L'étatisme est la dictature en puissance, la corruption et la maffia en marche.
Le mot "démocratie" est un fourre-tout. Le nazisme se disait démocratique (Hitler a pris le pouvoir avec 95% des voix), le socialisme ou communisme se dit démocratique. Tous les régimes se disent démocratiques. Ce mot devenu à la mode est une glu formidable pour attraper les peuples comme des alouettes.
De même que le mot "fascisme" devenant à la mode et dont la propagande capitalo-socialiste se sert pour désigner des constellation aussi différentes que le fascisme de Mussolini, le nazisme de Hitler, les régimes de Franco, de Salazar, etc.
Ainsi la démocratie est la pire forme de régime politique.
Dans presque tous les pays du monde qui se disent "démocratie", les peuples se croient libres, ils sont seulement des ESCLAVES LIBRES SEULEMENT EN APPARENCE, virtuellement, et c'est pour ça qu'ils s'accrochent désespérément à cette apparence, à ce fameux "pouvoir d'achat", à cette "croissance", à ce CONFORT.
Être libre c'est être dans l'Instant.
Être libre c'est se mouvoir avec l'Instant, donc savoir dompter son ego. Depuis 1789 "être libre" c'est : « Je définirais la mondialisation comme la liberté pour mon groupe de s’implanter où il veut, le temps qu’il veut, pour produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant et en vendant où il veut, et en ayant à supporter le moins de contraintes possibles en matière de droit du travail et de conventions sociales » (
Percy Barnevik, PDG d’ABB, 1995). Cette définition correspond totalement à l'égo, à l'égoïsme ou triomphe du mental.
Faire ce qu'on veut ne peut se définit qu'avec l'Instant-Soi : le vouloir est identique à la Source, l'Instant.
Aujourd'hui ici-bas et depuis des millénaires, la "liberté" c'est le fric, donc la prison (dorée) à laquelle s'accroche désespérément les financiers et banquiers de toutes origines.
Avec leur argent les banquiers achètent tout, y compris et surtout le "vouloir être" ! Or c'est "l'État d'Être" réalisé par l'Instant-Soi qui rayonnent naturellement vers les autres, et non le "vouloir être" qui s'achète si on a du fric et évidemment avec son ego.
Mais les banquiers et l'oligarchie ne sont rien SANS NOTRE CONSENTEMENT. Sous l'Ancien Régime il fallait OBÉIR ; Après 1789 avec la soi-disant démocratie il faut CONSENTIR (être consentant principalement par l'élection); et c'est aussi difficile sinon plus de consentir que d'obéir, car consentir c'est "être libre de ses actes", donc assumer la responsabilité de sa participation sans plus aucun autre responsable que soi-même. Et là est le piège : la manipulation politique de la république tout azimut, afin d'obtenir du consentement de la part des peuples pour l'élection, car avec cette nouvelle "liberté de pensée", celle-ci signait son arrêt de mort puisqu'il devient impossible à n'importe quel gouvernement dit "démocratique" de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d'accord. Si les démocraties actuelles tiennent, malgré leurs cuisines parlementaires, c'est qu'en souterrain les sociétés secrètes cancérisées par le pouvoir (Grand Orient de France) exercent occultement le pouvoir politique : voir la légende d'Hiram et le temple du roi Salomon (Soleil-Monte)...
D'abord en Occident et maintenant jusqu'au Japon et ailleurs en Orient, la dissolution, l'inhibition du sens métaphysique de la vie par un consensus social exclusivement financier, a été réalisé le plus profondément en France et en Occident européen par le socialisme, jouxté avec les États-Unis où la mystique de l'argent, de la technique et du business s'est si bien communiquée à toute la société américaine dont le slogan pourrait être pour moi : "Ce qui est bien pour nous est bien pour vous", donc le parfait empire et gendarme du monde voulant tout bouffer au nom de sa "démocratie" devenu un parfait totalitarisme. C'est pourquoi on ne peut plus séparer le capitalisme du socialisme : ils sont intimement mariés. Ils forment l'Unité devenu comme Dieu.
Maintenant l'argent est depuis longtemps le CONFORT, mais c'est aussi une CONSOLATION, donc encore du confort ! Et c'est typiquement de l'organisation de Satan : profiter de la faiblesse humaine de celui qui est prêt à tout accepter pour se sentir mieux... La maffia procède ainsi en vendant son "baume"...
