Lourdes chaînes du confort des religions
 

Ecrit par Sechy, le 01-01-2013 19:39

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Lourdes chaînes du confort des religions
Pièges des religions
Inquisition des religions
 
 
La morale n’est pas une science en soi, elle ne vaut que par ses références à l’être humain ou Soi ou Instant. Ainsi est le sens de la devise supposée des Alains et des Burgondes et des Suèves : « Mes droits sont à mon libre arbitre ». 
 
RELIGION : du latin religio : attention scrupuleuse, vénération, de relegere : recueillir, rassembler, et de religare : relier. Donc comme tout symbole c’est à DOUBLE SENS et depuis plus de 10.000 ans c’est au sens des CHAÎNES, de l’esclavage. Rare sont les personnes à s’en être libéré. Sainte Thérèse de Lisieux, Ramana Maharshi, Jean Coulonval, sont de celles-là.
 
 
 
« La Vérité Suprême est si simple. Ce n’est rien d’autre que d’être dans l’état originel [être dans l’Instant, le Soi]. Il n’y a rien de plus à dire.
N’est-il pas étonnant que pour enseigner une vérité aussi simple il faille que tant de religions, croyances, méthodes en viennent à exister avec les discordes qui en découlent entre elles ? Oh quelle pitié ! Quelle pitié ! ». (Ramana Maharshi, entretien 96).

« Dieu est une entité inconnue. De plus, Il est extérieur. Alors que le Soi [Instant] est toujours en vous, il est VOUS. pourquoi donc quitter ce qui vous est intime pour aller chercher ce qui vous est extérieur ? [le Royaume des Cieux est en Vous] » (Ramana Maharshi, entretien 106).

Maintenant si « l’Éternel » (le « Seigneur » chez les Chrétiens) que s’approprient ceux qui se nomment « Juifs » est l’Instant ou Soi, traduit par le mot Jéhovah, à ce qu’en rapporte Ramana Maharshi, ce n’est qu’une question de mots/maux déflorants toutes choses.

« Le Soi est connu de chacun, mais pas clairement. Vous existez toujours. Le fait d’être est le Soi [Instant]. « Je suis » est le nom de Dieu. De toutes les définitions de Dieu, nulle n’est mieux exprimée que celle de la Bible (Exode 3, 14) : « Dieu dit à Moïse : ‘Je suis celui qui est’. Et il dit : « Voici ce que tu diras aux Israélites : ‘Je suis’ m’a envoyé vers vous ». [Le ‘Je suis’ pouvant aussi se traduire par : « Je suis CELUI QUI SUIS »]. Il y a d’autres déclarations... [Maharshi donne des exemples de son pays]. Mais aucune n’est aussi directe que le nom de Jehovah = JE SUIS. L’Être absolu est ce QUI EST. C’est le Soi, Dieu [l’Instant, le Cœur, le Centrum Centri, la Conscience, etc., ça dépend du point de vue de la personne]. En connaissant le Soi, on connaît Dieu. En fait, Dieu n’est rien d’autre que le Soi [Instant].
...
La Félicité [Libération, Liberté] n’est pas quelque chose à atteindre. Vous êtes toujours Félicité. Le désir de Félicité provient de votre sentiment d’être incomplet. Qui éprouve ce sentiment ? Cherchez. En sommeil profond vous êtes dans la Félicité. Maintenant vous n’y êtes plus. Qui s’est interposé entre la Félicité et la non-Félicité ? C’est l’ego. Cherchez sa source et découvrez que vous êtes Félicité.
Il n’y a rien de nouveau à obtenir. Vous devez seulement vous dépouiller de votre ignorance, laquelle vous fait croire que vous êtes autre que la Félicité. Pour qui est cette ignorance ? Pour l’ego. Cherchez la source de l’ego. Alors l’ego disparaît et seule subsiste la Félicité. Elle est éternelle. Vous êtes cela, ici et maintenant... C’est la clé maîtresse pour résoudre tous les doutes. Les doutes s’élèvent dans le mental. Le mental est né de l’égo. L’ego provient du Soi. Cherchez la source de l’ego et le Soi se révélera. Lui seul demeure. L’Univers n’est que l’expression du Soi. Il n’est pas différent du Soi ».
(Entretien 106, avec complément sur l’Exode 3 : Vocation de Moïse, révélation du Nom divin)

Précision : dans la Bible de Jérusalem, il est précisé que le mot Yahvé est que forme archaïque du verbe être. Et la traduction de l’école biblique de Jérusalem précise qu’il faut comprendre « Je suis celui qui est », mais catastrophe, jamais il n’est mentionné que ce « Je suis celui qui est » est l’INSTANT, LE SOI. Cette Bible de Jérusalem voit Dieu comme extérieur, alors qu’Il est intérieur...

La fausse identification du Soi avec le non-Soi (ou soi avec un s minuscule) incite à demander « Qui suis-je ? ». Si l’approche du Soi varie selon la personnalité de chacun, le Soi reste cependant le même. Demander comment réaliser le Soi paraît absurde et correspond au « but à atteindre ». Chacun est le Soi Instant. Les questions viennent à cause de la fausse identification du Soi avec le corps. C’est l’ignorance. Quand elle disparaît, seul le Soi est.

« Le sage n’est pas ignorant parce qu’il n’y a pas de but à atteindre pour lui » (ref. entr. 355). Ainsi l’éducation est une ignorance savante (le savoir, qui n’est pas connaissance). L’éducation, surtout dans les « grandes écoles », ce sont les « Diplômes de la mort ».



LE LOUPAGE D’INSTANT.

Les religions comme les sciences (actuelles) rendent esclaves comme nous rend esclaves la géométrie euclidienne des religions du Salut.

