Instant : IN, DANS et GAULOIS
 

Ecrit par Sechy, le 20-05-2013 18:23

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Instant : IN, DANS et GAULOIS
Les Winners ou la course ou l’ATTAQUANT [adret, adress en gaulois] (Romains et leur église), et les Losers (les Gaulois et les Païens)

 
 
GAULE
Centre principal de l’établissement de la famille Celtique. Il y a plus de 4500 ans les Celtes (dans l’ensemble des Galates et Tectosages et Volques Tectosages) arrivent en Gaule.
 
 
La CULTURE ORALE était accessible à tous mais seuls ceux qui « avaient des oreilles pour entendre » entendaient ou comprenaient. Tandis que la CULTURE ÉCRITE suite à l’invention de l’imprimerie à la Renaissance fut accessible à tous (trouver des livres en bibliothèques ou les acheter si on était riche), mais tout le monde n’avait pas nécessairement « des oreilles pour entendre » (voir la symbolique des statues de Bouddha avec ses longues oreilles), si bien que naissait l’OPINION AVEC SES DÉFORMATIONS et arrangements de la « réalité ». On passait d’une culture générale à une culture particulière.

« Je ne pardonne point à Rome et à César d’avoir été la cause de ce meurtre intellectuel, venant après d’autres meurtres. Hé quoi ! Charlemagne a eu la pensée de noter les chants populaires des Francs ; et personne de l’Empire romain n’a eu l’idée de transcrire des poèmes de Druides ou des strophes de Bardes ? Comment était donc l’intelligence de ces maîtres du monde s’ils n’ont pas vu la beauté des œuvres des vaincus, s’ils n’ont pas compris le devoir de les conserver ? Rien ne fait mieux sentir l’incroyable petitesse morale du grand Empire romain, que le dédain des pensées et des lettres qui ne venaient pas d’eux-mêmes ou de la Grèce. Débarrassons-nous, une fois pour toute, de notre admiration convenue pour les formes impériales du passé, somptueux édifices qui ne sont que des façades enveloppant surtout des cadavres d’hommes et des souffrances de patries ». Somptueuse colère de l’historien Camille Jullian dans sa préface à la Langue gauloise.

Combien de politicards actuels ou passé de cette république gréco-latine inspirée de l’Empire romain se moquent éperdument de la France et donc de la Gaule ? Ces politicards font la partie de ces « Français » qui n’éprouvent, comme les Méditerranéens de l’Antiquité, ni intérêts ni sympathie pour la Gaule et ses habitants. Leur mépris ne peut venir que du rêve multi millénaires de mondialisme attaché à la civilisation gréco-latine, véhiculée par le langage écrit et garantie autrefois par le pouvoir impérial de Rome jugé le meilleur puisque faisant partie des winners [attaquants, ou adret ou adress en gaulois, soit tuer pour s’enrichir, car tel est le but à atteindre : la rédemption yahviste, ce qui rappel l’enrichissement du sire de Coucy qui dépouillait et tuait sans merci les riches voyageurs, et put indirectement se faire construire sa forteresse plus tard par son fils Enguerrand 3 ; Coucy symbole de démesure dans tous ses aspects, y compris la destruction du château par les Allemands en 1917, et c’est maintenant à l’État allemand de reconstruire le donjon patrimoine de l’humanité). Jules César doit être admiré de tous politicards républicains de l’après 1789 : « incarnation du pouvoir triomphant », et on baigna alors dans le binaire yahviste des bons et des méchants ou de se ranger aux côtés du plus fort, de celui qui a une plus grande gueule. Aujourd’hui où règne le Saint Fric la France s’est rangé aux côtés des USA, compétition oblige on se range à côté du WINNER. QUI VA GAGNER la guerre, le concours ou l’oscar, etc. ? Le meilleur de ceci ou de cela... Nous sommes dans une civilisation de la POSSESSION et du WINNER... et du SPECTACLE, de l’INSPECTEUR GUETTEUR, du VOYEUR (comme le franc-maçon). Le VOYEUR ou Big Brother ou celui qui veut tout contrôler, tout mettre en chiffres et en norme, ce qui est propre à franc-maçonnerie des compas-équerres et à la révolution de 1789 (carte ci-dessus d’un projet de « départements »).

