Catastrophe des drogues des Couilles en OR
 

Ecrit par Sechy, le 27-11-2013 03:26

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Catastrophe des drogues des Couilles en OR
 
 
Noël : période de la plus grosse consommation de drogues au monde. Période de massacre imbécile des sapins. Période de « paix » ou de « trêve de Noël », en tous cas pas pour le business et les banquiers ! Et puis pourquoi « paix aux hommes de bonne volonté » ? La paix est TOUJOURS LÀ, aucune volonté est nécessaire et la paix ce n’est pas uniquement à Noël mais à longueur d’année. La Vraie Paix est la réalisation du Soi-Instant. « Si on ne trouve pas la paix en soi-même, comment peut-on la propager dans le monde ? » (Ramana Maharshi, entretien 331). En démocratie actuelle et selon son principe tous les hommes politique de profession sont obligés de mentir.
 
 
Les gens ont essayé pendant des siècles de changer de systèmes, de théories et de toutes choses, excepté eux-mêmes. Très peu dans le monde consentent à admettre que les grands problèmes compliqués du monde ne peuvent être résolus en changeant le cours de l’histoire ou l’organisation de la société. La solution est évidente. Elle se trouve dans le créateur du problème qui est l’homme lui-même, mais il ne veut pas regarder ce fait déplaisant.
(Radha Burnier)

« L’homme qui soutient qu’on ne raisonne que par le rapport des sens, et qui cependant a les sens les plus faibles, les plus tardifs, et les plus faux d’entre toutes les créatures : l’homme enfin que la Nature, pour faire de tout, a crée comme les monstres, mais en qui pourtant elle a infus l’ambition de commander à tous les animaux à exterminer ». (L’autre Monde le Soleil, de Savinien de Cyrano de Bergerac)

Depuis le supposée Big bang, qui est le plus à plaindre ? Mais c’est le pauvre Diable créé par l’être humain et son pendant le pauvre Dieu. Le trop Malin, le grand Architecte ou grand Organisateur du chaos sur terre avec ses normes compas-équerre est bien l’humain, celui qui décréta : « Exploitez-vous les uns les autres » et qu’il nomma dans son orgueil : « démocratie » ou « liberté », ou encore « république universelle ». Le mensonge est l’outil principal du Diable, c’est pourquoi on l’appelle « le Malin », il travaille du chapeau, comme les francs-maçons.
Seul le Diable ou Grand Architecte de cet Univers synonyme d’homme peut dire que telle ou telle chose est impossible.
Avec le Diable comme Grand Architecte et son chaos du moment nommé « économie », plus le déchaînement des Élementals de la Nature, prochainement ça risque de tanguer fort dans la petite civilisation humaine si accroché à sa fragile fée électricité !!! Et alors plus d’eau courante et potable !!! Ce sera, AVANT, de s’organiser en bandes... ou Pays (un max de 10.000 habitants).

En 2014 commence la GALLUTOUTA (voir le dernier encadré en fin d’article).
 
 
Les malheurs de notre monde : c’est l’égoïsme, l’individualisme monté en religion depuis la révolution de 1789.
ÉGOÏSME : de 1743, période plein pot du siècle des lumières et de cette nouvelle franc-maçonnerie dite spéculative ; du latin ego : moi (ou soi avec un s minuscule).
L’égoïsme est typique de la religion de l’argent : posséder, faire du profit, etc. L’argent lui-même n’est plus un moyen facilitant la vie mais un business ; avec cela on a les politiques qui n’ont rien à foutre de la politique mais y voit un moyen d’exercer un métier comme le boulanger fabrique son pain, à la différence que le boulanger connaît comment cuire son pain alors que le politique de profession ne connaît rien à la nature humaine, à commencer par lui-même puisque formaté dans les écoles.

La révolution française a accentué les malheurs de l’Occident : la recherche du bonheur extérieur qu’on appelle aujourd’hui « libéralisme », « progrès ». MAIS C’EST LA PRISON ET LA MORT ! Et vers le toujours plus, vers la croissance qui deviendra MORT. Tout est fait pour que l’humain se tourne uniquement vers l’extérieur, le « pouvoir d’achat », et cela avec l’aide des Juifs et leurs opinions à commencer par le système de Moïse.

