Francs-maçons = Maladie d’Alzheimer
 

Ecrit par Sechy, le 17-12-2012 17:46

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Francs-maçons = Maladie d’Alzheimer
suite aux lois Jules Ferry



Le Bétail (nous) doit-être engraissé par les talmudo-sionistes.

Nouvelle page dédiée à Sainte Thérèse de Lisieux.
 
 
 
« Dès qu’on commence, à se rechercher soi-même, à l’instant on cesse d’aimer ». Cela, parce qu’on remeuble son cœur, il n’est plus vide et la place offerte à l’Amour s’en trouve diminuée... » (Sainte Thérèse de Lisieux, Acte d’Offrande comme Victime d’Holocauste à l’Amour Miséricordieux du Bon Dieu)
Sainte Thérèse de Lisieux ne peut dire que comme Ramana Maharshi à propos du Soi ou Instant. Elle emploie le mot ‘remeuble’ équivalent du mental.
 
 
Cela se passe sous le début de la troisième république : école gratuite (1881), école obligatoire et enseignement laïque (1882).
Le lavage de cerveaux républicains modèle judéo-maçonnique pouvait commencer. Cela donnera un patriotisme mélangé de communisme : la future chair à canons des deux guerres mondiales, dans l’optique de Weishaupt du « peuple souverain ». Un système communisme puisque les écoles de Jules Ferry interdisaient toutes autres langues que la langue française. Les « commissaires du peuple » (façon soviétique) furent les instituteurs formés dans les casernes appelées « Écoles normales ».

Évidemment tout l’éducation à la Jules Ferry se fera selon la religion républicaine, je n’hésite pas à faire cette comparaison puisque la franc-maçonnerie est une religion, quoique ses adeptes puissent en dire.
Tout cela pour en venir à cette coupure de la spiritualité, coupure qui permis le développement de la maladie d’Alzheimer, comme la découvert et l’avance le Docteur André Gernez.
En effet, pour le Dr. Gernez, le fait de croire et de la spiritualité serait situé dans le cerveau limbique. Si celui-ci n’est pas développé, il y a grand risque de maladie d’Alzheimer. la vie émotionnelle et la croyance dépendraient du système limbique. Le raisonnement cher aux travailleurs du chapeau ne peut détruire ni dévier ni refouler les signaux limbiques.

Donc l’atrophie limbique qui donnera l’Alzheimer résulte de la décision du franc-maçon Jules Ferry, où sous le démarrage de la troisième république, une diarrhée de lois législatives vire hors de France 265 congrégations religieuses, et interdit l’enseignement religieux dans les écoles publiques républicaines ; ainsi se ferment plus de 16.000 écoles catholiques. La franc-maçonnerie et Weishaupt prenaient momentanément leur revanche. Mais ces lois maçonniques concernent la tranche d’âge où le cerveau des enfants se construit et acquière un sens de la spiritualité. Avec Jules Ferry, pas de nouvelle Sainte Thérèse de Lisieux à l’horizon !

Ici un pdf du Dr. Gernez sur la maladie d’Alzheimer.

Étrange cette antique maladie de vouloir faire « triompher » la morale, l’égalité et la liberté ! Cette « liberté » qui envoie à la mort d’autres humains. Par exemple Babeuf se comportait comme se comportera plus tard Lénine : Expropriation (pillage d’État), donc toutes les propriétés seraient enlevées à leur présents propriétaires par la force : celle de la populace armée. L’expropriation concernait évidemment les biens de l’Église ; ce fut le député Thouret qui l’avait lancé dans un débat à l’Assemblée Nationale sur les biens du clergé en 1790.

Le Babeuf est atteint non pas de l’Alzheimer, mais comme tout le monde de la maladie de la liberté : il veut le « Bonheur Commun », ce qui donnera plus tard les asiles psychiatrique et Big Pharma voulant absolument rendre les gens « heureux »..... de travailler ! Un autre est atteint : le marquis d’Antonnelle : « Le communisme d’État est seul juste, seul bon ; sans un tel état de choses, il ne peut exister de société paisible ni réellement heureuse » (d’après des pièces saisies chez Babeuf).

