Notre monde sous le joug du Dieu juif
 

Ecrit par Sechy, le 26-06-2013 02:37

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Notre monde sous le joug du Dieu juif
Notre monde sous le joug de son royaume
et de ses commandements (OPINIONS)
Car nous entrions avec ces commandements
dans la perte de l’Âge d’Or
et dans le mélange du pouvoir spirituel et
du pouvoir politique, ce qui devrait être
une bonne chose mais l’est aucunement
puisqu’il s’agit d’opinion, et nous sommes
alors entré dans :
les Yahvistes ou Circoncis créèrent leur Dieu et leur Dieu les créa.
Ensuite vient se greffer là-dessus le Christianisme
 
 
LES DROITS DE L’HOMME CONTRE LES DROITS DE DIEU
OU
DIEU CRÉA L’HOMME ET L’HOMME CRÉA DIEU,
et les DIEUX.
Il sont tous les créateurs des noms et des formes [idoles].
MAIS EN RÉALITÉ NI DIEU NI L’HOMME
N’ONT ÉTÉ CRÉÉS.
(Référence à l’entretien 264 de Ramana Maharshi)

Qui n’a pas son infidèle ou son terroriste ? Demandez nos infidèles et nos terroristes garantie d’appellation sécurisée pour faire venir le messie yahviste.
 
 
MONDIALISME = MESSIANISME YAHVISTE

ou monde de la « raison » ou du mental des philosophistes du siècle des lumières ou des perruques poudrées qui est devenu un critère de « vérité » ! On dit bien : « C’est qu’il y a une raison » (loi de cause à effet ou dualité).

À l’origine le sacré ne se distingue pas du profane ou du politique, ni de l’économique ; tout cela forme une unité. Mais voilà, des humains se faisant appeler « rabbin » entreprirent de se masturber le mental (l’ego) sur ce qu’ils appellent « la Loi » (dont découleront les « droits de l’homme »), donc l’opinion d’un certain Moïse prétendant obtenir de Dieu le plan de l’existence ici sur cette planète. Cette masturbation mentale individualiste rabbinique donna ce qu’on appelle « le judaïsme » : enseignement de la Loi selon l’opinion des rabbins faisant supporter à leurs disciples « le joug des cieux » (de leurs cieux), avec la carotte au bout : leur messie, avec package du Noachisme (isme pour les non Juifs). Déjà avec Sabbataï Tsevi en 1666 le mondialisme était sur le point d’être instauré. La terreur façon républicanisme de 1789 et bolcheviste de 1917 s’installa : les sabbataïstes face à des opposants actifs les considéraient comme des « terroristes », ou des brigands (appellation donnée aux Vendéens par les Républicains).

TERREUR = VERSER LE SANG DES INFIDÈLES
Sabbataïsme = le Saint Satan (éliminer le mal en le rendant réel)


Avec le sabbataïsme les opposants même passifs étaient terrorisés et se résignaient à la complaisance et certains même à la conversion à l’opinion, pardon, à la « foi ». D’ailleurs une expression populaire dit : « Avoir les foies » (avoir peur) ! Je parle ici du son du mot « foi », en analogie avec l’organe « foie » ! Il s’agit avant tout de la peur provoquant une paralysie, une « petite mort », donc être « blanc comme un linge » ou comme un fantôme ne contenant plus une goutte de sang. Avoir peur est donc avoir un « foie blanc » vidé de son sang.
La terreur sabbataïste faisait que de rares farouches opposants craignant que la foule ne donne l’assaut à leur maison, mirent tous leurs biens en sûreté dans une demeure sûre.
Dans d’autres villes des sabbataïstes livrèrent aux mains des bourreaux turcs un groupe « d’infidèles ». Les sabbataïstes ne se contentaient pas de chasser leurs adversaires de leurs fonctions. Des rabbins furent adversaires de Sabbataï Tsevi et les sabbataïstes cherchèrent à leur nuire, soit en les faisant emprisonner par les autorités locales, soit à les ruiner.
Les sabbataïstes croyaient, avaient « la foi » en leur « Roi d’Israël et Oint du Seigneur » Sabbataï Tsevi. Malgré cela et le régime de terreur les sabbataïstes n’avaient pas la main sur le judaïsme italien (à cette époque le Talmud interdit en Italie). Les dirigeants de la communauté et les rabbins de Venise ne perdirent jamais leur autorité sur les masses, bien que leur position fût plus d’une fois précaire.
Des poèmes satiriques furent composés contre le mouvement sabbataïste et ses meneurs. Ces poèmes forment comme une critique qui dénonçait les opinions de Nathan et de Sabbataï.


