Pris au nier du système
 

Ecrit par Sechy, le 25-03-2015 20:45

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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Pris au nier du système
Prisonnier du système
ou
Pris au nier de nier qu’il existe
la Vraie Vie EN DEHORS du système ou État.
La Vraie Vie ne peut être qu’en dehors
EN DEHORS DE LA NORME de ce système d’opinion
QUI IMPOSE À L’ENSEMBLE.
Pris au Nier ou Nier l’Instant,
car le propre du mental est de vagabonder
en des opinions ou polémiques sans fin.

Prisonnier des : syllabes.
Pris au nier des formes prisons ou illusions.
Pris au nier du mental donc du langage.
 
 

anipucsac1.gifVoir aussi la page : La Forêt contre la Ville

Le premier système est L’ÉCOLE, ce que les compas-équerres du républicanisme de 1789 avaient parfaitement compris, et avant eux l’Église de Rome. L’école qui façonne les âmes mais NE LES COMPREND JAMAIS, le travail n’est jamais fait de l’intérieur et ne concerne que le « social » pour fournir des prolétaires ou outils utiles à l’étatisme.
 
SYSTÈME (politique) : opinions d’un seul, voir de quelques uns, qui imposent à l’ensemble, et société de bourgeois : ceux qui habitent les bourgs, les villes, donc les CITOYENS ou habitants des cités. Ce système depuis 1789 est construit comme cela, et exit l’Église puisque pour ce système n’existe que la laïcité. Le système est donc la division entre « peuple élu » (les bourgeois ou citoyens) et les non élus ou paysans, les Pagans-Païens, les ruraux et les ouvriers en général, ceux qui habitent la campagne. Cette division uniquement économique engendre ce que certains appellent « lutte des classes » (à ne pas confondre avec la caste, qui est de l’Esprit). « Lutte des classes » ou « autre classification selon les critères d'une pseudo-spiritualité qui engendre des pseudo-castes : celles des paysans, des ouvriers, des fonctionnaires, des politiques. Castes ouvertes, en principe, n'étant pas légitimées par la naissance, mais d'autant plus réelles qu'elles se définissent par un certain degré d'accès aux mystères dogmatiques d'une pseudo-spiritualité », écrit Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux.
Le mot politique est un fourre-tout pouvant s’utiliser en tyrannie quand le pouvoir recourt à la force pour administrer la cité, et s’utiliser en démocratie quand on demande son bon vouloir aux peuples comment administrer la cité. Dans les deux cas nous sommes toujours dans la chefferie ou étatisme en forme pyramidale : une élite au sommet de celle-ci. Ainsi la démocratie, soi-disant « le plus beau des régimes politiques » est le meilleur attrape-couillons de tous les temps. Le plus grave, c’est qu’en dehors de ce mot et de sa tradition gréco-romaine, NOUS N’AVONS RIEN, PAS DE MODÈLE POLITIQUE EXTÉRIEUR, alors c’est à chacun de de prendre conscience comment vivre les uns avec les autres, et ne jamais écouter les manipulations des politiciens de métiers (les fameux spécialistes et autres sociologues).

L’opinion est langage, et donc prison, car les mots/maux enferment : Pris au Nier. Prisonnier des syllabes et des mots et des formes-prisons. Pris au nier, dans le sens de 1450 : nier Dieu, ou la Lumière. Ainsi il n’y a de véritable, de Lumière que du Tout, et le Tout on ne le possède pas, on est dedans. C’est comme parler de la Nature comme si elle était séparé des humains, du genre : tu aimes la Nature. Non, nous sommes la Nature et par la force des choses on ne peut que l’aimer ! sinon, on ne s’aime pas, et alors tous les dangers peuvent survenir. Dans le Tout il y a fusion du sujet et de l’objet dans la pure contemplation par-delà les mots/maux en échappant ainsi aux coagulations ou manque de fluidité ou manque de transparence du sensible mental et du sensible physique que sont les opinions.
Toute opinion est close sur elle-même, imperméable à ce qui n’est pas elle : pris au nier, donc la prison pour l’esprit. Hélas chacun aime sa prison, sa petite vérité personnelle, bien à soi, comme sa petite automobile. C’est une prison-sécurité quand on a peur des grands espaces, peur du vide surtout. Il ne peut y avoir qu’une Vérité, qui n’a rien à voir avec l’addition de multiples et infinies vérités partielles.

