuse), compas considéré en Occident baigné dans la cervelle des ergoteries des anciens Grecs, comme symbole de « sciences exactes », de rigueur mathématique, face à l’irrationnel et à l’imaginaire. C’est la même symbolique que la boussole, la longue vue ou télescope, le livre et l’imprimerie et chez nous l’Internet. Pourtant en Chine le compas et l’équerre est un symbole cosmologique servant à tracer le cercle, l’équerre traçant le carré (symbole du terrestre et du temporel).
Tout ça concerne le mental, la création par l’humain menant à l’actuelle « religion de l’homme » et se coupant de la Nature, de Sa Nature. Cela concerne surtout LA VOLONTÉ, opposé à la spontanéité (voir plus haut).
Le killer Saturne est le BOITEUX, le TRISTE, le TACIturne (il tourne sans s’exprimer !).
L’équerre symbolise l’espace : on utilise le cube pour symboliser trois dimensions ; l’équerre est donc nettement plus matérialiste que le compas ; et elle peut conduire à la TYRANNIE DU BIEN actuel ou ÉVOLUTIONNISME. (Ne pas confondre l’évolutionnisme comme un contraire du « créationisme » des partisans d’un monde créé par un Dieu, voir par des Dieux... L’évolutionnisme ici et sur d’autres pages précédentes s’entend par PROGRÈS, PROGRESSION, comme pour monter au sommet d’une pyramide...). ÉVOLUTION = ILLUSIONS du toujours plus. Mais RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL.
Si ces outils sont, parfois, d’une certaine utilité au début, ils doivent être rapidement jetés au feu. D’autre part les angles droits et la géométrie sont diaboliques en Asie.
En résumé : ces outils sont diaboliques. Ils sont comme « radio-actifs ».


Diviser pour mieux foutre la merde a été l’imbécilité, et le propos d’un des ministres du gouvernement d’un certain Sarkozy. Aussi il n’existe pas de bonne ou mauvaise civilisation, comme il n’existe pas de bonnes ou mauvaises herbes.

Vrai que le mot civilisation entre dans le MOUVEMENT Soleil et Lune, ou Yin et Yang. Ici il n’y a donc pas division entre deux antagonistes.
Malheureusement la révolution de 1789 a faite cette division pour mieux régner (à commencer par la Gauche et la Droite) et pour le fric des banquiers à venir, car elle n’a vu que le citoyen et par conséquence la ville, et a largué le paysan et la campagne et la forêt, source si importante de richesses. C’est pourquoi je m’attache tant au terme de PAGAN (habitant du pays avec liaison du spirituel). Comme l’a avancé Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, le Pagan et la forêt et ses secrets sont passés maintenant en souterrain dans les sociétés secrètes, donc en grande partie dans la franc-maçonnerie à pouvoir politique occulte, ce qui correspond bien à une démocratie actuelle bâtit sur l’illusion.

L’évolutionisme frappe encore et toujours, parce que de Bossuet en passant par Pascal à Condorcet à ce hui, on monte le gâteau comme la géométrie euclidienne de la ligne droite et du Saturne temporel : de façon pyramidale, avec les anciennes civilisations à la base, et la notre au sommet ; comme si la notre était la meilleure !!! suite à l’accumulation de soi-disant connaissances : la fameuse « raison », la fameuse « science ». On oublie totalement L'INSTANT !

Donc étant au sommet, nous nous considérons comme supérieur, nous faisons même la « religion de l’homme », et évidemment nous nous coupons par la même non seulement de nos Anciens, mais de la Nature. Alors comme le ministre nous allons juger les autres et les qualifier d’inférieurs, de sauvages, de barbares, de terroristes, et en terme politique de « pays en voie de développement » remplacé par un terme bien de nos jours : « pays émergents ». Émergent probablement au sommet de la pyramide... du FRIC !

La forêt est sombre pour ceux qui vivent au sol, avec le feuillage empêchant la pénétration de la lumière solaire. Alors ceux qui y vivent sont considéré comme des sauvages par rapport aux gens des villages et villes et des bourgs, là où vivent les bourgeois, les citoyens, ce qui donne la « civilisation ». Par contre les paysans sont doublement largués car appelés : « vilains », comme si c’étaient les « terroristes » de nos jours ! Autrefois la forêt était le refuge des brigands (nos terroristes actuels). tous ces gens sont les modernes « sauvages » d’antan, car plus adaptés à la civilisation du fric et de la Carte Bleue !
Le barbare, le dévergondé, c’est la même chose, ce sont des « sauvages », des « terroristes » puisqu’ils ne respectent pas les fantasmes et conventions et règles et compas des habitants des villes et cités !
Il est triste de constater que le « civilisé » est celui qui est fabriqué dans les écoles du franc-maçon Jules Ferry, donc qui sait lire et écrire un tissus de conventions, qui sait compter et faire des phrases plus ou moins construites, et surtout qui habite une ville ou un village, ou une cité, donc le citoyen.