FONDAMENTAL :
Ne pas confondre l’Âge d’Or et le paganisme « arrangé » par les Chrétiens avec le matérialisme et les plaisirs des biens du monde ici-bas ! Sur ce point là je ne suis pas d’accord avec Pierre Hillard et les écrits de Mgr. Henri Delassus. Pour ces gens là, de courant traditionaliste chrétien dans l’Église romaine et de son Vatican, le paganisme correspond au DORG (Demain On Rase Gratis), soit faire bombance ou jouir de la vie, et la même soupe pour tous, et le règne de l’avoir et de l’ego, et enfin la religion de l’homme. De nos jours et depuis au moins l’après 1789 le mot Paganisme a dégénéré en argot et on l’emploi d’une façon péjorative en l’employant par exemple en analogie aux mœurs sous l’Empire romain. De même le Paganisme est souvent associé de nos jours avec le New Age et le mouvement Hippie.
Pierre Hillard associe le paganisme au « paradis des Musulmans » où Dieu est un patron de bordel comme écrit justement Jean Coulonval Dans Synthèse et Temps Nouveaux, puisque l’Islam tient la résurrection du Christ pour une imposture, et que le dernier des prophètes Mohammed « promet au Paradis des femmes toujours vierges et toujours prêtes à être dépucelées, et des jeunes garçons à sodomiser autant qu’on en veut » (bonjour le « mariage gay »). L’Islam se situe dans le dogme lunaire (voir en fin d’article).



Jean Coulonval qui précise tout aussi lucidement que l’Église d’avant, ou après vatican 2 n’est pas claire... Pour Pierre Hillard le paganisme c’est l’instinct ou comme il dit « des estomacs sur pattes et prolongés d’un sexe » ! Il donne l’exemple des Germains du début de notre ère... Pierre Hillard se plante complètement en parlant de faute d’Adam racheté par le sacrifice du Christ des Chrétiens. Alors Pierre Hillard fait partie du courant Yahviste et Chrétiens et de leur opinion en forme de « Chute d’Adam » liée à une religion centrée sur le CANCER DU POUVOIR : TOUTE PUISSANCE ET JALOUSIE DU YAHVÉ. La chute d’Adam c’est déjà Hollywood et la manipulation des peuples.
Parce que la CHUTE EST UN FAIT ACTUEL, et non un truc des Yahvistes dans le « passé » façon géométrie de la ligne droite ou évolutionnisme. Il n’y a pas de Chronologie tueuse ou temps qui coule, il n’y a que l’Instant ou Soi : « Le Royaume des Cieux est en vous ».
Pierre Hillard n’a pas encore approfondit le problème de l’Église de Rome dès son origine, car comme le dit bien Jean Coulonval : la Chrétienté n’est toujours pas faite ! Selon moi elle doit se faire en fuyant le Vatican le papisme et ses « papes »...
D’ailleurs il faut bien distinguer catholicisme (le système) de la catholicité (universalité), l’Église, le culte sont une forme de « isme ». Tous ces systèmes considèrent un Dieu EXTÉRIEUR en oubliant qu’il est intérieur, ce qui veut dire ne pas se considérer comme Dieu, Dieu n’est pas possession, ni but à atteindre, sinon on retombe dans l’actuelle religion de l’homme ! Dieu l’Instant ou Soi est la condition NATURELLE de tous êtres. Pour les Chrétiens actuels dont P. Hillard, Dieu est extérieur, puisqu’ils parlent de « la Chute ».

La catholicité est a faire parce le catholicisme actuel c’est le sentiment, la morale. « La conscience sacrée [la vraie] EST [comme le Soi] quand les essences jugent des accidents. Inversement, la conscience profane [le soi, l’ego] EST quand on prétend déduire des accidents la nature des essences, et ce mode de conscience peut conduire, soit à l’agnosticisme [le non croyant], soit à des attitudes religieuses appuyées sur les seules perceptions et appétits sentimentaux et sociaux, donc tributaires de la Terre et de formes d’éducation pour ce qui en décide dans les processus mentaux et psychiques », écrit Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux. (Voir la page : Morale judéo franc-maçonnique mondialiste).

Pierre Hillard je ne vous félicité pas, vous êtes pitoyable dans votre explication et vos divisions entre Païens et Chrétiens !!! Vous aussi vous faite de la tabula rasa et de la division entre winners et losers !!! Entre naturalisme et humain, alors que l’humain EST la Nature, mais pour les Yahvistes après la mort il n’y avait rien, c’était un néant lugubre. Justement ce sont les Yahvistes qui coupèrent l’humain de la Nature ; il faudra attendre le Moyen-Âge pour que le sacré apparaisse de nouveaux chez eux dans « un brin de verdure » tant ils évacuèrent la Nature de toute présence divine : pierres, arbres, fleurs, des récoltes entières, tout était dénoncé comme « impur » ; on retrouve la même chose chez les sabbataïstes, et chez Pierre Hillard dénonçant le Paganisme comme s’il jetait « l’eau du bain avec le bébé dedans » (problème vieux comme le monde du Contenant et du Contenu).
Pour P. Hillard les Païens c’est le terrestre (allusion aux cultes de fertilité et du phallus) et les Chrétiens c’est le céleste. Or il n’y a pas de bons et de méchants ou de bien et de mauvais, ils coexistent toujours dans ce monde duel du positif et du négatif, ils sont comme les deux faces du symbole.
Réveillez vous Mr. Hillard !!! Sortez de l’évolutionnisme, ou restez dans le domaine temporel de la politique et dans vos prêches et chez vos curés et évêques traditionalistes qui pratiquèrent avec entrain l’Inquisition contre les Païens (les infidèles) dès le quatrième siècle de notre ère. De toute façon l’Église de Rome a copié sur le Paganisme !

Nous sommes passé de l’Âge d’Or avec une destinée individuelle cosmique et magique et astrologique, à une destinée adamique de l’âge du faire-fer ou même soupe pour tous.


Le PAGANISME C’EST L’AGE D’OR,
période de pureté dont les Anciens divisaient le cycle de vie en : Âges d’Or (krita yuga), d’Argent (tetra yuga), de Bronze (dvapara yuga) et de Fer (kali yuga). Chaque métal désigne une période respective, et le bronze est un alliage de Cuivre et d’Étain (dualité de l’âge du Bronze d’où découlera notre dualité bien plus grave de l’âge du fer).
Pureté originelle de l’Âge d’Or où n’existait pas de distinction entre « temporel et spirituel ». L’Âge d’Or c’est celui de la pureté et de la simplicité primitive et de la Félicité, parce que LES DIEUX et LES SAGES font l’expérience éternelle de l’infini à travers l’Instant sans que leur vision soit obscurci à aucun moment. L’Âge d’Or comprend donc l’Instant ou Soi. Cela n’a rien à voir avec le DORG ou jouir des biens de consommation comme le veut le mondialisme.
Le mot PAÏEN (de paganus) désigne les habitants des campagnes ignorant la « religion des villes et de l’État et ses cérémonies ». Les Païens échappent donc au mondialisme de l’État. Les Païens ne sont pas des idolâtres comme le prétend l’opinion des Yahvistes et à leur suite les Chrétiens dont Pierre Hillard.
PAÏEN vient de PAGAN : les provinciaux, ceux qui sont loin des villes et habitent des districts (territoires reconnus). Paganisme veut dire mode de vie et rites des anciennes populations. Ce sont d’anciens cultes ethniques. Et comme déjà écrit, les cultes des Chrétiens et des Juifs prirent naissance dans ces anciens cultes ethniques.

PAIENS, Dieux. C'est faussement comprendre cette appellation que de lui donner la signification d'idoles. L'idée philosophique qui leur était attachée ne fut jamais celle de quelque chose d'objectif ou d'anthropomorphique, mais pour chaque cas, une puissance abstraite, une vertu ou une qualité de la Nature. Il y a des Dieux qui sont des esprits planétaires divins (Dhyân Chohans) ou Devas, parmi lesquels se trouvent également nos Egos. Avec cette exception, et spécialement toutes les fois qu'ils sont représentés par une idole ou au moyen d'une forme anthropomorphisée, les Dieux représentent symboliquement dans les panthéons hindou, égyptien ou chaldéen, des puissances spirituelles sans formes du "Cosmos Invisible". (Glossaire Théosophique, de H.P. Blavaysky).
À l’Âge d’Or le mot « croyance » n’existait pas, cela aurait été une incongruité, puisqu’elle était naturelle, même chose pour le mot « Dieu » !


- Question : Pourquoi y a-t-il tant de Dieux ?
- Maharshi : Le corps n’est qu’un. Cependant, combien de fonctions ne remplit-il pas ? La source de toutes les fonctions n’est qu’une. Il en va de même pour les Dieux.
(Ramana Maharshi, entretien 371)
Cependant LE corps n’est pas le mondialisme ni son culte unique et sa capitale unique (Jérusalem par exemple) !!!