Le système, après l’école, c’est le capitalo-socialisme, soit le pur fascisme : mélange du pouvoir économique et du pouvoir politique, comme tout ce que fait sur cette planète le système qui se nomme « démocratie ». Le fascisme est donc l’esclavage consenti grâce à la carotte nommée « modernité » et autres technologies. En capitalo-socialisme le  « capital-travail » est devenu LAÏCITÉ, soit l’unité du pays qui se dit « démocratie », ou république et ses 'valeurs'. Un esclavage seulement au service de l’oligarchie.
La terrible division évoquée plus haut, entre « élus » (bourgeois), et paysans-ouvriers arrive avec la technologie, quand les paysans composant 90% des peuples français dérivent vers les bourgs pour devenir bourgeois et s’enrichir plus confortablement que de « travailler la terre à la sueur de son front », la destruction des Pagans était une fois de plus en marche.
La ville serait la « modernité » (les lumières) et la campagne serait « les primitifs ». Voilà où nous en sommes rendu au maximum depuis au moins 200 ans.

La destruction des Pagans ou paysannerie moderne ne commence pas à la révolution de 1789, mais suite à la première guerre mondiale de 1914-18.

« S’il n’y avait certainement pas du bien-être pour tout le monde, il y avait néanmoins une certaine gaité de vivre, sur laquelle la guerre de 1914 s’est abattue pour la détruire, en même temps qu’une quantité de caractéristiques du passé qui avaient subsisté jusque-là. Je ne sais pas si je réussirai dans cette entreprise, mais je voudrais montrer que l’année 1914 a marqué la destruction brusque de vestiges de survivances d’un lointain passé pour entrer, après tant de ruines matérielles et morales [comme en 1789], dans une difficile période de reconstruction, qui ne pourra certainement être achevée qu’après de nombreuses générations. Car si les ruines matérielles peuvent être réparées dans un temps relativement court, celles qui sont d’ordre intellectuel et moral seront beaucoup plus longues à reconstituer.
Il n’est pas meilleur moyen de faire comprendre le caractère de la véritable révolution qui a commencé du fait de ces destructions que de rappeler que la France a perdu, pendant des quatre années de guerre, un million et demi de morts... et de constater que, du fait des conditions de recrutement militaire, qui écartent les déficients, ces morts constituaient la plus grande partie de ce qu’on peut appeler la richesse humaine d’une nation. Avec eux ont été ensevelies des qualités séculaires, des traditions précieuses et ce qu’on peut définir comme une grande partie du génie de notre nation. Sur le simple plan de travail, qui au fond intéresse tout le monde, car tout le monde a besoin d’objet bien faits, et répondant exactement à ce qu’on leur demande, n’entendons pas constamment des plaintes sur la disparition de la « conscience professionnelle » ? Or cette valeur sociale précieuse existait au plus haut degré avant la grande catastrophe [guerre de 1914], sans que d’ailleurs on y prêtes attention, tant cela paraissait naturel. Comme la personne en bonne santé qui ne pense pas qu’elle pourrait être malade...

Ces valeurs humaines étaient comme l’héritage des siècles. Les ruines matérielles, les cinq cent mille maisons détruites, n’étaient rien en comparaison de ce capitale irremplaçable, ou tout au moins irremplaçable pour longtemps, car il faudra des générations pour en retrouver l’équivalence.... Le véritable changement résulte de ces pertes humaines, qui ont entraîné une transformation considérable dans l’esprit de la population. L’ancienne gaieté a disparu, pour faire place à un mécontentement permanent [cette maladie de l’égalité franc-maçonnique], même si, en fait, la situation des gens ne le justifie pas absolument. Il en est qui n’ont réellement pas à se plaindre des conditions de leur existence, mais sont quand même mécontents et grincheux ». (Hyacinthe Dubreuil : J'ai fini ma journée).

En fait la destruction de la paysannerie commence avec Louis 9, l’étatisme renforcé, et le départ en flèche du commerce : les bourgeois ou habitants des villes commencent à prendre le pas sur les Pagans ou habitants des campagnes. Tout le système d’échange des biens nécessaire à la vie commençait à être modifié et tendait à se mettre au diapason des villes. Ainsi l’économie paysanne se détruisait à petit feu, et en même temps que les traditions, et l’exode rural commençait pour monter en apothéose au 19è siècle jusqu’à la guerre de 1914-18. Le Système ou pouvoir central devenait gigantesque pour se transformer en premier Empire, puis en second, et enfin en troisième république à la durée si longue.