De nos jours il n’y a plus de spectacle puisque le winner est TOUJOURS LE PLUS RICHE, soit l’élite yahviste ou « peuple élu » à la tête des banques : en sport le club le plus riche, en politique le candidat le plus fortuné pour organiser son élection, aux « jeux olympiques » les winners sont ceux des pays au plus fort PIB, pareil pour les prix Nobel, etc. Bref, le winner est la plus grosse Couille en Or.
Je ne suis pas pour la méritocratie, parce que le winner n’est pas forcément le plus doué en mathématique, mais c’est celui qui est le plus doué pour le combat, donc le plus violent (intérieurement), donc le plus passionné, celui qui est rusé et qui triche. Aujourd’hui où tout est faux le winner est celui qui va se droguer, et sans se faire repérer. Le problème du winner vient essentiellement de la comparaison avec la Nature : on dit que c’est le plus fort qui bouffe le plus faible, etc. À ce compte là on supprime les « fous » dans les asiles, les vieux qui ne rapportent plus rien, etc. On est là plein pot dans le darwinisme social et l’évolutionnisme, et on fait dans l’anthropomorphisme la Nature, et à l’envers, parce que l’humain est devenu humain en protégeant les faibles : voir l’importance du clan ou de la famille au Moyen-Âge où n’existait pas de « sécurité sociale » ou autres conforts.
Les génies qui produisent le « progrès » sont souvent des marginaux, voir des fous, ou des handicapés comme les sourds ou les aveugles !
rrrrrrouge La compétition est synonyme de VOYEUR, celui qui veut MESURER comme celui qui aujourd’hui est nommé à tort « scientifique », alors qu’il n’est qu’un technicien. Le PROGRÈS N’EST PAS ÉVOLUTIONNISTE dans la géométrie de la ligne droite. Le progrès est CYCLES et RYTHMES.
Cela dit, la notion d’ADVERSAIRE ou de CONTRAIRE est fondamental, elle est par exemple symbolisée par le Bâton de Ptah surmonté d’une tête sethienne, d’un lien à Seth l’Adversaire, et d’une plume.

Les puissants de nos jours sont l’Église de Rome mise aux pas des Yahvistes depuis Vatican 2, et cette élite qui n’est plus que des meneurs rongés par la culture gréco-latine, bien dans la trame de l’évolutionnisme yahviste et darwiniste avec son culte de « l’élu », du winner.
Rappel : l’Église de Rome s’appelle elle-même « Église apostolique et ROMAINE ». Soutien et pouvoir d’opinion plus que spirituel qui poussa à rejeter les Pagans (paysans) et les Païens, et donc ce qu’il subsistait de la Langue gauloise, qui fut réduite à des noms de lieux, des formules magiques de médecine ou de sorcellerie.
La Langue gauloise a été supplanté ou planté tout court par le latin des marchands (toujours le fric), et par l’évangélisation chrétienne, ce mondialisme de l’époque avec ces sursauts de révoltes qui seront combattus par l’Inquisition, avant tout politique : il fallait torturer les opposants et les brûler. Les légionnaires romains contribuèrent aussi à la destruction de la Langue gauloise avec l’aide de l’administration romaine et l’emploi du latin. Comme souvent, les lieux urbains furent les premiers à céder au latin. La Normandie, l’Armorique, l’Auvergne résistèrent plus à la latinisation que le Midi et la région du Rhin. On commence ainsi à avoir le notion évolutionniste de « progrès » puisque on parle de « la crasse du Gaulois » en parlant de son langage. On pouvait donc déjà sentir la redécouverte du winner et son outil progrès.



IN en Langue Gauloise.

I voyelle.
innis, inn, inis, ini, in : indication de jour : dumann ini. (Duman(i)os : mois de novembre-décembre.
in : dans (in Alesiia : dans Alésia).
ivos, ivo : indication de jour.

I consonne.

ialo : terme de nom de lieu. Espace.
ial (gallois) : espace découvert.
ialon : clairière.
iug : indication de jour.
jour : « forêt de sapins, mot gallois ; oir : chef, peut-être ancien sommet.

NU : instant ou maintenant, actuellement. Nu (du vieux Irlandais) : maintenant. Être nu c’est être plus près de l’Origine ou Instant. Neuos : nouveau ; qui donnera en anglais : New, Now ; en lituanien : nù.
AUJOURD’HUI : sindiu ; vieux irlandais : indiu ; breton : hiziu.
Loin de NU se trouve ATTENDRE : ana : nu ana (maintenant, attends).

En Languedocien I
I voyelle.
Bins : lien
Iou : Biou (vivant), Biôou (bœuf, bovis, bôou en Catalan).


Autres mots gaulois tournant plus ou moins autour du thème INSTANT.

AIMABLE : caros. Uiscaros : aimant le bien.
AIMANT, AIMÉ : carantos, qui donnera les nom propre : Carantus, Caranta, Carantuis (aimer chérir).
AIMER : lubi. De nos jours Lubie vient du latin lubere, variante de libere : trouver bon ; libere qui donnera « liberté ». Du latin lubet, libet : il plaît. De l’allemand liebe. De l’anglais love.
AMI : racine du latin amare ; en gaulois : namant (non-ami ou ennemi). Et aussi rio : libre.

