Archée ou Biochamp
 

Ecrit par Sechy, le 02-09-2008 20:18

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Tags : Alchimie, Archée, Biochamp, Ondes, Ptah

 
 
Ptah
Le biochamp, une force universelle à explorer.
(Éternel recommencement)

(Article du journal NEXUS, n° 58 de septembre-octobre 2008, par Buryl Payne)
Voir aussi le site de Rupert Sheldrake et de ses champs morphiques.
 
anipucsac1.gifVoir aussi la page sur l'ARCHÉE et l'ÉTHER.
 
RÉSUMÉ : TOUT EST LIÉ...
Les Chinois appellent ch'i ou ki (Archee, ou encore Azoth, la liste des noms de cette "énergie" est très longue), l'énergie qui circule le long des méridiens d'acupuncture et apporte au corps sa force vitale essentielle. Dans les années 40, le psychiatre Wilhelm Reich construisit des « accumulateurs d'orgone » pour capter l'énergie de l'espace. Il attribuait à l'orgone la qualité d'énergie vitale propre à tous les organismes et affirmait qu'elle pouvait être apportée aux malades grâce à ses accumulateurs. Les appareils et découvertes de Reich suscitèrent d'abondantes recherches qui se poursuivent à ce jour.                        
Les voyants qui affirment percevoir les auras humaines ont toujours incité les chercheurs à tenter de les détecter avec les instruments récents les plus sensibles. Cependant les mesures effectuées, à l'aide de détecteurs sensibles, sur la lumière ultraviolette ou les ondes radio ou électrostatiques n'ont rien trouvé de plus que les radiations caloriques ou infrarouges typiques émises par la chaleur du corps.
Il existe quelques exemples de détection des supposées forces autour du corps humain. Si l'on applique au corps un haut voltage et un faible ampérage, on peut obtenir des photos en couleurs. Appelée photographie Kirlian, du nom du Russe qui l'a inventée, cette technique n'est pas sans intérêt, mais il est difficile d'en déduire des effets mesurables. Des aspects significatifs peuvent donc avoir échappé à cette recherche.
Autre exemple, la charge électrique. Par une journée froide et sèche, le corps peut se charger d'électricité, surtout si l'on porte des vêtements synthétiques, et cette charge provoquera des étincelles au contact de surfaces métalliques ou d'une autre personne si celle-ci n'est pas également chargée.
Cela varie selon le temps qu'il fait. Le corps ne génère pas de charge électrique détectable au-delà de la peau.
 
Aura électrique
Des courants électriques et voltages faibles générés par le corps sont mesurables à l'aide d'électrodes placées sur la peau ou de sondes introduites dans le cerveau ou le cœur. Les ondes cérébrales n'atteignent qu'un dix-millionième de volt et le plus puissant signal électrique musculaire est celui émis par le cœur : 2,5 millivolts.
D'autres muscles produisent des tensions de quelques millionièmes de volts.
Certains ont écrit que le corps possède une aura magnétique affirmation trompeuse et déroutante, tant il est vrai qu'une charge électrique en mouvement génère un champ magnétique, celui-ci ne représente qu'une fraction de la puissance du champ électrique. Pour faire apparaître des champs magnétiques, il faut avoir recours à des bobinages aux très nombreuses spires. Le sang circule sans nette charge électrique, il ne génère donc pas de champ extérieur, mais un très faible champ magnétique est produit par la propagation des impulsions nerveuses.
Le signal électrique produit par les muscles du cœur ne se détecte que moyennant une amplification d'un facteur 1 000 et il faut placer des électrodes au contact du corps. Quant au champ magnétique du cerveau, c'est par un facteur d'un million qu'il faut l'amplifier pour le détecter. Autrement dit, le champ magnétique généré par le cœur ne représente qu'un millième du champ électrique. Aucune boussole ne réagirait à un champ aussi faible. Si le corps possédait une aura magnétique conséquente, les compas [de marine] ne fonctionneraient jamais correctement et les marins ne pourraient naviguer qu'en observant le Soleil et les étoiles.

