Véritable communion, véritable communauté
 

Ecrit par Sechy, le 09-12-2013 00:42

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Véritable communion, véritable communauté
On parle aussi de COMMUNAUTÉ PLURIMONADIQUE (1)
En démocratie de la république judéo-franc-maçonnique
nous sommes tous des PERVERS :
la civilisation du ‘je’ : moi, moi, moi,
ou civilisation de consommation : le ‘je’.
Ainsi la « démocratie » n’est pas le « pouvoir du peuple »,
mais la POSSESSION, ce donne l’ANARCHIE DU LIBÉRALISME :
« Mon plaisir » ou
« Exploitez-vous les uns les autres ».
Les diplômes ou compétitions sont là pour ça :
la recherche du plaisir ou approbation,
la recherche des bravos et des médailles,
d’où le succès des « jeux olympiques »,
et des « grandes écoles » et de leurs diplômes,
de la culture du sprint et du speed
et de la croissance,
du « nouveau vu à la télé » et de la jouissance immédiate,
de la culture de la drogue et de la consommation
tous usines à faire du fric,
qui plus gravement aujourd’hui deviennent
des perversions adaptées à la culture occidentale
issue des ergoteries du monde gréco-latin
et de l’empire romain en passant par
le siècle des perruques poudrées
ou siècle de la « raison » nommée « lumière ».
Bienvenue en république universelle judéo-maçonnique
d’Obscurantie Occidentale,
et maintenant presque mondiale.
 
 
Le Yoga-vâsishtha dit : « Détachement à l’intérieur et attachement en apparence ». Cela rejoins la loi sociale et spirituelle qu’exprime Rudolf Steiner : « Le bien-être d’une communauté d’êtres humains travaillant ensemble sera d’autant plus grand que l’individu prétendra moins au produit de son propre travail pour lui-même ; c’est-à-dire au plus il transférera le produit de son travail aux autres, et au plus ses propres besoins seront satisfaits, non par son propre travail, mais par le travail des autres ». Cela correspond à la Réalisation du Soi ou Instant : absence de volonté ou abolition de l'ego et rayonnement NATUREL : on n'impose pas aux autres, sinon c’est de la dictature.
Cette « loi » rejoins LA GRATUITÉ ou COMMUNAUTÉ PLURIMONADIQUE (Les Réalisés ou Adeptes ou Bienheureux).
Sur Rudolf Steiner, voir aussi le site en français sur l’anthroposophie.
 
Chacun est invité à accomplir en même temps que sa propre sanctification une partie de celles des autres que lui. C’est cela la GRATUITÉ. À l’inverse, nous avons ci-dessous :

Aujourd’hui, temps de l’individualisme ou EGO, le ‘je’ = PERVERS : SEUL COMPTE MON BON PLAISIR OU LIBÉRALISME : s’implanter où je veux, pendant le temps que je veux, pour produire ce que je veux [y compris de la drogue légale ou illégale], et m’approvisionner et vendre où je veux en ayant le moins de contrainte possible en matière de droit du travail et de conventions sociales (d’après Percy Barnevik, pdg d’ABB).


