Aberration du « mariage pour tous »
 

Ecrit par Sechy, le 20-04-2013 22:48

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Aberration du « mariage pour tous »
 
 
Voir aussi la page : Sodomie ou enculé
 
Dans le terme « homosexuel », inventé en 1869 par le médecin hongrois Karoly Maria Kertbeny, il sonne le mot SEXE, donc une relation physique. Or dans le mariage traditionnelle il est à la fois question de sexe afin de procréer la prolongation de la race humaine par un mâle et une femelle, et d’amour ; de plus des personnes se marient et ne désirent pas d’enfants.
 
Mais comment définir le sens du homosexuel depuis 1869 ? Beaucoup de garçons adolescents ont des conduites homoérotiques  sans jamais se demander s’ils sont homosexuels ! D’autres jeunes n’ont pas de relations de ce type mais se posent la question. Il faut distinguer l’acte, l’amour, le désir qui amènent une « étiquette » à coller ou identification si commode en cet après 1789.

Longtemps et encore maintenant homosexuel = sodomie, mais les gays ne la pratiquent pas toujours et elle est fréquente chez les hétérosexuels. En France il y aurait 30% des hommes et 24% des femmes disant avoir pratiqué au moins une fois le coït anal, et 15% des hommes et 13% des femmes le pratiquent régulièrement. Souvent un homme qui en sodomise un autre ne se considère pas nécessairement comme homosexuel. Dans les pays latin, seul un homme qui se laisse pénétrer est considéré comme homosexuel ; et pour beaucoup d’hommes, pénétrer un autre homme n’est pas un acte homosexuel. Par contre embrasser sur la bouche est bizarrement considéré comme homosexuel ! (toujours l’analogie machiste à la femme). Ainsi à nos époques et en Occident seul l’homme qui se laisse pénétrer et qui forme un lien amoureux est étiqueté : homosexuel, parce qu’il « ressemble à une femme ». Se faire pénétrer c’est comme un acte d’électricien : introduire une prise mâle dans une prise femelle, donc celui qui pénètre est la « prise mâle ». Dans cette approche d’électricien ce qui définit l’orientation sexuelle est la nature de l’acte physique sexuel et non pas le sexe du partenaire. Mais en Occident : aux USA et en Europe, c’est le sexe biologique de l’autre personne qui compte indépendamment de l’acte.

Ainsi, toute personne qui a des relations érotiques avec quelqu’un de son propre sexe est considérée comme homosexuelle ; peu importe ce qu’elle fait ou non. Même peine d’étiquetage et de « raison » si on a des relations avec des personnes de l’autre sexe, on est nommé « hétérosexuel » ; si on a des relations avec les deux sexes, on est bisexuel. Ce qui compte est donc ce avec qui on a des relations, et non ce que l’on fait. C’est pour moi un signe d’inversement de sens typiquement de l’après 1789 et du siècle des lumières et de leur « raison ». Avant la relation entre des personnes de même sexe était sans étiquette ou une étiquette au nom de PLAISIR (ou de RÉCRÉATION (Re-Création).
Dé-Sir, Plai-Sir : paix dissimulée mais autorisé par le roi ; il donne comme la permission d’outrepasser l’ordre des choses : Loi-Sir ; le Roi étant le représentant du Principe de l’Unité ou Instant. Le Loisir est donc ce qui est permis. Un contact physique entre hommes peut se passer de la « permission du roi », comme dans certains sports : les membres d’une équipe de football, ou de rugby, peuvent se regarder et se toucher d’une façon qui serait absolument interdite dans d’autres situations.

Donc ce ne sont pas en eux-mêmes les actes qui sont un critère, comme une chose que l’on mesure et ensuite qu’on identifie : « homosexuel ».
Maintenant, ce qu’on nomme « Amour », mot ou maux si vaste, qu’il laisse libre l’imagination au pouvoir. Deux femmes peuvent s’aimer d’un lien affectif beaucoup plus intense que celui qu’elles ont avec leur mâle de mari. Deux personnes de même sexe peuvent tout partager et en devenir indispensable l’une pour l’autre, comme prisonnière, et sans soupçonner, ni assumer, que leur relation ressemble à de l’amour. L’élément manquant est l’attraction de la relation sexuelle. Ainsi on peut diviser amitié et amour érotique (récréatif) ou excitation génitale. Mais une personne peut avoir le désir et le besoin de toucher l’autre personne sans percevoir une excitation génitale. D’autre part l’amour peut facilement se transformer en HAINE, en JALOUSIE, en OBSESSIONS, en DÉPENDANCE surtout.