Le SQUID, détecteur de magnétisme
Au cours des deux dernières décennies, a été mis au point un instrument très sensible capable de détecter les faibles champs magnétiques entourant le cœur et aussi autour du cerveau, où ils sont engendrés par l'activité neuronale intense. Cet instrument s'appelle SQUID, acronyme de Superconducting Quantum Interference Device [NdT appareil supraconducteur à interférence quantique ; avec un clin d'œil car un squid = un calmar]. L'appareil peut mesurer les champs magnétiques de la tête et du cœur dont la force est inférieure à un millionième de gauss.
Bien que le SQUID nous apporte des informations, affirmer que le corps a une aura magnétique reviendrait à dire qu'il possède une aura gravitationnelle. Nous ne pouvons, par notre champ magnétique, attirer sur le corps les trombones à papier et les clous rouillés. Mais ce n'est pas parce que les gens n'ont pas de champs magnétiques appréciables qu'ils ne peuvent être affectés par de faibles champs. Le corps est entouré d'un champ d'une autre sorte, ni électrique, ni magnétique, mais beaucoup plus important. Il est indirectement lié au magnétisme et, à défaut d'un terme approprié, l'usage le fait souvent décrire comme tel.
Au XVIe siècle, l'alchimiste Paracelse croyait que les humains exhalaient une « force vitale » entourant le corps comme une sphère lumineuse. À la fin du XVIIIe siècle, Anton Mesmer partageait cette conviction et évoquait cette force dans ses écrits. Au XIXe siècle, le baron Karl von Reichenbach désigna cette sphère lumineuse par le terme de « magnétisme animal ».
Mesmer croyait qu'une énergie fluide enveloppait le corps humain et que sa charge était forte chez les gens bien portants et faible chez les malades. Il pensait que cette force était d'une certaine manière associée au magnétisme et qu'elle pouvait être manipulée par des aimants. Il utilisa le terme « magnétisme animal » pour le différencier du magnétisme ordinaire du fer. [NdT : comme pour le casoar à casque, à ne pas confondre avec le casoar ordinaire]. Il découvrit qu'il pouvait produire, sur ses patients, des effets de « type magnétique » en brassant l'espace qui les entourait avec des aimants tenus en main. Sa formulation était analogue à ce que Reich appela plus tard l'énergie « d'orgone ».
 
Détection du biochamp
En 1978, en faisant des recherches sur l'énergie supposée de la pyramide, nous avons fait par hasard la découverte d'une force autour du corps, détectable et mesurable à l'aide d'un dispositif simple qui fut appelé Biofield Meter [NdT : compteur de biochamp que nous désignerons par BM]. Elle se manifeste comme un spin (spin : mouvement de rotation d’une particule) via un cadre suspendu autour de la tête du sujet.
La figure 1 illustre l'un des premiers modèles de ce dispositif ; bien qu'il en ait la forme, cela n'a rien à voir avec l'énergie des pyramides. Le cadre est constitué de matériaux ordinaires, bois, plastique, métal et selon diverses formes. Il est suspendu à un fil de nylon (ligne de pêche, par ex.). La présence d'une personne se tenant en son centre le met en rotation de quelques degrés. Afin de mesurer l'ampleur de cette rotation, un miroir est fixé au point de suspension ; il réfléchit un rayon de lumière provenant d'un spot placé au mur. Le rayon balaie une échelle de mesure également fixée au mur. Idéalement, il convient d'utiliser un miroir grossissant, tel ceux des boîtes à poudre pour dame, qui concentre le rayon et offre une lecture précise sur l'échelle. Dans le dispositif de la figure 1, des aimants toriques, tous avec le pôle nord vers le haut, ont été enfilés sur les suspentes du cadre.
 
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 Fig. 1 : Schéma du dispositif Biofield Meter.
 
 
Avec ou sans aimants
La figure 2 montre une variante du dispositif où l'échelle de mesure est une bande cylindrique suspendue en face du cadre. D'autres versions du système ont été essayées : une spirale faite de tube de cuivre de 6 mm, une pyramide tétraédrique, de grands cercles et une pyramide suspendue dans une bouteille (figure 3).
Les appareils ont été testés avec des aimants en nombres variés, et sans aimants. En général, plus il y a d'aimants, plus ample est le mouvement rotatif, mais le BM tourne même sans aimants. Les instruments sont stables et immobiles tant que personne ne s'en approche. Plus d'un millier d'observations de ce phénomène ont été effectuées.
 
