Escroquerie et division PAR LE VOTE
 

Ecrit par Sechy, le 27-02-2015 21:51

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Cinéma, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Escroquerie et division PAR LE VOTE
et autres catastrophes d’institutions républicaines


« Nos dirigeants », c’est ceux là qu’il faut jeter aux oubliettes.

« Le monde moderne croit avoir fait une grande découverte avec le bulletin de vote. Il n’y a trouvé qu’un moyen de perpétuer les vicissitudes de l’histoire des relations humaines » (Hyacinthe Dubreuil, J’ai fini ma journée)
 
 
La république de réunira JAMAIS les peuples. Elle est stérile. Elle n’aura jamais d’enfants.
La république n’aura jamais d’enfant parce qu’ELLE REFUSE LE RÉEL, ELLE REFUSE DONC LE GRATUIT pour vendre le confort ou sécuritaire dès lors qu’elle perçoit le réel ou vérité comme cruelle. On ne peut pas toujours nier le réel, décider que dès qu’on le perçoit il est faux, il n’existe pas : voie de la folie et des névroses graves dont nombre de cancéreux du pouvoir sont atteints. Mais comme la folie, le cancer du pouvoir n’est pas donné, pas gratuité à tous : « N’est pas fou qui veut » (devise du Dr. Henri Ey). La république et sa religion du Saint Fric veut « voir la vie en rose » (socialisme), mais depuis des millénaires il est connu que celui qui travaille à l’amélioration de la condition humaine a généralement cessé depuis longtemps de vouloir du bien à quiconque ! C’est aussi ce qu’en dit Tchouang-tseu (dans ‘Pieds palmés’) : « Comment la bonté et la justice censées unir les hommes comme la colle et la laque, la corde et le cordeau, pourraient-elles avoir quelque influence sur un monde régi par le TAO et la Vertu ? Elles ne provoquent que des égarements ».

Hyacinthe Dubreuil dans le même ouvrage écrit une chose fondamentale : « La vie politique est le lieu de rencontre d’OPINIONS et non d’OCCUPATIONS [j’ajoute que la « raison » a prit le pas sur le fait ou le spontané]. Or, les opinions ouvrent la porte à un phénomène néfaste qui se manifeste par la DIVISION. Car des opinions peuvent être confrontés et discutées sans fin [la polémique a pour principe de ne pas avoir de fin], dont les hypothèses et les propositions peuvent subir l’épreuve et le contrôle des faits et de l’expérience des procédés ».
 
La république ne fait que diviser les peuples : le vote marque la séparation des idées, et est par là-même le symbole de la division.
La division est paralysie et une grande faiblesse dans la valeur des décisions. « C’est là que se mesure toute l’imperfection des organes qui dirigent notre vie publique, où le vote est la règle », écrit parfaitement Dubreuil.
Il ajoute : « Il n’est pas besoin d’insister pour montrer combien néfaste est la division qui est ainsi entretenue par le mécontentement permanent de ceux dont l’opinion a été écartée. Nous sommes assourdis par les discussions qui démontrent le caractère désordonné [et stérile] de notre vie publique, avec son caractère chaotique et inefficace. De sorte que, par contraste, on pourrait dire que la perfection organique d’une association se manifeste quand les décisions qu’on y prend ne sont pas le résultat d’un vote.

Par exemple dans les coopératives, dont le fonctionnement éclaire le problème que je viens d’aborder. Ceci parce qu’on y examine plutôt des faits que des opinions. De sorte qu’on retrouve toujours la même base d’un fonctionnement rationnel ».

Autre remarque importante de Dubreuil : L’APPRENTISSAGE DES MÉTIERS.

Il n’y a pas de meilleur apprentissage du « vivre ensemble » que d’apprendre un métier. Pas besoin « d’instruction civique » à la mode judéo-maçonnique spéculative républicaine.
Obéir à « des lois » se fait naturellement quand on apprend un métier MANUEL, et pas un truc de travailleurs du chapeau ou de la « raison ». Commander et piloter ne peuvent porter leur fruit que sur des faits naturels.
« L’obligation constante dans laquelle l’ouvrier se trouve de s’y conformer [aux lois naturelles et non aux opinions] entraîne des conséquences psychologiques considérables, par le fait qu’elle donne à l’opérateur l’habitude de la discipline présente dans son origine un caractère particulier, car elle ne résulte pas d’une volonté extérieure er arbitraire comme peut être celle d’un homme [et son opinion]. Si l’ouvrier n’a pas obéi aux lois qui gouvernent la technique de son métier, il subira une sanction automatique, évidente et indiscutable : son travail n’étant pas réussi, il ne pourra accuser personne d’autre que lui-même. Si sa main a été mal dirigée, la faute est due, sans discussion possible, à sa déficience personnelle. Et la punition qui s’ensuit, écartant toute idée d’injustice, agit alors comme une force de redressement, en quelque sorte autonome, en présentant une haute valeur éducative.
La preuve en est facile à montrer dans l’attitude et le comportement général des gens de métier, qui sont presque toujours de bons citoyens. Ce que confirme le fait, que j’ai maintes fois signalé, que l’on trouve très peu d’entre eux parmi les délinquants qui peuplent les prisons ».

