L’erreur de Darwin et des Marxistes
 

Ecrit par Sechy, le 03-02-2013 01:21

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L’erreur de Darwin et des Marxistes
L’erreur des grosses barbes



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Le GADLU (Grand Architecte De L’Univers ou Dieu maçonnique) :
Romain 8, 19-22 : « C’est au désordre, en effet, que fut assujettie la Création, non de son plein gré, mais à cause de celui qui l’y a assujettie, avec toutefois l’espoir que la Création elle aussi serait libérée de l’esclavage de la corruption pour participer à la liberté des enfants de Dieu. Car, nous le savons, la Création tout entière gémit et connaît les douleurs de l’enfantement jusqu’à ce jour ».
« Les Monstres humains ne souhaitent pas voir les Fées, quoi qu’ils en disent, ils préfèrent les images pieuses que le Malin concocte ». (Le Manuscrit des Paroles du Druide sans Nom et sans Visage, Emmanuel-Yves Monin)
 
Comme l’écrit Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, désormais, les croyants ne suffisent plus (surtout depuis Vatican 2 et parce que la croyance est trompeuse !). Il faut des SACHANTS. Parce que l’Église est creuse avec ce Vatican 2 ne dépassant jamais le verbalisme : « Un mystère est une vérité que nous ne pouvons pas comprendre, mais que nous devons croire », à propos de la Trinité. Ainsi on se laisse mener comme des moutons, des brebis, ensuite vient la tonte ou l’abattoir.



SACHANT (définition essentielle en référence à Jean Coulonval) : celui qui sait que le refus de Dieu, de l’Un, du Soi, de l’Instant ou Soi qui est l’unité de Trois (Rouge-Blanc-Bleu ou Passé-Présent-Futur) a condamné les trois (parts trinitaires) à des conflits perpétuels de suprématie. Le péché originel, c’est la rupture de l’ordre Trinitaire en toutes choses créées. « Le désordre qui en tout mon être, du poil jusqu’au cerveau, se nourrit du désordre qui et autour de moi. Et le désordre qui est en moi, nourrit le désordre autour de moi ». Le Christ ou Instant ou Soi, seul, transcende ce conflit de l’individuel et du collectif. Le Christ est symbole du Soi ou Instant ou Centrum Centri, et pourquoi pas jusqu’à la Stargate. Car le Sachant est à la fois le participant à l’absolu et l’Absolu lui-même. Il est un Réalisé.



Staline était un Pape à l’envers, qui parlait ex cathedra pour « dire le dogme » selon l’évolution. Il illustrait et agissait comme un « moteur immobile », non affecté par l’évolution, mais la dirigeant. Après sa mort, privé de son Pape, le monde communiste s’est plongé dans le désordre et le désarroi doctrinal qui devint son « protestantisme » (et dure encore de façon larvaire maintenant en Russie quoi que l’on puisse prétendre le contraire).
Les Papes et autres malades de pouvoir, Jean Coulonval les appellent « les chefs de harde » (troupeau de bêtes sauvages vivant ensemble), « avec les plus grandes cornes, les plus pointue, les plus polies. Les fabricants d’opinions, de psychoses collectives, les inventeurs de « ismes ». Des pachydermes géants, qui s’appellent Staline, Hitler, Mussolini, De Gaulle, Nasser, Mao. Tout le monde veut s’intégrer, trouver la sécurité, le confort intellectuel et sentimental dans une harde. Même les curés veulent caricaturer la religion pour en faire une question de psychisme, ce qui est aussi con que de parler d’un cercle carré ». (Lettre du 12 décembre 1972 à Eugène Ionesco).