Le Nouvel Ordre Mondial c'est : un individu ou unité arithmétique dans la masse humaine, de France, du monde, dénombrable comme des pommes de terre dans un sac à code-barres, un matricule de sécurité sociale, de carte d'identité, un nom sur un fichier électoral, un poste de travail à l'usine. Ainsi dans le Nouvel Ordre Mondial je compte pour "un" en tout, et mon voisin est le "2", etc. Avec le mondialisme et sa structure sociale fait que la vie se résume à consommer; soit la seule dimension quantitative des besoins physiques. Tout est fait pour laisser croire que ce qu'on appelle "la vie" se limite au sensible de nos cinq sens, entre l'Instant de la naissance et l'Instant de la mort. "Circulez ya rien à voir !"
Or ÊTRE UNE PERSONNE (créateur du mouvement déployé en vagues dans le spatio-temporel) c'est déjà transcender le dilemme individualisme-collectivisme, qui est le problème le plus profond de toute la politique actuelle et depuis 1789, comme l'écrit bien Jean Coulonval dans :
Synthèse et Temps Nouveaux. Tout dilemme est le problème de la dualité sujet-objet ou Bien-Mal. Il faut passer au-dessus : réalisation du Soi-Instant.
Ne pas oublier que le germe de l'informatique actuel repose au sein de 1789 : la tabula rasa comme avec l'invention de l'imprimerie et du langage écrit, en 1450 grâce au fric d'un banquier ; ce qui amena logiquement la fameuse "raison" du siècle des lumières avec ses perruques poudrées ou philosophistes pour aboutir à l'hyper rationalisme de l'Encyclopédie de Diderot, prémices de la naissance au 19è siècle de notre civilisation industrielle. Aujourd'hui on fout tout en équations et en machins binaires et virtuels dans des ordinateurs. Le monde humain s'est robotisé à partir de la Renaissance avec son point culminant en 1789. Alors ne plus s'étonner de Big Brother et de la NSA.
"Il faut retrouver, pour conduire l'homme à son destin, l'esprit théologique et métaphysique des Pères de l'Église et du Moyen-Âge, mais enrichi de ce que depuis il a découvert, l'esprit du physique et de la Terre. Car l'esprit total est trinité : théologique, métaphysique, physique", écrit Jean Coulonval le 27 septembre 1972. Aujourd'hui l'humain doit être TOTAL.
"L'humanité trouvera son salut dans la paix de la synthèse du Père, du Fils et du Saint-Esprit ; du Père, du Christ et de la Vierge ; de la religion, du politique et de l'économique ; de la théologie, de la métaphysique et de la science. Dans le circumincession qui accomplit la synthèse, l'unité en sa double spiration [Évolution-Involution]", écrit Jean Coulonval dans la même lettre.
Ne pas oublier que sous l'instigation des Juifs, sionistes, ils ont conquis la Russie en 1917 pour en faire une religion mondiale, mais à l'envers : ce n'est pas un Dieu qui a fait la Matière ; elle s'est générée elle-même, et elle est Dieu. "En remplaçant Allah par "Matière", le vrai communisme peut dire aussi la
Chahada", écrit Coulonval en octobre 1972.
Le 19è siècle étant l'industrialisation de la société, il était naturel que le marxisme soit né du besoin de déjà réconcilier l'humain et l'usine ! Parce que l'industrie a fait de l'ouvrier une mécanique à rendement annonçant notre société de consommation des 20 et 21è siècles et les deux guerres mondiales qui vont avec et n'en sont qu'une seule, avec prolongement jusqu'à nos jours (Israël et le Moyen-Orient, etc.).
Fin années 1960 début des années 1970 la jeunesse occidentale conteste cette robotisation de l'humain en se réfugiant dans la mystique hindoue, le mouvement hippie et la drogue, le tout infiltré surement et multiplié par la CIA afin de faire tomber ce début de révolte (tout est récupéré par le système).
"Mon frère, il n'a pas eu de chance. Il a réussi tous ses examens, il n'a pas pu être cantonnier" (Fernand Raynaud). Tout est dit sur l'éducation et le lavage de cerveaux dans les écoles et universités des démocraties modernes formant de parfaits petits robots humains ! La norme des compas-équerre du Grand Architecte de l'Univers : Satan.