Depuis le détournement du sens de « l’homosexualité » avec l’invention de ce terme en 1869 comme écrit plus haut, et suite à l’après 1789 et son capitalo-communiste, tout ce que peut dire d’elle-même une personne de sa sexualité est suspect, et ce qu’on peut dire d’elle l’est autant ; on entendait il y a quelques dizaines d’années seulement les termes « marcher à voile et à vapeur », ou « Il en est », etc., comme une condamnation infamante par la société, au même tire que l’alcoolique qui ne veut pas se « reconnaître » comme tel et que la thérapeutique force à le reconnaître, le « Qui le dit » de la psychanalyse : s’identifier soi-même, faire monter le ‘je’ ou le soi avec le s minuscule. La différence est énorme entre une épouse qui dit que son mari est alcoolique alors qu’il estime qu’il boit peu !
Aujourd’hui de l’après 1789 et de sa « raison » où on veut tout mesurer pour être « objectif », il importe seulement que l’individu lui-même se colle son étiquette sur le front, donc qu’il s’identifie comme on colle sur chaque individu un numéro de sécurité sociale, de carte d’identité, de poste de travail à l’usine, etc.
Cette civilisation devenue complètement folle veut tout contrôler, donc tout identifier. L’État, l’establishment médical et le Big Pharma psychiatrique, les compagnies d’assurances, les écoles, l’armée, et les parents d’éventuels homosexuels veulent MESURER OU ÉTIQUETER.
Il n’y a pas si longtemps on voulait MESURER les signes externes distinctifs des Yahvistes, avec les conséquences que l’on sait ! De nos jours du Saint Fric il y a seulement des raisons économiques et politiques pour chercher des signes mesurables de l’homosexualité (réf. Marina Castaneda : Comprendre l’homosexualité).
Nombre d’endroit, de pays, condamnent l’homosexualité, et ce n’est rien à côté de pays dit « démocratiques » où règne une homophobie galopante. Je pense à la France et aux années 1950-1960 où il fallait draguer dans le noir dans certaines salles de cinémas de quartiers, avec les ouvreuses compatissantes qui prévenaient les homos avec des signaux de leur lampe de poche lorsqu’il y avait une descente de police. Ces cinémas étaient les prototypes de l’actuel Backroom (véritable « maison de tolérance gay » où on consomme par tous les trous...).

L’assemblage du projet des capitalo-communistes « mariage gay ou pour tous » est une idiotie puisque DÉJÀ tout homme et toute femme peuvent se marier sous les conditions : ne pas déjà être marié ; être célibataire ; sans lien de parenté trop proche ; être majeur (ce qui n’était pas le cas avant 1789) ; être consentent : être présent à la cérémonie (église ou mairie) ; être de sexes différents. Mais nulle part il est question de « l’orientation sexuelle » des conjoints. Le droit ne prend jamais en considération le désir des uns et des autres. Le désir comme tout désir est subjectif et personnel et fait partie de l’OPINION. Le droit ne peut que considérer le fait d’être un homme, ou une femme. Les personnes qui se considèrent homosexuelles peuvent se marier, mais du fait de leur mode de vie elles n’en ont pour la plupart pas envie ; donc il est FAUX de prétendre qu’elles n’ont pas le droit de se marier. La parenté n’est pas réservé aux personnes hétérosexuelles. Un gay peut avoir un enfant, mais il ne peut l’avoir qu’avec une personne de sexe femelle, loi de la Nature oblige chez les humains (tout du moins en l’état actuel du « Royaume de Dieu (des Juifs) sur Terre). Donc aucune inégalité jusqu’à présent. L’égalité obsessionnelle des judéo-francs-maçons s’installe dans leur loi noachide ou droits de l’homme de 1789 et de ses moutures suivantes. Le sens d’égalité s’entend plutôt comme une NON GÉNÉRALITÉ : à situations équivalentes traitement égalitaire équivalent. Au regard de la procréation humaine actuelle, les couples hétéros et homos ne sont pas dans la même situation puisque le couple homo ne pourra pas procréer ; ou faire pratiquer une singerie de couple normal en adoptant un enfant. Maintenant il y a nombre de couples homme-femme qui ne souhaitent pas avoir d’enfant pour diverses raisons. Les couples de même sexe qui ne peuvent pas procréer le sont par la force de la Nature.

