Miracles, ou Invasions ??
 

Ecrit par Sechy, le 24-12-2014 18:49

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Miracles, ou Invasions ??
La théorie du complot.
Les Envahisseurs sont-ils parmi nous
à l’ère démentielle de la technologie ?
Les envahisseurs : l’autre, le microbe, le terroriste,
les ovnis, le bouc émissaire pauvre bête qui décharge
Israël de ses péchés. Le Jésus était un bouc
déchargeant les humains de leurs péchés, c’était la mode.
Aujourd’hui un bouc émissaire qui porte le nom
de « antisémitisme » est très pratique pour
les Sionistes cancérisés du pouvoir.
Le bouc émissaire ou le martyr c’est vendeur :
ÇA FRAPPE comme le bouc avec ses cornes de Moïse !
Frapper les cerveaux, manipuler les foules !


La Terre : réservoir et garde-manger pour les « Dieux » (égrégores et extraterrestres) en leur Empire moderne : LE MONOCLE (USA).

 
Si la Réalisation du Soi-Instant est un compromis entre le divin et la Stargate en dur (énergie perpétuelle, sans limite, et gratuite), la Vraie Paix sur Terre sera enfin une réalité depuis le chute de l’Atlantide, et désormais aucun gouvernement ou étatisme ne sera nécessaire.

Dieu ou la Pierre, l’Instant : LA PIERRE EST, et reste toujours elle-même, éternelle comme le Soi-Instant, donc ELLE FRAPPE, mais avec le concourt de l’humain, ne serait-ce qu’à travers ses yeux. Le ROCHER est plus fort que l’humain. (Voir la page : Osmose avec l’âme de la Pierre). La Pierre frappe au même titre que l’extraterrestre et sa soucoupe volante : l’être humain en voyant la Pierre rencontre une réalité et une énergie qui appartiennent à un autre monde que le monde spatio-temporel dont il fait la partie.

anipucsac1.gifVoir aussi la page : Les Chrétiens aux lions !!!

La Magie est vieille comme ce monde, et elle est utilisé de nos jours de plus belle sous sa couverture nommée : « Technologie ». Il y a 700 ans (chronologie récentiste, car je ne crois plus à celle de Scaliger), dans le monde appelé « antique » la Magie était chose très commune et moralement suspect tout ensemble. Les miracles pouvaient servir à des fins politiques pour impressionner les foules, et les arguments fondés sur les miracles étaient à double tranchant.
À cette époque, un Juif ou Yahviste pouvait dire : « C’est par la magie que Jésus a pu faire les miracles qu’il a paru accomplir », et un Justin (Dial. 39.7) ajoutait que c’était effectivement de cette façon que les Juifs expliquaient les miracles de l’Évangile. Certains disent : « Votre magie est mon miracle et vice versa ».
 
Sans la débauche actuelle de la technologie, chez les Païens les miracles jouaient un rôle important dans leurs divers cultes. Alors entre Chrétiens et Païens il faut s’attendre à la compétition de qui a les meilleurs miracles. Un Quadratus d’Athènes essayait de démontrer que les miracles de guérison de Jésus de la Croix étaient meilleurs que les miracles païens, non à cause de leur plus grande authenticité, mais à cause de leur durée.

Pour un Celse, les miracles contenus dans le Nouveau Testament sont « des fables monstrueuses », et même s’ils étaient vrais, ce n’était pas une preuve du caractère divin de Jésus. C’était « pratiques pervers de gens possédés par un mauvais démon ».
D’un autre côté un Porphyre admet que les Chrétiens accomplissent des choses merveilleuses, mais il ajoute que ce n’est pas grand chose ! Apollonius de Tyane et Apulée et beaucoup en font autant. Bref, en ce temps là la Magie était à la mode.


Les Envahisseurs.
Il est certain que le vieux rêve de posséder un « royaume universel » (pour les judéo-maçons ce sera la république), ou un « Quatrième Reich », ou un Nouvel Ordre Mondial ou « États-Unis » (le Monocle… en haut de la pyramide…) réunissant sous la direction d’un seul ou d’un petit groupe tous les peuples de la planète, est vieux comme les « 10.000 ans » de la voie de l’Agriculture. Il est aussi possible qu’une « force » extérieure à la Terre veuille la pirater (10.000 ans c’est une seconde dans certaines dimensions. Et comme tout est dans le mental, il y a de quoi se poser des questions sur ce qui se passe actuellement).
Posséder un « royaume universel » s’apparente au socialisme ou communisme : empêcher la réalisation du Soi-Instant, empêcher de retrouver l’Origine de chacun de nous.
ENVAHISSEUR veut dire : EN DEHORS, EXTÉRIEUR, ceux qui vivent sur le pays (occupant), les virus envahisseurs, les plantes envahissantes. On parle d’INVASION, et c’est très à la mode à notre époque de « terreur ou terrorisme ».