Depuis le 19è siècle industriel tout est bâti sur la compétition : le winner ; on entend parler ceux qui « possèdent » le pouvoir de : « valeur », mais ce sont encore des trucs extérieurs ! Et ça provoque les malheurs : selon le NIVEAU auquel on se situe on est heureux ou malheureux et ça attire la jalousie permanente de celui qui est en bas de l’échelle de devoir monter toujours plus haut : la croissance... la richesse... Tout cela n’est que de l’illusion, il n’existe aucune échelle de valeur, aucune compétition. Ce sont les conflits qui poussent sans arrêt à se tourner vers l’extérieur. Le mot « valeur » est dans l’évolutionnisme, il n’est pas dans le cyclique ou rythmique naturel.

Il n’y a pas pire illusion ce qu’on appelle aujourd’hui « libéralisme ». Le sens actuel de ce mot veut dire : pulsions individuelles remodelées depuis 1789 ; terme employé par et pour ceux qui adhère à la religion de l’argent. Le libéralisme est synonyme de LIEN : donc de religion, celle des consommateurs acheteurs de marchandises et de services, alors que paradoxalement le système actuel repose sur l’implosion individualiste des sociétés : paradoxe mondialiste et explosion des nations. Dans le même thème nous avons : le mondialisme, le « United Colors of Benotton », l'ensemble, la communauté internationale, soit le capitalo-socialisme. Cela produira le contraire de la religion qui comme son sens l’indique est fait pour RELIER les gens entre eux. On le voit bien avec les technologies « réseaux sociaux et téléphones portables » et aussi l’Internet : les gens sont à la fois « ensembles », mais virtuellement, et donc encore plus isolés qu’au Moyen-Âge où seul le cheval était le moyen de communication le plus rapide, et aujourd’hui même s’il y a des rassemblements « réels » : on est jamais aussi isolé que dans une foule et c’est parfait pour préparer un attentat ; d’ailleurs une anecdote raconte que le chercheur Nikola Tesla « s’isolait » dans la foule d’un hall de gare pour trouver des idées pour ses machines. La solitude ce n’est pas la foule c’est DANS le mental.
Il est paradoxale que l’oligarchie rongée par le pouvoir prône le mondialisme et professe « l’amour des autres » dans ses pubs médiatiques : un amour inversé, à l’envers, uniquement commercial et satanique et uniquement tourné par la possession et l’intérêt et le pouvoir = pour-voir-tout-mesurer.

En république il y a encore moins de liberté que sous l’Ancien Régime et sous les manipulations de l’Église de Rome. Nous sommes conditionné dès l’enfance selon le modèle de nos parents et de l’école franc-maçonnique de Jules ferry avec leurs « valeurs » que l’enfant gobe inconsciemment. Dans ces écoles obligatoires de la république maçonnique on n’apprend surtout pas à penser et à se débrouiller tout seul. Les écoles du maçon Jules Ferry sont du formatage au service de l’oligarchie et des Couilles en Or (la finance juive internationale) En Orient on parle de « l’esclavage du karma » (loi de cause et effet). Ainsi plus tard l’être humain est amené à des actions et à des poursuites involontaires, automatiques, robotisés, parce que depuis le berceau IL ABSORBE COMME UNE ÉPONGE ET RETIENT TOUT. Les républicains appellent ça « valeurs », que évidemment il ne faut pas remettre en question, c’est aussi tabou que les gas chambers ! surtout en France sionisté. L’adulte une fois programmé, conditionné, peut à peine modifier son opinion, mais néanmoins il accepte globalement son conditionnement. Ce qu’il prend pour sa « liberté » n’est rien d’autre que ce qu’on lui à fait avaler depuis le berceau. En plus, on lui donne diplômes et médailles pour ça !
Ce que les gens appellent « le monde » est l’extérieur, fort bien symbolisé par l’histoire de Pinocchio : le jardin des jouets, véritable piège de ce que Pinocchio voit comme la liberté et le bonheur. Notre société de consommation est ce jardin des jouets et des délices, à la seule différence qu’il faut cracher au bassinet des Couilles en Or pourvoyeuses de ces véritables drogues ; et la période de Noël est la plus grosse consommation de drogues du monde. Ça se résume au mot : PLAISIR, dont le contraire est DOULEUR. Toutes les guirlandes de Noël sont des pièges, particulièrement pour les enfants, à commencer par la guignol adulte qui joue dans la rue au Père Noël déguisé en costume rouge sang avec une pilosité en postiche blanche.

