Changer le Futur
 

Ecrit par Sechy, le 04-09-2008 18:57

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Tags : Changer le Futur, Temps

 
 
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Une science du temps pour changer le futur.

(Article de Vincent Crousier, dans le journal NEXUS n° 58 de septembre-octobre 2008)

Une boule de billard qui roule, en percute d'autres, pour en faire tomber une dans un trou, est une chaîne de causes à effets. Mais ces boules de billards ne sont rien devenues de plus que ce qu'elles étaient avant d'être entraînées dans cette chaîne de causes à effets. Nous sommes habitués à explorer notre passé pour découvrir les causes de nos agissements présents. La différence entre une boule de billard et l'être humain réside dans le fait que le devenir d'un être humain est plus que la somme de ses antécédents. L'homme, au moyen de la pensée, est influencé par un autre type d'ordre causal : il peut envisager le futur. Envisager seulement ? En réalité, il peut aussi le contrôler, et il s'agit là d'un processus vital - oublié - sans lequel nous ne pourrions exister.
 
La confirmation est venue du ciel...
Docteur en mécanique des fluides, Jean-Pierre Garnier-Malet (1), est l'auteur de la « théorie du dédoublement du temps ». La seule genèse de sa découverte est particulièrement éclairante sur son intérêt. Élaborée en 1988, elle a fait l'objet de publications internationales à partir de 1997. Elle n'attirait pas vraiment l'attention car pour être validée, elle nécessitait d'être vérifiée par des observations. Au cours de ces dix dernières années, la survenue dans notre système solaire de nouveaux planétoïdes a permis cette vérification. Mais ce n'est pas là le seul intérêt de cette théorie : non seulement ces planétoïdes arrivent bel et bien et de plus en plus nombreux, mais des scientifiques de notoriété internationale ont récemment reconnu (1) que seule la théorie du dédoublement du temps est en mesure d'expliquer leur présence. Mieux : cette théorie pleinement vérifiée ne contredit pas les lois existantes parfaitement établies de Kepler, Newton et Einstein... mais les dépasse ! Cette théorie est également la seule qui a permis à son auteur de calculer des constantes cosmologiques nécessaires à la compréhension de l'univers (vitesse de la lumière, gravitation et antigravitation, constante de structure fine). L'intérêt de la découverte est tel que son auteur a reçu le Best Paper Award pour sa publication dans American Institute of Physic (New York) en 2007. Cependant pour J.-P. Garnier-Malet : « Les équations, c'est bien beau, mais la science doit avant tout servir la vie, sinon cela ne sert à rien », Quel est donc l'intérêt de cette théorie dans notre vie de tous les jours ? Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, en démontrant rien moins que le fonctionnement de nos pensées, elle nous fait accéder à leur contrôle et par voie de conséquence, à la maîtrise de notre futur. Or, profitant de notre ignorance en ce domaine, ce même futur est en train de maltraiter notre planète.

Des ouvertures temporelles
Quel est donc ce mécanisme capable de créer notre futur ? Lorsque vous n'avez pas de réponse à une question soudaine et vitale, vous devez y réfléchir, ce qui prend un certain temps. Si vous pouviez supprimer ce temps, vous auriez instantanément les solutions à vos problèmes du moment sous forme d'instincts et d'intuitions qui vous conduiraient vers de nouvelles interrogations. Imaginez que vous puissiez plonger dans ces « temps morts » pour y accélérer le temps et y faire de longues expériences qui vous permettraient de trouver les réponses à vos questions. Ce voyage dans d'imperceptibles « ouvertures de votre temps » vous montrerait vos possibilités du moment. Expérimenté dans un temps accéléré, ce futur instantané serait inobservable dans votre temps, mais parfaitement mémorisé. Il vous pousserait alors vers de nouvelles pensées, semblant jaillir de nulle part.
Tout cela est possible... et même vital, la théorie du dédoublement le prouve.
Nous vivons en actualisant des futurs inobservables mais mémorisables. Nous avons parfois le sentiment d'un « déjà vu » ou d'un « déjà vécu » car chacune de nos pensées crée des possibilités futures dans les instants imperceptibles qui séparent les instants perceptibles. Comment voyager dans d'imperceptibles ouvertures temporelles, tout en ayant la possibilité d'accélérer le temps ? Nous allons voir qu'il ne s'agit pas d'une utopie, mais d'une réalité physique dont tout le monde dispose.

