Winners de Coubertin et Zombis de Ferry
 

Ecrit par Sechy, le 07-03-2014 21:24

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
 
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Les winners de Coubertin et les zombis de Ferry
Le conditionnement républicain par la maçon Jules Ferry
pour petits de 2 ou 3 ans jusqu'à 16 ans
 
 
"Ce n'est pas parce que deux nuages se rencontrent que l'éclair jaillit, mais c'est pour que l'éclair jaillisse que les deux nuages se rencontrent. C'est ainsi que Dieu conduit les hommes et les peuples" (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux)

La compétition tout azimut.

"Les institutions d'État des pays occidentaux ne sont que des caricatures de l'unité du corps social contenu dans la Trinité : Pouvoir Spirituel, Pouvoir Politique, Pouvoir Économique, caricatures qui favorisent et légitiment les plus forts, en gueule, ou en argent".
La "raison" du siècle des perruques poudrées tout azimut.
Avec au bout de "l'éducation" des adultes névrosés, dominés par la peur, la haine et la jalousie et incapable de ressentir et encore moins d’exprimer leurs émotions.
 
En conclusion, les Jeux antiques sont un rituel créé par les élites d'Olympie afin de conditionner le peuple à adopter une vision du monde et de l'individu foncièrement psychopathique : racisme, misogynie, ségrégation, domination, culte du vainqueur, individualisme, élitisme. Sur un plan politique, ce conditionnement permet de rendre le peuple servile et de lui faire accepter les conflits armés, allégories à l'échelle de l'État des compétitions olympiques où la loi du plus fort prévaut et est unanimement glorifiée.

À cet égard, le sport selon Coubertin et l'école selon Ferry ont servi un même objectif d'asservissement des masses et de destruction du lien social. L'un a instillé l'individualisme, l'acceptation de la violence et la loi du plus fort tandis que l'autre a détruit les cultures locales et soumis le citoyen aux pouvoirs en place.

Voir aussi la page sur l'école de la république.

Le dogme de la république maçonnique veut des numéros dans la masse des humains, dénombrables comme des patates dans un sac à code-barres, un matricule d'assurance sociale, un nom sur une fiche électorale, un poste de travail à l'usine. La pensée unique imposée par l'oligarchie façonne les gens pour qu'ils soient des "unités arithmétique", numérisés, aptes à ne vivre que la dimension quantitatives des besoins physiques. Tout est fait pour que la vie se limite au sensible, entre l'Instant du berceau et l'Instant de la tombe. Tout est bâtit sur la quantité, la fameuse croissance, alors : "C'est pas d'la soupe, c'est du rata ; c'est pas d'la merde mais ça viendra", et la merde est déjà là. La recherche de l'uniformité des choses qu'on donne à sentir, à vivre, comme le veut le Nouvel Ordre Mondial, ne peut tendre qu'à l'uniformité des ego, impossible à atteindre, et non pas à la vie spirituelle.

Le dogme de la république se veux si ferme (indivisible comme Dieu), se veux une religion comme le veux Vincent Peillon, qu'il tend ainsi à exercer sa dictature sur les esprits. C'est une démocratie arrivée à son terme logique, à sa raison, à sa maturité. Les opinions politiques sont ennemies entre elles, par nature, et donc les États qui prétendent admettre la pluralité des opinions et donc des partis, sont foncièrement hypocrites, manipulateurs.
Parmi ceux de l'oligarchie qui tirent les ficelles de tels régimes, il en est nécessairement qui sont parfaitement lucides, mais ne cherchent pas à résoudre ce problème de l'ambiguité des régimes d'opinions (comme en Occident ou dans l'ex URSS), ou même qui l'entretiennent, parce qu'elle est utile pour alimenter le cancer de leur pouvoir.
Le régime de la démocratie ne peut fonctionner que par la manipulation : agiter les hommes avant de s'en servir.

"La qualité, qui est de l'ordre de l'infini, ne peut être engendrée par la quantité qui est par nature indéfinie, jamais achevée. Une telle méthode conduit à la société fourmilière, où n'est tolérée aucune liberté individuelle vers la recherche de l'Infini spirituel. Elle multiplie, cumule les individus pour en faire un troupeau, mais refuse les personnes, c'est-à-dire les hommes dans le sens qualitatif [Je suis CE JE SUIS]. La liberté n'existe alors que pour celui qui décide [l'oligarchie, les banques] de ce qui devra être vécu et senti uniformément par tout le monde, mais c'est la liberté de Satan qui ne cherche pas à libérer les âmes mais à les posséder. C'est l'erreur, le péché du communisme russe que dénonce Soljenitsyne, et qui n'est que la maturité d'un mal qui a sa source, son germe, dans un Occident prétendu de civilisation chrétienne [donc dans cette France qui se dit "filles aînée de l'Église]", écrit Coulonval.

Cette opinion "France fille aînée de l'Église" a tout faussé depuis Clovis ! Le mot "Foi" ne veut plus rien dire depuis Clovis : celui qui SAIT ne dit pas : "Je crois". S'il le dit, c'est dans un tout autre sens que l'entend celui qui dit : "Je crois parce que papa et maman me l'ont dit, parce que Monsieur le Curé me l'a dit parce que je suis dans la France fille aînée de l'Église. Depuis plus de 1500 ans il y a confusion de vocabulaire : la foi par conditionnement éducatif se fait une idée de Dieu à partir du temporel. La Vrai Foi se nomme plutôt "Connaissance", et part de l'intérieur pour aller vers l'extérieur.

L'être humain est fait pour fabriquer, créer, mais pas pour être fabriqué.
La Gôche des jeunes de mai 1968, ceux qui deviendront les actuels socialistes du gouvernement de la Hollandie : "Je comprends ces jeunes de 1968. Je suis allé à leurs réunions. Je n'ai jamais entendu autant de conneries dites avec autant de sincérité. Comme des gosses qui ont la colique mais qui ne savent pas ce qui va les guérir. Ce qui m'exaspérait, c'est qu'ils prétendaient dire aux ouvriers ce qu'est la condition ouvrière, eux qui étaient bien décidés à ne jamais tenir un outil. Ils ne savent pas qu'un outil "enseigne", qu'il soit truelle ou burin, ou marteau [ou pinceau], ce qu'a fort bien compris le Père Feller Paul, jésuite, qui travaille avec les Compagnons du Devoir. Alchimie intellectuelle du travail manuel", écrit Jean Coulonval.
 
 

Dernière mise à jour : 07-03-2014 21:28

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