Marxisme, Gender, Mémoire
 

Ecrit par Sechy, le 22-09-2013 01:48

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Marxisme, Gender, Mémoire
Même si ce n’est pas apparent,
il y a naturellement un rapport
entre les trois mots€£$/$£€maux du titre
 
 
Notre civilisation des pervers polymorphes (de toutes formes ou sans aucune forme : avec qui ont veut, même avec un manche à balai)
En voiture Mimi et son jeune frère Toto pour la dictature du Nouvel Ordre Mondial


 
Comme nous sommes en démocratie, et comme dans votre supermarché, choisissez votre « identité sexuelle » d’hiver, remise de 5% avant la fin septembre. Même chose pour la filiation biologique, qui ne devra plus avoir lieu d’être ! Nous seront prochainement les deux pieds dans le socialisme à la soviétique, avec égalitarisme douteux, car alors je peux dévider d’être le père d’un enfant que je n’ai pas conçu physiquement, ni par mon amour. Nous nous dirigeons dans la politique Incas ou l’État faisait tout pour le peuple, y compris l’autoriser à se marier, et avec qui, y compris l’autoriser à choisir tel vêtement plutôt qu’un autre, etc., sauf que chez les Incas la monnaie ou l’économie n’existait pas, elle n’avait pas d’utilité.
IDENTITÉ : principe même de la dualité : le miroir et son reflétant, son double : le même de l’autre côté, celui qui est identique (en principe selon la chiralité). Dans le même thème nous avons : IDÉE, soit la distance ou dualité entre le sujet et l’objet. ICE, ICIL, ICESTES : cela, cette chose, celui, icelui, iceux, ceux-là, celles-là, sont du même thème. ICE : glace en anglais, et qui reflète. Nous sommes bien toujours dans la dualité.
Aujourd’hui, dans la tradition diabolique et républicaine de l’après 1789, le mot identité ne veut plus rien dire : je suis biologiquement un homme, mais si identitairement je veux être une femme, l’État maçonnique m’y autorise : merci les fils de la Veuve ! Mais dans cette société de consommation il y a plus, avec ma petite identité féminine, il ne me reste plus qu’à m’ORIENTER pour coucher avec un homme... ou une femme, et à ce moment là je serais lesbienne ! My God que d’aventures ! On ne s’ennuie pas avec les travailleurs du chapeau aux trois points ! ATTENTION il y a pire : « La relation sexuelle naturelle entre un homme et une femme sera déclaré une violation de l'amour et une violation des droits de l’homme » (dixit une avocate). Et ils appellent ça la « liberté ». Alors, vous savez ce qu’il vous reste à faire pour être dans la nouvelle norme et libéré : ENCULEZ-VOUS LES UNS LES AUTRES, sans oublier la vaseline, ça fera plus égalitaire et confortable, mais en définitif tout ça pue l’argent, uniquement l’argent.
 
 
L’homosexualité et autres perversités polymorphes c’est bon pour le commerce du cul et de la bite.
 
Égalité franc-maçonnique : tout le monde a le droit de...  devenir riche... et pédé... ce qui même à la pire inégalité et à la violence. L’égalitarisme devient diabolique quand règne le libéralisme faisant que la société n’est plus basée que sur la différence des fortunes, encouragée par la fraude fiscale et les « paradis fiscaux », et par les cours des bourses et les savants bidouillages financiers genre Nasdaq ou New York Stock Exchange, tous repères de Satan. Or il n’existe pas d’égalité dans la finance internationale, c’est « Exploitez-vous les uns les autres », sans oublier de vous enculer. La ploutocratie dirigeante dont l’autorité est totalement dépendante des pouvoirs de la finance internationale n’est que parasitisme.

Le zizi ne détermine plus la personnalité du petit garçon, ce qui est un détournement de la personnalité puisque celle-ci ne dépend pas du corps ni du mental, mais du Soi : mais dans la théorie du genre on reste au niveau du corps : si on veut changer de sexe, plus besoin d’opération, le Petit-Père-des-peuples fait l’opération par l’opération judiciaire en diarrhée législative républicaine. Il y a donc une PERVERSION DU MENTAL, comme  une INVERSION, prouvant que nous sommes là encore dans le satanisme le plus pur. Un État faisant une loi pour permettre le changement de sexe sans se « le faire couper » ou sans autre bidouillage du corps est du confort satanique, et certainement pas de « l’égalité » homme/femme.