C’est l’ego, le mental et son égoïsme qui ont entraîné la Chute (la révolte ou révolution, la rupture) sur Terre : guerres et violences, maladies et pauvreté, esclavage ancien et moderne : l’individu a jeté la gratuité, il travaille égoïstement pour lui : son SALAIRE ou sueur de son front : « le salaire de la peur » comme le titre un célèbre film. Aujourd’hui et après les ravages de 1789, nous avons ainsi le « libéralisme » allant totalement à l’inverse de « la loi » de Steiner résumée ci-dessus. Il y a misère parce que le « libéralisme » n’est qu’une PRISON : celui qui ne travaille que pour son propre intérêt comme le veux le libéralisme est contraint à développer, à faire croitre son ego et son égoïsme, et la démocratie et sa république maçonnique actuelle est bâtit entièrement là-dessus, et selon le principe de cette civilisation où tout devient faux et se virtualise : DISPARITION DU RAPPORT AVEC LA RÉALITÉ, DISPARITION DE L’AIDE À L’HUMAIN DANS SA VIE DE TOUS LES JOURS, DISPARITION DE LA VIE PRATIQUE.
« Détachement à l’intérieur et attachement en apparence » s’entend alors par gratuité. Seul celui qui travaille pour les autres : « attachement en apparence », peut échapper à l’ego et l’égoïsme. En retour, celui QUI DONNE en reçoit naturellement une VALEUR, dans le vrai sens du terme, celui de la vraie communauté (on parle aussi d’AMOUR) : L’être humain est un ÊTRE, et non un avoir avec son avoir en forme de salaire bancaire égoïste. L’ÊTRE EST : Je suis CE JE SUIS. Il est un Homme, ou une Femme, et non un Homme ou une Femme parmi d’autres hommes ou d’autres femmes.
Cela veut dire que réellement CHACUN A SA PLACE. Oscar Wilde depuis l’au-delà, cité par la Père François Brune : « Au bout de très peu de temps ici, nous comprenons très bien que nous faisons tous partie les uns des autres. Les enfants de Dieu se fondent finalement, même s’ils conservent leur personnalité, leur individualité. Nous nous fondons les uns dans les autres et atteignons ainsi l’harmonie et la paix, chacun perdant ses propres centres d’intérêt » (Nevill Randal : La mort ouvre la vie, cité par le Père Brune).

Je suis responsable de vous comme vous êtes responsable de moi...


« Personne n’a le devoir de découvrir une solution à la question sociale qui serait valable une fois pour toutes [la norme selon Moïse ou selon la judéo-franc-maçonnerie], mais simplement de trouver la forme adéquate à donner à ses pensées et à ses actions sociales, à la lumière des besoins immédiats du temps dans lequel il vit [réalisation de l’Instant ou Soi]. En effet, il n’y a aujourd’hui aucun schèma qui puisse être conçu ou mis en application par qui que ce soit et qui, de lui-même, résoudrait la question sociale [le contraire s’appelle OPINION, et la maladie du pouvoir consiste à imposer son opinion aux autres, aussi bien en science, en religion et philosophie, en politique] ». (Réf. Rudolf Steiner).

« Celui qui implante une théorie de cette sorte [théorie économique sèche et froide, fixée] dans la masse des gens sans l’accompagner au même moment d’un contenu spirituel réel à leur donner, celui-là commet un péché contre la signification réelle de l’évolution humaine. La seule chose qui soit utile est une conception spirituelle du monde qui d’elle-même, à travers ce qu’elle a à offrir, peut vivre dans les pensées, dans les sentiments, dans la volonté – en un mot, dans l’âme humaine tout entière... »
Une « théorie économique » ne peut pas aller sans la Trinité sociale : pouvoir spirituel, pouvoir politique, pouvoir économique.

La « loi » énoncée par Steiner l’est énoncé aussi par Gustave Thibon dans : Notre regard qui manque à la lumière :
INSTANT : abolir « l’histoire » ou Chronologie tueuse : le sens de l’histoire se situe HORS DE L’HISTOIRE, donc hors de l’évolutionnisme ou séquence ou suite d’événements temporels, hors de la « croissance ». Aussi le « progrès » n’est pas temporel, pas historique. Le progrès échappe à la chronologie tueuse. « Ainsi la lumière solaire prend place dans l’orbite terrestre, mais elle n’est pas la Terre... Le vrai progrès de l’homme ne dépend pas de ses acquisitions temporelles (prospérité matérielle, facilités techniques, développement de l’instruction, etc.), mais de la façon dont il use de toutes ces choses - ou de leur absence, car la pauvreté terrestre est souvent un raccourci vers le Ciel - en vue de sa fin éternelle ».

« Ce qui importe, ce n’est pas d’être à l’endroit ou à l’envers [de droite ou de gauche], c’est d’être TRANSPARENT » (Gustave Thibon).