Corps physique et énergétique
Nous savons que la matière est duale, c'est-à-dire que toute particule est à la fois ondulatoire et corpusculaire. Au début du siècle dernier, Einstein avait reçu le prix Nobel pour avoir montré par « l'effet photoélectrique » que la lumière avait cette propriété universelle. De son côté, la mécanique quantique supposait qu'un assemblage de particules ne pouvait pas émettre d'informations ondulatoires cohérentes. En effet, elle démontrait que chaque particule avait plusieurs états potentiels superposés et que l'observateur déclenchait un de ces états. L'expérience confirmait ce fait. Cela semblait impliquer qu'un assemblage de particules ne pouvait émettre une information cohérente par luimême la superposition d'états différents en un même temps paraissait impossible pour un même observateur et l'on parlait alors de « décohérence ». Cependant, des expériences récentes (2) ont pu démontrer qu'un assemblage d'atomes pouvait émettre des informations propres. Elles permettent surtout de comprendre comment et pourquoi une superposition d'états quantiques ne peut survivre à l'échelle macroscopique des observateurs que nous sommes. Or, étant nous-mêmes un sac de particules, nous recevons et émettons des informations.
Pour simplifier, nous pouvons dire que notre corps est à la fois corpusculaire et ondulatoire, que nous avons un corps énergétique capable d'aller chercher et de ramener des informations dans des ouvertures temporelles imperceptibles, de choisir un de nos futurs potentiels (nos propres états quantiques) et de le transmettre à notre corps physique.
La théorie du dédoublement montre qu'il existe trois vitesses d'échange d'informations entre temps différents, la plus faible étant la vitesse de la lumière, la plus élevée étant de 857 milliards de km/s. Des expériences récentes ont prouvé la réalité de ces vitesses super-lumineuses.
 
Vitesses super-lumineuses
C'est ce corps inobservable, mais parfaitement réel qui nous permet d'accélérer le temps. C'est encore le résultat d'une étonnante propriété physique, liée à la théorie de la relativité d'Einstein, mise en évidence par le paradoxe des jumeaux de Langevin en 1923. Découlant des équations de la relativité, un voyageur ne vieillit pas à la même vitesse que son jumeau immobile. Cette différence est sensible si la vitesse de déplacement s'approche de la vitesse de la lumière une année à 15 km/s en dessous de la vitesse de la lumière (presque 300000 km/s) entraîne une différence de vieillissement d'un siècle. Sauf que cette fameuse vitesse de la lumière n'est pas à proprement parler une « vitesse ». La théorie du dédoublement montre qu'il existe trois vitesses d'échange d'informations entre temps différents, la plus faible étan: la vitesse de la lumière, la plus élevée étant de 857 milliards de km/s (3). Des expériences récentes ont prouvé la réalité de ces vitesses super-lumineuses (4). Or, « ces vitesses qui ont le goût d'une vitesse, l'odeur d'une vitesse et la dimension d'une vitesse dans les équations (5), ne sont pas des vitesses », comme aime à ironiser le chercheur.
Si vous courez à 10 km/h vers l'avant du train qui roule à 100 km/h, vous savez que votre déplacement est de 110 km/h par rapport au paysage.
Inversement, si vous courez vers l'arrière du train à la même vitesse, votre déplacement n'est plus que de 90 km/h. C'est la loi des vitesses. Mais les trois vitesses d'information ne la respectent pas du tout. C'est pourquoi Einstein avait imposé un postulat pour expliquer cette exception inexplicable, à savoir la vitesse de la lumière est indépendante de la vitesse de la source et de la vitesse de l'observateur. Cela reviendrait à dire que, si vous êtes une lumière courant vers l'arrière ou vers l'avant d'un train allant lui-même à la vitesse de la lumière, vous serez toujours à la vitesse de la lumière pour l'observateur immobile. En réalité, la vitesse de la lumière est indépendante des observateurs vivant dans un même temps. C'est une nécessité pour que tout le monde puisse voir le même état présent en même temps.
On peut ainsi comprendre que nos pensées sont de l'énergie qui disparaît de notre temps avec une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière. Elle disparaît donc instantanément dans une ouverture temporelle, pour apparaître sous forme ondulatoire dans un autre temps accéléré. Dans ce temps accéléré, ce qui pour nous est une accélération, apparaît comme « vitesse normale » pour les observateurs qui vivent dans ce temps. Elle peut donc être captée et mémorisée par ces derniers qui peuvent alors expérimenter la suite logique de cette pensée. Cette expérimentation n'a pas le temps d'exister dans notre temps.
Ses conséquences constituent donc des possibilités instantanées. Ce futur potentiel n'est pas personnel. Il peut être actualisé par ceux qui ont les mêmes pensées (premier critère) et qui peuvent voyager dans les mêmes ouvertures temporelles (deuxième critère dépendant du mouvement de nos planètes et de la date de notre naissance).

