Horreur de la division Homo-Hétéro
déclenchée par le médecin hongrois
Karoly Maria Kertbeny comme cette
autre horreur politique de 1789 entre
« droite » et « gauche »

L’Amour méconnu saigne plus que la loi violée.
(Gustave Thibon)

 

 

« Ne jugez pas selon les apparences, mais selon la Vérité ». Précepte impossible, car nous ne percevons que des apparences [inhérent à la dualité sujet-objet]. Aussi est-il dit : « NE JUGEZ PAS ». Et les deux conseils sont au fond identiques, car la seule façon infaillible de juger selon la vérité consiste pour nous à ne pas juger… » (Gustave Thibon)
Il n’existe aucune vérité au monde, et peu importe d’être à l’endroit ou à l’envers, actif ou passif, de « droite » ou de « gauche » ; ce qui est principal ET VITAL est d’être TRANSPARENT.
L’homosexualité ou plutôt l’état de GAY EST SACRÉ. Hélas, comme le sacré est ambivalent, de nos jours et depuis au moins plus de 2000 ans, y compris dans l’ancienne Égypte tardif, ce sacré est devenu profane et banni.
Le GAY est sacré parce qu’un couple gay est toujours DANS L’INSTANT : il réinvente quotidiennement son couple ; il n’y a jamais de conformisme ni de routine ; il n’y a pas de « mariage » ou de contrat, rien n’est certain.

Voir aussi la page : Petit lexique GAY ou le marché à voile et à vapeur.

SUIS-JE « HOMOSEXUEL » ? Question qui se pose à tous, presque, du berceau à la tombe (en passant par la « maison de retraite », car l’Amour n’a pas d’âge ni de sexe, il est UNICITÉ).

 

 

La division faite par ce médecin hongrois et droit de l’hommiste Karoly Maria Kertbeny est proprement criminelle, car l’étiqueté « homosexuel » non seulement comporte le terme qui ravale de « sexe » et de homo, alors que cet affectif n’a pas une identité fixe : sa façon d’entrer en relation avec autrui change selon les circonstances. Un gay peut paraître « hétéro » au bureau ou à la boutique et paraître « homo » seulement en présence d’amis. L’horreur, c’est que l’hétéro a été formaté pour jouer un rôle dans la société dite « hétérosexuelle ». Il est étonnant que la « communauté gay » est érigé une nouvelle pierre tombale sur la tombe de ce diviseur ! À croire que cette « communauté » ou ce ghetto est d’une rare ignorance !!! Ce qui n’est guère étonnant puisque l’ignorance est systématiquement entretenu par les cancéreux du pouvoir du républicanisme et des droits de l’hommistes.

RAPPEL : chacun et chacune est « homosexuels » : il y a du féminin dans un homme et du masculin dans une femme ; et personne aussi bien l’homme que la femme ne peut dire qu’il ou elle ne craquera pas pour celui ou celle qui a le même sexe. La division du médecin hongrois a vraiment divisé en forme un ghetto (ou communauté fermée) d’homos et autres associations gays.
Au Moyen-Âge le mot GAY signifiait « comédien », et au 19è siècle il signifiera « prostitué ». Le mot GAY a l’avantage de faire moins chloroforme et moins sexe que le vilain terme « homosexuel ». Gay (Gai) en ancien français signifie « joyeux », « gentil ».

Mais ce médecin hongrois n’est pas le seul responsable, les Hébreux anti Païens et les Chrétiens ont tout fait pour diviser avec leur invention du terme : SODOMIE. Là c’est vraiment criminel d’avoir inventé ça comme pour encore plus détruire les Païens. Ainsi depuis 2000 ans (temps Scaliger) les « homos » au début étaient punissable de castration, d’exil ou de mort dans la plus grande partie de l’Europe. Que l’on se rappel le pauvre Oscar Wilde condamné à 2 ans de travaux forcés en 1895, pour sa relation avec Alfred Douglas.

Il y a peu l’homosexualité était considéré en France comme une maladie devant être traité par « conditionnement » : on montrait à un « homo » des images d’hommes nus, en lui appliquant une décharge électrique chaque fois qu’apparaissait une image « bandante ». Évidemment la torture psychiatrique a essayé la castration, l’hystérectomie, la lobotomie, et diverses drogues (tout cela surtout aux USA dans les années 1940-1970).

- « Homosexuel » = conduite sexuelle qui ne s’assume pas comme telle.
- « Gay » = Je suis ce JE SUIS mon affectif.
Il ne doit plus y avoir de divisions entre :
- Pays industrialisé = libéralisme, et
- Pays islamiques et catholiques = conservatisme fanatisme et castration.

