La pensée mondialiste et conditionnée
 

Ecrit par Sechy, le 17-04-2014 16:25

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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La pensée mondialiste et conditionnée
par le mythe de la « raison », donc
de l’ego ou mental, donc de la « libre pensée ».
La pensée mondialiste est un
monstrueux égrégore d’illusions
construit il y a plus de 10.000 ans.
 
 
Notre temps marxiste et darwiniste et freudiste, où l’opinion est donné pour affirmation, pour vraie : « dans une éprouvette fut versé... ».
Notre temps où les garçons aiment leur mère et veulent tuer (inconsciemment) leur père (selon les Commandements de Moïse Sigmund Freud, inventeur du confessionnal à l’horizontal, photo du haut).
 
- Vraie Télépathie : société basée sur la Vraie Science. Absence de Chronologie tueuse. Tout est possible.
- La Pierre étant dure et en trois dimensions, quand on grave dessus pour laisser une mémoire, ou une morale comme la Pierre Gravée de Moïse et nommé « Commandements », la société s’organise en adamisme ou évolutionnisme : le temps qui coule ou la Chronologie tueuse. Plus tard ça donnera le mot/maux « Croissance ». Société de la Pierre-Dure-Temps
- En deux dimensions nous avons le Papyrus et le Papier, avec une société comme l’empire Romain organisée dans l’espace. Amplification de l’étatisme, début du républicanisme et de l’administration.
- En aucune dimension, ou plutôt en VIRTUEL, est apparu l’invention de l’écriture alphabétique, puis de l’imprimerie, pour donner une société qu’aujourd’hui on appelle « Moderne », avec pour base ce que certains nomment « logique », « raison » (le monde dit « objectif », bref, illusoire). Un monde devenant de plus en plus virtuel et faux, et qui paradoxalement DEMANDE DE PLUS EN PLUS DE PREUVES ! DU DIGITAL en forme de « raison » ! Une société de plus en plus prisonnière alors qu’elle demande de plus en plus « d’éclaircissement » !
« Les inventions des scribes ont imposé un type de lecture, grâce auquel on a compris que la langue est composée de mots, reliés par une syntaxe. L’écriture peut alors devenir une sorte de modèle pour la production de la parole (en lisant) et pour prendre conscience, de manière introspective, que la parole est formée de constituants grammaticales : les mots » (David R. Olson, L’univers de l’écrit).

Les enfants sont encore proches de la Vraie Télépathie : vers 7 ou 8 ans ils distinguent ce que celui qui a parlé a dit de ce qu’il « aurait dû dire », de « ce qu’il a voulu dire », ou de ce « qu’il voulait dire » (Olson). « Les enfants de cet âge parviennent à comprennent d’éventuelles contradictions entre les intentions de celui qui parle et la manière dont il les exprime, mais ils comprennent également que les interprétations d’autrui peuvent diverger de leur propre interprétation d’un énoncé ».
Le MOT est polarisé : il a un sens qui peut être en contradiction avec le concept ou l’intention exprimé par ce mot.

La « raison » ou la « loi écrite du doigt même de Dieu » sur une Pierre plate, soit le saccage de la Pierre, et le triomphe de l’ego ou mental et le début de l’évolutionnisme ou adamisme. Soit la fin du Merveilleux. Avec ces faiseurs de « normes » comme Moïse & Co., nous sommes toujours dans l’évolutionnisme, ou adamisme entre un passé indéfini (il y a un avant Adam) et un futur lui-même indéfini. Pour ces Moïse l’involution leur échappe. Parler d’Alpha et Oméga c’est déjà de la censure, des limites humaines, des opinions en variation comme expliquer de manière enfantine la Création par l’œuf et la poule.

Avez-vous déjà remarqué que les choses anciennes avaient un odeur très particulière ? Il en est de même des photos avec des portraits d’êtres humains disparus il y a plus de 100 ans : plus question des odeurs mais seulement des yeux, qui envoient une « lumière » tout aussi particulière ?

En Occident la « pensée moderne » est une pensée CONDITIONNÉE, et plus que jamais avec l’empire anglo-saxon et maçonnique. En Occident, le mythe de la « raison » qui, lui-même, a été élaboré à partir d’éléments irrationnels multiples qui donneront des « évidences » sur lesquelles reposeront les « principes d’intelligibilité » que finalement, personne ne saurait expliquer ni définir de façon rationnelle.
« Le domaine de l’histoire n’est pas le domaine des « faits » ni, encore moins, celui des « phénomènes ». Il est celui de la reconstitution de l’événement, d’une « re-composition » de ce qui a été « dé-composé » par le temps. L’histoire « re-créé » une durée intellectuelle, un enchaînement logique entre des moments abolis en tant que tels, elle « re-fait » les faits et les déforme d’autant. Il y a des faits proprement dits et scientifiquement observables dans la seule mesure où ces faits peuvent être reproduits dans les mêmes conditions. Le « fait religieux » et le « fait magique » n’existent pas en tant que « phénomènes observables » car, dans les sciences humaines, l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il observe et il y apporte tant d’éléments d’incertitudes que l’on ne saurait accorder quelque crédit à une méthode qui, prétendant décrire « objectivement » les faits historiques, prouve ainsi qu’elle méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité ». (René Alleau : Aspects de l’Alchimie Traditionnelle).

Ainsi, TOUTES LES SCIENCES HUMAINES SONT SUBJECTIVES ET OPINIONS. Parce que toute Science naît de la dualité sujet-objet : le sujet étudiant l’objet étudié. Et comme l’être humain est ontologiquement, en ses essences, le résumé, la globalité de l’Être et de l’existant, il est alors dans l’impossibilité de se poser comme sujet étudiant d’un Univers qui lui serait extérieur. C’est géométriquement impossible. Pour « observer » l’Univers il faudrait pouvoir en sortir !
Ceux qui prétendent le contraire sont des serviteurs du Diable.

