Dans le monde la catholicité reste à faire
 

Ecrit par Sechy, le 02-12-2014 21:08

Pages vues : 6947    

Favoris : 25

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
basilica_romedollar2014.jpg
 
 
 Dans le monde la catholicité reste à faire
donc il reste à faire ou retrouver
la Trinité des trois CASTES (sens de l’Esprit, de pur, sans race) :
Spirituel, Politique, Économique
ORATORES, BELLATORES, LABOREORES
pour établir la CIRCUMINCESSION :
Labours de clerc est Dieu prier
Et justice de chevalier.
Pain lor trueven li laborier.
Chil paist, chil prie, et chil défent.
Au camp, a le vile, au moustier
S’entreaident de lor mestier
Chil troi par bel ordonnement.

(Exemple trinitaire du 13è siècle de Circulus ou
Circumincession exprimant la société idéale).
Ne pas oublier que l’Islam, démarquage ou piratage
du judaïsme, nie la Trinité.
Le Coran est un démarcage de l’Alphabet
intouchable des Hébreux.



Vatican 2 ou le Nouveau Christianisme à l’horizontal, comme le divan de Freud & Cie.
 
 
 
CATHOLIQUE : du grec katholikos (universel). Même fonction dans le mot TAO : Taoïcité. L’appellation est question du point de vue de la personne.
Ne pas confondre l’opinion qui s’appelle « religion catholique » de l’actuel Église de Rome (photo ci-dessus) et de ses papes qui au nom de leur « Dieu » allèrent détruire les Peuples du Soleil par l’entremise des Conquistadors, avec le vrai sens du mot catholicité et de sa réalisation du Soi-Instant par la symbolique du Christ.
Les catholiques et leur Église de Rome ont réussit le tour de force de faire du Christ, non le prince de la Paix, mais le prince des horreurs, du désordre et des guerres permanentes. Depuis 2000 ans le Christianisme est malade et est en train de crever dans un vide d’inconscience, un vide de non réalisation du Soi-Instant.

RAPPEL : La totalité de la planète est soumise maintenant à cette unique question : QU’EST-CE QUE L’ÊTRE HUMAIN ? Donc le « Connais-toi toi-même ». L’être humain a dompté la Matière par la Science et la technologie, il en a découvert nombre de secrets les plus intimes, mais il ignore PLUS QUE JAMAIS CE QU’ELLE EST, donc CE QU’IL EST. Si la technologie actuelle fait plein de  eyes candy et soigne nombre de mots/maux, ELLE EN TIRE LE PLUS GRAND MAL.
Le mot SCIENCE veut dit PUR, elle n’entre pas dans la dualité sujet-objet…
 
Depuis l’époque de la Renaissance, l’être humain sommet de la Création ou de la Connaissance, ne peut pas se voir comme objet extérieur à la Création, et Dieu ou l’Instant ne peut pas être perçu comme objet extérieur à Sa Création. Pourtant, l’être humain qui est avant tout un Homo religiosus (ou un chercheur de Paix), dans son inconscience en forme d’évolutionnisme il a voulu se faire exister par lui-même, et ce lui-même par la force du mental ou ego ne peut naturellement être que ses opinions. C’est la révolution de 1789 qui a établi le culte de l’opinion avec la soi-disante « égalité et liberté » en en faisant un critère de vérité politique ; cela donnera la « démocratie » et la « république », soit une nouvelle religion ou nouveauté socialisante en forme de laïcité.
Ainsi, le socialisme conduit au règne de l’opinion en une forme de mystique à l’envers, au renoncement volontaire de l’humain à sa liberté propre : aujourd’hui tout le monde est manipulé par la culture de masse et les médias et les manipulations et mensonges politiques permanents et son « goulag verbal ».
Les lendemains qui chantent ou le « Royaume de Dieu (des Juifs) sur Terre » sont des illusions qui éloignent du Soi-Instant, des carottes qui nous vendent de l’espérance ; bref, des attractions de fêtes foraines. Les carottes des « lendemains qui chantent » sont devenus la massification des peuples, soit le Nouvel Ordre Mondial. Mais ne jamais oublier qu’au-dessus de cette pyramide règne sur sa pointe à la fois la finance internationale et les sociétés secrètes, ce qui englobe aussi les entités invisibles genre égrégores ou Archontes (une oligarchie invisible dans une autre dimension…).
Nouvel Ordre Mondial ou capitalo-socialisme entrainant le monde entier en une dialectique matérialiste, évolutionniste ou historique, qui prétend imposer à des groupes, à des nations et au monde entier que l’ensemble se comporte comme un seul individu, comme n’étant qu’un seul corps physique, un seul corps mental, un seul corps spirituel, trois corps n’en faisant qu’un, engendré par un principe unique : la matière ! Ainsi chaque individu ne serait qu’une cellule de ce corps, ce qui donne une singerie du Corps Mystique ou Réalisation du Soi-Instant !