RAPPEL : Ceux qui œuvrent pour « le bien publique » ou l’intérêt publique sont rongés par l’ego et l’égoïsme, et ont généralement cessé toute aide envers les autres. « S’ils demeuraient dans le Soi, ils seraient différents [efficaces] » (réf. Ramana Maharshi, entretien 272).
Dans le même piège du mondialisme démocratique franc-maçonnique nous pouvons trouver ce qui est typiquement 19è siècle bourgeois : « Si je n’avais plus de domestiques, je ne pourrais plus tricoter pour les pauvres », cité par André Gide dans son Journal du 5 décembre 1933.
La loi de cause et effet ou karma peut être accompli pour la gloire, ou par désintéressement et pour le bien public. « Mais, même dans ce cas, les gens recherchent l’approbation. C’est en réalité de l’égoïsme » (Réf. Ramana Maharshi, entretien 41). Dans l’entertainment on cherche beaucoup les bravos, et dans les universités aussi...

« C’est véritablement une illusion de croire qu’une personne ou l’autre envoyée devant un parlement ou autre par le peuple puisse atteindre quoi que ce soit pour le bien de l’humanité, à moins que leur action soit en conformité avec la loi sociale fondamentale », écrit superbement Rudolf Steiner. Ainsi, aucun parlement, aucune démocratie, aucun « pouvoir du peuple » ne peut avoir de sens pour une personne proche de l’Instant ou Soi, dès lors que ces pouvoirs violent la loi citée dans l’encadré.
Une vie sociale saine est atteinte
Quand, dans le miroir de chaque âme humaine
La communauté entière est donnée forme,
Et quand dans la communauté
Vit la force de chaque âme humaine.
Cela rejoint la citation de Nevill Randal, indiquée plus haut.

OPINION = ÉGO ET ÉGOÏSME

OPINION : « L’humanité est constamment menacée par l’influence psychique des millions d’êtres désincarnés qui sont morts sans être parvenus à une réalisation suffisante du but de leur vie [le mot ‘vie’ forme un ENSEMBLE]. La reconnaissance de ce fait permet d’expliquer une grande quantité de pensées involontaires, d’émotions incontrôlées, d’étranges pressentiments, d’humeurs mélancoliques ou irascibles, d’impulsions irrationnelles, d’accès de colère ou de quelques pulsions violentes, d’engouements incontrôlables et d’autres innombrables caprices mentaux ».
(Carl Wickland, Trente ans parmi les morts, cité par le Père François Brune).

La « loi » de Steiner dans l’encadré et au début rejoint parfaitement ce que les Chrétiens nomment : « Communion des Saints » et que Jean-Luc Petit appelle COMMUNAUTÉ PLURIMONADIQUE : L’Adepte ou Bienheureux, ou Saint, aide INDIRECTEMENT l’humanité. S’il le faisait directement ce serait imposer son opinion, donc imposer une dictature. L’Adepte ne put avoir qu’un mouvement d’Amour qui aura naturellement un certain effet d’entraînement dans le cœur du « pécheur ».
Avec cela il faut distinguer Sympathie et Empathie.
- La Sympathie repose sur l’altruisme et suppose un lien affectif avec celui qui en est l’objet. La Sympathie est un mode de rencontre avec autrui.
- L’Empathie est un jeu d’opinion et du mental qui vise à la compréhension d’autrui et non à l’établissement de liens affectifs ; l’Empathie peut se passer de motifs altruistes. Se mettre à la place d’autrui, en éprouver du chagrin, n’implique pas qu’on le partage ou qu’on cherche à l’alléger. L’Empathie est un mode de connaissance.
(Réf. Elisabeth Pacherie, L’Empathie, cité par le Père François Brune)

Éprouver de l’empathie revient à un transfert de « communication vraie », sorte de vraie Télépathie à distance entre personnes créant un « co-inconscient » (terme de Anne-Ancelin Schützenberger, cité par le Père François Brune).
Il s’agit donc d’échanges de point de vue, avec distinction en soi ou personnalité et autrui. « Le lobe pariétal inférieur de l’hémisphère droit s’active davantage lorsque le sujet est imité par autrui et le lobe pariétal de l’hémisphère gauche s’active fortement dans la situation inverse, c’est-à-dire lorsque le sujet imite l’expérimentateur. (Jean Decety, L’Empathie, cité par le Père Brune).