« On représente le temps comme s’il s’agissait d’une série de points formant une ligne et qui soient de quelques façons présents partout ensemble, pour notre observation conceptuelle, ou peut-être celle de Dieu. Notre expérience réelle, toutefois, est que lorsqu’un moment donné, disons t2, est présent et réel, il existe un moment plus tôt, tel que t1, qui est alors passé. C’est-à-dire il est parti, non existant, et ne reviendra jamais [oui car on oublie alors l’Instant]. Dire que la vitesse d’une particule, maintenant (en t2), est (x2 - x1)/(t2 - t1), c’est donc tenter de relier ce qui est (par exemple x2 et t2) à ce qui n’est pas (c’est-à-dire x1 et t1). Nous pouvons bien sûr faire ceci de façon abstraite et symbolique, ce qui correspond en effet, à la pratique commune en science et en mathématiques, mais le fait suivant, non compris dans le symbolisme abstrait, est que vitesse de maintenant est active maintenant (par exemple, elle détermine comment une particule agira à partir de maintenant, en elle-même, et en relation avec les autres particules). Comment allons-nous comprendre alors l’activité présente de la position (x1) qui est maintenant non existante et partie pour toujours ?
On pense communément que ce problème peut être résolu par le calcul différentiel...
Cette procédure est encore et aussi abstraite que la précédente, dans laquelle l’intervalle de temps était pris comme fini. Ainsi nous n’avons pas d’expérience immédiate de l’intervalle de temps égal à zéro [Instant], et on ne voit pas non plus très bien à quoi cela pourrait correspondre dans les termes de la pensée réflexive ». (Référence : La Plénitude de l’Univers, de David Bohm).

Maintenant si les religions tiennent dans les chaines, il y a pire : les sociétés secrètes et surtout la franc-maçonnerie née en 1717.
Ainsi depuis 1789 nous vivons dans une DICTATURE MOLLE nommée DÉMOCRATIE. typiquement du eyes candy, du DORG (Demain On Rase Gratis). Comme l’explique Jean Coulonval en termes sobres et respectueux (dans Synthèse et Temps Nouveaux), les sociétés secrètes et surtout la franc-maçonnerie du style Grand Orient de France (et une obédience déguisée comme le CRIF en France) sont une domination plus ou moins secrète et surtout bien plus efficace qu’une dictature avérée. Le mot/maux « démocratie » n’est qu’un cache-misère destinée à camoufler la structure du pouvoir réel. En plus à cela il faut désormais, depuis au moins la Renaissance, ajouter le pouvoir des banques qui aujourd’hui dirigent tout.
Il est signification que le pouvoir occulte de la franc-maçonnerie s’appuie sur Hiram, constructeur du Temple, et au roi Salomon, allant ainsi contre l’Instant.

« Qui se sert du crochet, du cordeau, du compas et de l’équerre pour rectifier, offense la Nature ; qui se sert de la corde, de la ficelle, de la colle et de la laque pour consolider les choses va à l’encontre de leurs qualités propres. Qui plie les hommes par le rite et les rompt par la musique, qui les protège par la bonté et les relie par la justice, celui-là corrompt leur nature originelle » (Tchouang-tseu, chapitre 8, Pieds palmés).
 
Un contrôle déclaré, une dictature visible, connaissent rapidement leurs limites (voir l’URSS), car ils génèrent naturellement une compétition et une révolte qui peut couver de quelques mois à des décennies. Dans le totalitarisme le peuple connaît ceux qui les dominent. Mais un contrôle occulte, invisible, difficile à identifier et à cibler, s’exercera jusqu’à ce qu’il soit percé à jour, puisqu'on ne peut pas se rebeller contre quelque chose dont on ignore l’existence. C’est une prison sans barreaux, barreaux dont on est pas conscient. Ainsi, ceux qui se croient libres, en « démocratie », en « république », ne vont pas revendiquer leur liberté.
Partout, en Afrique, Amérique centrale et du Sud, Asie, Extrême-Orient, Australie, Nouvelle-Zélande, États-Unis, Canada, la domination directe de l’Europe et de la Grande Bretagne (où est née cette franc-maçonnerie spéculative en 1717 mais qui couvait pendant les deux révolutions anglaises : 1641-1649 et 1688-1689), s’est transformée en un contrôle cachée opéré par la lignée de la franc-maçonnerie et de ses sociétés plus ou moins secrètes comme le Bilderberg et autres clubs d’influence. Londres, Rome, sont les grands centres de ces réseaux maçonniques.

Circoncision ou ablation des cheveux : la Kippa, la tonsure, découlant des crânes rasés des prêtres égyptiens. On parle de CALOTTE : celle du pape et de la hiérarchie catholique romaine. La Kippa imite la tonsure ou le crâne rasé sans se raser le crâne ! Toujours le matérialisme juif !!! De plus on interdisait aux prêtres juifs de raser une quelconque partie de leur crâne (Lévitique 21, 5 : « Ils ne se feront pas de tonsure sur la tête, ils ne se raseront pas le bord de la barbe et ne se feront pas d’incisions sur le corps »).

Voir Les deux Babylones, de Alexander Hislop)

Tout cela remonte encore et toujours à Sumer/Babylone. Les prêtres d’Osiris se reconnaissaient à leur crâne rasé. Dans la Rome païenne, en Inde, en Chine, la marque distinctive du clergé babylonien était le rasage du crâne. Siddhartha Gautama était surnommé « Crâne Rasé ».


[En haut de page : superposition du Dieu Suprême (1er siècle après J.C. Syrie) à soleil et croissant lunaire derrière la tête, et le symbole politique et religieux de l’Islam. Musée du Louvre]
 
 

Dernière mise à jour : 01-01-2013 21:22

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