Le médecin hongrois et sa division homo-hétéro s’inscrit parfaitement dans l’après 1789 : c’est l’ego-égoïsme qui compte, donc LA PERSONNE ou INDIVIDU qui est le pivot de tout, mais en contraire du « Je suis ce JE SUIS » de Ramana Maharshi et de la non-dualité. Cet individualisme à l’envers mène au fameux « social » et à son instabilité universelle. De nos jours, c’est à travers une personne, ou élite, que l’on supporte les institutions ; on considère les « cadres » comme choses abstraites. Les institutions reposent désormais sur la tyrannie de quelques individus et aux hasards de leurs humeurs. Pitoyable anthropocentrisme qui confond le canal avec la source et qui tend à faire de la personne humaine le support absolu de ce qui, en réalité, ne fait que PASSER par l’humain et REPOSE sur les Essences seules.
RAPPEL : question de courant électrique : l’homme qui pénètre un autre homme ne se considère pas nécessairement comme « homosexuel ». Dans les pays latins seul l’homme qui se laisse pénétrer (le passif ou « la femme ») est étiqueté « homo ». Pour beaucoup d’hommes, étrangement sodomiser un autre homme n’est pas « homo », par contre, l’embrasser sur la bouche : OUI. Ce qui voudrait dire que être GAY est plus intime, plus profond (contact sur la tête et non en-dessous de la ceinture).

TOUS LES ÊTRES HUMAINS SONT « HOMOSEXUELS »
Mais il est plus sécuritaire, confortable pour quelques cancéreux du pouvoir, de diviser en enfermant les « homosexuels » dans un « gène » ou un boulon en trop quelque part dans la cervelle !
Comme déjà souvent écrit, il n’y a pas de but à atteindre, car A-teindre signifie : ne pas teindre, ne pas colorer, car qui arrive à son but ou à ses fins s’aperçoit de ses fausse cristallisations sur ce but ! On atteint vraiment que ce que l’on ne cherche pas à prendre (apprendre c’est donc connaître sans prendre, donc GRATUITEMENT !!!)
Ainsi on n’atteint pas l’état d’homosexualité, mais on la fait sienne (on est Gay), donc on invente son propre affect et on réalise, presque, le Soi : « Je suis ce JE SUIS ».

IMPORTANT :
- Orientation sexuelle = le sexe vers lequel on ressent du désir.
- L’identité sexuelle = assumer entièrement cette orientation.

Signe de non égalité flagrante en contradiction avec la fièvre égalitaire du républicanisme judéo-maçonnique :
- Les filles peuvent s’habiller en short, pantalon ou jupe et robe ;
- mais les garçons sont condamnés à ne s’habiller qu’en pantalon ou short.

DRAME (que l’on ne voit jamais dans des films) : un garçon peut être amoureux d’un autre sans jamais exprimer, ni partager ni consumer ses sentiments, passant ainsi à coté des expériences de la vie amoureuse si nécéssaire dans les relations adolescentes et plus tard dans sa vie d’adulte.
On ne voit pas non plus dans des films un garçon tomber amoureux d’un autre garçon mais qui n’est pas attiré par les garçons. Là c’est véritablement un terrible drame pour le premier garçon, d’où d’ailleurs risque de suicide ; car il n’y a pas plus douloureux, difficile, frustrant et humiliant que de désirer quelqu’un qui n’a pas le mêmes sentiments, qui de ce fait domine la relation et peut la rompre à n’importe quel instant. Pour le deuxième garçon, le premier ne sera au mieux qu’un ami, au pire une personne ridicule et méprisante. Être ami ce n’est pas être amant ! Pourtant, l’étymologie est la même : AMI ou AIMER (exprimer des sentiments).

La société actuelle dite « démocratique » depuis 1789 est terriblement coincée, car profondément conformiste : voyez son politiquement correct et sa pensée unique du Nouvel Ordre Mondial et ses stéréotypes ; ainsi elle ne laisse pas de place à la folie et à l’excentricité, qui seront considéré par elle comme « maladie » ou « déviance » ou « perversion ». Le monde du 21è siècle « socialisé » à coups de « réseaux sociaux » fait avaler de force sa pensée unique et ses stéréotypes qui va influencer tout autant les homos que les hétéros. Même les marginaux sont contaminés et vont adopter les comportements des ouailles gobant l’ostie à la communion.

« Sortir du placard » ou crier à qui veut l’entendre que l’on a fait son « coming-out » est une horrible pratique de l’Inquisition ou Laïcité : se déclarer publiquement alors que ce n’est pas nécessaire. Et puis, les hétérosexuels ne sont pas obligés de crier sur les toits qu’ils sont hétéros !