Pourquoi ne pas dire que les Chrétiens furent « les envahisseurs » il y a quelques 700 ans (chrono récentiste) ?
En effet, le socialisme actuel et celui des Lénine-Staline-Trotsky est une singerie du socialisme des Chrétiens ; c’était hautement plus vendeur que, je dirais, l’individualisme des Païens.
 
 
CHRÉTIENS = CITOYENS.
En effet, les républicains de 1789 n’ont pas inventé l’idée de citoyen, les Chrétiens l’ont peut-être copiés chez les Grecs, car tous les progrès spectaculaires du Christianisme ont été faits dans des grandes villes : Antioche, Corinthe, Rome, Alexandrie. Les Chrétiens étaient « membres les uns des autres », et ce n’était pas une formule, ils étaient comme des compagnons, et la judéo-maçonnerie spéculative actuelle a repris en singeant ce sens de communauté.

Chez les Païens du temps de Jésus de la Croix l’homme pouvait se retrouver dans une terrible solitude parmi ses semblables : se retrouver tel un déraciné dans les centres urbains, comme par exemple le paysan qui vient en ville pour chercher du travail, le soldat qui est démobilisé, le rentier qui est ruiné par l’inflation, l’esclave devenu affranchi. Alors il se pouvait que des gens dans ces situations n’aient plus qu’une seule solution de confort, de sécurité (sociale) : devenir membre d’une communauté chrétienne. Là ils y trouvaient chaleur humaine, quelqu’un s’intéressait à eux dès le départ et après la mort.
Festugière écrit justement dans Rev. Théol. Phil, 3è série, que « S’il n’y avait pas eu cela, le monde serait encore païen. Et le jour où il n’y aura plus cela, le monde redeviendra païen ».
Julien semble partager cette opinion, il attribue le succès du Christianisme à « sa philanthropie envers les étrangers, sa prévoyance pour l’enterrement des morts, et sa sévérité dans la vie » (tout ça rappelle encore le républicanisme ou socialisme, de nos jours déformé).

Mais le problème est ce que notre civilisation est devenu suite à : CHRÉTIENS = CITOYENS. Cités et Villes = vil, choses viles, corruption à tous les niveaux, la pauvreté dans les villes, mauvaise hygiène.
Alors oui :
- CITOYENS = CHRÉTIENS
- PAYSANS = PAÏENS ou PAGANS.
PAGANS, Paysans ou Paganisme, la religion des gens de la Campagne, des gens des districts.
Paganisme devrait bien signifier : ANCIENS CULTES DE DIVERS GROUPES DE POPULATION.
Il y a nécessairement à trouver un équilibre entre Chrétiens et Païens ! Car Saint Augustin effectua cette horrible division cet horrible rejet des Païens : l’Église a jeté le bébé avec l’eau du bain, en rejetant non seulement les superstitions du Paganisme tardif, mais aussi le solide noyau de la Science ancienne ou Véritable Science.