Le Darwinisme et le Marxisme trouvent leur source dans la révolution de 1789 et la judéo-franc-maçonnerie avec notamment les têtes d’œufs suivantes : Laplace, Voltaire, Auguste Comte, Paul Valéry et bien-sur les Marxistes. Tous ces gens s’attachent au dogme et refusent à l’Esprit d’être objet de recherche. Pour eux il n’existe pas une « chose » nommée Esprit qui soit descriptible indépendamment de cette autre chose nommée Matière. Alors il n’est pas étonnant que le Marxisme puisse énoncer que la structure intellectuelle de l’individu soit le produit de son milieu ! Donc pas de SOI ou INSTANT. L’individu est condamné à vivre dans l’évolutionnisme ou temps linéaire en géométrie de la ligne droite entre le passé et le futur.
Voltaire lance son opinion : « Pauvre pédant, tu vois une plante qui végète et tu dis végétation, ou même âme végétative ; mais, de grâce, qu’entends-tu par ces mots ? Cette fleur végète, mais y a-t-il un être réel qui s’appelle végétation ? » Ce qui me rappelle ce psychiatre que je consultait et qui me disait : « Monsieur je ne soigne pas l’âme », ou bien ce chirurgien disant en opérant un corps : « Je ne vois pas d’âme là-dedans », ce qui finalement correspond au détournement du sens du mot SCIENCE correspondant dorénavant à une technique, mais qu’on persiste dans l’erreur à qualifier de « science », le nouveau sens devient : non une science mais une technique, car consistant à mesurer et à pouvoir reproduire en tout temps et en tout lieux, et par toute personne, une expérience ; on atteint donc là la fameuse égalité chère au siècle des lumières (exaltation du mental) et aux francs-maçons.

Paul Valéry ajoute : « On aurait beau errer dans un cerveau, on y trouverait pas un état d’âme ».

Les Marxistes refusent l’évidence à la fois logique et expérimentale selon laquelle notre seule preuve irréfutable de l’existence du monde est la perception spirituelle que nous avons (comme l’explique Ramana Maharshi : tout est dans le cerveau, car dans la réalisation du Soi il n’y a que Être et rien d’autre que Être).
Ramana Maharshi explique à l’entretien 33 que des penseurs appliquent même vaguement la Réalité aux objets.
- Premier degré. « Ils avancent que la Réalité reflétée [surimposée] admet des degrés qu’ils appellent « réalité de la vie quotidienne ». Par exemple, je vois cette chaise, elle est donc réelle. (C’est la position des Marxistes !)
- Deuxième degré. Réalité illusoire : un serpent dans une corde enroulée. L’apparence du serpent est réelle pour l’homme qui y croit. Il s’agit d’un phénomène limité dans le temps et qui apparaît dans certaines circonstances.
- Troisième degré. Réalité absolue. Ce qui reste toujours immuablement toujours le même ; ce que tentent de constituer les francs-maçons avec leur quincaillerie compas et équerre en forme de Lois Noachides.
Le mot « Réalité » utilisé dans son sens large permet d’avancer que le monde comprend la vie quotidienne et divers degrés d’illusion. Ramana Maharshi ajoute : « certains, cependant, nient même la réalité de la vie quotidienne, et la considère uniquement comme une projection mentale ; selon eux, elle n’est qu’une illusion telle qu’elle apparaît à un individu ».
De toute façon là-dedans il y a le mental avec les enchaînements de l’idéation éloignant de l’Instant, du Soi.

- Question : Ne devrions-nous pas chercher la réalité ultime du monde, de l’individu, de Dieu ?
- Maharshi : Tous trois sont des conceptions du ‘je’, qui ne s’élèvent qu’après l’apparition de la pensée ‘je’. Y pensiez-vous en sommeil profond ? Cependant, vous existiez et vous étiez la même que celle qui parle en ce moment. Si Dieu, le monde et l’individu étaient réels, ne devraient-ils pas l’être également dans votre sommeil profond ? Ils dépendent donc seulement de la pensée ‘je’. Encore une fois, le monde vous dit-il : « Je suis le monde » ? Le corps dit-il : « Je suis le corps » ? C’est vous qui dites : « Ceci est le monde », « Ceci est le corps » et ainsi de suite. Ce ne sont donc que vos conceptions. Trouvez qui vous êtes et il y aura une fin à vos doutes.