Comment ça marche ?
Le mouvement de dédoublement des temps s'effectue selon un cycle que la théorie permet de calculer. Le passé, le présent et le futur se séparent d'un temps initial unique en douze périodes de 2 070 ans, formant un cycle de 24 840 ans. Avec une période de transition de 1080 ans (soit 9x12), le cycle est donc de 25 920 ans. Cela correspond au cycle de précession des équinoxes... observé mais jamais expliqué. Il existe donc un commencement et une fin du dédoublement des temps, que l'Antiquité appelait «fin des temps». Elle différenciait ces douze périodes par le passage de douze constellations à l'horizon de l'écliptique terrestre. M. Garnier-Malet a pu montrer grâce à sa théorie que les échanges d'information instantanés dans les ouvertures temporelles utilisaient douze circuits d'informations, avec une symétrie dodécaédrique (6) (douze faces pentagonales). Associés deux par deux, les mouvements des planètes de notre système solaire « ouvrent » ces circuits. Or il se trouve effectivement que l'astrophysique moderne (7) vient de mettre en évidence une symétrie dodécaédrique du rayonnement fossile de ce qu'elle appelle le « big bang ». Il s'agit en fait des échanges d'informations entre le passé, le présent et le futur, nécessaires à la fin d'un cycle qui termine le dédoublement des observateurs. Le mécanisme de ces voyages temporels est donc régi par les mouvements de nos planètes qui, associées deux par deux, forment six espaces doubles.
Nos pensées sont de l'énergie qui disparaît de notre temps avec une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière. Elle disparaît donc instantanément dans une ouverture temporelle, pour apparaître sous forme ondulatoire dans un autre temps accéléré.
 
 
Accès au futur par le zodiaque
Ainsi, les anciens parlaient de douze espaces au service de la vie (zoi-diakonos ou zodiaque). Ils les avaient repérés par les constellations (Verseau, Capricorne, etc.) qui défilent dans l'horizon du plan de l'orbite terrestre (elliptique) selon un cycle de 25 920 ans, dit de précession des équinoxes. Ils savaient que chacun de ces zodiaques apportait son propre potentiel avec ses qualités et ses défauts. Celui qui y avait accès pouvait arranger ou déranger ce futur. Cet accès dépendait de la date de naissance car, pensaient-ils avec justesse, notre incarnation utilisait des ouvertures imperceptibles d'un autre temps que nos planètes dirigeaient selon des tables établies depuis des lustres. D'après la loi du dédoublement, connue par exemple de l'apôtre Thomas, nous laissions un double dans un temps normal pour vivre sur terre en accéléré le futur correspondant à nos questions « Au temps où vous étiez un, vous avez fait le deux, alors étant deux, que ferez-vous ?... Lorsque vous ferez le deux un, que vous ferez l'intérieur comme l'extérieur, le haut comme le bas,... Lorsque vous ferez du masculin et du féminin un unique, alors vous entrerez dans le royaume ». (Évangile de Thomas - Loggia 11 et 12). Retrouvé dans les années quarante dans le désert égyptien, ce texte n'a sans doute pas été transformé par les copistes du Moyen Âge. Il mentionne bien notre dédoublement selon un cycle qui permet notre retour dans un royaume où le temps n'est pas le nôtre.
Cet autre nous-mêmes nous attend à la fin du cycle de dédoublement des temps pour refaire notre union avec le potentiel nouveau, créé et arrangé au cours de notre vie terrestre. Voilà ce que nous avons essayé d'oublier pendant deux mille ans, car au début de notre ère, la théorie du dédoublement était manifestement connue. Les savants de l'époque étaient les « docteurs de la loi », capables de voir le futur (prophètes) et d'en chasser les mauvais potentiels (exorcistes).
 
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Mouvements du dédoublement (JPGM 1998)
 
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Le mouvement hélicoïdal de dédoublement du temps et de l'espace est un
phénomène que l'on observe dans tout l'univers aussi bien dans l'infiniment
grand céleste que dans l'infiniment petit de nos cellules et de notre ADN.
 
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Il semble que les auteurs des crop circles
soient au fait de la théorie du dédoublement...
 
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 Le Caducée, symbole d'Hermès, et surtout schéma du mouvement
du dédoublement, était surmonté du miroir de la prudence
qui permet d'associer le Futur au Passé.
 
