Abomination républicaine ou égolutionnisme
 

Ecrit par Sechy, le 27-01-2015 21:03

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Cinéma, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Abomination républicaine ou égolutionnisme
basée sur l’évolutionnisme des Yahvistes ou Hébreux


Bienvenue dans le Paradis (Enfer) de la société de consommation
 
 
Voir aussi la page : La religion d’Israël invente l’HISTOIRE

Le rêve des Juifs bolcheviques des Staline-Lénine-Trotsky se met en place en douceur en s’accélérant depuis 1945. Big Brother devient une réalité comme le montre l’œil sur le billet de un dollar : autrefois nous n’avions pas besoin ni de carte d’identité ni de faire enregistrer une naissance. Depuis 1789 ce temps est très loin !
Comme le dit un travailleur du chapeau de Harvard, Margo Seltzer, avec la folie technologie bientôt des drones de la taille d’un moustique viendront prélever votre ADN pendant que vous dormez ! Et ces drones-moustiques vous surveilleront en permanence. Comme déjà écrit ici de nombreuses fois, le principe de la « démocratie » étatique est d’obtenir du consentement, dont IL FAUT EFFECTIVEMENT SURVEILLER EN PERMANENCE LES MASSES.
DÉMOCRATIE DE L'ÉTAT = PROPAGANDE : gestion finalisée de l’irrationalité, des poussées du subconscient, gestion savante de la désinformation et de l’erreur systématique des électeurs et des consommateurs sur la vie des masses, tant en politique qu’en économie. Il s’agit de manipuler les masses, à l’intérieur d’une fausse représentation de la réalité qu’on peut facilement « idéalisée » avec la folie technologie, et des médias, de manière à porter les masses où le pouvoir veut.
 
La démocratie étatique consiste non pas en un gouvernement qui fait ce que la majorité veut, mais en un gouvernement qui convainc, manipule les masses à accepter ce que le gouvernement veut. Ainsi le principe de la démocratie est bien la manipulation sous toutes ses formes, et bientôt les plus violentes dignes des Juifs bolcheviques des deux premières décennies de l’URSS.
L’étatisme et sa démocratie est par essence dictatorial : imposer à l’ensemble.

Comme répété de nombreuses fois, le sécuritaire et le confort sont le mal de cette folie technologie montée à l’envers car reposant sur la thermodynamique. Ainsi les jeunes se foutent maintenant de se savoir surveillés ; ils ne se préoccupent que de leur confort, donc le SPEED, LA FACILITÉ, LE « TOUT TOUT DE SUITE » bien dans le dogme de la société de consommation. Le sécuritaire par Hécate dans Macbeth : « La sécurité est la plus grande ennemie des mortels ».
De plus, l’œil de Big Brother sur le billet de un dollar symbolise aussi L’EGO, le « m’as-tu vu ! », l’orgueil de se savoir « filmé » (le 'Vu à la Télé').
Le sécuritaire est un formidable business mondial jouxté avec le business des armes. Ajoutez à cela le business des drogues.

« Le dictateur fabricant d’âmes était en germe dans Marx qui (page 202) « enseignait que la structure intellectuelle de l’individu est le produit de son milieu ». Ainsi fabriqué par les seules contingences sociales et historiques dont il n’a pas à décider, l’individu ne doit vivre que dans le temps linéaire  entre un passé et un futur [évolutionnisme]. Le souvenir même lui est interdit, il ne doit pas regarder en arrière pour boucler le futur sur le passé. Seul, le dictateur fabricant d’âmes s’accorde cette possibilité et l’interdit aux fabriqués. Lui seule a droit au « Je » [ou certains judéo-maçons spéculatifs ont ce droit] » (Jean Coulonval, extrait de la lettre d’avril 1975 à Arthur Kœstler).

Coulonval dans cette lettre explique très bien le Soi ou Instant, après avoir écrit ceci à propos du dictateur fabricant d’âmes : « Ce n’est pas tout à fait nouveau. Qui dit éducation di dressage, fabrication, coulage dans un moule. Mais cette séparation nette et brutale entre fabricants (quelques-uns et à la limite un seul) et fabriqués (des milliards, la multitude) n’a jamais été aussi nette qu’aujourd’hui. Et la question se pose : pourquoi ?
Il y a un niveau de perception où fusionnent le sujet et l’objet, c’est la fusion de l’âme dans le divin, centre de toutes choses existantes sans lequel rien ne serait, comme la circonférence ne serait pas sans son centre. Le contact avec ce centre, les Chrétiens l’appellent l’Union mystique, les Indiens le Nirvana. Quand cette fusion se réalise on ne peut plus parler de croyance, de foi, mais de Connaissance par co-naturalité dans le re-liement (religion) au Tout par le fait de l’identification du ‘Je’ avec le centre générateur du Tout, comme le centre est générateur de la circonférence bien que n’étant lui-même ni surface ni volume. Sans le centre qui n’est rien, il n’y aurait rien. Ainsi en est-il de ce que nous appelons Dieu ».

Coulonval ajoute si justement : « La prétention à l’infaillibilité de tout parti politique, qui atteint son paroxysme démentiel dans le parti communiste [aujourd’hui le capitalo-socialisme] n’est qu’une singerie de l’infaillibilité de l’Église. Ce sont des « ismes », des systèmes logiques clos sur eux-mêmes. Chacun se prétend l’incarnation dans le groupe d’une vision juste et correcte de l’universalité des choses. Chacun prétend posséder la clé de l’universalité des choses. Chacun prétend posséder la clé de l’universalité qui est en tout homme. Toutes les idéologies politiques sont des masques pour le besoin d’absolu, de religion [l’humain étant un Homo Religiosus]. L’ennui, c’est qu’il ne peut y avoir plusieurs universalité(s) et que la lutte entre les pseudo-universalisés est cruelle, impitoyable, meurtrière et sanglante. Les ismes, quand ils s’emparent des foules, sont des folies collectives, y compris le catholicisme ; la catholicité reste à faire, elle n’est jusqu’à présent qu’à l’état potentiel ».

On peut ajouter que toute l’oligarchie de ce monde EST DÉMONIAQUE, parce que ces cancéreux du pouvoir tentent de POSSÉDER et de disposer à leur gré du mental des êtres humains.
Tous « parti », en religion, en philosophie, en politique, en science ou en économie, tend à imposer à l’ensemble. C’est pourquoi tout « parti », tout « isme » est une forme de dictature (le système).


Le principe de l’étatisme républicain est l’opinion politique : un matraquage psychique des idéologies des partis politiques, lesquels sont toujours sous-tendus par des options philosophiques, même quand les arguments de la propagande et manipulation électorale semblent ne prendre en considération que les problèmes économiques, les seuls auxquels est sensible la grosse masse des électeurs, puisqu’ils sont des consommateurs.

« L'équerre à centrer. C'est un outil qui sert à trouver le centre approximatif d'une surface qui ressemble plus ou moins à une circonférence. A la façon dont on a décidé que Bourges est le centre géométrique de la France.
La circonférence fort irrégulière représente la section d'une barre d'acier plus ou moins cylindrique. En portant l'appui des tétons en plusieurs points on trace autant de lignes AB. On obtient un petit polygone irrégulier qui est le centre approximatif. Ce sont les accidents externes du contour de la pièce qui en ont décidé. En quelque sorte, ils l'ont imaginé, fabriqué. C'est ce que fait le mode de pensée qu'on appelle « opinion », scientifique, métaphysique, ou même religieuse, quand l'homme se fait de l'Absolu une conception qui convient à ses appétits, dans le monde des accidents, du spatio-temporel.
Le discours logique qui cherche les essences au travers des accidents opère à la façon de l'équerre à centrer qui ne peut tenir compte de toutes les lignes AB possibles pour la simple raison qu'elles sont en nombre inépuisable, in-défini (ce qu'on appelle à tort l'infini). Pas plus que l'équerre à centrer, il ne peut tenir compte de tous les accidents existants ou possibles dans le spatio-temporel, et en conséquence aucun discours logique (tous les philosophismes sont des discours logiques) ne peut atteindre à la vision de l'Absolu. Il est toujours couillonné. L'Homme ne peut atteindre l'Absolu que si l'Esprit vient lui-même le chercher pour le placer au centre, c'est-à-dire en LUI.
Tous les philosophismes, avec leur miroitement verbal, sont des miroirs à alouettes qui ne sont guère dangereux tant que leurs promoteurs se contentent de pondre des bouquins, mais sont des catastrophes quand ils s'incarnent dans des structures politiques concrètes, dans des « Partis » qui n'existent en tant que tels que parce qu'ils prétendent être détenteurs de la Vérité, du centre de toutes choses, ce qui fait que tous sont des dictatures, des totalitarismes, en acte ou en puissance.
La Vérité, pour l'Homme et pour chaque homme, c'est l'idée qu'il se fait de sa nature d'homme. Et il se trouve que, de même que l'équerre à centrer situe le centre d'une façon subjective, par approximation imaginative, aucune idée de l'Homme acquise par le discours logique, et qu'on appelle « opinion », n'a de valeur scientifique, quoi qu'elle en prétende.
En fait, la connaissance par l'Homme de sa nature humaine ne peut être une science puisque toute science naît d'un dialogue entre un sujet qui étudie et un objet étudié ; et que par ailleurs l'Homme étant ontologiquement, en ses essences, le résumé, la globalité de l'Être et de l'ex-istant, il est de ce fait dans l'impossibilité de se poser comme sujet étudiant d'un « Univers » qui lui serait extérieur. C'est, géométriquement, impossible. C'est pure illusion satanique fondée sur le renversement des rôles entre essences et accidents.
La politique est la science de la gestion des sociétés selon l'idée qu'on se fait de l'Homme (au sens générique). En conséquence, elle implique, de la part de ceux qui exercent le pouvoir politique, la connaissance des essences de l'Homme, de son ontologie. Connaissance qui ne peut s'acquérir à partir des accidents, pas plus que l'équerre à centrer ne peut définir un centre absolu, géométriquement vrai, lequel ne peut absolument pas être une opinion.
L'Absolu, c'est ce que toutes les religions appellent Dieu, l'Être source de tout ex-istant. Ce besoin de perception de l'Absolu régit tous les individus, ceux qui se disent civilisés et ceux qu'on dit sauvages ; mais il est vrai aussi que l'homme a toujours été tenté de rechercher cet absolu au travers des accidents du spatio-temporel et qu'il est difficile d'atteindre la perception pure de « Je suis celui qui est ». Les civilisations se sont toujours construites sur des compromis entre l'Absolu et les perceptions, contingentes et limitées, du spatio-temporel. Le règne de l'opinion en tant que critère de vérité politique n'a pris valeur dogmatique qu'avec la révolution de 89, et le communisme en est la maturation historique en se parant des prédicats de l'Absolu, ce qui en fait une religion à l'envers, comme l'envers d'un cuivre repoussé. Il ne faut pas s'étonner d'entendre dire par ceux qui ont quitté le communisme qu'ils ont perdu la foi.
Le communisme est la dictature aussi radicale que possible d'un philosophisme, d'une idéocratie. Il professe le dogme que les accidents engendrent les essences. C'est une naiveté infantile mais le monde en crève. Il est bien connu que les enfants sont cruels.
Le renversement des rôles entre essences et accidents est la marque infaillible du satanisme. Les constructeurs de systèmes intellectuels, de « ismes », ont bouffé la pomme. Les autorités de l'Église sont aussi en train de la bouffer en réduisant la religion au sentimentalisme social et politique (progressistes), ou au conservatisme des formes rituelles (Lefebvre).
Le discours logique ne vaut que pour juger des accidents entre eux (J'opine pour telle ou telle explication), comme le fait la science expérimentale. Mais il se trouve que la science parvenue à son terme, ayant atteint la suture du physique et du métaphysique, rencontre la logique de l'illogique. Elle en est abasourdie ». (Jean Coulonval, extrait de sa lettre du 12 avril 1978 à Louis Pauwels).    

Le paroxysme démentiel dans le parti communiste (ou socialiste) fut poussé à son extrême par Naftaly Frenkel : « Vous mangez en fonction de ce que vous travaillez », les rations des détenus étaient calculées au prorata du travail accompli. Le système de Frenkel était divisé en trois groupes : ceux qui étaient réputés capables d’un travail lourd ; ceux qui étaient capables d’un travail léger, et les invalides. Chaque groupe se voyait assigner un ensemble de tâches différent et un ensemble de normes à satisfaire. Ces groupes étaient alors nourris en conséquence, et les différences entre leurs rations étaient considérables.
Le capitalo-socialisme était bien à l’œuvre dans l’institution du Goulag. La police secrète contrôlait une gigantesque tranche des capacités de production de l’URSS, et les patrons des camps se retrouvaient dans la peau de pdg d’immenses entreprises industrielles. La Loubianka elle-même, siège du KGB après la guerre, cessa d’être une prison : l’Américain Gary Powers fut le dernier habitant de cette prison. La Loubianka  est d’ailleurs un symbole du capitalisme : elle fut construite pour une compagnie d’assurance !!!

« Nous rejetons les vieux systèmes de moralité et « d’humanité » inventés par la bourgeoisie dans le but d’opprimer et d’exploiter les « classes inférieures ». Notre moralité n’a pas de précédent, notre humanité est absolue car elle repose sur un nouvel idéal : détruire toute forme d’oppression et de violence. Pour nous, tout est permis car nous sommes les premiers au monde à lever le glaive non pas pour opprimer ou pour réduire en esclavage, mais pour libérer l’humanité de ses chaînes. Du sang ? Que le sang coule à flot ! » (Éditorial du premier numéro d’une feuille tchékiste de Kiev : Krasny Metch [Le Glaive rouge], daté du 18 août 1919. Cité dans : Aux origines du Goulag, de S. Malsagov et N. Kisselev-Gromov).

RAPPEL : Les Hébreux furent les premiers à inventer l’histoire : fourguer une signification à une histoire en la sacralisant pour la faire passer pour relative à « Dieu », soit une opinion, qui sera reprise et amplifiée par le christianisme. Cela donnera l’invention du « temps » : idéation ou espace de temps entre A et B, soit une « preuve » de sa « réalité » parce qu’elle « aurait un sens » : la rédemption, la CAROTTE. Soit une ligne droite ou évolution de la marche de l’humanité depuis Adam et Ève jusqu’à « la fin des temps ». Cette conception linéaire du temps et de l’histoire fut développée par Irénée de Lyon, reprise par Saint Basile, Saint Grégoire, et finalement élaborée par Saint Augustin. Je dis que cette conception linéaire en évolution permanente est la racine de notre société de consommation ; et le développement foudroyant de l’économie mondiale depuis la fin du siècle des perruques poudrées, en passant par le bonapartisme avec les débuts des Rothschild, la création de la Banque de France pour aboutir à notre actuelle société de consommation, seule religion universelle !

L’histoire est inventé à partir où Abraham, Isaac était un « don du Seigneur », et non le produit d’une conception directe et substantielle. Entre « Dieu » et Abraham s’ouvrait un abîme, une rupture, un éloignement du Soi ou Instant. Avec Abraham s’ouvre une nouvelle dimension religieuse : Dieu se révèle comme « une personne », il devient comme une « réalité », comme une « preuve scientifique » ; en d’autres mots/maux il est comme matérialisé, c’est pourquoi j’estime le judaïsme comme un modèle politique, un modèle de vivre, et non comme une religion. Dans le judaïsme « Dieu » se révèle comme une personne, un super héros qui ordonne, gratifie, punit sans aucune justification rationnelle (donc générale et prévisible), et un « Dieu » pour qui tout est possible. Les Chrétiens parleront alors de « foi ».
La « religion » juive est celle de la voie de l’Agriculture, religion ou opinion des élites israélites du moment, comme une dimension d’opinions qu’elles ne possédaient pas jusqu’alors : l’événement historique devenait une théophanie, dans laquelle se dévoile aussi bien la « volonté de Yahvé » que les rapports personnels entre lui et le peuple « qu’il a élu », donc un super et monstrueux grégarisme totalement lié au SANG, donc à la race, au mode de vie.


La « fin des temps » de l’Hébreu ou Yahviste est une CAROTTE parce qu’elle est un CONFORT, elle permet de supporter son invention de l’histoire dans L’ESPOIR QU’ELLE VA CESSER DÉFINITIVEMENT à un moment plus ou moins éloigné. Donc ces Hébreux veulent mettre définitivement fin à l’histoire qu’ils ont inventés ! C’est comme si la régénération périodique de la Création était remplacée par une régénération unique qui aura lieu dans le futur ! C’est pourquoi j’appelle ces gens des « Travailleurs du chapeau », et qu’il s’en retrouvent beaucoup chez ces autres « Travailleurs du chapeau » que sont les francs-maçons spéculatifs nés à Londres en 1717.
Bref, tous ces gens sont TOMBÉS DANS LA DURÉE, peut-être contaminés par les Anciens Égyptiens qui étaient obsédés par la durée (voyez leurs constructions pyramidales et leurs tombeaux entre autres, tombeaux qui furent systématiquement pillés, et cela dès l’origine).

Depuis un moment l’Histoire fabrique la terreur : voyez 1789, 1917, voyez les « commémorations » de la pleurniche internationale ! Alors que les Russes oublient et vivent mieux ainsi après les abominations des 74 ans de socialisme et de Goulag en URSS. Les commémorations ou se masturber avec l’histoire entretiennent la peur, la pression constante, et abolissent les libertés pour instituer la pensée unique.


Un exemple d’égolutionnisme ou évolutionnisme : le lavage de cervelles tout azimut des petites têtes blondes ou brunes bien dans la trame judéo-maçonnique des Jules Ferry, aujourd’hui augmentée par la débauche technologique, tandis que les judéo-maçons se cachent toujours dans leurs geôles, pardon, loges et ont seuls droit au s-a-voir. Les Juifs bolcheviques, Hitler, menèrent comme personne le lavage de cervelles de leurs serfs.
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 27-01-2015 21:32

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