Au 4è siècle le Paganisme était comme un cadavre ambulant, et ne survivait que grâce au soutient de l’étatisme du moment (l’Empereur Julien). La vitalité du Paganisme s’en était allée. Un Palladas écrivait : « Si nous sommes des vivants, alors c’est que la vie elle-même est morte » (le Néoplatonisme s’enseignait encore grâce à des Païens jusqu’en 529).
Une des raisons du succès du Christianisme fut la faiblesse de l’opposition qu’il rencontrait : le Paganisme avait « perdu la Foi » ; le Christianisme c’était la nouvelle mode, le « Vu à la Télé » dirions nous aujourd’hui. Tout ce qui est nouveau, monstrueux (comme la mode du terrorisme), insolite et singulier (les ovnis), parfait, devient un VASE pour les forces magico-religieuses et, suivant les circonstances, un objet de vénération ou de crainte, « en vertu du sentiment ambivalent que provoque constamment le sacré » comme dirait Mircea Eliade.
RAPPEL : La perfection ou le héros n’appartient pas à notre monde : elle vient d’ailleurs. Donc le mortel la craint.
Le SACRÉ est ce que l’on en fait, aussi bien chez les Païens que chez les Chrétiens : il peut coïncider avec le profane sans annuler sa propre modalité d’être. Un exemple donné par Mircea Eliade dans son Traité d’histoire des religions : Bien que connaissant le Tout, Vishnu se montre, je dirais tel un Taoïste, selon les circonstances comme s’il était dépourvu de connaissance, comme un idiot ; « quoique pur Esprit, il se montre comme étant matériel ; quoique le Vrai Dieu, il se montre comme s’il était à la disposition des humains ; quoique tout-puissant, il se montre comme s’il était faible ; quoique sans soucis, il se montre comme s’il avait besoin d’être soigné ; quoique inaccessible aux sens, il se montre tangible ». C’est typiquement l’attitude d’un Taoïste.

Le Christianisme était vendeur parce que l’on voyait qu’il était digne que l’on meure pour lui (mode des martyrs ou bouc émissaires). Des Celse, Galien, Marc Aurèle étaient tous impressionnés par le courage des Chrétiens « face aux lions » ou face à la torture. C’était si vendeur que ça suscita beaucoup de conversions (celle de Justin par exemple). De nos jours, et surtout dans l’URSS des Juifs-bolcheviques les persécutions politiques par l’institution du Goulag et autres sont une forme inversée de paganisme et persécution des « dissidents ».
Si les martyrs Païens furent rares au départ de l’Empire chrétien, parce que le Paganisme était mourant, il reprenait vigueur quelques siècles plus tard et le Christianisme faisait de nouveaux martyrs, mais surtout détruisait beaucoup et avec acharnement les lieux sanctifiés de culte des Païens (Pierres, Fontaines et Sources, lieux-dit).

Pourtant, la tolérance des Païens était grande, trop grande, si bien que le choix trop important de cultes et de courants de pensée égarait les gens plutôt que d’ouvrir leur conscience ! Et les gens n’y trouvaient point leur confort, leur sécurité.
Les Païens pouvaient railler les Chrétiens sur leur intolérance, mais à cette époque d’angoisse, toute l’opinion « Nouvel Ordre Mondial » ou socialiste était très vendeur : rares étaient ceux qui pouvaient y résister. Pensez seulement à la folie, en France, que suscita en 1917-18, la réalisation de la folie des Juifs-bolchéviques en URSS, et plus tard même aux USA chez les banquiers : c’était le DORG (Demain On Rase Gratis), ou les lendemains qui chantent.
En plus, comme le Christianisme, le socialisme était ouvert à tous, c’était l’ÉGALITÉ de 1789 et des judéo-maçons spéculatifs et de tout gouvernement français socialiste : le Christianisme acceptait aussi bien le travailleur manuel, l’esclave, le proscrit ou « terroriste », l’ancien criminel ; on était bien dans cette égalité vendue actuellement à toutes les sauces. Et par dessus tout, à la différence d’un certain Paganisme, le Christianisme n’exigeait pas une « éducation » (pas de ‘notation scolaire’ chez les Chrétiens).