Le paysan, le bouseux, c’est le sauvage, le vilain... (du latin villa, mais on en a fait le méchant, le sale et le honteux de service : le SLAVE-ESCLAVE). Même chose si le citadin voyage et rencontre des « sauvages », des « vilains », ou des habitants des forêts qui se foutent de l’écriture ; ce citoyen les considérera comme « sauvages ». Alors en bon humaniste, il tentera d’apporter au sauvage les « bienfaits de la civilisation : crimes, argent, drogues, démocratie, violences, maladies, esclavage, racisme, pauvreté, perversité, mensonge, etc...

Colonialisme et ethnocide façon démocratie :
« Ce qui est bon pour nous est bon pour vous »
« Ce qui est bon pour vous est bon pour nous » (on s’approprie les richesses naturelles du pays colonisé, même procédé que les virus envahissant le corps)

Donc on rationalise en quelque sorte :
Ce qui est bon pour nous est bon pour vous :
Cela pourrait s'apparenter au debunking, de l'anglais : démystifier, qu'est-ce que c'est ? Une déstabilisation de la personne, ou plutôt une tentative de rationaliser ce que dit la personne. Cela se passe notamment à propos d’ovnis.
Donc en voulant apporter les « bienfaits de la civilisation » on apporte du même coup le racisme : la gueule de l’autre qui ne plaît pas, ou celui qui ne fait pas la partie de la paroisse.

Et c’est le drame, car plus on monte haut, et rapidement, plus on s’enferme dans la CONFORT et la facilité, et plus on tombe de haut vers la base de la pyramide et plus c'est catastrophique ; c’est ce qui se profile à l’horizon avec notre civilisation mortifère. Car la découverte du langage écrit, de la technologie, de la culture et des beaux-arts, de la musique, du droit, de la franc-maçonnerie et de sa morale, de la chimie de Big Pharma et autres lobbys, des villes et de l’urbanisme, de l’industrie et des banques, des techniques de pointes, de la médecine et de la chirurgie, des moyens de transport rapide ; ne nous ont absolument pas protégés des horreurs du 19è siècle avec les bagnes pour enfants et pour adultes, des révolutions, ensuite des guerres comme celles qui furent mondiales (une première en plusieurs millénaires), de la Shoah, des deux bombes atomiques sur le japon, puis de la terrible pollution de l’industrie nucléaire et chimique, des régimes totalitaires qui se disent démocratiques, du Goulag, de la violence et de la haine et de la division au quotidien. Donc notre civilisation est d’une violence extraordinaire, une chute du progrès qui s’annonce vertigineuse.

Dans ces conditions NOUS NE SOMMES PLUS UNE CIVILISATION, mais DES SAUVAGES, des BARBARES. Voilà l’égalité franc-maçonnique. Leurs compas et leurs équerres ils peuvent se les garder ! Pour tromper les gens on emploie désormais à la place de civilisation le mot « CULTURE », ça fait plus mondialisme, plus virus, plus vie-ruse ! Jean Coulonval a raison d’écrire : La Culture ! Quelle glu pour les âmes !!

Il n’y a pas de progrès ou évolutionnisme, il n’existe que l’Instant ou le Tao.
Il n’y a pas d’évolution, c’est comme le Soi, l’Instant, le Tao, Il est toujours là. Il suffit de le RETROUVER, tout simplement. Il n’y a pas d’évolution puisque la Réalité ne peut être nouvelle. Elle doit déjà exister, et elle existe d’Instant en Instant.
Il n’y a pas d’évolution, car ce qui est acquis n’est pas naturel à l’Instant, au Soi, et ne peut pas être permanent et ne vaut pas la peine que l’on s’efforce de l’obtenir !

Le dogme du progrès et du DORG (Demain On Rase Gratis) et du Messie à venir est le piège des pièges en forme de Double bind. Il est destiné à renforcer la prison du matérialisme, de la religion de l’homme : « Le Royaume des cieux est sur la Terre ». Un Messie en forme de Grand Administrateur ou Architecte de l’Univers, soit Satan le Grand Administrateur apportant la Paix, le Bien et ses équerres et compas « universels ». Cette « civilisation » marche tristement plus que jamais à la Carotte et à la Baston ; ce qui n’est pas naturel.
 
Cette civilisation fait tout à l’envers se croyant en « évolution », alors qu’elle est sur une pente descendante fortement inclinée. Arrivée naturellement prochainement au Point Focal, peut-être, et seulement peut-être, elle trouvera dans ce Point Focal qui est Volume - et non pas une abstraction mathématique ou convention humaine de plus - le Point Zéro débouchant sur l’Infini, la Fixité Cavalante. Alors tout sera possible comme on ne peut pas le connaître maintenant, même à travers quelques imaginaires d’auteurs de science-fiction et de contes de fées.

(En haut de page : aquarelle de M. Roudakoff : paysage d’Italie, d’après une fresque).
 
 

Dernière mise à jour : 26-02-2012 23:20

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