Le discours scientifique autant que le récit mythique est victime des illusions et des préjugés du langage. Il n’y a pas de système du Vrai. Ni système, ni modèle, ni vrai. Nous ne prétendrons qu’au possible ou au vraisemblable. C’est ce qui explique que finalement la Raison ne donne pas plus d’assurances que l’Imagination ou le rêve. (D’après Jacques Prévot, présentation de L’Autre Monde, des œuvres complètes de Savinien de Cyrano de Bergerac)

Karl Marx a établi dans son livre : Le Capital, que la nature humaine et ses facultés dépendaient toujours des modes de productions ; ce qui ferait que les humains se déterminent là-dessus pour penser. Le Juif Émile Durkheim lui aussi estime que le mental humain et sa « logique » plonge ses racines dans la vie sociale (cité par David R. Olson, dans : L’univers de l’écrit). On est pas loin des égrégores ; mais surtout on est en plein dans la religion qui commença en 1789 pour se terminer avec le socialisme des Juifs bolcheviques de 1917, religion marxiste qui prétend que « dans le principe est la matière », ce qui donne une caricature en creux de la chrétienté, une pseudo synthèse couvant des œufs clairs... qui ne peuvent que pourrir. Le marxisme et ses suites ne donneront jamais rien en affirmant que le mental est le produit et non la cause des activités humaines ; cette inversion est typiquement sataniste !!!

Cette religion inversée commence avec la Réforme et la naissance de la « science moderne » (imprimerie, etc.) et du développement de l’ego ou mental, ce qui donnera des manifestations de changements sociaux associés au déclin de la féodalité et à la monté du mental, puis du capitalisme et des systèmes politiques dit démocratiques.

Dans un livre de 1882, un certain Paul Prat écrit dans un Précis d’Histoire Ancienne, des conneries comme on devait en entendre au 19è siècle en croissance identiques dans l’industrie et la bigoterie chrétienne du messianisme. Il explique dans un avertissement que « les enfants y trouveront [dans son précis], un résumé concis et clair des faits dont les ouvrages plus importants leur fourniront le développement ».
En voiture pour la pensée unique et le conditionnement, au temps où il n’y avait pas encore la séparation de l’Église de Rome et de l’État français ; mais séparation par cette Église du divin et du temporel, qui ne peuvent se connecter que par des considérations morales, des perceptions et des options sentimentale, une foi en convenance sentimentale :

« L’histoire est le récit des faits passés, et l’histoire sainte est le récit des évènements qui intéressent le peuple que Dieu avait choisi [les Juifs ?] pour conserver la vraie religion [sic], c’est-à-dire la croyance à un seul Dieu et au Sauveur promis à nos premiers pères [les Juifs ? et l'adamisme ou évolutionnisme...]. Les livres qui contiennent l’histoire sainte forment la Bible ; la Bible écrite sous l’inspiration de Dieu [l’opinion de certains] ne renferme que la vérité [sic, sic, sic].
Le Bible nous enseigne que Dieu, un pur esprit sans commencement ni fin [donc le Soi ou Instant], a créé le monde [sic], c’est-à-dire qu’il a fait de rien tout ce qui existe [mythe de l’évolutionnisme et du darwinisme].
La création a durée six jours [sic] et par jours de la Bible, il faut entendre des périodes plus ou moins longues et non des jours de 24 heures [sic].
Le premier jour, Dieu créa la matière dont il allait faire le monde et sépara la lumière des ténèbres ». Et ça continue pendant 193 pages jusqu’à la chute de l’empire Romain avec Théodose le Grand.

Tout cela n’est que de l’opinion, de la pensée unique issue d’un précédent porteur d’opinion. À comparer avec l’entretien 264 de Ramana Maharshi : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous les deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ».

La pensée unique commence avec l’écrit : « Les cartes que nous avons tracées ne sont pas les seules à nous projeter sur le papier. La littérature, la science, la philosophie, le droit, la religion sont fondamentalement des artefacts [artifices] qui procèdent de l’écrit. C’est grâce à eux que nous pouvons nous représenter nous-mêmes, et que nous représentons nos idées et l’ensemble du monde qui nous entoure. En somme, nous n’habitons pas vraiment le monde, mais celui que ces artefacts [illusions] nous représentent », écrit D. Olson qui rejoint René Alleau cité plus haut.

La règne de l’opinion a commencé avec l’invention de l’imprimerie à la Renaissance : remarquable impact des textes parvenus entre les mains de lecteurs ordinaires, à qui ils n’étaient pas destinés !... Avec l’écrit apparaît une nouvelle façon de « raisonner », et résonner. À cela il faut ajouter la base de logique reposant sur les Anciens Grecs, dont Aristote par exemple. Ces Grecs grands responsables de l’ego, donc du mental : « Les grecs ont écrit l’une des pages les plus extraordinaires de cette histoire en inventant le concept d’esprit. On estime qu’ils y sont parvenu à une époque située entre celle d’Homère, poète de l’oral, auteur de l’Iliade et de l’Odyssée, et celle des philosophes grecs, Socrate, Platon et Aristote », écrit Olson. Il ajoute que les poèmes homériques racontent les manières de vivre et de penser des ancêtres des Grecs classiques, avant l’écriture. Et l’Europe repose là-dessus, sur une « mise en conformité ».
 
 

Dernière mise à jour : 17-04-2014 16:51

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