Au 19è siècle avec l’avénement des banques une grand quantité de paysans partent chercher du travail dans les villes, tenues par les bourgeois et les banquiers ; ces paysans qui aspirent, au nom de la fameuse « égalité » à devenir eux aussi des bourgeois.
Les villes ce sont le départ de la mécanisation de l’être humain. Avant 1789 et 1914-18 les gens étaient beaucoup plus libres. Il y avait une sociabilité intense puisqu’il fallait s’intégrer : la singularité était proprement interdite. Il n’y avait pas d’éducation de masse, la police était une caricature de castelet de Guignol, pas de surveillance extérieure et pas de « carte d’identité », et même pas d’inscription des enfants sur un registre des naissances (du moins au Moyen-Âge), donc pas de « gestion de masse » comme maintenant. La vie se déroulait dans l’immédiateté puisque elle était courte ; une vue de SPONTANÉITÉ, qui avait une culture exclusivement orale (très important), qui vivait en accord avec le Cosmos.
L’être humain du passé était profondément plus libre, quoi que puisse dire toute la propagande républicaine de 89 à nos jours. Il n’avait que faire de « l’histoire » à la yahviste (évolutionnisme), pour l’humain ancien l’histoire était LA SIENNE, le ici et maintenant. il n’existe pas de « modernité », car il y a 500 ans un humain pouvait trouver « moderne » une nouvelle façon de faire la cuisine, ou de plâtrer un mur, ou d’une foule d’autres choses inhabituelles.

La pénétration de l’étatisme dans toutes les sphères de la vie a entraîné un « évolutionnisme galopant ». Les Paysans ont été progressivement, comme les Koulaks en URSS, dépossédés des lieux sur lesquels ils vivaient avec leur famille. Les Paysans furent littéralement violentés et ont dû se plier à la hiérarchie en pyramide, et renoncer aux pratiques de prise de décisions collectives qu’avait instauré le droit coutumier (1er moitié du 12è siècle, essor de la science juridique inspiré du droit romain et strictement hiérarchisé ; on a avec ce droit le droit romain, le droit canonique. Le droit coutumier est autonome et transcende la distinction entre règles écrites et orales).
Le droit coutumier est donc issu du monde gréco-romain : le sens de la normalisation, comme de la géométrie vient de là, et même des Anciens Égyptiens que copièrent les Anciens Grecs. Ce monde gréco-romain normalisait déjà tout, divisait et groupait dans des catégories : ainsi naissait les « divisions du travail » genre : les esclaves d’une côté, l’aristocratie de l’autre ou l’élite.
Les Anciens Grecs et leur géométrie et leur Apollon, le lumineux, le géomètre, l’ordonné, l’intellectuel, invente l’individuation, soit l’ego, la division. Apollon apporte le mental, l’histoire ou évolution, et par là même oblige à la rédemption ou retrouver l’Origine !!! Avec Apollon nous sommes passé aux religions du salut : judaïsme, chrétienté, islamisme. Rien d’étonnant à ce que le fils de Zeus, père d’Esculape, fut lui-même sacré Dieu de la médecine et interprète des songes, et plus tard vers l’ouverture nommée ‘psychanalyse’.
Avec les Anciens Grecs on ne voyait plus l’ensemble, donc la spontanéité disparaissait, on ne voyait que « par petits bouts » et analyses, phénomène typique de l’Occident en général. Ce n’était plus la spontanéité ou l’Instant qui mobilisait l’action mais le mental ou la norme destinée à trouver les bonnes procédures ! Plus tard cela débouchera sur le transhumanisme.

Ce sont ces normes que les humanistes de la Renaissance puis leurs poursuivants du siècle dit « des lumières » qui s’imagineront que cela allait apporter une émancipation par « une absence d’autonomie » ! C’est-à-dire une volonté ou un mental puisant À L’EXTÉRIEUR les règles du sociale, comme en en faisant une chose ARTIFICIELLE. Le mental ou « raison » triomphait. Le siècle des « lumières » est ainsi LA BASE des bourgeois et des cités modernes ; c’est d’ailleurs pour cela que j’appelle les philosophistes de ce temps « Perruques poudrées », parce que ce ne sont pas des Paysans mais des bourgeois !

