Ici en Occident nous subissons cette Terre promise qui peut parfaitement se nommer DÉMOCRATIE et qui est comparable à une dictature qui impose son opinion partout où elle passe :
nil novi sub sole (Rien de nouveau sous le soleil), ou « Ce qui est bon pour nous est bon pour vous ». On appelle cela le COLONIALISME, et les champions en la matière sont les anglo-saxons.
La même dictature s’exerce dans les religions, surtout chrétienne et islamique et républicaine : « Si tu ne te convertie pas, tu meurs, ou on te coupe la tête ». Il y a longtemps que le mot « démocratie » ne veut plus dire « liberté », si tant est qu’il le signifia un jour même dans l’antiquité, car on ne peut pas comparer la logique actuelle avec celle d’il y a plus de 2000 ans !!!
La Vraie Démocratie se comprend comme VENANT DES MAINS, donc venant des artisans ou artistes.
La Terre promise est comme la DETTE (étymologie de avoir), le CREDO : devoir quelque chose : ON PROJETTE COMME L’ATTENTE D’UN MESSIE DANS LE MESSIANISME ; croire ou CREDO c’est aussi projeter, comme la « TERRE PROMISE ». PROBABILITÉ entre dans le même domaine ; idem pour la théorie des quantas. La Dette est donc en accord parfait avec cette actuelle religion du Saint Fric et de son Vatican LA CITY DE LONDRES (le Nombril anglo-saxon). La Dette des non-juifs envers les Juifs qui monopolisent leur Shoah ! Ainsi il faut leur payer la Dette… comme nous le vivons en France depuis au moins janvier 1973 (
loi Pompidou-Giscard) ; car certains peuples (élus) genre Hébreux pensent que les non-élus ou étrangers n’ont été créés que pour être dépouillés.
Qu’est-ce que c’est une religion, sinon UNE CONVENTION : des symboles, des signes de reconnaissances comme en franc-maçonnerie ou en religion, voir les APÔTRES et les signes de reconnaissance pour tous les Chrétiens ; idem pour les Juifs et les Musulmans et autres religions. C’est là que l’on parle de CREDO (Je crois, je croix). Quand le credo ou la signification du symbole est convenu-conventionnel, alors il y a automatiquement SECRET, MYTHIQUE ou MYSTIQUE. Allégorie, symboles sont sujet à des CONVENTIONS qui en détermine le sens, et sont mythiques ou mystiques parce que le secret n’en est révélé qu’aux initiés. On reste alors dans L’OPINION, une opinion même si elle est crypté en de nombreux symboles accessibles aux seuls initiés, ce qui est une définition de l’ésotérisme, elle n’en reste pas moins une « opinion ésotérique ».
Par exemple : dans le symbole français, le LION symbolise la force ; mais dans l’art grec, le Lion n’a d’autre valeur que celle de
lis, et si une tête de Lion est isolée (
lis-ker), il voudra dire gluant, sale, dégoûtant, malpropre, ladre, pauvre diable. C’est un des épithètes de la mort ; ainsi le Lion ailé figure dans le blason de l’apôtre Saint Marc, qui en a hérité du Dieu étrusque de la mort, Marcos, représenté par un marteau (le marteau amincit). (Réf.
Grasset d’Orcet,
L’Archéologie mystérieuse : Les Cabires et la Vénus mutilée). Le Lion dans l’art grec ne représente que la faiblesse suprême, la mort, donc le contraire de la signification française. Tout est une question d’opinion, cachée ou pas !
Pas de Terre promise ou carotte, la mort n’existe pas plus que la vie.
Promettre une Terre est criminel, c’est mettre sous la DÉPENDANCE de jours meilleurs, le DORG (Demain On Rase Gratis) qui enchaînent les êtres humains.
La « démocratie » de l’étatisme actuel c’est la Terre promise du républicanisme judéo-maçonnique spéculatif modèle Grand Orient de France (les frimeurs). Une démocratie sous forme d’oligarchie, comme à l’époque des guerres puniques où le despotisme régnait. Le sénat était supplanté par une assemblée de 104 membres choisis parmi les plus riches. On retrouvera cette oligarchie à Venise.
Du temps des Anciens Grec comme de nos jours, la démocratie c’est la manipulation de tous : le règne des « beaux parleurs » (bourgeois et autres philosophistes et travailleurs du chapeau comme cette judéo-maçonnerie spéculative qui polissent tous à l’excès de leur dialectique).
La Terre promise c’est encore les
tabula rasa de 1789 et 1917 qui procédèrent comme les Hébreux et plus tard les Chrétiens pour détruire les Païens (pourtant les églises des Chrétiens sont construites sur d’anciens lieux de culte païen !). Sous
Théodose le Grand, sa fille
Galla Placidia contribua à la destruction des cultes païens antiques : temples rasés et transformés en cimetières, comme de nos jours la destruction de la cité de Nimrud par des malades mentaux d’un soi-disant «
étatisme islamique » qui se fait littéralement enculer par son Dieu (ces malades le voit comme extérieur, alors ils veulent se l’enfoncer).