 
Deux mouvements : radial et tangentiel
La théorie du dédoublement ne contredit pas les lois physiques actuelles (Einstein, Kepler, Newton, etc.), mais elle les dépasse, tout en retrouvant ce que l'on appelait autrefois le principe universel de « l'Alpha et de l'Oméga ».
Lorsqu'une particule a rencontre un horizon Q, elle souhaite s'enrichir d'une expérience nouvelle. Cependant, en le traversant, elle risque d'en sortir amoindrie. Elle est donc tentée de le contourner pour ne pas être perturbée, mais peut-elle ignorer une partie de son univers ? Aucune des deux possibilités ne peut la satisfaire. En revanche, si elle se dédouble, elle peut contourner l'horizon pour retrouver son double qui lui sert d'éclaireur à l'intérieur. En prenant la « tangente », elle garde la mémoire de l'acquis. En traversant de façon « radiale » l'horizon, son double lui donne une connaissance nouvelle. Le mouvement de dédoublement se caractérise donc par un mouvement tangentiel et un mouvement radial. Lorsque l'alpha sort de l'oméga, c'est la fin du cycle de dédoublement, il y a alors possibilité d'échanges d'informations dans le même temps. La première bifurcation de ce dédoublement de a en deux a utilise une bifurcation en forme de y (nu en grec). En grec, le « créateur » du dédoublement était ana (ava), signifiant le très haut, l'inaccessible. Dans l'Antiquité, il est évident que ce mouvement universel était connu. La représentation du Caducée en est une preuve. Pour les Grecs, c'était le symbole de la voyance d'Hermès que son frère Apollon lui avait enseignée. Il était surmonté du miroir de la prudence permettant de ne pas oublier la question avant de chercher la réponse dans le futur. Pour les « extraterrestres » (ou « extravagants » pour certains) que les anciens appelaient les « dieux » mortels ou immortels et qui dessinent de curieux « crop circles » dans les champs de céréales (8), cela ne semble pas du tout mystérieux. Pour les Égyptiens, c'était la métamorphose du scarabée, changement nécessaire pour passer les douze portes de l'éternité. Pour les chinois, c'est la représentation du yin et du yang, sans doute apporté en Chine par un peuple grec dont on viendrait peut-être de découvrir les momies (9). En grec, la division du temps se disait Gpa. Son inverse apQ signifiait « grandir dans le futur ». Nos galaxies nous révèlent, quant à elles, le mouvement universel de dédoublement... au ralenti.
 
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Cette même double hélice est à l'origine du scarabée,
symbole de métamorphose de l'Égypte antique.
 
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Oméga = Oura, appelé autrefois principe de l'Alpha et de l'Oméga,
le mouvement de dédoublement relie l'horizon Oméga et la particule
Alpha par le lien  p. Ce n'est pas un hasard si e, grec, Oméga signifie
la division du temps. (Changez votre futur... L. et J.-P. Garnier Malet)
 
 
 
Nous sommes à la fin dun cycle
Parfaitement défini par cette théorie, un cycle de 25 920 ans permet donc notre présence sur Terre et sa fin entraîne des modifications importantes de notre planète : c'est la dernière publication (10) à l'American institute of Physics à New York qui, grâce à la compréhension de ce cycle, a pu enfin donner l'explication de l'arrivée près de Pluton de nouvelles planètes, appelées planétoïdes par certains. Or le cycle de dédoublement des temps de notre système solaire arrive à sa fin et cela peut engendrer des bouleversements planétaires. L'arrivée de ces planétoïdes dans la lointaine ceinture de Kuiper (11) déclenche à la fois de graves modifications de la ceinture des astéroïdes et de violentes explosions solaires. Nous ne sommes pas sans ignorer la pluie de météorites qui s'abat sur la Terre et qui va en s'aggravant. Pour compenser cet apport de masse, notre planète réagit par des rejets volcaniques de plus en plus nombreux. Tous ces échanges d'informations, de masses et donc d'énergies, bouleversent notre monde dont le climat change brutalement. En comprenant les échanges d'énergies, donc d'informations entre particules dans les ouvertures temporelles des trois temps (passé, présent, futur), il serait possible d'améliorer l'équilibre de notre planète, d'autant plus que la fin actuelle du cycle de dédoublement rend ces échanges permanents.

