Le Siècle des Perruques poudrées
 

Ecrit par Sechy, le 15-07-2012 00:08

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Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Goulag, Gouvernement, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
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Le Siècle des Perruques poudrées
ou
Siècle dit improprement des « Lumières »
dont se réclament quelques frères chapeautés républicains (francs-maçons)


Il est plus que temps d’arracher de la tête des frères chapeautés leur perruque !
 
 
 
« L’aspect des choses varient selon le point de vue de la personne. La vue émane de l’œil. Et l’œil doit se situer quelque part ». Ramana Maharshi donne ainsi une définition de l’opinion, dans l’entretien 106. Et avec l’opinion, les graves problèmes commencent !
 
 
En effet. Pour être autonome, le Soi doit enlever le mental ou ego pour percevoir la « Vérité » directement, par contact direct avec les essences ontologiques se trouvant dans l’Instant, sans passer par le mental et ses traquenards des perceptions des cinq sens toujours trompeurs quand on prétend tirer du monde spatio-temporel des conclusions sur la nature des essences.
La franc-maçonnerie n’est que mensonge quand elle parle d’égalité (justice), de liberté (de penser), de fraternité (communion). C’est aussi ce que prétend le communisme à la soviétique. C’est aussi ce que prétend le fourre-tout nommé « démocratie ». La trilogie franc-maçonnique républicaine et laïque n’est qu’un attrape-couillons de propagande électorale qui n’a des résonances que sur les sentiments.

La « libre-pensée » commença à l’époque de la Renaissance avec le besoin d’étudier au grand jour la Matière selon des disciplines autonomes, libérées des suggestions de la théologie, ce qui conduisit à la liberté des opinions personnelles et à la révolution de 1789 et amorça les temps que nous vivons. Mais en prenant le pouvoir politique, la libre pensée se niait du même coup. « Elle a obnubilé, paralysé dans le consensus social les prises de conscience métaphysiques, ôtant ainsi tout principe de stabilité dans le gouvernement politique, principe qui, jusqu'alors, résidait dans l'essence métaphysique du pouvoir royal, et dont la prise de conscience s'était éteinte de plus en plus depuis la Renaissance, même chez ses détenteurs. La Révolution de 1789 a été ainsi, tout à la fois, l'accouchement d'un processus commencé avec la Renaissance et le début de temps nouveaux.
En triomphant, la libre pensée signait son arrêt de mort, car il est évidemment impossible de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d’accord. Le pouvoir du peuple est un bluff, et les régimes d’assemblée, si subtil que soit leur dosage, n’ont pu tenir que parce que les sociétés secrètes exerçaient occultement, en usant habilement de tout le clavier des appétits économiques des individus et des groupes, le pouvoir métaphysique qui avait été abandonné par la royauté officielle. Ils n’ont pu tenir qu’en identifiant dans les consciences, par un jeu subtil d’institutions légales et de systèmes éducatifs, le politique avec l’économique. Le pouvoir proprement politique, c’est-à-dire légitimé par la connaissance de ce qu’est l’homme en soi, sur le plan métaphysique où il trouve sa définition, a continué à être exercé très consciemment mais occultement, par les sociétés secrètes [franc-maçonnerie] », écrit Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux.
Cette franc-maçonnerie qui se réfère constamment à Hiram Abiff et au roi Salomon, ce roi qui souhait construire « la Maison de Lumière » ou centre spirituel des « Mystères judaïques » (liaisons macrocosme et microcosme). En fait il existerai aussi un roi Hiram de Tyr (héritage des Chaldéens).

Mais vouloir « reconstruire le Temple de Salomon », selon le projet juif, même au sens symbolique : « réalisation de la perfection divine », à la fois dans « l’homme et dans l’univers » est une « allégorie » communiste, car pourquoi un temple ? une bâtisse orgueilleuse avec sa complexité ? même symbolique... faisant la part belle aux compas et aux équerres : LE MENTAL, et à la religion de l’homme !!!
Selon C.W. Leadbeater, dans son : Rites Mystiques Antiques, une brève histoire de la Franc-Maçonnerie, il écrit : « Les Juifs appliquèrent dans le temple de Salomon ce qu’il connaissaient du système égyptien, reflétant ainsi la sagesse de l’Égypte à travers le prisme de leur propre tempérament fougueux et poétique [sic]. Ces connaissance furent, d’une part, retranscrites progressivement sous une forme exotérique et, d’autre part, transmises par les loges secrètes de la Franc-Maçonnerie »... Évidemment, puisque c’est secret, c’est invérifiable, et cela reste l’opinion de Leadbeater !!!