L’ordonnance barbare de Galla Placidia fut plus grave que celle de cet « état islamique », car elle fut exécutée dans tout l’empire avec une rigueur implacable, et tout le mobilier des temples païens qui n’avait pas de valeur fut transportés aux lieux de supplices ; de ce nombre étaient les ex-voto, les statues brisées et les cendres des sépultures païennes violées pour faire place à des Chrétiens.
Hier : les Chrétiens ; aujourd’hui : l’État islamique. Nous sommes toujours dans l’opinion « Terre promise » où l'on rasera gratis.
Mais bien plus, LA TERRE PROMISE C’EST LA PAIX que tous les cancéreux du pouvoir promettent aux peuples, depuis les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture. Pour ces cancéreux,
la PAIX = COMMERCE. Du temps des Anciens Grecs leur langue servait internationalement pour le commerce, de nos jours c’est la langue anglaise !
Notons que le mot PAIX est proche de Païen et Pays, Pais (enfant, en celto-grec).
Bien-sûr la Terre promise c’est avant tout la carotte en forme d’évolutionnisme (prison de l’histoire ou chronologie tueuse) : la quête du spirituel, qui s’apparente à la Terre noire (Kemit : la terre noire ou réunion des deux contrées d’Égypte. AL-KHIMIA (chimie). Khimia en Arabe, du Grec
Khémia : magie noire, de la racine égyptienne
Kêm (noir).
La Terre promise c’est encore « la Jérusalem céleste », sorte de Paradis, de Terre Sainte ou Île des Bienheureux en Chine. Dans son vrai sens la Terre promise est le mythe de l’éternel retour étudié par Mircea Eliade.
L’opinion de Terre promise étant attaché à l’évolutionnisme, elle dépend de l’HISTOIRE et par là-même du MENTAL. Par contre, le Païen ou « homme archaïque » n’en avait rien à foutre de l’histoire PUISQU’IL VIVAIT L’INSTANT, ce qui lui permettait d’être beaucoup plus libre et de créer ; d’où d’ailleurs probablement la jalousie des Hébreux puis des Chrétiens qui voulaient tout standardiser, tout normaliser comme de nos jours avec le Nouvel Ordre Mondial.
Les Païens étaient libre, libre d’annuler leur propre histoire par abolition périodique du « temps qui coule » et par la régénération collective (pas de Chute). Chaque année recommençait dans la pureté absolue : chaque nouveau printemps retrouvait ses puissances intactes ; chaque nouveau printemps était l’éternel printemps, celui qui est ici et maintenant ; plus de temps profane ou de « temps qui coule ».
La Nature se retrouve elle-même, ici et maintenant, éternellement, tandis que le Païen retrouve la possibilité de transcender définitivement le temps, en réalisant naturellement le Soi et en vivant dans l’éternité. Dans la mesure ou il chute, alors il tombe dans l’histoire ou chronologie tueuse ; du moins conserve-t-il la liberté d’annuler ses fautes, d’effacer sa chute dans l’histoire, et de tenter à nouveau une sortie définitive hors du temps qui coule.
Ainsi le Païen ou Homme archaïque est certainement plus créateur que l’humain moderne qui ne se définit créateur que de l’histoire ou chronologie tueuse (surtout matérialisme).
La Terre promise des religions dont le judaïsme et le christianisme et l’islamisme sont des religions masochistes : de l’Homme déchu (il a chuté) : et cela dans la mesure ou l’être humain actuel est irrémédiablement noyé dans l’histoire et le progrès ou évolutionnisme, et où l’histoire et le progrès sont LA CHUTE impliquant l’un et l’autre l’abandon MOMENTANÉ du Paradis des archétypes et de la répétition (cycles).
Aujourd’hui le maître-mot de l’histoire dans la bouche des cancéreux du pouvoir c’est : LA CROISSANCE. Ainsi
HISTOIRE = FRIC.
Cette République « universelle » voulue par l’actuelle judéo-maçonnerie spéculative est sur la même géométrie de la ligne droite ou évolutionnisme : elle incarnerait un fait unique, surtout après la révolution de 1789, comme le Jésus de Nazareth qui est mort sur la Croix, UNE FOIS POUR TOUTES ET POUR NOS PÉCHÉS ; comme 1789, 1917 en Russie, ce n’est pas un événement historique réintégrable, qui puisse se reproduire à plusieurs reprises : on a donné une fois. Le déroulement de l’histoire est ainsi commandé et devient un fait unique, comme les Juifs sionistes voudraient faire de même avec leur copyright de leur Shoah en forme de messianisme (depuis la Chute la norme semble la souffrance généralisée, qui existe aussi en Inde et au Tibet avec le concept du KARMA ou dualité cause-effet, sujet-objet). Ainsi, par la suite le destin de l’humanité toute entière, de même que le destin particulier se jouent, eux aussi, en une seule fois, et une fois pour toutes, dans un temps qui coule, temps en ligne droite nommé « histoire de la vie » (réf. d’après Mircea Eliade).
Enfin, la Terre promise est aussi le but ou PRÉSUMÉ (comme la théorie). On projette encore en s’éloignant de l’Instant ou Soi. On retrouve le présumé dans la base du catholicisme : Mithra (le but présumé), soit : la mort (pour gagner le Paradis... d’Allah).