Alors la aussi il y a division. Pourquoi ? Mais c’est typiquement occidental : ce besoin de tout diviser, de coller des étiquettes partout et sur tout. Ainsi le Gay qui « sort du placard » se fait coller une nouvelle étiquette. On dirait aux « yeux de la société », ou plutôt de la tyrannie de l’opinion, que l’homosexuel ne devient adulte que lorsqu’il fait son « coming out », comme l’hétérosexuel ne devient adulte que s’il se marie et « fonde un foyer ».
 

La division homo hétéro est criminelle parce qu’elle se pose comme la vision « peuple élu » et peuples non élus, et permet à « l’hétérosexuel » de nier en lui-même tout désir homoérotique , car NOUS AVONS TOUS DES TENDANCES DANS CE SENS. Cela n’a rien d’étonnant, puisque c’est ce qui arrive avec la tyrannie de l’opinion  et les désirs interdits par cette opinion. Désirs projetés vers l’extérieur, et sont donc déposés chez les minorités comme les homosexuels, les Juifs, les Arabes, etc., il y a toujours division. Division des hétérosexuels qui sont responsable de l’exclusion de ceux dit « homosexuels ». Ces « hétérosexuels » qui au cinéma ne mouftent pas quand sur l’écran deux femmes s’embrassent et s’enlacent, mais qui s’offusquent quand deux hommes s’embrassent et se caressent, comme si l’homosexualité féminine était « sans danger et douce » et l’homosexualité masculine « sauvage ou animal ou anti-naturelle ».
Les socialo-capitalistes cancéreux du pouvoir instituant le « mariage pour tous »  n’ont fait que RENFORCER LA DIVISION HOMO HÉTÉRO. On ne devrait plus pouvoir dire : « Cette personne est juive, ou arabe, ou nègre, ou truc-chose », comme on entend encore : « C’est un pédé » (par ignorance de ce mot). L’homosexualité doit être une simple caractéristique parmi d’autres comme le fait d’avoir les yeux bleus ou aimer la plongée sous marine. Plus un GAY devient GAY, et moins il aura besoin de se rendre prisonnier de ce lobby gay ou ghetto gay, de cette division en « peuple élu » et ceux qui ne le sont pas. IL FAUT CESSER DE VOIR LE MONDE EN FONCTION DE LA SEXUALITÉ, donc terminer avec ces horribles mots/maux « homosexuels », et « hétérosexuels ».
Une vraie civilisation ne divise pas en deux sexualités ! Sinon c’est qu’elle n’est pas une civilisation : elle n’a pas atteint sa maturité.
Le but de la vie n’est pas de vivre MALGRÉ son homosexualité, mais d’être GAY ou vivre cet état, comme réaliser le Soi-Instant : Je suis ce JE SUIS.
Le mot sexe est à bannir parce que l’affectif ne se résume pas au contact physique ! Sinon le couple ne durera pas longtemps, surtout si le type cherche des rapports physique variés ! On observe ça dans les bars ou lieux de rencontre où seul compte le contact physique (pour obtenir un « plan cul ») : l’affectif est ignoré, seule compte l’éphémère de quelques minutes pour « s’envoyer en l’air ». Et là nous sommes à des Galaxies de l’Amour céleste ou platonique ! (Amour tout court).

La division du médecin hongrois s’inscrit parfaitement dans la société de consommation commencée tout au long de l’industrialisation au 19è siècle. Ainsi peu à peu la sexualité a coïncidé par l’essor de cette société de consommation qui préconise le tout tout de suite, avec le soi-disant « plaisir » en un choix infini d’objets, y compris les humains à consommer immédiatement, d’où les fameux « plans culs ». Cette société de consommation qui exalte comme une religion la « nouveau », le neuf, le jeunisme, et quand les objets ou les personnes ou relations sont « périmées », on jette et on remplace. Ainsi les êtres humains sont devenus des objets de consommation sexuelle, et ils se sont ajoutés au multipartenariat et à l’adultère avec une flopée de sites web vendant des « rencontres extra-conjugales ». C’est « le progrès » : une sexualité dite « plus libre » et donc bien dans l’ère du « confort », qui finalement ne peut que conduire à la dégénérescence humaine. J’ajoute que le vrai état de Gay ne participe absolument pas à cette dégénérescence. Mais il y a un MAIS : il est temps de sortir de ce culte du jeunisme, des ghettos de flirte des jeunes entre les jeunes, des « hommes murs entre des hommes murs », et des « vieux entre les vieux ». L’affecte, l’Amour n’a pas d’âge, sauf si on se base comme à ce hui sur le sexe où évidemment « ça marche moins bien à 80 ans qu’à 20 ans ! ».
Ainsi je considère qu’il n’y a absolument pas de révolution sexuelle. Le seul film qui l’aborde à ma connaissance est celui du réalisateur Bruce LaBruce avec Gerontophilia (titre idiot), film vraiment révolutionnaire où l’Amour n’a pas d’âge, puisqu’un jeune homme très beau de 18 ans (Lake) tombe amoureux d’un « vieux monsieur » de 82 ans (Monsieur Peabody) ; film basé sur l’histoire réelle d’un jeune homme très beau uniquement amoureux de « vieux » de plus de 50 ans.