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Fig. 2 :  Variante du Biofield Meter.
 
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Fig. 3 :  Biofield Meter suspendu dans une bouteille.
 
 
Le fait de suspendre les instruments dans des bouteilles permet de démontrer que le mouvement ne peut être dû à des courants d'air ou des ascendances thermiques par contre, il est engendré en présentant les mains de part et d'autre de la bouteille, sans la toucher. Le fait d'isoler électriquement ou de mettre le sujet à la terre n'empêche pas la rotation, mais elle est inhibée si l'on entoure la bouteille d'une bande de fer doux.

Un magnétisme d'octave supérieur
Pour vérifier si la chaleur est susceptible de faire tourner les cadres de grandes dimensions, on y a placé tour à tour une ampoule de 100 watts, une bougie et un radiateur, toujours sans effet. On a même demandé à certains sujets de retenir leur souffle pendant qu'ils se présentent sous le cadre, afin d'éviter que la rotation puisse être attribuée à la respiration. Le BM ne s'est jamais mis en mouvement que 5 à 15 secondes après la présentation du sujet, ce qui exclut toute action parasite. En outre, le nombre d'observations effectuées avec des appareils placés dans des cloches étanches a montré que le mouvement est indépendant des courants aériens et du transfert de chaleur. Par contre, au cours de gros orages magnétiques, ces appareils se sont parfois mis à tourner alors que l'expérimentateur se trouvait à 3,60 m.
Étant donné que le champ magnétique propre au corps, mesuré dans une chambre isolée, est d'environ un milliardième de gauss, il ne peut s'agir d'un champ magnétique ordinaire. Nous l'avons simplement appelé « biochamp », contraction de « champ énergétique biologique ».
Tesla, chercheur de génie contemporain de Edison et inventeur du moteur à courant alternatif (AC) et de bien d'autres choses, est réputé avoir parlé d'un magnétisme « d'octave supérieur », que la science traditionnelle ne reconnaissait pas.
Quel que soit le nom qu'on lui donne : aura, magnétisme animal, orgone, prima, spin, ch'i ou biochamp, cette énergie est ample, plus de cent fois plus grande que le champ magnétique du corps. S'il était magnétique, le biochamp accuserait des mesures de plusieurs centaines de gauss.
 
Biochamp et champ magnétique terrestre
Qu'est-ce alors que le biochamp ? Cette force qui semble nouvelle pour la science se manifeste de manière physique clairement observable autour toute matière biologique. Elle semble engendrer un mouvement perpendiculaire au corps humain. Elle n'exerce pas de traction ou de pression comme la gravitation ou l'action électrostatique. Elle semble se propager en spirale autour du corps humain. Sa nature n'est ni électrique, ni magnétique, ni thermique, ni gravitationnelle car elle se manifeste beaucoup trop largement pour pouvoir appartenir à une de ces catégories.
Après plusieurs mois d'observation on a découvert que l'ampleur de la déflexion du BM variait en fonction du champ géomagnétique.
Les figures 4 et 5 (graphiques non mis ici) traduisent respectivement les variations du BM sur une période de 40 jours à raison d'une mesure par jour, et d'une période de trois jours à raison d'une mesure toutes les trois heures. La ligne pointillée indique les mesures du BM et celle en trait plein affiche les données de l'activité magnétique terrestre fournies par le National Bureau of Standards à Boulder, au Colorado, (USA). Les augmentations d'activité géomagnétiques se traduisent par des accroissements d'activité du BM.
Le deuxième graphique (figure 5), est analogue au premier, mais à une cadence de trois heures, il y a un rapport évident entre les deux cependant, on ne peut y fonder une corrélation statistique, car les données du biochamp comportent des paramètres qui varient avec le niveau émotionnel et la vitalité de la personne. Les observations révèlent que lorsque le sujet est en méditation ou malade, le biochamp est de moindre amplitude. Par contre il est plus accentué lorsque la personne est excitée, que ce soit par la colère ou la joie.
Habituellement, la rotation du cadre vue d'en haut, ou par la personne qui se trouve à l'intérieur, est dextrogyre (sens des aiguilles d'un montre).
Lors de nouvelle ou pleine Lune, ou de perturbations importantes du champ magnétique terrestre, le biochamp accuse souvent une inversion du sens initial de rotation.
Des mesures du biochamp furent faites presque chaque jour pendant deux ans. L'analyse des données révéla que durant 85 % du temps, en période de nouvelle ou pleine Lune et dans une fourchette de 36 heures, le biochamp s'inversait pendant quelques heures (1). Il est possible que cela se soit produit aussi pendant les 15% restants, mais ait échappé à notre attention lors des interruptions d'observation.
Des mesures couvrant une période de sept années, faites avec divers modèles de BM, montrèrent une relation constante entre leurs mouvements et l'activité solaire-géomagnétique. Ce fut le cas même pour les BM non munis d'aimants, il semble donc bien que le géomagnétisme soit le facteur dominant d'activité du biochamp.