La dualité se trouve dans ambi : ceux l’alentour : ambiani (qui donnera Amiens). De nos jours ambigu signifie : qui présente plusieurs sens possible, double, équivoque, etc.

ARGENT (métal) : argenton.
ARGENTIER : argentodan(n)os (artento et dan(os) : magistrat).
ASSEMBLÉE : cantio, cantia. Cela donnera le cantique, le cantare ou chanter en italien. Même sens avec la préposition AVEC : canti, canto... Dans le même thème d’assembler on a Cantos : cercle, cerclage. Cant (cercle) qui donnera CHANT (côté), canton (district), Cachan dans le Val-de-Marne.
Dans le même thème nous avons teuta, touta (cité) ; et toutios (habitant des cités ou citoyens) ; contoutos (compatriote) ; cele (compagnon). Ieni, Ueni : clan, race, famille, ami.
Com, con, col, co marquent la connexion, la relation, la participation, la communauté.
AUSSI (de même) : etic. Cela a peut-être donné : éthique (manière de se conduire) ; étiquette : aussi le sens de même que.

INSTANT figuré par le BLANC : argio (qui donnera Ariège). Racine arg (blanc brillant).
DOUX (son) : blando ; blati ; melissos ; meno.
Balaros, de la racine bhal (blanc), du grec phalos, phalios ; de l’anglais bald (chauve, calve, calvus : calvitie).
Uindos. En gallois gwenn signifie blanc. La Blanche Uinda devient La Vende, La Vendée, La Vendaine.

BON : dagos. Manos, manus. Matu, matiacos. Préfixe su : Bien-Douce (Su-mena, ancien nom de la Somme avec ses habitants les Samariens).
BREF : bregu

CÉRÉALE (puisque depuis plus de 10.000 ans nous sommes dans cette voie de l’Agriculture) : itu (de pitu, pouvant donner le mot pitance). De la peut découler :
CÉRÉMONIE : litu.
CHALEUR : tep (physique et spirituelle).
CHALEUREUX : contessos.
CHAR, CHARIOT : carros.
CHERCHEUR : sagios, sagilla (chercheuse).
CIEL : nem (courbure, même sens qu’en Égypte ancienne), nemo(s).
CONNAÎTRE : gniiou (je connais).
COULEUR (splendeur) : liuo, lio ; en breton liou (couleur).
COURSE : redsos, ressos ; et adret, adress. Reth : courir.
COURT : birros. Bregu : bref.
CREUSET : souxtu, suxtu ; irlandais : suacan (creuset pour fondre le métal). Et dans le même thème :
CREUX : crosos, de cros (creux), Cauus, Kaoua.

DEHORS : exu. En anglais ça donnera exit (quitter, sortie, issue).
DEMI : simi.
DEUX : dui, duo.
DIEU : deuos ; en breton doue ; en sanskrit devah.
DIVIN : duiio ; grec dîos ; latin dius.

Mention spéciale à DRUIDE, qui signifie « très savant », du dru, nom du chêne ou de l’arbre. Ce qui rejoint l’universalité avec l’ARBRE DE VIE. Uid : science, savoir et uidu : bois, ce qui unit l’Arbre et la Science.

EAU : dubron, pluriel dubra ; ce qui donnera douves (fossé rempli d’eau), et Douvres (Ain, Calvados, Jura, etc.). Esca ou isca.

Les Gaulois s’orientaient face au Soleil levant, donc Nord à gauche, Sud à droite, Ouest derrière eux (Ouest correspondant généralement au Soleil couchant, à la mort).

ÉTABLISSEMENT, sens de habitat, lieu habité, fondation : bona, ce qui donnera Bonaguil et son célèbre château, et Bonn (Allemagne).

ÉTERNITÉ : aiu, ce qui ressemble au Aum la syllabe sanskrite sacrée du bouddhisme, de l’hindouisme, du jaïnisme, etc. ; et au grec aion ; au gallois oes (âge) ; au latin aeuum (temps éternité).
ÉTOILE : stir, dir, stairno ; latin stella ; irlandais sir ; gallois ser.

FORGERON : Goben.

GRAND, ILLUSTRE : magio, magia, magius, qui donnera Méhun (Cher), Meung (Loiret), Médan (Yvelines), etc. Maros, marus. Ces mots sonnent comme Mage, Magicien.

HAUT, SUPÉRIEUR : acros, axros, arduo, uxellos (supérieur).
HOMME (être humain) : gdonios ; uiros (mâle), et uiros loyal, fidèle, vrai. Donico (humain).