Tout est dit dans cet entretien 197 du 9 juin 1936 et est le complément de la définition du SACHANT. Oui, désormais il ne faut plus être un croyant mais un SACHANT pour échapper à l’horreur du Nouvel Ordre Mondial et à ses Lois Noachides et sa clique judéo-franc-maçonnique.

À propos du marxisme, de la vie quotidienne ou laïcité : « La vie de tous les jours n’est pas distincte de l’état éternel. Tant qu’on s’imagine que la vie quotidienne est différente de la vie spirituelle [laïcité], ces difficultés apparaissent [prison du mental et de ses pensées ‘raison’]. Si la vie spirituelle est comprise correctement, on découvre que la vie active n’est pas différente d’elle ». (Entretien 376).
- Question : Le monde visible est-il réel ?
- Maharshi : Il est aussi vrai que celui qui le voit. Sujet, objet et perception forment la triade. Il y a une réalité au-delà de ces trois éléments. Eux apparaissent et disparaissent, tandis que la Vérité est éternelle.
- Question (ayant rapport avec la Trinité) : Cette apparition de la Triade n’est que temporaire.
- Maharshi : Oui. Si on reconnaît le Soi, même dans les choses temporelles, on constate que celles-ci n’ont pas d’existence ou plutôt qu’elles ne sont pas distinctes du Soi ; et en même temps, elles continuent d’exister [la circumincession étant mouvement].

Le monde est diversité, laquelle est une fonction du mental. Le mental brille par la Lumière réfléchie, c’est la lumière réfléchie du Soi. Les images sur un écran de cinéma ne sont perceptibles que dans une lumière diffuse, artificielle ; elles ne peuvent être vues ni dans un lumière éclatante ni dans une forte obscurité. De même, les images du monde ne sont perceptibles que dans une lumière diffuse, c’est-à-dire dans la lumière du Soi, réfléchie à travers l’obscurité de l’ignorance. Le monde n’est perceptible ni dans la pure ignorance, comme dans le sommeil, ni dans la pure lumière, comme dans la réalisation du Soi. L’ignorance est la cause de la diversité. (Entretien 381, du 2 avril 1937, où quelques mois avant sa mort Jagadish Chandra Bose vint voir le Maharshi).
Cet entretien rejoint le texte de Saint Paul cité en début de page.

L’Instant le Soi est en toute chose, quelque soit la petitesse ou la grandeur, ou l’état de fractionnement sur lesquels on considère les choses. Ainsi la mort N’EST PAS LA FIN de notre participation, de notre voyage dans les « affaires de l’Univers ». Comme l’écrit Jean E. Charon dans L’Esprit cet inconnu : « L’aventure spirituelle du mort se poursuit dans les électrons de son corps, après être demeuré plus ou moins longtemps dans cet état de sommeil profond... les électrons « renaissent » en participant à la matière d’un autre état organisé vivant, dans les règnes du végétal, de l’animal ou de l’Homme. C’est alors, en quelque sorte, une « réincarnation » du ‘Je’ dans un nouvel état vivant ». Jean Coulonval écrivit une lettre à Jean E. Charon le 15 mai 1972 où il y expose le Point Focal, et la définition d’un SACHANT.