Le « temple de Salomon » est le même genre d’illusion que la « démocratie » : construire un royaume « universel » réunissant tous les habitants de cette planète sous la direction d’un seul, genre GADLU ou Grand Architecte De L’Univers. Non seulement depuis des millénaires cela ne fut jamais réalisé, mais cela ne le sera jamais dans le futur : les empires s’écroulent toujours systématiquement, évidemment à cause du POUVOIR qui ronge de l’intérieur. Pouvoir qui porte aussi les noms de : Suffisance, Orgueil, Vanité, etc., la religion de l’homme. Plus c’est gros et plus ça casse vite ! Un système globalisant marche à cause de la soudure religieuse, mais si celle-ci n’est pas solide, le pouvoir temporel prend le pas et c’est foutu ! C’est-à-dire que la « raison » ou mental prend le pas sur le spirituel.


Ainsi naissent le « Bien » et le « Mal » car il y a un sujet et un objet, soit une relativité, une dualité. Le « bien » implique naturellement le « mal » : tout est double ici-bas. Le sujet c’est l’ego. En remontant à la source de l’ego on trouve l’Instant ou Soi, ou Centrum Centri, ou Dieu. (Référence à Ramana Maharshi, entretiens 106 et 326).

Selon Leadbeater, la franc-maçonnerie apporterait la « morale », sous-entendu le « bien » sur Terre : « Les cérémonies des Mystères étaient également destinées à représenter l’évolution supérieure de l’homme, son retour vers l’origine divine dont il procéda, grâce au développement de sa partie naturelle supérieur [sic], laquelle ne résulte pas uniquement de pratiques méditatives et cérémoniales, mais plus encore d’une vie respectant les préceptes moraux qui furent enseignés [sic]. Beaucoup de contemporains s’imaginent que nous connaissons les vérités morales [sic] sans qu’elles aient été enseignées - mais il n’en est pas ainsi. Si elles nous semblent à présent tout à fait naturelles, il s’agissait à une époque reculée de découvertes ou de révélations similaires aux progrès successifs des sciences et des inventions matérielles ». Totalement à côté de la plaque ce brave Leadbeater ! Qui insiste lourdement : « Tout comme nous sommes engagés, dans la maçonnerie moderne [spéculative ou travailleurs du chapeau], dans l’édification du temple du roi Salomon, les deux structures [en plus de la grande Pyramide] devant être représentatives des processus de construction à l’œuvre dans la Nature ».
Toujours cette opinion bien cadrée par le compas et l’équerre et la chronologie tueuse.

Les pensées [le mental] sont l’ennemi [le seul vrai terroriste]. Elles correspondent à la création de l’Univers. en leur absence, il n’y a ni monde ni Dieu créateur. Il n’y a que l’Être unique et c’est la félicité du Soi. (Entretien 326).

Le Siècle des Perruques Poudrées ou des « Lumières » imposa une dictature sur la pensée, en la transformant en pensée unique : le « Libéralisme » ou le « Royaume de Dieu sur Terre ». De cette manière en forme d’opinion, ce 18è siècle apporta une dictature plus cadenassée que tout ce que pouvait contenir l’antiquité et la monarchie d’avant 1789. La « liberté de penser » vendu par la « démocratie » est une gigantesque illusion.

La seule arme anti-démocratie et son inquisitoriale « libre-pensée » reste le Soi, qui protège contre la contamination guerrière du bien et du mal, illustré par exemple, par le décorum hollywoodien du carrelage en noir et blanc des geôles (loges) francs-maçonniques. Effectivement, l’être humain fabrique ses opinions à la façon d’un carrelage : on se construit ses idées à partir d’expériences réalisées dans le monde spatio-temporel (face externe), et par les besoins du mental et du cœur quant à leur face interne. Conséquence : toute opinion est comme une construction géométrique dont les paramètres sont la disposition intérieur de l’être humain, et l’expérience extérieur ou le vécu (d’après Jean Coulonval). Ainsi, les besoins de l’âme, et les lieux du vécu du sensible étant indéfiniment divers selon les lieux géographiques et le contexte social, alors il n’existe pas deux opinions identiques. Aussi il est illusoire de « rechercher la paix » dans une prétendue possibilité de l’unité d’opinion, comme voudrait le faire croire le mirage démocratique, qui d’ailleurs « apporte la paix à coups de bombes », comme la république de 1789 apportait son « égalité » en coupant les têtes qui dépassaient.

L’autre arnaque démocratique étant l’humanisme ou « science humaine » : cette « science ne peut pas exister puisqu’il y a toujours un sujet étudiant et un objet étudié, et l’être humain étant le Soi ou Instant, il est alors impossible pour lui de se poser comme sujet étudiant d’un Univers qui lui serait extérieur. Problème alchimique du Vase ou du Contenant et du Contenu. C’est géométriquement impossible, et pure illusion satanique fondée sur la religion de l’homme ou renversement des rôles entre essences et accidents (monde spatio-temporel).