Les marxistes et autres Lénine-Staline ont tenté de faire du socialisme ou communisme une catholicité, une taoïcité, mais À L’ENVERS, et le résultat fut catastrophique. Depuis la seconde guerre mondiale le relais est pris par le mariage du capitalisme et du socialisme, ce qui donne ce que j’appelle « capitalo-socialisme » car le socialisme ou communisme ne peut pas se passer du capitalisme, comme d’ailleurs un Malinowski cité par Marshall Sahlins dans : Âge de pierre, âge d’abondance, un Malinowski qui comme un républicain de 1789 abolissant les trois Castes citées en titre mélange allègrement le pouvoir politique et le pouvoir économique comme c’est pratiqué depuis 1789, évidemment dans le cas de la chefferie ou étatisme, et dans le dogme de l’évolutionnisme à la Teilhard de Chardin :

« Je pense que nous trouverions que les relations entre l’économique et le politique sont constantes de par le monde. Partout, le chef tient le rôle de banquier tribal [sic] ; il rassemble la nourriture, l’entrepose, en assure la garde, puis en dispose au profit de toute la communauté ; ses fonctions sont le prototype du ministère des Finances ou du Trésor Public [sic], dans les États contemporains. Que l’on dépouille le chef de ses privilèges et de ses profits financiers, et qui en pâtira, sinon la tribu tout entière ? » (Malinowski, 1934, pp. 232-233).
Bien-sûr Malinowski doit bien se garder de parler de sociétés secrètes, pourtant, elles remontent à la nuit des temps et se veulent détentrice de la « bonne politique ou bonne morale », soit : l’Absolu.

Évidemment, « mettre en commun » c’est du « communisme », du social (sens d’être agréable aux autres, donc il y aura artifice quelconque, soit religieux, soit matériel !)

Précision sur l’opinion de l’évolutionnisme :
Depuis l’époque de la Renaissance on a fait du « primitif » ou « sauvage » un être vivant SANS ÉTAT ou ÉTATISME, sans chefferie ou sans corps politiques constitués (les institutions), donc là où la pénétration historique des États n’a pas modifié le système économique et les relations sociales. C’est le point de vue de Marshall Sahlins en forme d’évolutionnisme.

Précision sur l’économie : elle concerne le système d’approvisionnement matériel de la société, comprenant non seulement la nourriture mais aussi les moyens de défense contre un éventuel agresseur si le niveau de Conscience humaine est trop faible. En aucun cas ce qu’on entend actuellement par économie et ses dérives ne doivent être un système de satisfaction des besoins matériels de l’individu, donc le profit aboutissement à l’hypertrophie de l’ego ou mental : le libéralisme de l’après 1789 et sa société de consommation.
Aujourd’hui et depuis 1789, ÉCONOMIE = MARAUDE ILLICITE OU LÉGALE : « Ce n’est jamais le cheval, qui cultive l’avoine, qui la mange ».

Donc, l’économie N’EST PAS UNE SCIENCE, car si c’était le cas, cela reviendrait comme aujourd’hui à prétendre que l’être humain est au service de l’économie et non l’économie au service de l’humain. Aujourd’hui l’être humain est bien au service de l’économie, comme il est mesuré par les choses (les biens de la consommation), au lieu d’être comme autrefois la mesure de toutes choses !!!