Les Juifs qui refusent la Trinité (tout comme l’Islam stérilisant le circulus trinitaire) devraient pourtant savoir qu’Elle constitue le fondement d’une société : Pouvoir spirituel, Pouvoir politique, Pouvoir économique. Une trilogie en rapports analogiques, terme à terme, avec la Trinité, et dont les rapports réciproques doivent être conçus, non pas en antagonistes, mais comme étant l’Unité, le Soi ou Instant (Rouge-Passé, Blanc-Instant, Bleu-Futur). Les rapports des trois couleurs, des trois personnes de la Trinité sont l’archétype des rapports justes en toutes choses créées : Soi ou Instant, aussi bien en Science qu’en conception des structures justes de la société. La circumincession est le ciment qui fait de l’Univers une globalité, en établissant entre toutes choses les rapports justes de complémentarité et d’Amour, et non pas de rivalités.
Les désordres en tous domaines, intellectuels, sociaux, ou d’application dans la Science pure confondue en des techniques aberrantes, ne sont que le reflet de fausses visions du monde dans la rupture des vrais rapports trinitaires.

L’Église catholique actuelle n’est qu’un moralisme (au sens péjoratif, il suffit de voir les manifestations naïves contre le « mariage gay ») parce que n’étant qu’une esthétique de la sensibilité, coupées de ses références ontologiques.
Église horizontale ou Vatican 2, Église verticale ou traditionaliste = faux problème ! Car en définitive, une croix est faite d’une barre horizontale et verticale et forme à l’intersection le Christ, soit l’Instant le Soi.
L’Église de Vatican 2 n’est plus qu’un système externe administratif en rapport avec la judéo-franc-maçonnerie.

L’Église est comme une poule qui couve un œuf dont le germe est le Christ et le poussin à naître, de nouveaux Cieux, et une nouvelle terre. Mais elle ne semble pas savoir ce qu’elle couve.
Le marxisme, l’anti-église, est une poule qui couve des œufs clairs qui ne peuvent que pourrir. Il n’y aura jamais de lendemains qui chantent [DORG ou Demain On Rase Gratis]. Le marxisme, lui, croit savoir ce qu’il couve, mais ne sait pas que ce sont des œufs clairs, sans germe. À la fausse synthèse qu’est le marxisme, opposez la vraie synthèse, la « catholicité ». Si vous en êtes capables. (Lettre de Coulonval du 26 novembre 1977 à Monseigneur Matagrin, évêque de Grenoble).

En résumé : l’opinion judaïque court en teintant le mythe de l’évolutionnisme, de la Sainte Croissance ou Progrès, dans le darwinisme et le communisme. On peut y ajouter la « théorie du Big Bang » (expansion de l’Univers de l’Abbé Georges Lemaître). Dans tout cela il n’y a pas le circulus où le Christ ou Soi est Source. L’évolutionnisme c’est le DORG (Demain On Rase Gratis) ou « lendemains qui chantent », ou « Royaume de Dieu sur Terre ».

Que l’évolutionnisme ou le Darwinisme voulant que l’humain soit né de la matière soit enfin démasqué comme une opinion de plus, et le communisme ou mondialisme s’écroule. Mais évolutionnistes ou créationnistes sont un même problème : ils sont enfermés dans la même prison où ne se trouve pas le circulus.

Toute vraie Vie est Une, la Nature, l’Instant...
L’Instant, le Cœur c’est : « Vous êtes CELA. Les idées d’intérieur et d’extérieur n’existent que tant que vous n’acceptez pas votre identité ». (Ramana Maharshi, Enseignement 625 du 7 février 1939)

Shun : Peut-on atteindre la Voie et la garder ?
Zheng : Vous ne pouvez garder votre corps (vaisseau se détériorant), comment pourriez-vous garder la Voie ?
Shun : À qui est donc mon corps, s’il n’est pas à moi ?
Zheng : C’est une forme qui vous est fournie par le Ciel et la Terre. Le vie ne vous appartient pas : c’est une harmonie qui vous est fournie par le Ciel et la Terre. La Nature ne vous appartient pas : elle est vous est fournie par l’Univers. Vos descendants ne vous appartiennent pas : ils ne sont que mues confiées par l’univers. C’est pourquoi vous marchez sans savoir où vous allez, vous vous arrêtez sans savoir où vous restez, vous mangez sans connaître les saveurs. Telle est la force du souffle Yang de l’Univers. Comment pourriez-vous posséder quelque chose ?
(Lie Tseu, Traité du Vide parfait, Présages célestes)

Dialogue en correspondance parfaite avec l’enseignement de Ramana Maharshi !