Noël est la période de Satan : la POSSESSION, ensuite et avant il ORGANISE. La femme, maintenant l’homme, sont devenus des OBJETS DE DÉSIR, celles et ceux que possèdent leur conjoint. L’amour quand chacun se possède l’un et l’autre ça peut exploser à tout moment ! en faisant du dégât... Le désir entraîne automatiquement la dualité sujet-objet, c’est un moteur comme la dualité « peuple élu » et peuple non élu. Les Juifs qui sont intelligents ont même inventé l’histoire d’un des leur vendant des jeans à une jambe à un Goy (un Chrétien justement nommé Christian), et celui-ci n’étant pas content avec des pantalons inutilisables s’entend répondre par son vendeur : acheter-vendre-acheter-vendre. Cette histoire raconté par Jacques Attali illustre bien notre époque ou seul le profit compte et ou la réalité d’acheter une simple marchandise ne compte plus ; et l’acheteur étant un non juif cela indique que la finance internationale est dominée et contrôlée par les Juifs. Avec le prénom de l’acheteur Christian Attali nous annonce le Noachisme pour tous. Merci beaucoup Monsieur Attali pour votre honnêteté dans cette vidéo ci-dessous.

La notion winner-loser vient du conditionnement de l’enfance, également celle de la possession : acquérir « des biens ». Quelle horreur ! qui a donné le sens de ‘bien’ à des objets et acquisitions ? Il y a là un problème dans la langue française et qui dure depuis le 10è siècle ! Bien en gaulois se dit uesu, même thème que valable, digne, excellence, aimable ; bon se dit dagos ; les biens (possession) se dirait en gaulois : vasu. L’être humain moderne court après « les biens » avec son « pouvoir d’achat ». Monde de malades mentaux hallucinés par les objets et les femmes et hommes objets ; monde du MIRAGE comme le jardin des jouets de Pinocchio. Mais c’est nous-même qui avons construit cet enfer, ce Jardin devenu « beauté du Diable ». Si nous n’étions pas drogués, nous n’adhérerions pas à la messe de la société de consommation et ne serions pas prisonniers.

Partout sur cette planète règne une pauvreté épouvantable et très répandue maintenant, et une tyrannie non seulement de l’opinion mais des systèmes politiques et économiques, qui supprime des êtres humains, les oblige à obéir PAR LA PEUR, réduit leur dignité, les prive de la possibilité d’éveiller ce qui est profond et subtile dans la conscience humaine, donc les prive de la réalisation du Soi ou Instant.
Le monde vraiment libre sur cette planète représente un petit nombre ridicule d’humains. Il y a une cruauté diabolique et monstrueuse que l’humain commet sur ses frères les animaux et sur leurs compagnons humains. La torture (déguisée ou non) est acceptée comme faisant partie de la police d’État par presque tous les pays du monde. Le monde est malade parce que chaque individu vit sur son île déserte, et cela est renforcé par les téléphones portables et les réseaux « sociaux » (qui n’ont absolument rien de social mais donnent le contraire : chacun dans sa bulle de confort et d'opinion avec ses difficultés, ses ambitions, ses angoisses...).

Si sous l’Ancien Régime l’insécurité dans les endroits isolés, routes, petits villages, était importante, aujourd’hui c’est pire, la politique et le sociale s’en mêle. La cause : la population est beaucoup plus importante que sous l’Ancien Régime, d’où la diminution des ressources et l’augmentations des tensions et violences. D’autre part les gens demandent de plus en plus d’objets et cela entraîne de plus en plus d’insécurité quand les gens voient les ressources générales diminuer (quand sera-t-il quand l’eau deviendra rare sur la planète ?...). Insécurité, peur de manquer, protection renforcée des « biens » (y compris de biens virtuels comme le ‘droit d’auteur’ et les brevets) par une diarrhée de lois, grèves par peur de manquer de salaire et d’emploie, le monde devient de plus en plus divisé et violent, donc le contraire de ce que veut imposer le mondialisme. L’insécurité grandissante  entraîne les gens dans des préoccupations égocentriques. Alors il y a poursuite incessante à consommer, acheter des objets de désir, de tout ce qu’un humain peut obtenir avec son « pouvoir d’achat », qu’il sent qu’il peut perdre à tout moment. L’entraînement vers le plaisir TROUBLE, rend INSENSIBLE. L’insécurité entraîne la multiplication des religions et sectes et la multiplication de la police et de l'armée et de la répression.