Marshall Sahlins a raison d’écrire que le but des « sociétés primitives » n’est pas directement matériel mais SOCIOLOGIQUE (agréable aux autres, donc artificiel). Ce qui classe ces sociétés à un faible niveau de Conscience ; on en reste à UN MARCHANDAGE, ON ACHÈTE LA PAIX à cause de l’ego ; les transactions ou échanges de cadeaux assure la « paix » ; les échanges politiques en leur trame matérialiste permettent la réconciliation. Sahlins (Marshall, 1961, p. 245) cite un Bochiman : « Le pire, c’est de ne pas donner de cadeaux. Si les gens ne s’aiment pas et que l’un d’eux fait un cadeau, alors l’autre doit accepter et cela apporte la paix entre eux. Nous donnons ce que nous avons : c’est comme cela que nous vivons ensemble ». La paix est donc un marchandage, ON PASSE UN CONTRAT, cette paix est artificielle, à cause selon moi de la perte de la VRAIE TÉLÉPATHIE présente à l’Âge d’Or. Les fêtes de Noël sont typiquement un marchandage : on parle d'ailleurs de TRÊVE (contrat ou traité).

Le catholicisme, le isme ou système est bien un système de l’Église de Rome : UNE PURE OPINION car il n’existe pas d’attaches réelles avec l’Esprit ou Soi-Instant. C’est pourquoi cette fausse foi ou opinion dans un ego peut être effacé par un simple lavage de cerveau ! Il est d’ailleurs caractéristique que les catholiques parlent souvent de la « défense de leurs opinions » religieuses. Évidemment que la Foi n’a pas à être défendue, comme la Vérité, ELLE EST.

Aujourd’hui le mot catholique est synonyme d’opinion, alors que comme écrit plus haut il a le sens d'Universel, comme le mot TAO désignant une aptitude à réaliser le Soi-Instant ou intégrer le TOUT, sans dualité et en totale transparence. Ainsi la pensée catholique ne peut en aucun cas être doctrinale totalement indépendante d’une autre. Elle ne peut pas être un système fermé et exclusif de tout autre. Car alors elle ne serait nullement catholique universelle, infinie.
Deux systèmes mentales ne sont que des opinions ayant nécessairement des contradictions. Parce que dans cette dualité, l’ego ne se situe pas au Centrum Centri ou Instant, il ne coïncide pas avec ce que la doctrine catholique appelle le « Verbe » (Instant ou absence de temps, la « Langue de Ptah », le Triangle ou première figure fermée).
Autrement dit, l’ego n’étant pas dompté, il aliène sa « personne » ou son soi au profit des perceptions du mental : les cinq sens, donc des perceptions dans le « temps » inventé par ce mental du dualiste sujet-objet. Ainsi, ce sont les sens, les perceptions dans l’histoire ou Chronologie tueuse entre un passé et un avenir qui dictent au mental ce qu’il doit exprimer. Le problème est que ces données du sensible dans l’évolutionnisme du temps varient d’une Instant à l’autre en chaque individu, et ne peuvent jamais être identiques chez deux individus ; cela par la nature même de la Chute.