Les pionniers du BM
Des appareils similaires au BM ont déjà été inventés par le passé. On doit le premier « Biomètre »  à un français, Hippolyte Baraduc. Il utilisait une aiguille en cuivre, suspendue horizontalement par un fil en son centre de gravité. Une référence à cette invention a été trouvée dans un article du Dr Charles Ross, publié dans le numéro du 30juillet 1922 du journal médical The Lancet. Il y décrivait un instrument qui était mis en mouvement par la proximité d'un corps humain ou même par le regard.
Plus récemment le scientifique allemand Walter Peschka semble avoir découvert un effet similaire.
Cependant, ces chercheurs n'obtenaient pas de mesures numériques du champ et n'avaient pas fait le rapprochement avec le champ géomagnétique.
Le Dr Frank Brown était un pionnier dans l'étude des interactions entre le magnétisme et les organismes vivants. Lors d'une visite en nos laboratoires en 1963, il nous laissa cinquante réimpressions de papiers scientifiques qui comprenaient des études sur les semences de haricots, le magnétisme et le spin. Il avait découvert que, placées l'une près de l'autre, les semences manifestaient une interaction inexplicable. Cet effet était observé en mesurant soigneusement la quantité d'eau absorbée par les semences.
Le Dr Brown pensait que cette interaction était due au magnétisme parce qu'elle persistait sous protection d'une barrière électrostatique, mais pas sous une barrière magnétique. Bien que convaincu que les semences possédaient un champ magnétique, il ne disposait pas de l'instrument nécessaire à sa mesure. D'ailleurs, même si le champ magnétique d'une semence de haricot avait pu être détecté par un SQUID ultra-sensible, il eut probablement été bien trop faible pour expliquer l'effet observé. Il paraît plus vraisemblable que l'interaction entre ces semences était due à l'existence d'un biochamp ou force de spin. Le biochamp entourant les organismes vivants est des milliers de fois plus étendu que le champ magnétique.
Indice supplémentaire qu'il s'agissait bien du biochamp : l'interaction des semences était amplifiée lorsqu'on les faisait tourner, et davantage lorsque la rotation était lévogyre, c'est-à-dire à l'encontre du biochamp (qui se caractérise par une rotation dextrogyre).
Dans une autre série d'expériences, le Dr Brown fit tourner des aimants près des semences et observa leur réaction. Avec ses associés, il découvrit aussi une relation entre l'activité géomagnétique et les mouvements circulaires de vers et autres formes de vie primaires.
Il parla de ses recherches à R.I. Jones qui, en 1960, avait déclaré que la croissance des plantes pouvait être altérée par une rotation journalière régulière, à savoir inhibée lorsqu'on les faisait tourner dans le sens dextrogyre. Personne n'a pu l'expliquer, mais cela laisse supposer la présence d'une force de spin autour des plantes. Nous avons détecté le biochamp d'un chat, d'un melon, d'un pamplemousse et de plusieurs plantes. Le Dr Ron Hruby détecta celui d'un chien et d'un cheval.
Tout cela mis bout à bout - les découvertes de Brown, Jones, Hruby, celles d'autres chercheurs et les nôtres - désigne une relation entre les organismes vivants, le spin et l'activité géomagnétique. Le vivant semble en résonance avec le champ magnétique dynamique de la Terre, lequel est à son tour fonction de l'activité solaire, des phases de la Lune et d'au moins certaines planètes.