Il n’y a pas de « genre » ou « gender » renvoyant une identité, parce que ça renvoie simplement AU CORPS, donc AU MENTAL. Ce n’est pas la réalité de l’individu. La théorie du genre inventé par des anglo-Saxons est une MODE, un phénomène culturel, une opinion, elle n’a rien de concret et n’a pas à être imposé par un loi comme dernièrement en France avec le « mariage gay ». Et pour moi ça se rapporte au marxisme triomphant depuis le début du 20è siècle. La franc-maçonnerie spéculative modèle Grand Orient de France attaque nos enfants depuis l’élection de François de la Hollande : charte de la laïcité, ABC de l’égalité. Le lavage maçonnique des jeunes cerveaux est en marche, Jules Ferry en rêvait, et ce n’est pas pour rien que de la Hollande dès le premier jour de son élection rendait hommage au maçon Jules Ferry, ça donnait le ton maçonnique à son parcours présidentiel. Selon ces francs-maçons, il faut mettre un terme au « stéréotype » : garçons = jeux avec des petites voitures, filles = jeux avec des poupées ou à la dinette. Bientôt on retrouvera ce dualisme en carreaux noirs et blancs de loge maçonnique, mais en inverse : les garçons doivent aussi jouer à la dinette, et les filles jouer aux petites voitures...
D’ailleurs la mode hippie fabriquée suite au Plan Marshall a fait que les garçons pouvaient avoir des cheveux aussi longs que ceux des filles, et les filles pouvaient avoir le crâne rasé, ou avoir des cheveux à la garçonne, comme ces femmes intellectuels s’habillant aussi en pantalon masculin dans les années 1930.

La théorie du gender s’installe bien dans le marxisme ou mode du matérialisme, qui considère que l’être humain est maître absolu de son destin : la fameuse libre pensée, ou libre arbitre. Le gender c’est cela, puisque l’humain est devenu capable d’accomplir tout ce qu’il veut : c’est démocratique ! Alors il n’est plus étonnant d’avoir jeté Dieu par dessus bord, mais aussi la loi de cause à effet avec la théorie quantique. Certes, la loi de cause à effet est tyrannique, inique tout court, mais en attendant, l’être humain récolte ce qu’il a semé, par exemple si vous cracher en l’air vous risquez de vous prendre le crachat sur la gueule ! Et dans ce temps ou le Nouvel Ordre Mondial ne jure que par sa « démocratie », il est naturel que ce qu’il reste des nations et de leurs individus revendiquent le droit de faire ce qu’il veulent, sans chercher à connaître les conséquences de leurs actes sur autrui, c’est surtout le cas de cette finance internationale qui nous bouffe tous, et c’est comme ça que l’idée du libre arbitre ou libre pensée est tenue pour acquise. Ces mondialistes « démocratiques » ne cherchent pas à savoir si leur idée est défendable : « Nous croyons à ce que nous voulons croire et à ce qui convient à nos tendances naturelles, même si nos convictions s’envolent face aux faits évidents de l’existence ».
Quel orgueil monstrueux cet humain se voyant accomplir tout ce qu’il désire, alors qu’il ne sait même pas avec certitude s’il sera en vie demain, alors que les volontés de 7 milliards d’autres personnes sont à prendre en compte, alors que la planète sur laquelle il vit n’est qu’un grain de poussière dans un univers plein d’incertitudes, de bizarreries et de mystères heureusement insondables. Croire, dans de telles conditions, que cette expression physique, éphémère et chétive que nous nommons « l’être humain » possède une volonté absolument libre, équivaut de façon certaine à vivre dans le monde du FAUX dans lequel nous sommes désormais plongé, et sans aucun rapport avec les réalités de notre existence et de nos expériences de tous les jours.
Bref, la dualité libre arbitre et prédestination genre fixistes est à dépasser, et c’est difficile : mais plus on avance dans les dimensions de chaque contraire genre carreaux noirs et blancs des loges maçonniques, et plus les contradictions s’effacent les unes les autres.