Quand l’être humain a peur : il s’enferme non seulement en lui mais se barricade en camp retranché ou en bande organisée. Peu après la révolution de 1789, le lavage républicain des cerveaux n’ayant pas encore frappé, paysans et nobles fraternisaient ensemble, parce que chacun ne jalousait pas la position sociale de l’autre, chacun vivait bien dans sa caste (la caste étant de l’esprit, donc à ne pas confondre avec la classe qui est de la terre). En 1789 la caste a dégénéré en classe : l’ancienne noblesse de sang n’a fait que supprimer ce qui avait perdu la conscience de sa nature. « Elle n’a fait que couper du bois mort » comme écrit Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux. Inversement la classe la plus basse tend à monter vers la caste pour retrouver la source de l’Esprit ou la réalisation du Soi-Instant.

Plus les problèmes de société seront nombreux et plus l’être humain sera compressé, préoccupé égoïstement de lui-même en une sorte « d’instinct de survie » compréhensible, mais le paralysant et frappant son mental d’incapacité de réaction supérieure. Alors dans ces conditions comment vivre en paix et harmonie avec soi-même et avec les autres ? avec la Nature ? afin d’arriver à s’épanouir ? La pensée unique à teinture franc-maçonnique et siècle des lumières plombe le monde occidental. Cette pensée unique est une ornière, et la spécialisation en est la principale, surtout en Occident. Par exemple : des animaux et des oiseaux peuvent être tués, la terre peut être spoliée et le climat altéré, mais le chimiste et son industrie chimique s’intéresse seulement à la fabrication de son produit et à sa rentabilité (ça rejoins les pantalons à une jambe...) Pire que l’histoire de Jacques Attali, on raconte qu’un chercheur en nucléaire bien connu aurait dit qu’il n’était concerné que par la fabrication de la bombe atomique et ne se souciait pas de l’endroit où elle tomberait !

Spécialisation, hiérarchie, compartimentage sont le propre des sociétés occidentales. En France le séculier ou profane depuis 1905 est séparé du spirituel, le mental se satisfera alors que seulement de quelques activités religieuses, ce qui laissera la place aux traficotages en secret de la franc-maçonnerie à pouvoir. Tout aussi grave, un service social peut être séparé de la qualité de la vie personnelle, ainsi pensée et action, prédiction et pratique sont séparées. De même on peut être gentil avec les animaux et dur avec les êtres humains. l’autre étroitesse d’esprit est la formation de bandes organisées : mouvement hippie des années 1960, groupement d’ingénieurs... jusqu’aux partis politiques rejetant ceux « qui ne sont pas de la paroisse ».


GALLUTOUTA : mot gaulois pour remplacer le mot « démocratie » qui ne veut plus rien dire depuis 1789.
- De GALLU : pouvoir, puissance.
- De TOUTA : peuple, tribu, pays, contrée, gens ; Touta sonne comme TOUS.
Dans GALLUTOUTA il y a 10 lettres, comme dans « démocratie ». Le CRATIE du grec kratos dans le mot démocratie indique plutôt « la puissance aristocratique ».
On peut aussi écrire en 10 lettres GALIATOUTA, de GALI : bouillir, bouillonner, issue d’un radical gal (force), du vieil irlandais gal (vaillance, vapeur, bouillonnement : les Gaulois mènent l’assaut avec une détermination bouillante et une rage aveugle. Réf. Dictionnaire Français-Gaulois, de Jean-Paul Savignac).
Les Français actuels sont les dignes héritiers des Gaulois, et ça commence à faire peur au pouvoir de la république française devenue province de l’empire USionistan.
Les meurtriers de l’âme des Gaulois sont l’empire romain de César, car aucun romain cultivé n’a eu l’idée de transcrire des poèmes et chants des Druides ou des strophes des Bardes. Comment était-ce le fait de l’intelligence de ce temps qui n’ont point vu la beauté des idées et culture des vaincus ? D’autant qu’un peu plus tard un certain Charlemagne a eu l’idée de noter les chants populaires des Francs. Les impérialistes sont tous des ignorants, voir beaucoup d’Américains aujourd’hui pourvoyeurs de cadavres avec leur poison « démocratie », et qui notamment ont laissé délibérément piller le musée de Bagdad en 2003. Un pillage planifié très à l’avance. Effacer l’histoire du monde c’est très pratique pour le mondialisme et l’établissement de sa religion mondiale.




Qui contrôle l’économie mondiale ? Le peuple élu ?
 
 
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 27-11-2013 04:10

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