Jusqu’à présent l’exigence d’être un homme et d’une femme pour procréer est universelle : la même fonction pour tous, et l’orientation n’a rien à voir là-dedans.
Le « mariage pour tous » est un piège et un cahuzac (un mensonge). Il n’y a pas de « droit » à donner aux homosexuels parce qu’ils les ont déjà : depuis des dizaines d’années l’homosexualité en Europe n’est plus considéré comme une maladie, et donc il n’y a plus aucune règle qui discrimine une orientation sexuelle.
Il n’existe pas une droit pour les « hétéros » et un droit pour les « homos ». Heureusement que le droit ne classe pas les gens en fonction de leurs opinions ou désirs comme aimer les glaces à la vanille ou les frites ! Mais le droit classe en majeur et mineur, actif et retraité, nationaux et étrangers. Un désir ne définie pas une personne, ni un désir sexuel comme écrit plus haut.
Ce qui est en cause avec le projet de « mariage pour tous » est la possibilité d’être « parent » entre personnes de même sexe, comme si le futur enfant était un objet comme quand on va acheter un ordinateur dans le magasin du coin. Il y a donc dans ce projet encore une question de Saint Fric. La parenté par le seul moyen possible de l’adoption, puis automatique par la voie médicale de l’assistance médicale à la procréation. Et même en recourant à la folie technologie, un enfant ne sera JAMAIS issu de deux femmes ou de deux hommes. Même avec le transhumanisme, un enfant humain sera toujours issu d’un homme et d’une femme.

Autre aberration, le « mariage pour tous » est présenté de façon « démocratique » ou eyes candy : mariage de tous ceux qui s’aiment ! C’est aussi vendeur comme le « Vu à la Télé ». Le mariage n’a jamais été la reconnaissance sociale de l’amour : voir les mariages totalement arrangés chez des aristocrates et dans les riches familles bourgeoises ; ce sont des mariages purement matérialistes à cause du cancer du POUVOIR. Le mariage est comme la religion : un CONFORT, donc une sécurité ou protection pour construire une famille : le social dans le cadre sécurisant de la loi humaine.
Avec les capitalo-communistes le « mariage pour tous » vend son « Que tous ceux qui s’aiment puissent se marier ». C’est encore un mensonge car c’est réduit seulement à deux hommes ou deux femmes pouvant se marier. Nulle part il n’est question de ceux qui s’aiment à trois ou à plusieurs. L’amour qui peut exister entre un frère et une sœur n’est pas reconnu et ils ne peuvent se marier.
Donc le mariage n’est pas synonyme d’amour.

En inventant des parents de même sexe, le projet de loi impose un nouveau sens de la filiation en la réduisant à une fonction d’ÉDUCATION, ce qui doit ravir les judéo-francs-maçons et leur morale. Ensuite la procréation requière toujours un homme et une femme. Donc la « parenté » entre personnes de même sexe ne peut passer que par l’ADOPTION (ce que je nomme « l’enfant de supermarché » ou enfant fabriqué de façon ARTIFICIELLE).
Cette nouvelle situation plongera tous les enfants au cœur d’un imbroglio juridique sans issu.
Donc projet de loi réduisant la filiation à l’éducation. La filiation vient de l’acte de naissance, et possède le sens d’indiquer à chacun de qui il est né. On a donc une filiation maternelle et une filiation paternelle. D’autre part le droit français ne garanti par la filiation biologique véritable. La filiation peut être aussi symbolique : cas de l’enfant adopté, cas de l’enfant dans la procréation assistée avec donneur de sperme anonyme.
Être parent ce n’est pas être un maître d’école ou un éducateur, c’est un statut avant d’être un comportement : on est parent avant de se comporter comme tel, ce qui revient encore à coller une étiquette ! Ce sont les parents qui expliquent à l’enfant d’où il vient. Et naturellement seuls un père et une mère peuvent le faire. Deux hommes ou deux femmes peuvent aimer un enfant, très bien l’éduquer, mais ils ne peuvent pas indiquer à l’enfant son origine. Ainsi avec le projet capitalo-communiste la filiation sera privée totalement de sens ; on entre dans le monde d’Orwell. Les parents ne peuvent plus expliquer l’origine de l’enfant, les parents se transforment donc en « adultes référents », en éducateurs, en éleveurs de gosses comme on élève des animaux en batterie pour ensuite les bouffer. Ces enfants seront donc privés de parents au sens propre du terme.