L’éducation nationale des écoles obligatoires du maçon Jules Ferry confond éducation et enseignement : l’éducation est affaire des parents : ils élèvent leurs enfants, ils leur apprennent l’éducation sexuelle, ou non, c’est INTIME ou INTÉRIEUR. L’enseignement est donné par l’école : apprendre à lire et écrire, à compter, et autres références concernant son pays, etc., et pour préparer à un futur métier ; l’enseignement est donc EXTÉRIEUR, du sens de l’enseigne que l’on voit au loin et qui RENSEIGNE. Enseigner c’est ces enseignes, ces armes ou armoiries, comme l’indique le Glossaire de Du Cange. Enseignement c’est le jugement, la sentence : tirer un enseignement de quelque choc. Enseigné indique le docteur, le savant, l’ensenié (celui qui est instruit, sensé).
Chez les Anciens Grecs, le jeune Athénien de 7 ans échappe à la compagnie exclusive des femmes et se rend à l’école, accompagné par un esclave qu’on appelle PÉDAGOGUE. Les lois de Solon faisaient un devoir au père de famille de veiller à l’éducation de ses fils. Quand à l’éducation, le grammatiste enseignait à lire et écrire, à compter, puis faisait apprendre par cœur les poèmes d’Homère, d’Hésiode, de Solon ou de Simonide.

Nous sommes toujours sous la coupe des marxistes et autres socialistes. Le philosophiste anglais et matérialiste John Stuart Mill prêchait un évangile de progrès social dans lequel les réformes économiques et politiques allaient transformer la nature humaine grâce aux changements de l’environnement. C’est typique du libéralisme et du capitalo-socialisme dans lequel se retrouve notre théorie du gender.

Avec le gender une autre théorie fit des ravages sous le nazisme : l’eugénisme, mis au goût de l’époque, encore par un anglais : Francis Galton, qui proposait en son temps que l’État régule la fertilité des populations de façon à favoriser l’amélioration de la race humaine par accouplement sélectif !!! Bienvenue dans les fermes d’élevage d’humains nourrit aux grains... Cela rejoint non seulement la théorie du gender, mais aussi la « loi du plus fort » qu’appliqua Jeffrey Skilling, pdg d’Enron, qui considérait que le néodarwinisme signifiait que l’égoïsme était le dernier ressort toujours positif, même pour ses victimes, parce qu’il élimine les losers et oblige les winners à devenir plus fort. C’est infecte !!!

Cette théorie du gender renforce le diviser pour régner : augmentation du mépris pour les homosexuels, qui pour la plupart n’ont rien demandé ! Avec le gender, l’homophobie deviendra l’opposant, le « terroriste » qui considère que quand on naît homme on devient un homme, et quand on naît femme on devint plus tard une femme...

L’identité sexuelle n’existe pas, par exemple on ne se définie pas en fonction du travail que l’on effectue pour gagner son pain et son logis. Un plombier ce n’est pas une identité, un plombier est la FONCTION de plombier dans son travail quotidien, mais il est avant tout UNE PERSONNE. Aujourd’hui on veut détruire la personne, on veut empêcher que chacun réalise le Soi ou Instant en pouvant vivre : « Je suis CE JE SUIS ».
De même il n’existe pas « d’identité homosexuelle ». C’est une pratique, un mode de vie qui se construit peu à peu et ne s’exprime pas toujours de la même façon : cette pratique change selon les circonstances de la vie.
Le Gender voudrait rendre visible l’homosexualité, mais de façon démoniaque, puante, totalement artificielle ; alors que l’homosexualité chez les Anciens Grecs se nommaient plutôt pédérastie : l’amour dorien si à la mode à Lacédémone (Sparte). Mais déjà à cette époque, l’Athénien moyen considérait cette homosexualité comme UN VICE totalement méprisable, une forme de dérèglement du mental, et un signe du ralliement à une « fraternité aristocratique » (voir l’élite actuelle et la pédophilie), un compagnonnage à visées politiques dont la démocratie devait à bon droit se méfier. Les jeunes gens orgueilleux, pour la plupart issus des familles les plus riches d’Athènes, ne dégageaient aucune sympathie de qui n’appartenait pas à leur groupe. Socrate fut accusé de corrompre la jeunesse.