Il n’y a rien de plus horrible ghetto que ces divisions de jeunes entre jeunes et de vieux entre vieux, ajouté à hétéros et homos. Toutes ces division favorisent bien-sûr les Couilles en Or : marketing du corps, donc marché aux esclaves avec interdiction de vieillir. Ce sont ces ergoteurs d’Anciens Grec qui développèrent le culte du corps et de la jeunesse, qui tout de même pouvait « coucher » avec « son vieux professeur ». Cela nous a donné évidemment l’industrie du sexe qui encourage indirectement les réseaux de la pédophilie, la vraie, celle infâme et criminelle où des hommes et des femmes peuvent tuer ou faire subir les pires horreurs à des bébés et à des enfants ; avec la maladie du républicanisme de l’égalité, il n’existe plus maintenant de distinction entre « perversité » et « normalité », si tant est que même la soi-disante « perversité » n’est qu’une opinion, un jugement, donc une mode périssable comme toutes les modes. Je renvoie à la citation de Gustave Thibon en début de page : « Ne jugez pas selon les apparences, mais selon la Vérité ».
La division criminelle du médecin hongrois a faite que les « homosexuels » sont plus habitués que les « hétérosexuels » à séparer les domaines affectif et sexuel à cause de l’homophobie intériorisée et engendré par cette division. Cette division a faite que les hommes courent après le « plan cul », ensuite, éventuellement selon le feeling, l’affectif peut venir ; mais en premier ça passe à 99% par le « plan cul ». Ainsi, pour les deux divisions, le défi moderne est de passer du sexe à l’Amour, si malmené dans cette civilisation des Couilles en Or et de la consommation.

RAPPEL : comme cité ci-dessus à propos des Anciens Grecs, la relation GAY entre un « jeune » et un « vieux » était fréquente autrefois ; elle est devenu rare de nos jours mais existe tout de même (voir le film cité plus haut). Dans ces cas, le « vieux » joue le rôle de protecteur du jeune homme, éventuellement financièrement (dans ce cas il faut avoir une bonne ressource financière… ). Dans ce cas de différence d’âge très importante un désir caché de parenté : adopter le jeune homme. Mais sociologiquement et parmi toutes les cultures, les hommes de plus de 40 ans ont tendance à chercher des partenaires beaucoup plus jeunes. Évidemment ça ne pose aucun problème dans la division hétéro : un homme mûr épousant une « gamine » de 23 ans. Bien-sûr dans le monde Gay ce n’est pas aussi simple, à cause de cette société de consommation et du culte du corps et du jeunisme : les hommes de plus de 50 ans cessent d’être des objets érotiques. Pour baiser avec un jeune, il faudra le payer ! Voilà où nous en sommes rendu en « démocratie et républicanisme ». C’est-à-dire qu’il faudra acheter de l’affection et du sexe auprès de ce jeune en lui offrant une sécurité matérielle ; d’ailleurs exactement comme dans nombre de couples hétéros.

Dans le couple homme jeune et homme vieux, le plus jeune aura des besoins physiques plus fréquents ou plus variés, et il pourra se sentir le droit d’exercer librement sa sexualité hors du couple. Alors l’homme vieux sera jaloux et envieux si son partenaire devient un cavaleur ; et il existe toujours le danger que l’un des deux tombe amoureux de quelqu’un d’autre, et que le couple se sépare.
Cela écrit, ce genre de relation dure parfois très longtemps, car la relation sexuelle devient de moins en moins primordiale, d’autres dimensions s’installent : amitié, solidarité, vie sociale et conjugale fonctionnant pour eux deux. Évidemment ce genre de relation devient hélas de plus en plus rare à ce hui.

[En référence à : Comprendre l’homosexualité, par Marina Castaneda, psychothérapeute d’origine mexicaine, spécialisée dans la thérapie familiale et l’hypnose ericksonienne. Elle a été formée à Harvard et à Stanford en USionistan et aussi en France à l’École normale supérieure].