Les catholiques de l’Église de Rome, en plus de nous avoir donné la destruction des Païens, les Croisades l’Inquisition et autres guerres de religions, sont des sentimentaux du genre destructeur diviseur : « Plus jamais ça ! ». On peut entendre aujourd’hui 2 décembre 2014 ce genre de sentimentalisme sur France-Pipo à propos de l’incendie d’un entrepôt des « Restos-du-Cœur », où un bénévole en larmes « souhaite toutes les misères du monde sur celui ou ceux qui ont foutu le feu à l’entrepôt » (ce qui n’est pas prouvé, selon la directrice des Restos de Vendin-le-Viel). Même sentimentalisme destructeur, moralisant et diviseur de la part de ces judéo-maçons spéculatifs qui souhaitent détruire le « terroriste », l'autre, tel le maçon du 33è degré C.W. Leadbeater, il écrit (dans Rites Mystiques antiques - Une brève histoire de la Franc-maçonnerie), à propos de Philippe le Bel : « Mais quel karma serait jamais à la hauteur d’un tel ignoble scélérat, même en mille vies de souffrances ». Leadbeater divise en winners et losers ou en bons et méchants comme le bénévole des Restos-du-Cœur. Ce sont ce genre de personnes qui entretiennent la mode du terrorisme, qui entretiennent la division et la guerre permanente comme le firent les catholiques. C’est particulièrement flagrant dans les deux exemples cités : l’un avec des larmes de crocodiles, l’autre avec des anathèmes judéo-maçonniques tout aussi larmoyants et pitoyables à la façon de la pleurniche internationale ou « peuple élu » qui pourtant est à la tête de banques internationales.
Le héros ne doit pas tuer le DRAGON, puisqu’il est l’ego indissoluble du Soi, on ne peut alors que DOMPTER LE DRAGON ou SOI. En Inde le « Tueur de Dragon » est le sacrificateur qui apaise la puissance divine et s’identifie à elle ; le Dragon produit le Soma qui est breuvage d’immortalité (l’Ambroisie des Grecs)(1). Pour Tchouang-tseu le Dragon est la résolution des contraires. Les Dragons volants sont les « vaisseaux » des Immortels ou Bienheureux.

Depuis les ergoteurs grecs genre Aristote, Platon, etc., les « choses » étaient ‘en elles-mêmes’, objectives, des « réalités en soi ». Arrive les philosophistes des lumières et autres Kant, Hegel et leurs suiveurs les phénoménologistes contemporains, où la « raison » a renversé les choses : ce sont elles qui inscrivent en nous la forme de leur être : elles s’impriment en nous, elles sont pour nous ; elle ne sont pas en elles-mêmes ce qu’elle sont ; alors qu’au Moyen-Âge les choses étaient ‘en elles-mêmes’. Dans le cas des philosophistes et des modernes nous sommes bien dans la dualité sujet-objet : le mental face à la chose connu, c’est-à-dire fabriquée par ce mental.
Ainsi les existentialistes à la Jean-Paul Sartre et à la Nietzsche avec leur ego croient pouvoir rendre logique le fait divin ou seule Réalité en déclarant que c’est notre connaissance qui structure les choses. Cela voudrait dire que les choses n’ont pas « d’en soi », si ce n’est celui que leur confère l’acte de les connaître ; les choses n'auraient pas d'âme. « Ce serait le mental qui confère une réalité aux choses que nous percevons », je suis le lettre de janvier 1969 de Jean Coulonval à Mgr Combes, dans Synthèse et temps Nouveaux.

Le mental qui fabrique les choses est ce qu’expose Ramana Maharshi tout au long de ses entretiens, puisqu’il n’existe que le VIDE. Jean Coulonval est axé sur ce qu’il nomme, avec raison, les « ESSENCES », soit des Lois ou Principes universels qui doivent faire la partie du Vide (le pneuma ou âme des choses) ; et que le Vide AIME être plein, c’est aussi cela le sens du mot AMOUR. Parce que comme l’écrit Coulonval, « quand je mange du pain, que je bois du vin, je sais bien que ce n’est pas mon intellect qui les a faits ce qu’ils sont ». Bien-sûr il ajoute cette vérité que l’humain étant tout ce qui constitue l’ensemble de la Création, le TOUT, il y a en nous du minéral, du végétal et de l’animal : « Il n'y a en moi rien de ce qui fait que du silex est du silex et non pas du schiste ou du calcaire ; rien non plus des caractères accidentels qui font qu'une carotte est une carotte, ou un chien un chien. Mais il y a dans mon corps, mes os, mon sang, mes muscles, ma cervelle, des éléments qui vivent selon les lois du minéral, d'autres selon les lois du végétal, d'autres selon les lois animales, d'autres enfin selon les lois de l'homme. Et si je crois à la révélation, je dirai qu'il peut s'ajouter à toutes ces lois de la création qui régissent mon en-soi d'homme, une forme de vie, des lois de vie en Dieu », soit la Source ou Soi-Instant, l’Unité.