Bref, à Sparte, en Crète, à Thèbes, les adolescents étaient confiés aux soins d’adultes chargés de les former au métier des armes, cela favorisait une « camaraderie militaire », depuis une époque vieille comme la nuit des temps, qui pouvait faire naître des amitiés « particulières » pouvant déboucher sur des « privautés physiques ». Et ces liens étaient parfois encouragés pour renforcer la cohésion morale des troupes d’élite : voir le bataillon sacré des Thébains à l’époque d’Epaminondas. Pour les Grecs ces pratiques étaient repoussantes. Malgré cela, je persiste à considérer que les Thébains et autres peuples n’étaient pas des « pervers polymorphes » comme on les nomment aujourd’hui depuis les ravages du freudisme et autres opinions matérialistes de la seconde moitié du 19è siècle. Il devait existe une forme de relation homme-homme, ou femme-femme, même chez les Chasseurs-Cueilleurs. Ce n’est qu’une supposition bien-sûr.

Si l’actuelle homosexualité est déconsidéré, c’est la civilisation qui l’a fabriqué ainsi, et ce ne sont pas des lois qui vont arranger quelque chose ! Car avec ou sans loi, cette civilisation judéo-chrétienne a faite que le cliché sexuel peut tuer. L’homosexualité ne devrait d’ailleurs pas être associé au sexe, mais à l’amour tout simplement (et sans sexe, sinon ça se transforme en viol, en violence).

Pédérastie veut dire : relations amoureuses entre de très jeunes gens et des hommes faits. Ce qu’on appelle de nos jours pédophilie est différent, car ça implique jusqu’à des bébés et des crimes rituels. Si la pédérastie était considéré par les Grecs comme une « perversion sexuelle », c’est leur opinion ; aussi à Athènes les lois étaient sévères pour l’incitation des adolescents à la débauche : le viol même d’un esclave était puni comme celui d’un enfant libre, tant c’était l’acte lui-même que la morale publique condamnait.
Le sadomasochisme est aussi une « perversion sexuelle » ; et pédophilie et sadomasochisme se pratiquent aussi bien chez les homos que chez les hétérosexuels.
Au temps des Anciens Grecs la pédérastie était le fait de l’aristocratie, et non du peuple, ce qui ressemble parfaitement à l’élite actuelle pratiquant la pédophilie avec rituel satanique et crimes d’enfants.
À l’époque du Péloponnèse, c’est dans les sociétés secrètes que l’homosexualité recrutait ses adeptes.

Ainsi, l’amour contre nature est bien peu propice à l’acquisition de la vertu, surtout de nos jours où seul compte le fric, le corps et le « m’as-tu vu mes beaux biceps »...
Je considère l’homosexualité comme UNE RÉCRÉATION, un JEU ÉROTIQUE du moment. Et si deux hommes veulent se marier, c’est leur problème, mais il n’y a pas de quoi en faire une loi d’État imposant à tout le monde, sans lui avoir demandé son avis ; c’est de la DICTATURE !!!
La théorie du Gender est de la manipulation du peuple par une oligarchie ou un groupe de pression fortuné.

Plus beaucoup de place pour la partie MÉMOIRE. Juste pour écrire que là encore il faut sortir du mondialisme et de sa pensée unique, à savoir que croire encore que la mémoire est situé dans les méandres de notre cerveau. Dans études ont été faites. un jeune homme ayant un QI de 126, diplômé en mathématiques de l’université de Sheffield, n’avait pratiquement pas de « cerveau ». La surface interne de sa boîte crânienne était recouverte d’une fine couche de cellules cérébrales d’environ un millimètre d’épaisseur, et tout le reste rempli de liquide céphalo-rachidien. Son activité mentale et sa mémoire fonctionnaient plus ou moins normalement alors même que son cerveau faisait 5% de la taille habituelle. (Réf. cité par Rupert Sheldrake, dans : Réenchanter la Science).

CONCLUSION : Aujourd’hui le corps est à la fois monté en épingle et nié par la théorie du genre pour faire d’avantage laïcité ; et le mental, qui est aussi le corps, poursuit sa lancé sur la libre pensée amorcée à la Renaissance où chacun est libre de faire n’importe quoi, bien-sûr dans la limite de la norme droit de l’hommiste, dont il faudrait désormais changer le mot « homme ». Et les manipulateurs d’opinions appellent ça « la liberté » ou « l’égalité ».

[En haut de page : panneau indicateur au Japon dans la ville de Suita, préfecture d'Osaka, indiquant : « Prenez garde aux pervers ». La chanson « Ça c’est d’la bagnole » est interprété par Georgius, un Maître de la diction française qu’on ne trouve plus maintenant]
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 22-09-2013 02:26

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