CHRISTIANISME = ARMÉE DE DÉSHÉRITÉS (Il affect peu les classes riches et aristocratiques).
Le Christianisme est très vendeur parce qu’il utilise la CAROTTE et le BÂTON.
- Carotte : un meilleur monde ou Paradis dans « l’autre monde ». Le bonheur pour tous. (Mais plusieurs religions païennes rivales promettaient la même carotte). Mais le Christianisme avait une plus grosse Carotte et un plus gros bâton.
Une autre Carotte très vendeuse est le culte du martyr, que les Yahvistes connaissent si bien ! Le culte du martyr c’est HOLLYWOOD, c’est lé célébrité partout dans ce monde et le « bonheur dans l’autre », ce qui ne pouvait qu’ajouter aux mirages exercés par le Christianisme. (Les compensations du martyr étaient considérables : si le martyr survivait à ses tortures, il jouissait d’un immense prestige auprès de ses frères chrétiens ; s’il mourait, il pouvait s’attendre à devenir un objet de culte, une idolâtrie ou Saint.
La communauté chrétienne, sorte de « sécurité sociale » de l’époque, était beaucoup plus puissante que n’importe quel groupe de dévots d’Isis ou de Mithra, car les membres de la communauté chrétienne étaient liés non seulement par le culte, mais par le même mode de vie, et donc par les mêmes dangers qui les menaçaient. Les Chrétiens avaient grande rapidité à soutenir un frère en prison et à apporter une aide matérielle à leurs frères dans le malheur. Nous sommes bien dans le SOCIALISME ORIGINEL. Le Christianisme était la Vraie sécurité Sociale : prendre soin des vieux, des orphelins, des chômeurs, des malades, veiller à enterrer les pauvres, œuvrer lors des épidémies et autres catastrophes.
- Bâton : on accusait le Christianisme d’être la religion de la PEUR, et je dirais aussi le supplice par l’ESPÉRANCE : un Clément d’Alexandrie dit que beaucoup de Chrétiens étaient motivés (à tort) par la peur du châtiment et l’espoir d’une récompense. La peur ce sont toujours les menaces de l’enfer ou de toute autre quincaillerie de bâtons.

HOLLYWOOD : une entreprise yahviste dans l’ère du Kali-yuga ou Âge de Fer/faire, âge de l’histoire ou Chronologie tueuse avec souffrance de toutes sortes. Le temps ou Chronologie tueuse est une invention du mental, de la volonté. La Lune est dans le thème du temps.

RAPPEL : La Justice divine étant du domaine de l’Instant, elle est toujours réparatrice (elle ramène à l’Origine), ainsi elle n’est jamais le bâton : elle n’est pas vengeresse (pas de talion). « La sanction et la torture du manque de cohérence de l’âme avec elle-même est représenté par l’Enfer non éternel » pouvait dire Origène et d’autres. Donc nous sommes responsables de nos propres mots/maux ! notamment du problème de notre mental ou ego.

Problème du mental ou TRAVAIL DU CHAPEAU.

Le Travail du chapeau est une spécialité des Yahvistes : voyez la Kabbale et la judéo-maçonnerie spéculative actuelle. Travailler du chapeau c’est dénaturer le sens de textes. On y procède par ALLÉGORIE.
ALLÉGORIE : une figuration le plus souvent humaine, parfois animale ou végétale, d’un exploit, d’une situation d’une vertu, d’un être abstrait (une femme ailée pour la victoire, une corne d’abondance pour la consommation). Donc ON RACONTE UNE HISTOIRE, UN FILM, C’EST UN TRAVAIL DU CHAPEAU, il n’y a aucune révélation, aucun réveil de conscience ; il n’y a que progression sur le dallage de carreaux noirs et blancs d’une loge de judéo-maçons. Histoire ou Allégorie n’est qu’opinion en forme d’ÉVOLUTIONNISME.

L’art de dénaturer les textes, les Yahvistes l’avaient appliqué à l’Ancien Testament, et les Gnostiques au Nouveau. (Le code alimentaire juif est allégorique d’une manière fantastique dans l’Épitre de Barnabé).
Celse avait remarqué que « les plus raisonnables des Juifs et des Chrétiens interprétaient ‘la tyrannie de la lettre’ par méthode allégorique » ; il protestait contre les abus qu’ils faisaient de cette méthode par l’allégorie.

[En haut de page : des Chrétiens se comportent comme des Païens puisque leur lieu de culte est partout et nulle-part. Le peintre Jean-François Millet était bien du monde des Païens, des Paysans. Mais être paysan ne veut pas dire obligatoirement être avec une faible conscience : les Paysans sèment à la Nouvelle Lune, taillent les arbres et ramassent les légumes à la Lune décroissante, etc., ils sont en accord avec le Cosmos. Un Millet qui par ses fonds de paysages et sa touche de pinceau me fait penser à Corot, peintre de la lumière, photo ci-dessous : par Millet, Le Rocher du Castel Vendon, 1848, musée Thomas-Henry à Cherbourg-Octeville]

[En référence partielle à : Païens et Chrétiens dans un âge d’angoisse - Aspects de l’expérience religieuse de Marc Aurèle à Constantin, de Eric Robertson Dodds]
 
 
 
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Dernière mise à jour : 24-12-2014 19:35

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