Impression de « déjà vécu »
Notre dédoublement est donc lié à un cycle solaire de 25 920 ans qui dédouble notre temps d'un temps ralenti et d'un temps accéléré. Nous vivons dans les ouvertures temporelles de notre double (temps ralenti), lui créant ainsi un futur dans notre présent. Si nous savons l'écouter, nous entendons ses questions qui nous donnent envie de trouver les bonnes réponses. Il est le moteur de notre existence, remplissant notre mémoire d'informations qui semblent venir du passé. « Selon la même loi, explique Garnier-Malet, une autre réalité (temps accéléré) fabrique notre futur dans nos ouvertures temporelles en répondant à nos questions. Nos pensées émises dans le présent s'expérimentent dans le futur. Mais nous pouvons très bien mémoriser cette expérience future sans jamais la vivre. Elle deviendra du passé avec le sentiment d'être déjà vécue. Donc, comme disait le poète Paul Eluard : "le passé, est la mémoire du futur". Un futur qui devient du passé sans jamais avoir été présent. On voit bien que passé, présent, futur sont trois temps simultanés qui permettent de vivre. Nous sommes donc celui qui était, qui est et qui sera. Ce que les grecs appelaient la Triade.
Et si nous n'arrivons pas à mémoriser le futur avant de le vivre, nous allons dans l'inconnu, dans le déséquilibre, il en va de même si nous créons un mauvais potentiel futur. Exemple : je pense à tuer quelqu'un. Pourquoi ? Parce qu'il m'énerve. Je sais bien que je ne vais pas le tuer, mais j'ai pensé à le tuer. La conséquence est déjà là. Par la suite, à des milliers de kilomètres de là, quelqu'un pense comme moi, ouvre la porte de ce même potentiel et lui, il tue, réellement, parce quej'ai fabriqué ce potentiel. Je suis donc coresponsable de ce meurtre. Vous voyez que cela va très loin ». Ainsi, par ce dédoublement des temps (passé, présent, futur), nous pouvons bénéficier à chaque instant dans notre « présent » d'une information du « passé » et d'une information du « futur ».

Un créateur et un double pour chacun
Initialement, lors du premier dédoublement raconté tout à fait scientifiquement dans la Genèse (12), cette loi universelle donnait à toute créature un créateur du dédoublement cyclique dans le passé et un double dans le futur. Un échange d'informations dans les ouvertures temporelles rendait ce créateur unique capable d'informer instantanément les créatures des dangers rencontrés par le double qui cherchaient une solution à leurs différents problèmes. Ainsi, certaines questions pouvaient être effacées de leur mémoire avant même qu'elles en aient conscience. La recherche de l'immortalité des créatures nécessitait cette rapidité foudroyante de l'anticipation grâce aux échanges d'informations dans les trois temps dédoublés (passé, présent, futur). Celles-ci pouvaient donc dire: « Je suis dans le père et le père est en moi ». Elles bénéficiaient de ce que les Grecs appelaient la « triade » des immortels.

Comment nous sommes devenus des hors-la-loi
Avant un nouveau cycle de 25 920 ans, à la fin de la période de transition de 1080 ans, nous avons abandonné cet espace créateur en dédoublement et nous sommes devenus des « hors-la-loi ». Notre double a pris la place de notre créateur et pour bénéficier d'un indispensable futur lors du cycle de dédoublement actuel, nous nous sommes associés avec d'autres créatures dont les doubles remplaçaient ainsi le nôtre. De ce fait, en sachant que notre double est maintenant notre père dans le temps ralenti du passé, nous pouvons dire : « Je suis dans le père et le "bazar" du futur est en moi ! » Car nous n'avons plus de double dans le futur, nos complices et associés du début d'un cycle de vingt-cinq mille ans sont devenus des inconnus. Si nous ignorons la loi, ce n'est pas le cas de ces derniers qui l'utilisent pour mieux nous parasiter. Quel intérêt trouvent-ils dans ce « parasitage » ? Comme ils vivent dans ce temps accéléré, entretenant notre ignorance, ils remplacent les informations salutaires de notre double par des informations mensongères qu'ils font passer pour paroles d'évangile ». Ce n'est pas difficile puisqu'ils créent le futur que nous souhaitons. Nous ne savons pas que nos rêves leur permettent de modifier nos souhaits. Grâce à ces modifications nocturnes et quotidiennes, ils vivent à leur guise, tout en se cachant dans nos ouvertures temporelles, restant toujours volontairement inobservables. Or nous vivons la fin d'un cycle de dédoublement des temps qui devrait nous permettre de nous déparasiter avec une extrême facilité, à condition de connaître le bon mode d'emploi des ouvertures temporelles. Nous pouvons nous « déparasiter » parce que nous vivons la fin d'un cycle. Cependant, le futur fait tout pour que nous l'ignorions afin qu'il puisse conserver le mode de vie qu'ils nous ont inculqué et qui n'a rien à voir avec celui que souhaite notre double et qui était également le nôtre avant de nous séparer de lui à notre naissance. « Pour le futur, c'est de bonne guerre, plaisante Garnier-Malet, car, par l'utilisation normale de notre dédoublement et la connaissance du mécanisme des ouvertures temporelles nous pouvons retrouver les pensées qui correspondent enfin aux questions de notre double ».