De nos jours le « social » fait des ravages, car il a pour source le socialisme des Juifs bolcheviques de 1917, copiant à la fois le 1789 de la France et le socialisme de Karl Marx pour aboutir au capitalo-socialisme. À ce hui le mot « social » lui aussi engendre des divisions : plan social = plan de licenciement. Le système du républicanisme est de moins en moins social mais relève de cette division extrême : LA STRATÉGIE DU CHOC.
Ce sont les travailleurs du chapeau suivant leur Karl Marx qui faisaient campagne pour la conquête au « suffrage universel » comprenant l’importance politique de la foule ouvrière puisque les paysans commençaient à affluer en nombre dans les villes, d’où le nom de « citoyens », d’où l’importance du vote pour le pouvoir. Ces travailleurs du chapeau appuyèrent les revendications syndicales, sans se préoccuper des idéaux formulés par les prédécesseurs. Ce sont ces travailleurs du chapeau qui ont forgé la formule qui dit que « L’émancipation des ouvriers sera l’œuvre des ouvriers eux-mêmes », et qui, grâce à ce slogan de propagande ont constitué les « Partis » qui, en fait, ne sont nullement dirigés par les ouvriers, mais par des gens parfaitement étrangers aux réalités du travail [voyez les partis français actuels], et il est facile de voir que les ouvriers et le travail ne les intéressent en aucune manière. « Les questions d’ateliers, qui tiennent une si grande place dans l’esprit ouvriers, sont complètement ignorées par eux », écrit Dubreuil.

« C’est avec ces sortes de personnages qu’a commencé le socialisme électoral, si souvent exprimé par des formules démagogiques et des violences de langage. Moyens faciles d’exciter l’enthousiasme chez les esprits simples et sans culture. Le caractère principal de cette influence néfaste consiste à promettre des avantages obtenus sans autre effort que de « bien voter », au lieu d’agir DIRECTEMENT ; sur les conditions de la vie et du travail, comme le recommandait la Charte d’Amiens en 1906 », écrit Dubreuil.
Bien-sûr que la catastrophe des institutions républicaines se résume par le mot/maux DÉMOCRATIE.

DÉMOCRATIE : à ce hui il s’agit de « démocraties représentatives » un peu partout contaminant ce monde. Cette expression distingue la démocratie représentative et la démocratie directe. Notre démocratie représentative tire ses origines dans les institutions qui se sont progressivement établies et imposées en Occident suite aux trois révolutions : les deux anglaise, l’américaine et la française. Or ces institutions n’ont été nullement perçues à leur début comme une variation du thème Démocratie ou une forme de gouvernement par le peuple.
Les « démocraties représentatives » sont celles où les peuples délèguent leur pouvoir à des représentants élus par vote.

Dans le système des « démocraties représentatives » il y a quatre principes :
- Gouvernement et gouvernants désignés par des élections à intervalles réguliers.
- Gouvernement et gouvernants conserves, dans leurs décisions, une certaine indépendance vis-à-vis des désirs des électeurs.
- Les gouvernés, ceux qui sont à la base de la pyramide, peuvent exprimer leurs opinions et volontés politiques sans que celles-ci soient soumises au contrôle des gouvernants. Mais ce n’est plus le cas de nos jours de mondialisme galopant.
- Les décisions publiques sont soumises à l’épreuve de discussions.
L’élection constitue l’institution centrale du gouvernement ou démocratie représentative. C’est notre quotidien de vie d’esclaves depuis la naissance de la première république dans l’après 1789.
Donc nous voyons tout de suite que le pouvoir du peuple ou « le peuple souverain » (comme « le client est roi » dans la religion du Saint Fric) est une pure arnaque ! Par exemple, de nos jours un Français quelconque ne peut pas intenter une action en illégalité contre une proposition de loi ou de décret à l’assemblée.

Ce qui définit les « démocraties représentatives » ce n’est pas qu’un petit nombre d’individus gouvernent à la place du peuple, mais qu’ils soient désignés par l’élection uniquement, ce qui ouvre la porte à toutes les divisions possibles.

RAPPEL : l’élection accomplit deux choses à la fois : elle « sélectionne » les titulaires des charges, et en même temps elle légitime leur pouvoir et, en principe ! crée chez ceux qui ont été choisit un sentiment d’obligation et d’engagement envers ceux qui les ont désignés. L’élection est le déclenchement du cancer du pouvoir.
Ne pas oublier que cette maladie de la démocratie et de sa république viennent de ces emmerdeurs de Grecs anciens, ceux qui coupaient des cheveux en quatre et ne juraient qu’en copiant sur la géométrie des Égyptiens. Les Grecs coupaient les cheveux en deux : l'égalité arithmétique (les parts égales : honneurs, biens, pouvoirs) ; et l’égalité géométrique ou proportionnelle. Le hasard faisait fuir les Grecs !
La géométrie c’est comme le dogme : par exemple, pourquoi des rabbins modernes professent-ils systématiquement devant des étagères remplies de livres reliés ? J’en conclu que ces personnes ne sont pas libérées et continuent de travailler du chapeau.


Les tueurs de la république française.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 27-02-2015 22:11

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