Babeuf forme un mini Ordre à la Weishaupt avec le système des sectes : « Malheur à ceux qui dont nous aurons à nous plaindre. Réfléchissez bien que les véritables conspirateurs ne peuvent jamais lâcher ceux qu’ils ont décidé un jour d’employer » (pièces saisies chez Babeuf). Ensuite il vend son package maçonnique trinitaire : liberté ou bonheur, égalité, fraternité.
C’était un fervent adepte des droits de l’homme et un obsédé du « bonheur commun » et de la suppression de la propriété, la Terre appartenant à tous. Allez dire ça aux actuels marchands de pétrole, d’eau, de fruits et légumes, etc.
Le Babeuf ne veut plus que 20 millions d’individus travaillent pour une « infime minorité ». Mais c’est toujours le cas en 2012 ! Babeuf veut l’égalité digne de l’égalisation par la guillotine : plus de riches ni de pauvres : tout le monde pareil,  et riche ou DORG (Demain On Rase Gratis).
Il ne voit que des différences entre les deux sexes et l’âge des personnes. Là encore il se trompe avec le « mariage gay » : plus de différence ou triomphe des minorités : égalité maladive sous prétexte « d’intégration » ou même soupe pour tous : comme actuellement faire des lois pour toutes les minorités pour que la majorité n’en ait plus afin quelle disparaisse ! Nous sommes dans le "United Colors of Benitton".
Babeuf dans son délire va même jusqu’à prôner non seulement une seule éducation mais aussi UN SEUL GENRE DE NOURRITURE. Il veut fonder « la république des égaux ». Bref, Babeuf plane sous l’égrégore de Weishaupt. Le délire de Babeuf se terminait pas : « Dussent périr tous les arts, mais que l’Égalité réelle nous soit donnée ».

Babeuf et son Babouvisme est identique au Bolchevisme. Aucune différence entre les deux doctrines. Mais Babeuf dans sa demie folie annonce inévitablement notre actuel mondialisme : « La Révolution Française est l’avant-coureur d’une autre révolution, bien plus grande, bien plus solennelle, et qui sera la dernière ».
La conspiration de Babeuf (Conjuration des Égaux) fut le dernier effort de la Révolution Française expirante pour réaliser le grand plan de Weishaupt. 1789 est bien de nature universelle, la révolution russe de 1917 n’a fait que suivre.

Babeuf malgré sa demie folie était prophète du Diable, lorsqu’il rétorque à la question de comment ériger ce temple de l’égalité et la redistribution des richesses après un pillage et des meurtres généralisés : « Tout cela n’est que simple affaire de compter les choses et les gens, une simple opération de calcul et de combinaisons et par conséquent est susceptible d’un haut degré d’ordre ». Non seulement d’inspiration de Weishaupt, mais cela pourrait très facilement se réaliser avec notre binaire technologique actuel où absolument tout commence à être en RÉSEAUX. C’est proprement diabolique.
Babeuf semble avoir copié son communisme chez les Incas, qui inventèrent la notion de Petit-Père-des-peuples. La propriété et la monnaie n’existait pas. Ils ne pouvaient exercer aucun métier, se livrer à aucun travail, à aucun amusement, autres que ceux que la loi avait spécialement réglés. Ils ne jouissaient même pas de liberté comme celle de choisir leurs femmes. « L’esprit impératif du despotisme ne leur permettait pas d’être heureux ou malheureux, autrement qu’il n’était réglé par la loi ». (Ref. William H. Prescott, dans : Aztèques et Incas).

Babeuf voulait fonder la RÉPUBLIQUE DES ÉGAUX (en fait la TYRANNIE RÉPUBLICAINE) : les travailleurs ne seront rémunérés qu’en produits du travail stockés dans d’immense Magasins communaux et distribués à part égales à tous les travailleurs. Donc plus de monnaie, plus de commerce, les échanges se feront par le troc. Les jeunes gens n’auront pas le droit de choisir leur métier, mais seront formés à celui qui sera demandé comme le plus urgent pour la communauté. La France étant un pays d’agriculteurs, Babeuf et ses sbires espéraient que les villes comme Paris disparaitraient, car c’était dans ces villes que fleurissaient les capitalistes et les parasites.
« Dans l’ordre social conçu par le Comité, le pays s’empare de l’individu naissant pour ne l’abandonner qu’à sa mort ». C’est non seulement comme chez les Incas, mais aussi sur le modèle de Jean-Jacques Rousseau (Émile, Contrat Social, qui sont enfants de John Locke et de Thomas Hobbes, et aussi de Calvin), et chez les talmudo-sionistes : du bétail non seulement soumis mais surtout engraissé. Donc une éducation générale mais primitive : lire, écrire, savoir les quatre opérations de calculs. Au delà, toutes les voies du savoir étaient interdites : « Les hommes ne se consacrent d’eux-mêmes aux sciences et ainsi ne deviennent vains et opposés au travail manuel », Weishaupt avait déclaré que les sciences étaient contraire à la Nature : « invention de la vanité et de cerveaux vides ». (Voir en tête d'article la citation de Sainte Thérèse de Lisieux !)