Ce projet conduit à la fabrication d’enfants adoptables, encore une fois, comme si on allait acheter une marchandise existante dans son supermarché favori : faites votre choix ! Le vrai remède de l’adoption ne peut se concrétiser que si l’adoption est faite par un homme et une femme (père et mère). L’adoption naturelle n’étant pas issue de l’organique peut tout de même se construire comme telle, le lien biologique n’étant pas indispensable, mais il faut un homme et une femme. Avec deux hommes ou deux femmes l’enfant adopté ne pourra pas faire cette filiation, même symbolique.
L’enfant avec ses deux pères ou ses deux mères sera privé à tout jamais de son ORIGINE ou FILIATION. Un enfant adopté par deux hommes est privé de mère ; un enfant adopté par deux femmes est privé de père.
Heureusement qu’en France et pour les enfants il y a peu d’adoptions. Ainsi les couples de même sexe auront beaucoup de mal à adopter des enfants ! Cela demeura très rare. Alors ce projet de loi est fait pour adopter l’enfant du conjoint de même sexe ! Donc cela vise le cas où l’enfant n’a qu’un seul parent légal, son père ou sa mère, et il vit avec l’un d’eux, et le compagnon ou futur conjoint de même sexe.
Les enfants adoptables dans ces conditions s’ils n’ont qu’un seul parent c’est parce qu’ils ont DÉLIBÉRÉMENT ÉTÉ CONÇUS COMME TEL. La femme qui s’est rendue en Belgique pour se faire inséminer par un donneur anonyme a choisi un mode de procréation qui prive délibérément et surtout égoïstement son enfant de père, pour le rendre adoptable par sa compagne peut-être future conjointe.
L’homme qui s’est porté un enfant par une mère porteuse ukrainienne a aussi choisi un mode de procréation qui prive délibérément et surtout égoïstement son enfant de sa mère, pour qu’il soit adoptable par son compagnon et peut-être son prochain conjoint. La société et son institution est AU SERVICE DE L’ENFANT afin de lui donner une famille puisqu’il est privé de la sienne. L’adoption n’a pas pour but de fabriquer un enfant pour des personnes qui n’en ont pas (voir plus haut l’analogie avec le supermarché), et avec ce projet on ne donnera jamais de l’amour à l’enfant. Il s’agit avant tout de fabriquer un enfant pour satisfaire l’ego, l’égoïsme de personnes en manque ou qui ne peuvent pas procréer comme deux hommes ou deux femmes.
C’est une grave injustice faite à l’enfant de le priver de ses origines.
Pas de filiation = coupure de ses racines, ce qui est dans la logique yahviste lourianiste de l’évolution ou progrès : détruire l’ancien monde, puis bâtir le nouveau dessus en une logique de la rédemption avec au bout « la fin du karma », alors que « les karmas portent en eux-mêmes les semences de leur propre destruction » (R. Maharshi, entretien 11).


CONCLUSION :
Qu’on le veille ou non, avec le projet « mariage pour tous » le désir d’enfant par des personnes de même sexe passe par la fabrication d’enfants délibérément privés de leur filiation biologique pour les rendre adoptables. Même d’autres animaux que les êtres humains forment des familles. Détruire la famille ça doit correspondre au projet transhumaniste...


[Références à : vidéo de Aude Mirkovic, Maître de conférence en droit privé ; et la psychothérapeute Marina Castaneda : Comprendre l’homosexualité]


Aznavour et le Coming out, ou se justifier à la société pour s’imposer, pour vivre, puisque quoi qu’elle en dise, cette société enfonce les déviants, les dévergondés. Dans la chanson l’homo est assimilé à une femme.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 20-04-2013 23:23

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