À chacun son spin
Le spin est omniprésent dans l'univers. C'est un moment angulaire associé à la plupart des particules subatomiques tels que les électrons, les protons, les neutrons, etc. On parle aussi de spin pour les molécules interstellaires, les étoiles, les planètes, les satellites et même les galaxies et les amas de galaxies. De nombreux astéroïdes ont un spin. Apparemment chaque corps dans l'univers possède un spin et il se trouve même un astronome pour déclarer que l'univers entier a un spin.
Peut-être est-il temps d'accepter que le spin est une des forces fondamentales, au même titre que la gravitation, l'électricité et le magnétisme. Le spin fait le lien entre ces deux dernières, car il a les caractéristiques d'un magnétisme plus général et se présente comme un complément de la gravitation.
Si elle existe autour des étoiles et des planètes, peut-être cette force est-elle l'élément régulateur des systèmes solaires et satellitaires. Cela expliquerait pourquoi l'univers entier ne s'est pas agglutiné en amas, car cette force agit perpendiculairement à la gravitation.
Le pulsar le plus rapide récemment découvert se trouve au noyau d'une supernova observée depuis l'hémisphère sud (Hessels et al. 2006). Sa formation est apparemment liée au processus de la supernova et on se serait attendu à ce qu'il commence à tourner, d'abord lentement, puis à accélérer au fur et à mesure que de la matière est attirée vers le noyau.
Mais son taux de spin a déjà été mesuré à 716 tours/seconde, ce qui bouleverse les théories conventionnelles. Cette découverte étaye l'idée que le spin devrait être considéré comme une force fondamentale présente autour de toute matière.
L'acceptation du spin en tant que force à part entière introduirait un élément de définition du vivant dans les équations de la physique, depuis longtemps lacunaire dans ce domaine. La force du spin peut s'appeler « force de forme » ou « force régulatrice », car elle participe à la formation d'organismes vivants complexes abondamment dotés de spirales, hélices et cercles se propageant de myriades de façons différentes, depuis les doubles hélices de l'ADN et de l'ARN jusqu'aux derviches tourneurs.
Ainsi que nous l'avons mentionné plus haut, deux autres forces sont réputées exister : les forces nucléaires « fortes » et « faibles ». Elles agissent dans le noyau atomique et empêchent les forces électriques de disperser les particules. Assumant que le spin est une force fondamentale à l'égal de la gravitation, de l'électricité, du magnétisme et des deux forces nucléaires, nous établissons le tableau 1.
 
 FORCE  NIVEAU D'OPÉRATION
 EFFETS
 Gravitation  Agit entre toutes matières
 Attraction
 Électricité  Entre particules chargées
 Attraction ou répulsion, perçue seulement par d'autres partucules chargées
 Magnétisme  Se manifeste lorsque des particules chargées se déplacent ou sont structurellement alignées, comme le fer doux
 Attraction ou répulsion perpendiculaire à la direction du mouvement. Force les particules chargées à se déplacer en cercles, spirales ou hélices
 Nucléaire fort et faible
 Dans le noyau atomique
 Assure la cohésion des particules
 Spin  Autour de tous corps, plus large chez les organismes vivants
 Met tous les corps en rotation les uns autour des autres. Contrecarre la gravitation. Engendre formeset structures complexes
 