Coulonval termine en ceci : « Ainsi, la connaissance n'est pas le fait d'un dialogue, mais d'un rapport entre trois termes :
Homme - Essence commune - Chose connue.
En ce sens, la connaissance n'est pas simple enregistrement, elle est Amour, ou haine lorsque le péché a établi une distorsion entre l'essence et les accidents. L'essence étant le côté inviolable. Le mal n'a prise que sur les accidents ».
Là Coulonval est en Accord avec Ramana Maharshi, qu’il ne devait pas connaître.

L’Église de Rome est encore plus enfoncé depuis 1789 à cause de la séparation du temporel et du spirituel, soit la dualité bien cartésienne modèle siècle des perruques poudrées avec division de longue date de pouvoir spirituel et pouvoir temporel (les laïques), comme on divise le corps et l’âme, et qu’aujourd’hui il ne compte plus que le corps que l’on veut même assurer sur la mort physique part la technologie.
Le désarroi doctrinal de l’Église de Rome est solidaire du désarroi du monde politique et du monde financier, à cela s’ajoute le désarroi du monde scientifique. Tous sont en queste du GRAAL ; ils en prennent maintenant plus ou moins conscience ; c’est en ce sens que notre planète est chahuté de tous côtés.

Le désarroi catholique s’est surtout exprimé avant Vatican 2  dans un catholicisme façon socialisme avec les mouvements : ACO, JEC, JOC qui réduisaient le catholicisme à un certain état de psychologie sociale ; cela donnera une confusion commune au socialisme et au catholicisme avec la collusion politique, dont le journal « Témoignage chrétien », et un désarroi doctrinal que cette Église de Rome tenta de rattraper par son Vatican 2 encore plus socialisant et dérivant vers le Nouvel Ordre Mondial ; un catholicisme qui finira bientôt par disparaître et son pape avec !


En résumé : le catholicisme depuis 2000 ans est une singerie christique, un oubli du Soi-Instant. Depuis 1789 le perpétuel prend le masque de l’éternel, le général celui de l’Universel, le psychologique celui du spirituel (le divan de Freud ce nouveau confessionnal à l’horizontal ou nouveau christianisme à l’horizontal !). C’est normal puisque le socialisme dit que dans le principe était la matière et non les Essences contenu dans le Soi-Instant, dans la Source ou Centrum Centri, ou TAO. Aussi le divan de Freud reflète admirablement l’évolutionnisme en horizontalité de temps qui doit se réaliser, « selon la dialectique matérialiste et historique [marxiste], une transposition du « discours absolu » de Hegel dans l’instantanéité de la vision synthétique, une synthèse pour les lendemains qui chantent [DORG ou Demain On Rase Gratis] de tout ce qui est pensable et en conséquence satisfaction de tous les besoins inscrit dans la nature ontologique de l’homme, et donc de tout l’existant puisque l’homme est en son essence l’existant, de tout le créé », écrit Coulonval.
Le socialisme ou communisme prétend être la fois une physique, une métaphysique et une religion, mais il ne peut que SINGER, FAIRE ILLUSION.



Note.
1. Soma pouvant être à la fois ou différemment une plante, une boisson ou un ange : « il lie fortement l'intérieur, l' "esprit" le plus élevé de l'homme, cet esprit qui est un ange semblable au mystique Soma, avec son "âme irrationnelle", ou corps astral, et ainsi unis par la puissance de la boisson magique, ils s'élèvent ensemble au-dessus de la nature physique et durant la vie participent à la béatitude et aux gloires ineffables du Ciel. Ainsi le Soma hindou est mystiquement, et à tous égards, identique à ce que le souper eucharistique est au Chrétien », écrit un peu ironiquement H.P. Blavatsky à l’Article SOMA dans son Glossaire théosophique.
 
 

Dernière mise à jour : 03-12-2014 21:43

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved