Dissolution de la franc-maçonnerie
 

Ecrit par Sechy, le 07-09-2013 19:27

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Dissolution de la franc-maçonnerie
Dissolution des fils de la Veuve

Ce serait véritablement démocratique !
Ainsi le Maréchal Pétain avait vu juste
avec sa loi du 13 août 1940
promulguant la dissolution des sociétés secrètes.
Mais bien mieux qu’une loi,
un gouvernement quel qu’il soit,
et honnête,
devrait s’en détourner.
Mais il n’existe plus depuis longtemps
de gouvernement honnête.
De toutes les façons,
mieux vaut se vaincre soi-même
que vaincre le reste du monde,
comme disait un sage.
 
 
Le franc-maçon spéculatif voudrait reconstituer et voir simultanément toutes les faces d’un polyèdre, et c’est selon lui la vraie religion. Mais c’est celle de Lucifer, celle du VOYEUR.

L’ordre moral de Yahvé ou GADLU et des compas-équerres dans le cloaque de la république française : avec Yahvé en policier et Méphistophélès son geôlier en Dieu du commerce (la possession), ce qui fait bien deux Dieux pour les yahvistes et les protestants. Le CAC 40 peut dormir en paix.
Méphistophélès : en grec, de méphistos (infecte) et ôphélès (utile, pratique)
.
 
 
« Je nommerai « judaïsme » le résultat de l’émancipation de l’élément sémite par le COMMERCE, qui avait fait prédominer l’élément bourgeois sur les classes militaires et sacerdotales. Par rapport au « mosaïsme » [de Moïse], le « judaïsme » est donc un véritable protestantisme, c’est-à-dire le patois d’une langue qui avait cessé d’être comprise. Les tribus du Nord, qui étaient toutes d’origine hétéenne, avaient conservé une partie de l’ancienne foi ; et cette foi reparut avec le Dieu trinitaire du christianisme, auquel il faut adjoindre la Vierge mère, qui fait le quatrième terme de l’ancien Dieu carré de Moïse et de Salomon, tel que l’adore le catholicisme moderne, c’est-à-dire en quatre personnes », écrit Grasset d’Orcet dans l’ouvrage déjà cité plus bas.

Il ajoute en plein 19è siècle des banquiers, et prophétiquement par rapport à ce qui nous arrive, et va nous arriver à la puissance comme jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité : « Les Juifs revinrent de Babylone ce qu’ils sont toujours restés depuis, usuriers et marchands ; ils rapportèrent le diable au fond de leur coffre, et depuis le diable est devenu le Dieu de toutes les classes marchandes. De tout temps et en tous pays, le marchand est un demi-savant, pourvu de ce que nous nommes « l’instruction primaire », dont il s’exagère infiniment la portée. Il en résulte, ainsi que le fait remarquer Diotime, qu’il nie tout ce qu’il ne peut comprendre. En politique il lui faut un gouvernement fort qui fasse marcher les affaires, et en religion un Dieu fort qui justifie le gouvernement de ses rêves, en esthétique un art qui lui donne sa propre ressemblance, ni plus ni moins, car le marchand se trouve toujours beau et son idéal ne va pas au-delà de son incomparable beauté. Joignez-y quelques gravelures pour le mettre en joie et vous aurez l’art romain, l’art d’aujourd’hui [fin du 19è siècle, mais ce n’est guère mieux de nos jours], celui de toutes les époques où règnent les classes marchandes, César [l’empire], la maréchaussée et la « cocotte » [pute et valorisation du corps, de la forme et de l'image]. Le bourgeois aime l’argent et la luxure, il redoute la mort et la gendarmerie, qu’il incarne dans le même personnage, le « diable ». Il est un fait que le bourgeois est fait pour être volé ! C’est pourquoi le 19è siècle et le début du 20è est celui des bagnes pour enfants et adultes.

« Quant à ce qu’on doit penser d’une société secrète en général, mon opinion est que, dans un pays comme le nôtre [la France], où elles ne peuvent plus faire de bien, on doit désirer leur complète disparition ; toute société qui n’agit pas au grand jour et n’est pas contrôlée par l’œil du public [selon le principe démocratique et républicain], peut avoir été fondée dans des circonstances excellentes, par des hommes d’une probité indiscutable, puis dévier rapidement de son but, pour être accaparée par des intrigants politiques ou autres [notamment le pouvoir de l’argent], et se transformer en instrument d’oppression publique ou de malfaisance privée ».
Grasset d’Orcet Revue Britannique, Novembre 1884.

Dans la même revue Grasset d’Orcet ajoute que  la franc-maçonnerie ayant « dévié sensiblement  de son but primitif en France, pour se transformer en simple association électorales... »
Ne pas oublier que la patrie des francs-maçons est l’empire : le monde anglo-saxon, et principalement les États-Unis dont la constitution est fabriqué par des francs-maçons, et uniquement basée sur leurs principes, et que si tous les cultes sont bannis de ses fêtes officielles, les hiérophantes maçons y pontifient solennellement avec leurs insignes. En 1884 les États-Unis comptait le nombre énorme de plus de deux millions et demi de francs-maçons, soit au-delà de la classe lettrée toute entière.

Le Gouvernement mondial pourrait être LA société secrète : le plus de grands Orients, le plus de grands Maîtres, en une unité diabolique en forme de gouvernance mondiale et occulte savamment organisée. À la tête de cette gouvernance mondiale il y a un chef unique, et bien-sûr inconnu, qui reste dans l’ombre et qui tient tous les ateliers et toutes les loges dans sa main. Chef mystérieux et terrible, auquel sont liés par un serment d’obéissance aveugle, tous les maçons de tous rites et de tous les grades, qui ne connaissent même pas son nom, et qui, pour la plupart, ne veulent pas croire à son existence. Ce diable à la tête du monde est véritablement le « PRINCE DE CE MONDE ».
Pour le moment notre « gouvernance mondiale », apparente, c’est l’ONU, l’OTAN, et autre big finance mondiale et ses armées dont le siège est la City de Londres. On ne peut nier les faits !

Dans la hiérarchie maçonnique, chacun est conduit sans savoir par qui, et exécute des ordres dont il ignore l’origine et le but réel. C’est le principe de la vraie société secrète, secrète pour ceux-là mêmes qui en font partie : LE COMPARTIMENTAGE, ou CLOISONNEMENT est la règle compas-équerre ; on la retrouve dans la société américaine au niveau bien-sûr militaire, mais aussi dans l’entertainment comme par exemple dans les studios Disney.
À l’époque de Grasset d’Orcet cette franc-maçonnerie occulte s’appelait charbonnerie. Comme la franc-maçonnerie, la charbonnerie est une et universelle ; elle est la partie militante de la franc-maçonnerie, on en ignore le nombre de ses adeptes précise Grasset.
Grasset précise qu’on est reçu charbonnier qu’avec le grade de maître maçon, et qu’il est certain qu’avant 1870, la charbonnerie allemande en a profité pour faire de l’espionnage dans les loges françaises. Partout où on peut saisir cette franc-maçonnerie, elle apparaît dans les pays protestants, donc anglo-saxons principalement, comme exerçant une influence réactionnaire et aristocratique, mais à la condition qu’elle ne se découvre point, « sans quoi des scélérats se trouvent immédiatement pour exploiter ses mystères à leur profit et mettre à sa charge toutes leurs infamies. C’est ce qui a dû se passer dans la Révolution française, à la suite de laquelle la charbonnerie paraît s’être dissoute définitivement, après avoir déchaîné des tempêtes qu’elle fut impuissante à apaiser. Aujourd’hui, tout mystère lui est désormais interdit », écrit Grasset d’Orcet.

Le naïf et 33è degré franc-maçon qu’était C.W. Leadbeater, voit la franc-maçonnerie comme un lycée ou une Maison de Vie de l’Égypte ancienne qui était l’école des Scribes : « L’enseignement et la formation aux degrés inférieurs et supérieurs, ainsi que l’on pourrait les dénommer, étaient certainement cachés à ceux qu’ils ne concernaient pas, c’est-à-dire à ceux dont le niveau ne leur permettait pas d’y prendre part, tout comme une université moderne dont, par exemple, les cours sur les sections coniques seraient fermés aux enfants qui apprennent la simple arithmétique ». Dans ce sens là il n’a pas tort, mais c’est très naïf, surtout dès que le moindre pouvoir vient s’en mêler. (Réf. Rites mystiques antiques - Une brève histoire de la franc-maçonnerie).


RAPPEL : l’infâme Napoléon Bonaparte qui se fit empereur et fut un adepte des fanfreluches et autres décorations genre « légion d’honneur », tenta d’étiqueter des personnes en noms de ducs, comtes, et autres titres ronflants, qui sont véritablement des fanfreluches puisque étiquetant des rangs factices. Ainsi il créa une « prairie impériale », mais il ne put jamais créer l’ancienne noblesse multi-millénaires. Napoléon 1er c’est l’arrivée en force de l’argent : l’art héraldique de son empire était caractéristique et aussi approprié à sa destination que l’achat de blasons de fantaisie que n’était pas rare tout au long du 19è siècle et même du 20è. Libéralisme, égalitarisme et argent faisant si bon ménage, avec Napoléon 1er nous entrions dans une sorte de méritocratie de l’argent.
Voir la page : La canaille franc-maçonnique spéculative.


Les dictateurs de l’Androgyne et le billet de un dollar.

ATTENTION, IL y a androgyne et androgyne ! Le vrai est le Rebis, la Matière, et d’une infinité d’autres noms en matière d’Alchimie. Le Rebis, ou deux fois bis : comme le Dieu Ptah, il s’engendre lui-même, c’est-à-dire qu’il réalise parfaitement et dans l’absolu le Soi ou Instant. Un autre nom est le Phénix, que l’on retrouve évidemment en symbolique franc-maçonnique. « Notre œuvre dit Le Trévisan, est composée d’une racine et de deux substances mercurielles (Mercure possédant une animation ), qui étant cependant de même nature, se réduisant à un seul Principe ». (Page 402. Dictionnaire Mytho-Hermétique de A.J. Pernety).

Tout a été faussé, car l’œil unique sur le billet de un dollar est censé représenter l’Essence et la Connaissance divine, et rien que le fait d’avoir dessiné ce symbole sur la pire forme d’esclavage de ces dernières 10.000 années est œuvre du Diable. Normalement l’œil unique est celui du monde et aussi la Stargate vers un regard divin embrassant le Cosmos. Et bien il y a des pervertis absolus qui ont osé le dessiner sur un objet de mercantilisme pour en faire quasiment un Dieu et un objet de culte : la société de consommation ! C’est d’une habilité diabolique bien dans le mental d’une certaine judéo-maçonnerie cancérisée par le pouvoir.
Notre monde n’étant qu’illusion ou rêve, les pervertis et malades avec le dessin de cet œil sur leur billet de un dollar ont fait du rêve un CAUCHEMAR qui nous conduira tous vers la mort ! L’œil sur ce billet figure tout simplement LE POUVOIR, donc la mort par le cancer.
Cet œil sur le billet de un dollar n’est que LE MAUVAIS ŒIL : la prise de pouvoir des forces de la finance juive internationale sur le monde. Pour les franc-maçon cet œil est censé représenter leur GADLU, le Verbe créateur, sur le plan extérieur il représente bien-sûr le Soleil, la Lumière ou Raison.
 
 
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Quant à l’oiseau Phénix, il est la FOCAL : le Benou qui renaît de ses cendres et est le symbole du soufre incombustible ou auto-création. Quand le Benou sent/sang sa faim/fin approchée, il se construit un bûcher et se brûle en offrande ; alors apparaît un vers dans les cendres qui se développera en un nouveau Benou ressuscité des cendres de son prédécesseur. Le Phénix égyptien est associé au rythme annuel des crues du Nil.
La symbolique en est donc : renaissance, immortalité après cycles. Le Phénix est selon Homère la Cité du Soleil ou Terre solaire primordiale : LA SYRIE. Le Phénix, disent les Arabes, ne peut se poser que sur la montagne du Qâf, pôle et centre du monde.
Comme les Dragons en Chine, les Immortels ou Bienheureux chevauchent le Phénix. Il y a un Phénix mâle représentant la Félicité, et un Phénix femelle représentant la reine par opposition au Dragon. Phénix mâle et femelle représentent un ACCORD PARFAIT ou PUR YANG, donc au domptage du mental ou ego. Le Phénix est un symbole essentiel, comme LA SALAMANDRE.

Dissoudre ces travailleurs du chapeau qui veulent « soumettre l’univers » par leur dogme de l’androgynisme ou Alpha et Oméga à la Teilhard de Chardin, soit leur Adam primordial (Adam Kadmon), soit leur Dieu unique ou GADLU (Grand Architecte De L’Univers). Cela rejoint le VOYEUR franc-maçon voulant voir simultanément toutes les faces du polyèdre, comme le symbolise l’œil au-dessus de la pyramide sur le billet de un dollar. L’Androgyne sous forme d’œil figure bien sur ce billet. Cela fait aussi penser à la théorie du genre, car je lis dans le dictionnaire des symboles de J. Chevalier et A. Gheerbrant, à l’article Androgyne, que si l’androgyne signifie l’unité, la totalité, comme le vrai sens de l’œil sur le billet, et à la fin des temps ou Royaume de leur Dieu sur Terre si rêvé par tous Yahvistes, la plupart des systèmes cosmogoniques s’efforcent de différencier totalement les sexes en ce monde. « car - et les croyances les plus anciennes rejoignent ici les leçons les plus actuelles de la biologie - l’être humain ne naît jamais totalement polarisé dans son sexe ». Mais dans quel sexe ? Parce que TOUT EST DANS LE MENTAL. Alors c’est INTÉRIEUR, « car c’est une loi fondamentale de la création que chaque être humain soit à la fois mâle et femelle dans son corps et dans ses principes spirituelles » (affirment les Bambaras, cité par Germaine Dieterlen : Essai sur la religion des Bambaras). Les Bambaras parlant certainement du CORPS ; « d’où l’explication la plus courante des rites de circoncision et d’excision (sur le continent Africain), qui seraient destinés à faire passer l’enfant de façon définitive dans son sexe apparent, le clitoris étant chez la femme comme une survivance de l’organe viril, et le prépuce étant chez l’homme comme une survivance féminine ». Ces mutilations sont horribles et c’est aussi tordu ce qui est écrit dans le dictionnaire des symboles !. Mais à la base nous avons tout de même un sexe soit en forme de pénis, soit en forme de vagin ; et chez les minéraux nous avons des déviations lumineuses lévogyres (vers la gauche), et le contraire : dextrogyres (vers la droite : un cristal dextrogyre). Ici-bas tout est sexué, même les Hermaphrodites ! Et il y a bien des types qui fonctionnent à « voile et à vapeur ».
L’androgynie est INTÉRIEUR, et pas extérieur !!! L’androgynie n’a pas « à être requise », l’Unité est ICI et MAINTENANT, il n’y a pas le « devenir un qui est le but de la vie », ou la « conversion » ; le Un, l’Instant ou Soi est Ici et Maintenant, quoi que l’on fasse.

Androgyne ou pas, c’est là le vaste problème du sujet-objet, de la cause et effet, etc. On peut aussi être pendant un année un mâle, et l’année suivante : une femelle, et ainsi de suite au grès du vent !!! Après tout, ce n’est encore qu’une question d’opinion... Et de mode... Et dans l’Instant ou Soi il n’y a plus de dualité.
À propos d’amour, mâle et femelle, ou mâle-mâle ou femelle-femelle, je cite Ramana Maharshi à l’entretient 203 sur la disparition d’un conjoint : « Pleurer la mort de quelqu’un n’est pas une preuve d’amour véritable. Cela révèle seulement l’amour de l’objet, de sa forme. Ceci n’est pas de l’amour. Le véritable amour se reconnaît à la certitude que l’objet de l’amour est dans le Soi et ne peut jamais cesser d’exister ».

Notre civilisation actuelle étant tout entière tournée vers la forme, le corps, ce qui est étrangement paradoxale à l’ère technologique où tout devient FAUX, l’androgyne et son symbolisme perdent beaucoup, et avec la franc-maçonnerie spéculative de 1717 et ses tripatouillages sans nombre, même avec l’Internet et des livres ou documents, il est maintenant très très très difficile d’approcher la pureté de l’origine... de l’Androgyne !
Comme disant bien Jean Coulonval (Synthèse et Temps Nouveaux), désormais il ne faut plus des croyants, mais DES SACHANTS (et je doute qu’il s’en trouve dans la maçonnerie de pouvoir !).
Je rappel que la spiritualité, le sacré ou la sainteté est terriblement AMBIGUE, et peut basculer de façon binaire dans le positif, ou le négatif (voir les Star Wars !)

Enfin pour terminer, la franc-maçonnerie de 1717 nous a donné une république où le soi-disant pouvoir était au peuple, c’est-à-dire d'une certaine manière la tyrannie par la foule, on appelle ça l’OCHLOCRATIE. Elle a remporté ses triomphes souvent sanguinaire, et on peut suivre les traces de sa dégradation dans celle de la noblesse, dont l’abaissement fut entrepris par Louis 11 en lutte contre les grands vassaux, et mené à terme par Louis 14, lorsqu’il réduisit cette aristocratie territoriale en valetaille de cour. Alors qu’au Haut Moyen-Âge la France était une des nations les plus aristocratiques. Tout cela aboutit à l’appauvrissement des paysans et à leur ruine avec l’arrivée du 19è siècle s’industrialisant, avec la conséquence d'apporter les usines à bouffe.
L’Ochlocratie c’est un peu l’égalitarisme maçonnique : la mécanisation des âmes les transformant en marchandises à codes barres, leur tyrannie s’exerçant ensuite par suffrage « universel » où la médiocrité l'emporte.
 
 

Dernière mise à jour : 07-09-2013 20:08

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