 
Expériences sur des sites archéologiques
Avant d'en arriver là, il faudra encore beaucoup approfondir. Des physiciens devront d'abord reconnaître le bon fonctionnement de l'appareillage actuel, et ensuite mettre au point d'autres types de détecteurs de spin.
Étant donné que cette force a été observée autour d'un chat, d'un chien, d'un cheval, d'un pamplemousse, d'un melon et de plantes, on peut avancer l'hypothèse qu'elle existe autour de tous les organismes vivants. Des expériences systématiques sont encore à faire dans ce sens.
Si le BM ne comporte pas d'aimants, il ne devrait pas y avoir de perturbations magnétiques et le mouvement de l'appareil peut être interprété comme traduisant l'activité géomagnétique ; tandis que, dans le cas de sujets humains, les états émotionnels et la vitalité apportent des lectures variables. L'appareillage pourrait être installé dans un lieu à l'abri des courants d'air et garni d'un blindage antimagnétique. Des mesures faites dans ces conditions sur l'être humain permettraient de distinguer la part de biochamp générée par le sujet et celle induite par l'activité géomagnétique.
Des instruments BM ont été transportés en divers lieux les pyramides d'Égypte, le Grand Canyon, les ruines de Palenque, dans les montagnes et en bord de mer. Aucun biochamp n'a été détecté à l'intérieur de la Grande Pyramide, mais il était normal à son sommet. Des différences ont été détectées aussi en d'autres lieux. En général, l'amplitude de rotation initiale est moindre près des côtes. Étant donné que le champ géomagnétique varie constamment, il faudrait faire des mesures comparatives minutieuses, avec les mêmes instruments, simultanément en divers lieux.
Si cette force provoque la rotation, il serait intéressant de faire des essais sur l'être humain dans l'espace. Si le résultat est positif à l'écart de la Terre, cela indiquerait que la force de spin, ou de vie, est analogue au magnétisme, puisque le magnétisme peut être engendré dans l'espace autour d'une bobine alimentée d'un courant électrique.
Alors que le magnétisme n'agit que sur d'autres matériaux aimantés, la force du biochamp agit apparemment sur toute matière. Des essais ont été faits avec du cuivre, du fer, de l'aluminium, du plastique et du bois, mais des mesures quantitatives comparatives n'ont pas été effectuées. S'il se trouvait un matériau n'accusant aucune réaction, ce serait une découverte majeure.

phot1.jpg
 
Buryl Payne, découvreur du biochamp, sous son
propre dispositif de BM.
 
 
Beaucoup de questions à explorer
De nombreuses questions peuvent alimenter un programme de recherche. La force du biochamp varie-t-elle avec l'altitude ? Est-elle moindre dans une mine à grande profondeur ? Est-elle détectable à bord d'un avion en vol stable à haute altitude ? Quelle masse cette force est-elle capable de faire bouger ? L'appareil le plus lourd que nous ayons essayé pesait un peu plus de 4 kg. Cette masse ne devait pas être soulevée, mais seulement mise en rotation, ce qui n'exigeait qu'un effort très faible.
Comment les biochamps de plusieurs personnes agiraient-ils ensemble, se combineraient-ils ? Si deux personnes se tenaient l'une contre l'autre sous un cercle assez grand, l'amplitude initiale de rotation serait-elle augmentée, voire, doublée ?
Supposons le BM suspendu au centre d'une pièce assez grande. Il serait muni du dispositif à miroir décrit plus haut qui réfléchirait un faisceau de lumière sur une échelle placée au mur à bonne distance et fournirait une mesure de bonne précision. On ferait entrer plusieurs personnes, se déplaçant calmement jusqu'à entourer l'appareil à une certaine distance. On leur demanderait ensuite de s'en rapprocher lentement. Se mettrait-il à tourner et, si oui, à quel moment ? Combien de personnes faudrait-il rassembler pour obtenir un résultat ?
Jusqu'à quelle distance du corps cette force agit-elle ? On sait que la gravitation, les forces électrostatiques et magnétiques varient en raison inverse du carré de la distance. Dans des conditions où le champ magnétique terrestre et l'état émotionnel d'un sujet seraient raisonnablement constants, quel serait le taux de diminution du biochamp par rapport à l'éloignement de la personne ? Cette force obéit-elle à la même loi ?
D'autres questions importantes se posent. Quelle est la direction de cette force ? S'agit-il vraiment d'un spin ? Les expériences formelles et informelles que nous avons faites au fil de nombreuses années permettent de supposer qu'il s'agit de spin, mais cela pourrait être démenti par un autre type d'expérience.
Les appareils essayés n'ont jamais bougé autrement que par rotation, mais cela peut être attribué au fait que la rotation exige moins d'effort que tout autre déplacement.
Un cadre suspendu à un fil de 9,15 m de long a accusé du spin, mais pas de balancement ni d'oscillation. Les pyramides suspendues sous cloche tournent lorsqu'on approche les mains ; avons-nous une force de spin entre les mains ?
Le présent rapport n'est qu'un essai, une incitation à la recherche à l'attention des lecteurs qui voudraient se lancer dans l'exploration de cette force méconnue.
Les expériences possibles et les questions attendant réponses ne manquent pas. Comment construire un détecteur de radiation de spin ? Peut-on exploiter l'énergie de la force de spin terrestre ? La force qui enveloppe le corps est-elle spiralée ? Obéit-elle à la loi de l'inverse du carré de la distance ? Etc.
N'importe qui est susceptible de faire des découvertes dans ce domaine fascinant.