Les traditions ou les mémoires, les livres disent telle ou telle chose, mais maintenant ce n’est plus approprié, alors réformons le monde pour en faire le Nouvel Ordre Mondial et ainsi appliquer les Lois Noachides. C’est avec de telles intentions que les humains depuis des temps immémoriaux, défont et refont le monde (notamment en 1789 et avec la trinité maçonnique). De tels réformateurs sont apparus et ont disparu ; mais les traditions sont toujours là. Pourquoi perdre son temps à « vouloir réformer le monde ». Que chacun s’occupe de ce qui le concerne, et tout ira bien (en référence à la fin de l’entretien 161).

« Qu’est-ce que le mental ? Réfléchissons-y. Quand l’homme sort de son sommeil, il perçoit le monde. Cette perception vient après la pensée ‘je’. Puis, la tête se soulève et le mental devient actif. Qu’est-ce que le monde ? C’est l’ensemble des objets répandus dans l’espace. Que contient cet ensemble ? Le mental. Mais le mental qui contient l’espace (akasha) ne serait-il pas lui-même espace ? L’espace est l’éther physique (bhutakasha). Le mental est l’éther subtil (mano kasha) qui est, lui, contenu dans l’éther transcendantal (chidakasha). Le mental est donc le principe éther (akasha-tattva). L’éther étant le principe de la connaissance (jnana-tattva), la métaphysique identifie le mental à l’éther. Le considérant comme tel, il ne devrait plus y avoir de difficulté à réconcilier la contradiction apparente contenue dans la question [comment le monde peut-il être une imagination ou une pensée ?] Le mental pur est éther (shuddha-manas). Les aspects dynamiques (rajas) et engourdis (tamas) du mental se manifestent sous forme d’objets du monde grossier. Par conséquent, l’Univers entier n’est que mental ».
(Entretien 451, du 7 février 1938).

Si on ne trouve pas la paix en soi-même, comment peut-on la propager dans le monde ? La libération n’est pas au bout d’un processus temporel mais se situe dans l’INSTANT. Aucun messie à attendre !
« Méfiez-vous des Religions qui vous prônent « l’Amour des humains » : elles ont oublié les Dieux.
Ce n’est pas se méfier des Sages : les êtres ont dénaturé leurs Paroles interprétées pour eux et pour élaborer des « religions ».
La Religion est PRATIQUE dans les deux significations du Mot, et non VITALE comme l’Art de Vie ; elle est pour tous et la protection de leurs groupements.
L’Art de Vie est pour les seuls quelques-uns déjà non sujettis aux mentions tribales de ces groupements. L’Art de Vie est comme le glaive : car la Vie est comme le Glaive [même thème que l’Arc-en-Ciel, le Point Focal, le Christ vibrant, etc.].
La Religion est comme l’Eau : car les groupements sont comme gouttes d’eau dans les flaques un instant : les Dieux les assèchent quand ils veulent.
L’Art de Vie apprend l’Humidification constante, qui est Plaisir des Dieux quand leur Message est écouté.
Le Message des Dieux, c’est l’Eau du Ciel : non acceptée, elle se retire.
La Vie : c’est l’Eau du Ciel qui féconde la Terre.
Estimer l’Eau et les Dieux : c’est honorer la Vie.
Estimer l’être humain qui estime les Dieux : c’est honorer les Dieux.
Estimer les mares qui se dessèchent : c’est maldire et bafouer les Dieux ».
(Le Manuscrit des Paroles du Druide sans Nom et sans Visage, Emmanuel-Yves Monin)
 
 

Dernière mise à jour : 03-02-2013 02:00

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