Ce n’est pas au frères chapeautés de « faire la morale », car conseiller et vouloir « changer les gens » ça ne marche pas. Le seul outil valable est le Centrum Centri, le Soi, le langage du SILENCE. « Ainsi, le pouvoir de volonté se développera. Et le monde devient Royaume des Cieux qui est en vous ». (Référence à l’entretien 453).

Ainsi, le monde est-il au-dehors et sommes-nous dedans ? Ou le monde est-il en nous ?
« Le monde n’est qu’une idée [une opinion]. Si quelqu’un répond qu’il est dans le monde et qu’il en fait partie, il est dans l’erreur.
Maharshi : Si le monde existe indépendamment de vous, vient-il vous dire qu’il existe ? Non, vous voyez qu’il existe, mais vous ne le voyez qu’à l’état de veille et non pas quand vous dormez profondément. S’il avait une existence indépendante de la vôtre, il devrait vous le dire et vous devriez en être consciente même dans votre sommeil profond » (entretien 453).

Je reviens au libre arbitre et à l’opinion, parce que c’est la question centrale de notre civilisation comme la bien montré Jean Coulonval.
Voici un rapport avec le Soi ou Instant, développé par le docteur Psychiatre A. Stocker dans son livre : Folie et Santé du Monde :
« Selon Saint Bernard, le péché originel, qui altéra si gravement la nature humaine n’eut cependant point d’action destructrice sur l’image de Dieu dans l’homme. « Le point central de la doctrine de Saint Bernard, écrit Gilson, c’est que l’image de Dieu en nous ne peut se perdre [tout comme l’Instant, le Soi ne peut se perdre], c’est pourquoi l’homme reste homme, après comme avant sa faute : ipse liber sui propter voluntatem, ipse judex sui propter rationem ; mais la Ressemblance de Dieu en nous peut se perdre : c’est pourquoi, en perdant les vertus dont Dieu l’avait doué pour lier ses délibérations, son choix et ses actions, au jugement de sa raison, l’homme a perdu la ressemblance divine [oui puisqu’il invente la ‘religion de l’homme’]. Toujours doué du libre arbitre, il n’a plus ni la liberté de choisir, qui le libérait du péché, ni celle d’agir selon son choix, qui le libérait de la misère d’une volonté impuissante. Bref, la libertas a necessitate nous reste, mais nous avons perdu la libertas a peccato et la libertas a miseria. En abusant de la première, l’homme a perdu les deux autres ; il a conservé l’image et les Ressemblances s’en sont allées [puisque l’humain a sa ‘religion de l’homme’] ».

Ainsi l’homme n’est pas cette image de Dieu, il est simplement FAIT À CETTE IMAGE. Seul le Verbe divin EST cette image « Parce que seul il est une expression adéquate et subsistante du père ». « Certes, Dieu a fait de l’homme une créature ‘capable de participer à la majesté divine’, précisément par l’Image et la Ressemblance qu’Il a mises en lui. Mais c’est là une ‘dignité qui ne lui appartient pas de plein droit’. Pour Saint Bernard, cette dignité ‘appartient à la nature de l’âme, sans toutefois se confondre avec elle’ ».

Pour en revenir au Siècle des Perruques poudrées ou Siècle des Lumières, comme nous pouvons nous en apercevoir avec un certain Mélenchon qui se réclame de ce Siècle des Perruques Poudrées, la gauche (ou moderne communisme à la française) se réclame donc de ce Siècle. Siècle qui inventa justement la RELIGION DE L’HOMME : émancipation de la personne humaine. BA MERDE ALORS ! Pourquoi tant de bordel dans le monde ? Ils ont oubliés de poudrer leur perruque ? Soit disant les Lumières c’est l’invention de la tolérance, le recul de la superstition, le combat contre l’ignorance, tout cela au beau milieu du règne de Louis 15. Ce sont ces perruques poudrées issues de la bourgeoisie qui entouraient le roi. Avant, dans l’entourage il y avait des aristocrates mais pas de bourgeois (les citoyens ou habitants d’un bourg possédant un privilège ; le bourgeois est donc l’habitant d’une cité, ainsi on peut sentir poindre la future naissance de la société industrielle au 19è siècle).

Les rois de France ont toujours manqués de fric, et approcher le roi en lui recommandant des bons plans économiques, s’était se faire contaminer par le pouvoir. Ainsi les philosophistes et bourgeois contaminèrent Louis 15, puis ces philosophistes au perruque poudrée fomentèrent la révolution de 1789, et c’est le paradis démocratique et républicain de nos jours !!!

Pour cette engeance perruquée bourgeoise, lumière = humanisme !