Dans la RÉPUBLIQUE DES ÉGAUX pas d’amusements personnels, pour rompre la monotonie des jours de fêtes seront organisées par la république lors desquelles on ne devra porter que ses vêtements de travail, afin de respecter l’égalité absolue. De nos jours républicains, nous avons : la Fête de la musique, les Journées du patrimoine, le Salon de la Bande dessinée, les Raves parties, etc.

Babeuf était un demi fou : « Le Grand Jour du peuple, dans lequel toute opposition serait instantanément supprimée, l’ensemble de l’ordre social anéanti, et la République de l’Égalité érigée sur ses ruines ».
Selon son secrétaire Pillé, voici le délire de Babeuf : « Aux armes ! Aux armes ! L’insurrection ! L’insurrection commence ! « C’était une insurrection contre les chaises ajouta Pillé ». Alors Babeuf se précipitait sur sa plume, la plongeait dans l’encre, et se mettait à écrire avec une effrayante rapidité, cependant qu’il tremblait de tout son corps et que la transpiration perlait à son front. « Ce n’était plus de la folie déclara Pillé, c’était de la frénésie ».

Évidement qui dit révolution dit fric pour la financer, aussi commença le PILLAGE D’ÉTAT, à commencer par les biens de l’Église, dont les monastères qui furent construits autrefois des mains des moines. L’État pille les biens de la couronnes, les biens nationaux et les châteaux. Le pillage devint la règle à l’incitation de Sieyès et Rewbell.
La Conspiration de Babeuf aurait été financé par le prince Charles de Hesse, membre lui aussi des Illuminés de Weishaupt. Malgré la dissolution de la secte de Weishaupt, et lui-même arrêté en 1786 et condamné à mort, il s’était évadé et réfugié chez le duc Louis-Ernest de Saxe-Gotha, où il restera jusqu’à son décès. Mais les chefs illuministes vivaient toujours, dont ceux appartenant aux maisons princières et de noblesses comme : le duc Auguste de Saxe-Gotha, le duc Charles-Auguste de Saxe-Weimar, le duc Ferdinand de Brunswick, le duc Ernest de Saxe-Cobourg-Gotha, le prince Ferdinand de Brunswick, le prince évêque Dalberg, le baron de Stem, le comte de Maugelas qui sera ministre du roi de Bavière, le comte Kolowrat en Autriche, etc.
Le prince évêque Dalberg lié avec Charles-Frédéric Budérus l’intendant du prince Guillaume IX de Hesse-Cassel qui aida Mayer Amschel Rothschild à démarrer sa fortune et ses intrigues financières de cour, étouffera les enquêtes demandées par Davout à Savary sur les transfert de fonds illicites opérés par Rothschild de Francfort pour financer le réarmement de la Prusse...

À ces pillages d’État comme ceux des biens de l’Église, s’ajoutaient les pillages à titre personnel opérés par les généraux des armées révolutionnaires, Soult en Rhénanie, et le franc-maçon Masséna à Rome ; il faut ajouter les vols de tableaux et d’objets précieux volés dans les châteaux et palais et revendus aux brocanteurs juifs qui suivaient l’armée. Ces brocanteurs et ces financiers juifs qui vendirent toutes ces richesses de la France en Angleterre.

Comme de nos jours avec nos médias, la manipulation de l’opinion allait très fort : « Il faut éviter toute réflexion de la part du peuple. Il faut qu’ils commettent des actes qui les empêchent de revenir en arrière ». Un certain Jean Antoine Rossignol, qui avait été général des armées révolutionnaire dans les guerres de Vendée criait : « Je n’aurais rien à faire de votre insurrection, à moins que les têtes ne tombent comme la grêle... et qu’elle inspire une telle terreur qu’elle fasse trembler tout l’univers... »
 
 
[En référence à : La révolution mondiale - Complot contre la civilisation, de Nesta Webster].
 
 

Dernière mise à jour : 17-12-2012 18:28

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