Traduction : André Dufour


À propos de l'auteur
Titulaire d'un doctorat en philosophie et d'une maîtrise en physique Bury Payne a découvert que le cycle quasi régulier de conflits armés internationaux, mis en relief par d'autres chercheurs, est en phase avec l'activité solaire. En 1982, il a fondé, en Nouvelle-Zélande l’Académie de Recherche pour la Paix afin de diffuser ce concept de cycles guerriers, de développer les moyens de les prédire et de les éviter. Il a mis à l'épreuve sa découverte du biochamp non seulement en utilisant son Biofield Meter, mais avec la participation de guérisseurs utilisant des méthodes de soins à distance. Il a inventé un certain nombre d'appareils accessibles au public, y compris des générateurs de champs magnétiques pulsés destinés à stimuler et amplifier l'activité biologique.
Le Dr Payne a publie quatre livres sur le magnétisme et ses effets sur les organismes vivants, un sur la physique et la conscience et un autre sur la bio-retroaction et l'hypnose. Son livre numérisé The Spin Force A Collection of Articles and Experiments, peut être acquis en format PDF sur son site : http://www.buryl.com.

Pour un complément d'information sur le Dr. Payne et son œuvre, voir : http://www.buryl.com/about_buryl.htm. On peut le joindre à PsychoPhysics labs. P0 box 514, Soquel CA 95073, tel. +1 (831) 425 3324 et par email à Cet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir

Références
• Brown, F. A., «Biological Clocks Oceanology Int», Jul-Aug 1967.
• Brown, F. A. Jr, «Interorganismic and Environmental Through Extremely Weak Electromagnetic Fields», Biol Bull 1973, 144:437-61
• Hessels, Jason W. T. et al. «A Radio Pulsar Spinning at 716 Hz» Science 2006 Mar 31, 311:1901-04, published online 11 January 2006 [DOI 10. 1126/science. 1123430] (in Reports).
• Hruby Ronald «Empirical Detection & Measurement of Savely Sawa’s [Suggestion No. 1] Bio-Field» [Letter] Townsend Letter for Doctors and Patients, Feb/Mar 2003.
• Ostro Steven J. et al. «Radar and Optical Observations of Asteroid 1998 KY26», Science 1999 Jul 23: 2B5(5427):55-59 [DOI: 10.1126/science 285.5427.557].
• Peschka, Walter, «Or Kinetobaric Effects and Bioinformational Transfer by Electromagnetic Field in Electromagnetic Bio Informaton», Proceedings on the Symposium, Marburg, September 1977
• Peschka, Walter «Kinetobaric effect as possible basis for a new propulsion principle» Raumfahrlforschung 1974, trans. by D. Reed in: T. Valone ed. Mechanical Energy from Gravitational Anisotropy, Integrity Research Institute, Washington, DC 1996.
• Ross Charles, Lancet 30 July 1922, P. 222.



Note de M. R.
1. Il existe une tradition ancienne d’après quoi on peut préparer à partir du GUI un remède contre le CANCER, mais que son efficacité dépend entièrement du MOMENT où l’on cueille la plante.
Un institut Suisse de recherche sur le cancer en a fait récemment l’épreuve en effectuant 70 000 expériences sur des parties de la plante, cueillie à une heure d’intervalle, de jour et de nuit. Il fut mesuré le degré d’acidité, les éléments constitutifs, essayé l’effet de toutes les préparations sur des souris blanches. Pas de découverte de traitement contre le cancer, mais la découverte que les propriétés de la plante étaient radicalement affectées, non seulement par l’heure locale et les conditions météos, mais par des facteurs extra-terrestres, comme la phase de la Lune et la survenue d’une éclipse. (Extrait du Dictionnaire Homéopathique de Louis Pommier, à l’article RYTHME)
 

Dernière mise à jour : 06-07-2009 20:24

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