Ainsi et depuis la Renaissance, et même au 14è siècle où l’humain est appelé Serf, la lumière spirituelle dérive vers la « lumière humaine » : l’humain devient son propre Dieu en se prenant pour Dieu, ce qui n’est pas la réalisation du Soi puisque l’humanisme implique le POUVOIR (pour Voir) et donc le FAIRE et FER : DOMINATION SUR LA NATURE ou COUPURE DE LA de SA NATURE.
L’humanisme commence en fait au 11è siècle avec le ROMAN. Le mot ROMAN désigne la langue Romane : langue dérivée du latin, comme le français, la langue d’Oc, les langues de l’Italie. Par extension, il peut désigner tout texte écrit dans une de ces langues. Ainsi, traduire du latin en langue romane se disait « mettre en roman ». Le Roman est le résultat d’une telle traduction. Le tout premier roman est le résultat d’une telle traduction. Les premiers romans français sont des traductions et adaptations d’œuvres latines puisants dans les sources grecques, mais adaptés aux gouts de l’époque : goût du merveilleux, étude de la morale amoureuse, ambiance chevaleresque. Un autre courant roman se développera à partir de l’antiquité des Celtes : le roman Breton, comme les Chevaliers de la Table Ronde, bel exemple symbolique d’égalité : thème féodal noble, très différent de la fameuse égalité bourgeoise des bourgs et cités imposé de force par 1789 et les perruques poudrées ! Là encore, les perruques poudrées nous ont floués ! surtout grâce à l’enseignement obligatoire sous la dictature de l’État républicain franc-maçonnique. Je ne cesse de répéter que TOUT EST FAUSSÉ.

NOBLE possède le vrai sens d’ÉLITE : le qualitatif, celui qui sort du commun, dont le savoir et les qualités sont grandes ; ce qui est le contraire du sens que l’on donne de nos jours au mot « élite ». Et sous ce Noble ou vraie élite, on pouvait se placer sous sa protection. Il est résultait ainsi une forme de domination. Le réseau existait et était souvent par les liens du sang, c’est pourquoi la république maçonnique a fait par exemple qu’un enfant d’un couple africain qui naît sur le territoire français sera automatiquement, par la vertu maçonnique : français ! ce qui est idiot et anti-naturel.
Ensuite la paysannerie comportant quelques « nouveaux riches », ceux-ci cherchèrent la compagnie des nobles, en participant à la gestion des seigneuries rurales, et de la ville ; ainsi la bourgeoisie s’installait déjà au temps de Saint Louis où l’on constate un appauvrissement ponctuelle de la noblesse.

En ce qui concerne le servage, il existe toujours et est nettement supérieur à autrefois : l’esclavagisme du monde moderne du travail aux services des usines et entreprises des Couilles en Or, ces nouveaux seigneurs ou plutôt saigneurs. Mais là, c’est le résultat du libéralisme ! Si au Moyen-Âge quelques catégories de serfs étaient de véritables marchandises, mais il y avait aussi des serfs bourgeois ; aujourd’hui, c’est la masse du peuple mondial qui est une marchandise ! contrôlable et exploitable 24 heures sur 24 grâce à la technologie.
Au Moyen-Âge l’esclavagisme demeure marginal, mais l’idée romaine de servitude perdure et joue un rôle important. Cependant « les enfants de Dieu » sont libres par nature ! Inégaux seulement « par la Loi du péché » ou loi de cause et effet. L’occident médiéval n’a établi, en son sein propre, ni les horreurs de l’esclavage, ni même une exploitation trop rigoureuse du travail paysan. Ce sont souvent les classes dirigeantes, bien que chrétiennes et soi-disant courtoises, qui accablaient et méprisaient le bas peuple. Il y eut donc un grave faute de ce côté là, sinon ça pouvait marcher encore des siècles.

La LIBERTÉ est le maitre mot de l’histoire des civilisations ! Aussi on s’apercevra que de tout temps, elle est terriblement difficile a cerner et source d’interprétations ou d’opinions opposées. Mais même un Roi ne dispose entièrement à son gré de liberté sur lui, sur les choses, sur les lois et sur ses sujets. La Liberté c’est le Soi, aussi sur Terre on ne peut effleurer que DES libertés et avec un l minuscule, et encore par périodes assez courtes ! Bien-sûr pour les marxistes il n’y a pas de « liberté » au Moyen-Âge !

Ensuite le mouvement humaniste se concrétise avec la « découverte » de l’Amérique et les destructions des Peuples du Soleil, et la Réforme, et l’invention de l’imprimerie, et avec Galilée.

[Références au Moyen-Âge, d’après Jacques Le Goff : La civilisation de l’Occident Médiéval ; Dictionnaire du Moyen-Âge, sous la direction de C. Gauvard, A. de Libera, M. Zink]
 
 

Dernière mise à jour : 15-07-2012 00:40

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