Dans l’Empathie, le « pécheur » que l’Immortel ou Adepte tente d’aider se trouve, lui, dans la position de l’imité. C’est peut-être pourquoi le mystique ou Immortel parvient, par « Empathie », à aider le « pécheur » à se transformer, à développer en lui des sentiments, une attitude spirituelle dont il n’était pas capable de parvenir par lui-même (selon ce qu’en écrit le Père Brune).
Pour chacun, et pas seulement pour les mystiques, il y aurait un état originel de fusion entre toutes les « subjectivités ». Le ‘je’ qui nous sépare en devenant l’ego n’intervient qu’après la sortie de l’Instant ou Soi ; et cet état originel fusionnel serait sous-jacent à chacune de nos perceptions. On arrive là la COMMUNAUTÉ PLURIMONADIQUE ou « Communion des Saints » de la Chrétienté, à ne pas confondre avec l'inconscient collectif de Carl Gustav Jung.

Aucun rapport du sens de l’Empathie par les psychologues à la Sigmund Freud et les mystiques, parce que le mystique (peu importe la « religion » ou croyance) prend sur lui les souffrances de l’autre : sorte de GRATUITÉ inversé, et l’en délivre immédiatement et complètement. Cela ayant lieu dans l’Instant, lieu et distance et donc temps n’ont aucune importance. Surtout, il n’est pas nécessaire que le mystique et le « pécheur » se connaissent.
Les Bienheureux ou Immortels comme celui représenté en haut de page doivent souvent plonger en Enfer en prenant sur eux les tendances perverses de personnes que, le plus souvent, ils ne connaissent pas. Et dans cette république universelle judéo-franc-maçonnique ils ont fort à faire !!!
Nous ne connaissons qu’une très petite partie de nous même à défaut d’avoir réalisé le Soi ou Instant. Ainsi nous portons tous, pour une part et plus ou moins, le poids des fautes, des craintes, des désirs, qui ne sont pas les nôtres et qu’il nous faut dompter en s’approchant du Soi ou Instant.


[En haut de page : un Immortel en Chine monté sur une Grue. En Occident on dit : « être comme une Grue », donc être idiot ou maladroit, peut-être parce que l’oiseau a une allure gauche posé sur une seule patte. En Chine la Grue symbolise la fidélité exemplaire et surtout la LONGÉVITÉ. La Grue est en rapport avec l’aspect CYCLIQUE du monde. Dans la Chine antique la Grue et son pouvoir de voler évoque la possibilité d’atteindre les Îles des Immortels. La Grue est le symbole taoïste de l’Immortalité, donc de l’INSTANT ou SOI : le Blanc de la Grue. Les Japonais croient que les Grues vivent des milliers d’années. En Égypte ancienne la grue annonçait une période de prospérité.
Les œufs de Grue servent à préparer des drogues d’immortalité.
En Inde la Grue symbolise la traitrise, la personnification des instincts destructeurs et du sadisme !
En Gaule la Grue est vue positivement : Taureau aux trois Grues, sur un autel gallo-romain retrouvé dans les fondations de Notre-Dame de Paris. Réf. Dictionnaire des symboles, de Chevalier et Gheerbrant.
L’Immortel chevauchant la Grue est donc le Bienheureux veillant naturellement et indirectement sur l’humanité].



Note.
1. COMMUNAUTÉ PLURIMONADIQUE : terme de Jean-Luc Petit, cité par le Père François Brune dans son livre : Les morts nous parlent, volume 2, chapitre : Le mystère de la personne.


N’ayant pas d’ego ils sont proches de l’INSTANT. Comme Tout, y compris le moindre brin d’Herbe ou le plus petit Grain de Poussière, TOUT ÉTANT VIVANT, l’animal aussi est appelé à une vie éternelle. Il ne peut en être autrement, et les animaux qui approchant Ramana Maharshi devaient le sentir puisqu’ils étaient comme apaisés, emprunt de Félicité. C’est aussi cela la COMMUNAUTÉ PLURIMONADIQUE ou Communion des Saints des Chrétiens. Même les Yôkaï aussi ont droit à la vie éternelle.


 
 
 
Un clip assez musical. Bravo !
Peuple élu contre peuple non élu ou noachisme contre monothéisme.
Voir aussi l’article sur Alterinfo.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 09-12-2013 02:04

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