La nostalgie de l’Âge d’Or est cyclique dans ce « pays » où personne ne vieillissait jamais : en Grèce on parlait du Jardin des Hespérides. C’est surtout pendant les périodes d’insécurité comme la notre que les gens ont aspiré à un âge d’or de stabilité politique, sociale et économique. Souvent cet âge d’or est considéré comme à venir, comme quelque chose vers quoi tendre, et c’est là que nous tombons dans le messianisme ! Fabriquez le chaos politique et sociale et « c’est bon pour Israël » comme dirait un certain Bernard-Henri Lévy. Le mythe d’Adam et du Paradis avant la Chute c’était l’Âge d’Or. C’est ce que croyait l’Europe au Moyen Âge, « quand la stabilité et l’ordre de l’Empire Romain s’étaient effondrés sous l’influence grossière des barbares germaniques venus du Nord et de l’Est, désireux de profiter des avantages et sécurités de l’Empire, mais refusant d’accepter la discipline qui était leur fondement.
C’est pourquoi leurs descendants développèrent la théorie selon laquelle une ancienne forme de société humaine avait été instituée de manière divine. L’ancien faisait loi, et l’innovation était méprisée. Des réformateurs considéraient qu’ils ne proposaient rien de neuf, mais ne faisaient que rétablir quelque chose d’ancien, poussant même l’habileté jusqu’à inventer des précédents pour se justifier eux-mêmes » (Réf. La Ronde de l’expérience, de Hugh Shearman).
Ne pas oublier ce qu’on a fait de l’Or métal depuis des millénaires !!! Au moins depuis la voie de l’Agriculture et ses « blés d’Or ».

TRÈS IMPORTANT :
Les religions ou opinions lunaires ou négatives comme l’Islam, la Quinte, les Jéhovistes, les Jansénistes, les Mérovingiens, Saint Louis, Philippe le Bel reposent sur un seul dogme positif : l’éternité du moi : Cogito ergo sum (raison ou triomphe du mental). Elles nient le libre arbitre et donc la responsabilité humaine ; leur morale se réduit à celle de l’abbaye de Thélème : Fais ce que voudras (effectivement cela donnera le « mariage gay » et liberté matérialiste totale devenant l’enfer sur Terre). Le Christianisme, les Carolingiens, le Quart et les Guelfes, la maçonnerie écossaise, les Septembristes leur répond de façon solaire : Fais ce que dois, sans quoi le lien social disparaît et tout l’édifice politique s’écroule (le lien social depuis 1789 c’est l’ÉTAT laïcisé ou franc-maçonnisé). (Réf. Grasset d’Orcet, Œuvres décryptés, vol 1). Évidemment Pierre Hillard se situe dans le dogme solaire, je ne pense pas tout de même qu’il va se mettre à vouloir convertir les Japonais ou les Hindous à son catholicisme ! Je continuerai à suivre Pierre Hillard, mais désormais je ferais mon tri !
Il faut savoir que la révolution de 1789 a été rendu possible par le capitalisme des Yahvistes : qui paya les uniformes et les chaussures, et les armes et les munitions, et la nourriture, et les chevaux et les carrioles pour le transport ??? Ce sont bien les Rothschild qui firent fortune avec la guerre sous Napoléon 1er. 1789 est une révolution talmudique et satanique, cela donnera « l’homme nouveau », soit le socialiste bolchevik et la tabula rasa, procédé de toutes révolutions à caractère d’opinion où on « repart de zéro » en croyant créer le nouvel Âge d’Or attendu comme le messie.

Entre Soleil et Lune ou Soufre et Mercure se trouve l’Instant ou Soi, donc la devise : « Mes droits sont à mon libre arbitre » (devise attribué aux Alains) qui se comprend comme réalisation du Soi rayonnant naturellement, sans volonté ou pouvoir d’imposer son opinion, malgré l’emploi des mots trompeurs « libre arbitre » et « mes droits ». « Mes droits » doit s’entendre comme « Je suis CE JE SUIS », ce sont des DROITS DE NAISSANCE DE TOUTE ÉTERNITÉ qui autorise l’emploi du « mes » ou possession. Rien n’est tout winner ni tout loser !

[Références à : Gershom Scholem : Sabbataï Tsevi - Le messie mystique ; conférence de Pierre Hillard en Suisse le 1er juin 2013, sur le mariage et le mondialisme ; La Ronde de l’expérience, de Hugh Shearman ; Grasset d’Orcet, Œuvres décryptés, vol.1]

Pour en savoir plus sur la république franc-maçonnique, voir sur Gallica : La République universelle, ou Adresse aux tyrannicides, de Anacharsis Cloots.
 
 

Dernière mise à jour : 26-06-2013 03:45

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