De grand bouleversements planétaires
Loin de toute controverse, cette théorie entraîne donc une certitude : nous vivons en ce moment une fin de cycle de dédoublement solaire et galactique qui semble coïncider avec un cycle plus universel (13). Cette fin entraîne d'importantes modifications de notre planète dont nous n'avons pas encore véritablement saisi l'ampleur.
Démontrant l'existence d'un double pour chaque particule et, de ce fait, pour chaque être humain, cette théorie montre que nous disposons d'une énergie colossale de dédoublement par « des ouvertures temporelles » imperceptibles, définies par un mouvement fondamental et universel de dédoublement. Elle nous montre également l'existence d'une énergie de répulsion ou antigravitationnelle (66,6 % de l'énergie de l'univers) qui pourrait être contrôlée dans notre environnement solaire cette énergie fut observée pour la première fois en 1998 par deux astrophysiciens Saul Perimutter et Brian Schmidt (14). On retrouve ainsi la « constante cosmologique » qu'Einstein (15) avait essayé en vain d'imposer pour finalement satisfaire ses opposants en déclarant que c'était « la plus grosse erreur de sa vie ».
Explicable également par le cycle de dédoublement, l'apparition en 2007 d'un vide immense dans l'univers (16) (appelé « cold spot ») nous montre enfin notre importance actuelle dans l'univers en « démontrant » notre lien avec d'autres temps et d'autres mondes. En utilisant en toute connaissance de cause notre propre dédoublement, nous pourrions mieux vivre et surtout, savoir que nous créons notre futur le jour pour le contrôler la nuit (voir encadré à la fin) avant de le vivre car nous sommes des machines à créer des potentiels dans la journée. Comment ? Garnier-Malet répond « Prenons l'exemple du potentiel électrique. Vous fabriquez en France un potentiel de 220 volts quelque part, vous branchez vos appareils et ils fonctionnent. Très bien. Mais imaginez que vous fabriquiez un potentiel de 1 000 volts. Quand vous allez vous brancher, tout va sauter. C'est exactement pareil pour le futur, si vous ne fabriquez pas un potentiel qui est fait pour vous. Si vous vous branchez sur ce potentiel, vous risquez d'être foudroyé, électrocuté. Faut-il accuser alors le hasard, la prédestination, un dieu, un diable ? Non vous-mêmes. Vous actualisez ce que vous avez fabriqué. Alors évidemment, parfois vous actualisez un potentiel de quelqu'un d'autre qui n'est pas fait pour vous. Dans l'ignorance du principe du dédoublement, nous pouvons dire qu'on vit tous en utilisant un potentiel que nous n'avons pas fabriqué, mais qui a été fabriqué par une collectivité et que cette collectivité ne pense pas forcément à nous faire survivre. Nous seuls sommes capables de survivre par nous-mêmes, à une condition, c'est de faire intervenir celui qui nous dédouble dans le passé et qui est maître de nos questions. C'est lui qui nous donne nos questions, nous lui donnons des réponses, et nos réponses fabriquent un potentiel pendant le jour et il faut qu'il vérifie ce potentiel pour voir s'il lui convient. Ce rôle-là, il l'a pendant la nuit. Les enfants le font très bien dès la naissance. Mais dès qu'ils vont à l'école, on leur apprend qu'il ne faut pas rêver ». De ce fait, l'enfant s'éloigne de son double dont il est très proche pendant les sept premières années de sa vie. Par la suite, personne ne lui enseigne ce qu'il faut faire, donc il se déséquilibre, le plus gros déséquilibre arrivant bien sûr aux alentours de 14 ans.
 