LOIN, LONG : ceno, siros.
LUGUS : le plus grand Dieu des Celtes.
Pourquoi ce Nom de Dieu n’aurait pas donner le mot universel grec LOGOS : divinité manifesté chez tous les peuples : expression extérieure ou effet d’une cause qui demeure à jamais cachée. Donc la parole est le Logos de la pensée, ainsi on traduit par « Verbe » et « Parole » dans un sens métaphysique. (Réf. d’après le Glossaire théosophique de H.P. Blavatsky).

NAVIRE : longo, vieux irlandais : long (vaisseau, vase), vieux breton : locou (vaisseau, vase).

PASSEUR : treuero. Trévires qui donnera la ville de Trèves. Vieux irlandais : treoir (guider, passage). Latin trans (à travers), uer (franchir)
PENSÉE : menman, vieux irlandais manne (faculté de penser, mental, intelligence, sentiment, désir), breton meno (opinion).
PIERRE : acaunon, artos, Lica, licca : pierre plate.
POINTE : banna, benna.
PORTE : duron. PORTE CÉLESTE : Albio-duron (nom non attesté), qui deviendra Augers (Seine-et-Marnes).

RAPIDE : acus, acco.
ROUGE : dergo. Rouge couleur de la planète Mars, donc symbole de guerre, de winner, sombre (dark), de salir (dergti en lituanien).
 
SAVOIR : uid, uidi, uissu (science), uistu.
SOI : sue. Exemple : suebreto : par son propre jugement ; territoire conquis : senones, qui donnera Sens (Yonne), etc.
SOLEIL : sonno, sunno. Proche de ce mot :  sounos (sommeil), sounos (songe).
SOURCE : andounna, du préfixe ande (en-dessous) et udna (eau). Le contraire est l’eau d’en haut : uxouna. Auantia, auentia : rivière. Beru, qui donne berula (cresson) etc.

TAURANUS : Dieu Orage, en gascon taram (tonnerre), en breton taran, en vieux irlandais torann, etc.
TEMPS : amman. Amm : temps, moment. Aimser : époque.
TERRE : Litaui
TERRITOIRE  brog(i).
TÊTE : barro. Su-barrus : bonne-tête.
TRAVERS (À) : tre, tri. Treueri : passeur.
TROIS : tri, tre, triios, latin tertius, etc.
TROU : traugo, vieux provençale trauc (trou), catalan trau (boutonnière).

UN  : unique, oino. Anglais : one, etc.

VASE (contenant) : tunna. Il existe un grand nombre de noms de récipients.
VENT : auelo.
VÉRITÉ : uirotus, uiros (vrai). Uira : vérité.
VIVANT : biuo, bio. Vieux irlandais béo, béu. Gallois byw. Breton beo. Bon-Vivant Dago-Bius, etc.

[Référence d’après le Dictionnaire Français-Gaulois, de Jean-Paul Savignac]
 
 

Affiche de l’apprenti quenellier. Effectivement, c’est à l’actuel État italien de dédommager et de s’arranger pour faire des recherches afin de reconstituer la Langue gauloise et son idéologie, comme c’est à l’État allemand de reconstruire le donjon et les tours détruites du château de Coucy en 1917. Bien-sûr la perte du passé gaulois, de la destruction des Druides et d’autres sagesse et science gauloises est infiniment plus dramatique que le château de Coucy. Mais TOUT EST LIÉ.


Yahvé, Moïse, Noé et les Lois Noachides, et la « fin des temps » et l’attente d’un Messie, le « peuple élu » (de son Yahvé) : il n’y a aucune raison que d’autres peuples soient obligés de reconnaître le thème du Yahvisme comme « Dieu suprême et unique », et comme « religion universelle » (guerre des « universalités » depuis des millénaires) ; tout comme il n’y a aucune raison de se rallier à l’opinion d’une « République universelle ». C’est uniquement une question d’opinion, et absolument pas de spiritualité et de respect de l’accord avec l’ordre cosmique et universel.
La « Loi de Moïse » est seulement la sienne et ne procède d’aucune universalité ; tout au plus procède-t-elle de simple mode adaptée à son époque. Même chose pour le Noachisme. Aucune doctrine ou opinion, par quelques personnes fictives ou réelles qu’elle puisse être enseignée ou soutenue, ne peut s’imposer à l’acceptation d’autres peuples. Opinions et croyances ne confèrent pas un pouvoir ou un privilège, et ne peut pas être cause d’infériorité, ou de supériorité genre « peuple élu » contre « peuple non élu » ou « non croyant ». Chacun est libre d’exprimer sa pensée, bien-sûr sans emmerder l’autre, sinon c’est de la dictature pouvant se déguiser en « lois » ou au mieux de l’égoïsme de gens de pouvoir.

 
 

Dernière mise à jour : 20-05-2013 19:17

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