La fin d'un cycle, pas celle du monde
Nos ancêtres lointains parlaient de la fin des temps, sachant pertinemment qu'il ne s'agissait pas d'une fin du monde, mais de la fin (d'un cycle de dédoublement) des temps. Ils avaient des docteurs de la loi du dédoublement, une loi (logos) qu'ils savaient universelle et qu'ils appelaient aussi « principe de l'Alpha et de l'Oméga ». Avec la théorie scientifique du dédoublement, Jean-Pierre Garnier-Malet le dit lui-même : « Je n'ai fait que retrouver une vérité oubliée, que les civilisations anciennes savaient utiliser dans le quotidien. La voyance dans les "ouvertures temporelles" était leur indispensable alliée pour changer le futur (17) . Aujourd'hui, il devient urgent d'utiliser cette science universelle pour redonner un équilibre à notre planète ».
Est-il vraiment possible de stopper le désordre planétaire actuel, obligatoirement lié au cycle de 25 920 ans selon cette théorie ? Selon Garnier-Malet, chacun des potentiels que nous créons par nos pensées est une énergie perdue si personne ne l'actualise dans sa vie. Il est évident que personne ne souhaite vivre la conséquence de ses pensées violentes ou simplement agressives. Qui n'a jamais songé à tordre le cou à un voisin qui l'insupporte ? Nous sommes plus de six milliards d'individus à avoir des pensées horribles presque chaque jour, ne serait-ce qu'en regardant la télévision. Seuls, les tout petits enfants paraissent échapper à ce genre de pensées, bien que leurs cauchemars semblent parfois nous prouver le contraire. Et les jeux vidéo ne sont pas pour calmeles pensées.
Certes, à l'évidence, nous ne voulons pas qu'un voisin nous torde le cou... mais nous allons voir que c'est indirectement le seul moyen de récupérer l'énergie de notre pensée meurtrière. Car d'une manière ou d'une autre, toute cette énergie perdue doit être récupérée en fin de cycle de dédoublement par toutes les particules de notre horizon terrestre. Or nous sommes nous-mêmes particules de cet horizon tout en étant - c'est la loi du dédoublement - horizon de nos propres particules.
Pour résoudre ce problème, deux mécanismes de récupération se présentent à nous.

Stopper les météorites ou changer nos pensées
Le premier concerne la Terre qui peut absorber de la masse pour récupérer de l'énergie selon la loi d'Einstein (E = mc2). L'arrivée des planétoïdes à l'horizon plutonien le permet. Actuellement, notre planète reçoit une quantité prodigieuse de météorites. La NASA s'en inquiète car elle n'a pas de solution miracle.
Cette boulimie terrestre entraîne un trop plein, de ce fait, une anorexie : les volcans crachent du feu, de l'énergie et de la masse, aggravant ainsi le déséquilibre planétaire et les plaques tectoniques se secouent, tel le dos d'un dragon en colère, disent les chinois.
Le deuxième mécanisme permet de ralentir ou de supprimer le premier. Or il est très simple Il suffit de modifier nos pensées pour ne pas créer de futurs dangereux ou inutiles. Ainsi, personne ne peut vivre dangereusement ou inutilement.
La conclusion de Jean-Pierre Gamier Malet paraît ainsi limpide : « Elle rejoint, dit-il, celle d'un juif qui était aussi chrétien et palestinien, ce qui serait difficile de nos jours. Cet homme hors normes était capable de dire, selon la loi de l'alpha et de l'oméga (18) connue à son époque : “Je suis dans le père et le père est en moi“. Et selon la même loi universelle, il proclamait à tous, et plus particulièrement aux scribes et aux pharisiens, savants de son époque: "Ne pensez pas à faire aux autres ce que vous ne voulez pas qu'autrui pense à vous faire, mais pensez à faire aux autres ce que vous voudriez qu'autrui pense à vous faire !" ».
Deux millénaires auront suffit pour travestir ce message scientifique, en imposant une idée certes louable mais parfaitement insuffisante : « Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'autrui te fasse ! »
Penser à faire n'est pas faire. Le message de ce chercheur hors norme est simple : « Contrôlons nos pensées pour changer le futur et trouver notre équilibre personnel. Alors la planète se calmera ».
 
 
Pourquoi la nuit porte conseil
L’important n'est pas de se souvenir ou pas de ses rêves. Ce qui compte c'est que votre double puisse venir vous donner des explications pendant la nuit. On sait maintenant que lorsqu'on réveille quelqu'un par un bruit violent et soudain, le rêve ne dure que le temps d'émission du bruit émis pour réveiller la personne. C'est-à-dire que le rêve a justement été déclenché par le bruit qui a réveillé le dormeur. Pendant le milliardième de seconde du bruit, il a fait une expérience de plusieurs jours et il a l'impression qu'on l'a sorti d'un bon rêve à cause du bruit, alors que c'est le bruit qui a déclenché le rêve. Pendant le sommeil paradoxal, l'activité intellectuelle est très grande, mais vous ne rêvez pas. Pendant le sommeil paradoxal, vous n'êtes plus là, ni dans votre lit, ni dans votre corps. Votre corps est immobile parce que vous n'êtes plus là. En effet, nous sommes un corps qui est fait pour recevoir des informations. Il faut pouvoir aller les chercher avec un corps qu'on peut appeler un corps énergétique. Ce corps revient ensuite dans votre corps physique pour lui donner les informations qu'il est allé chercher ailleurs. Ce corps énergétique n'est pas un double : c'est notre corps à nous. Il est en quelque sorte boutonné tel un « pardessus » sur notre corps. Les boutons s'appellent les chakras. Que ce soit vous, votre double ou ceux qui fabriquent votre futur, chacun a un corps physique évoluant dans son temps et un corps énergétique voyageant entre les différents temps dans les ouvertures temporelles.

L'échange des corps énergétiques pendant la nuit permet à votre double d'arranger votre futur pendant que votre corps énergétique remplace le sien. Vous prenez ainsi connaissance de ses questions et de ses souhaits. Pendant ce temps, vient se loger dans votre corps physique un corps énergétique du futur. Ce dernier n'est pas maître de votre temps. C'est la raison pour laquelle votre corps physique ne bouge pas. En revanche, il ne cesse de donner des informations à votre cerveau dont l'activité intellectuelle reste ainsi aussi importante que pendant votre éveil. Pendant ce sommeil qui semble paradoxal, c'est le corps énergétique de votre double qui va contrôler et arranger le futur que vos pensées ont créé pendant le jour. Cela exige donc que vous soyez capables de le faire venir. Quand vous vous réveillez, les informations de votre futur sont en vous et, connaissant les souhaits de votre double, vous savez ce que vous devez faire dans la journée. C'est tout bête, c'est tout simple, et tous les enfants le font. On ne devrait jamais prendre une décision sans aller dormir. Sans votre double, le mécanisme reste le même, mais c'est le futur qui vous dicte votre conduite à venir en vous imposant des idées différentes. Dans l'ignorance de la loi du dédoublement, un tel parasitage des pensées est inévitable. Qui, sur terre, connaît cette loi vitale ?
 
À propos de l'auteur de l'article
Vincent Crousier est journaliste scientifique indépendant. Il a collaboré à Science et Vie et à L'Express (rubrique Découvertes). Il est l'auteur de l’essai Génétique : entre réalité scientifique et mythe médiatique, aux Éditions Manuscrit.
 
 
Notes
1. http://www.garnier-malet.com
J.P. Garnier-Malet, 2006, The Doubling Theory Corrects the Titius-Bode Law and Defines the Fine Structure Constant in the Solar System. Computing Anticipatory Systems, AIP (American Institute of Physics) Melville, New-York, Vol 839, pp. 236-249.
2. CNRS Info 325, 15 juin 1996.
3. C2 = 7C1 = (73/12)105C où C est la vitesse de la lumière. D'où C2 = 7C1 = 857 milliards de km/s.
4. Alain Aspect 1982, Nicolas Gisin 1998, André Suarez 2001.
5. La plus célèbre étant celle d'Einstein E=mc2.
6. L'espace dodécaédrique de Poincaré peut se décrire comme l'intérieur d'un dodécaèdre sphérique - sphère composée de 12 faces pentagonales - tel que, si l'on sort par une face pentagonale, on rentre immédiatement par la face opposée après une rotation de 360°. Un tel espace est donc fini, bien que sans frontière ni bord, de sorte que l'on peut y voyager indéfiniment sans obstacle. Source : Observatoire de Paris.
7. R. Lehoucq, J.- P. Uzan and J.- P. Luminet: « Limits of crystallographic methods for detecting space topology », Astronomy and Astrophysics (20001), 363, 1.
8. On distingue les vrais crop-circles (faits par on ne sait qui) et les faux (faits par les hommes) par le fait est que, dans les vrais, les céréales continuent de pousser, et l'année suivante, le dessin est encore visible après les semailles, lors du début de la pousse. Cela n'est pas le cas pour les faux.
9. Internet momies chinoises.
10. J.P. Garnier-Malet, 2006, The Doubling Theory Corrects the Titius-Bode Law and Defines the Fine Structure Constant in the Solar System. Computing Anticipatory Systems, AlP, Melville, New-York, Vol 839, pp. 236-249.
11. La ceinture de Kuiper est une zone du système solaire à la limite de l'orbite de Pluton.
12. Ancien testament.
13. Prochaine publication scientifique.
14. Saul Perlmutter and al. (1998) « Discovery of a Supernova Explosion at Half the Age of the Universe (the Supernova Cosmology Project) » Nature, vol. 391, pp. 51-54.
15. Abbot Larry, 1998, « Le Mystère de la Constante Cosmologique », Pour la Science, n° 249. Jean-Philippe Uzan, 2004, « Que cache la constante cosmologique ? » Pour La Science n°326.
16. Entre autres http://news.nationalgeographic.com/news/2007/08/070824-hole-sky.html
17. Voir les livres : Changez votre futur par les ouvertures temporelles et Le Double, comment ça marche ? aux Éditions Le Temps Présent.
18. Voir l'Apocalypse de Saint Jean.
 

Dernière mise à jour : 04-09-2008 20:56

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