Ainsi l’humanisme est une monstruosité issue du monde gréco-romain qui rend l’être humain étranger à lui-même : une individuation à l'envers ; le SOCIAL, LE SOLIDAIRE EST DEVENU CRIMINEL. Ce « solidaire » en forme de laïcité qui est censé remplacer la spiritualité mais qui ne fait que diviser. Tous les ismes sont des systèmes qui brisent l’être humain. Un exemple d’humanisme est l’existentialisme à la Jean-Paul Sartre. L’humanisme est criminel car il tourne les humains VERS L’EXTÉRIEUR au lieu de les tourner vers l’intérieur, vers eux-mêmes ; il instaure uniquement le mental, soit L’ÉVOLUTIONNISME, ils supprime la spontanéité, l’Instant, l’immédiat, il empêche le Soi, le ici et maintenant.
L’évolutionnisme contient la variation nommée POLITIQUE, soit ce qui est extérieur, qui est loin : le relationnel comme l’actuel gouvernement représentatif, qui n’est pas dans l’Instant puisqu’il ne fait que représenter !

MODERNITÉ : c’est la colonisation de l’imaginaire, le déracinement. Dans modernité il y a maux et mot et mode ; cette mode qui cavale après l’Instant mais ne le rattrapant jamais elle en devient démodée.

Dans cette modernité l’humain est condamné à travailler plus qu’autrefois, un comble dans cette époque de technologie et de robotisation ! C’est-à-dire qu’il est écartelé entre le travail et la production dont il n’a plus la maîtrise, alors il en devient un « petit bourgeois » (société de consommation). Ce « petit bourgeois » qui sera « autonome » : capable de produire SES OPINIONS et de refaire le monde selon son opinion gérée selon ses accidents et joies de sa vie. Et comme il ne peut pas réaliser son rêve d’être calife à la place du calife, il se tient à des rôles intermédiaires.
La bourgeoisie actuelle est le chaos humains : impossible désormais de distinguer « les classes », même si on continue à entendre l’expression « classe moyenne », soit la masse embourgeoisée, ce qui n’est pas le bourgeois. Avec la société de consommation le petit bourgeois, l’ouvrier peut posséder sa maison, sa voiture, sa télé, son ordinateur et toute la quincaillerie de l’American way of life.
Tout cela relève d’une utopie capitalo-socialiste ou FASCISTE. Et dans cet évolutionnisme, pas de voyage dans le temps possible, on ne peut qu’être prisonnier de cet évolutionnisme diabolique ou croissance : les Paysans embourgeoisés avec leurs machines agricoles bourrées de technologie sont bien des bourgeois, ou ils se comportent désormais comme les habitants des cités. Ces paysans sont issus de la classe moyenne, ils se sont coupé de leurs ancêtres d’avant 1914-18 ; ils ignorent tout des anciennes traditions ; ils sont urbanisé, scolarisé, dénué de sens pratique à cause des machines.
Bien plus, les phénomènes antisexiste, antiraciste, antiphobies, et autres systèmes droits de l’hommistes sont le phénomène de l’embourgeoisement généralisé de l’Occident, ne serait-ce qu’avec l’appellation de « citoyen » (ceux qui habitent les cités). Tout cela est dans le courant de l’évolutionnisme se dirigeant droit vers le machin des Yahvistes : « Le royaume de Dieu (juif) sur Terre » ou les lendemains qui chantent ; avec des hommes réformés pour coller aux féministes ; des consommateurs robotisés, pardon éduqués ; des « citoyens responsables » ; les adeptes de la vie éternelle, sur terre, comme les transhumanistes ; tout ce monde nous vendant « la paix », soit en théorie l’éradication de toute guerre sur la planète, c’est-à-dire la suppression de la vie !!!

Aussi le militantisme petit bourgeois défend l’humanisme, dans le sens où il vend une certaine opinion de l’humain dont il exige la réforme, soit la robotisation grâce à l’opinion ou pensée unique. Dans l’humanisme l’être humain doit correspondre à une opinion, surtout celle des « droits de l’homme » à la Yahvistes des Moïse. Pour ces gens la société idéale fonctionne en petits bouts de machins, et selon des opinions nommés « principes » pour nous vendre soi-disant « une vie meilleure », alors que la Vraie Vie est intérieure et non extérieure.
Chez le militant petit bourgeois, le « meilleur des mondes », à l’image du féminisme, sera un monde reposant sur l’opinion « femme émancipée ». L’opinion ne reposant que sur des observations sur lui-même ou dans le monde des accidents. Bref, ne reposant sur rien ! Que des illusions. Le militantisme petit bourgeois n’est fondé que sur l’opinion, sur l’extérieur et l'illusion. Ainsi les féministes collaboreront avec le système pour « l’égalité homme-femme », de même que le lobby LGBT, de même les écologistes et leur « environnement ». Tout cela ne sera que tyrannie de l'opinion.
Cette tyrannie de l’opinion devenue reine, telle un dictateur qui prétend dire qui a tort et qui a raison ! Nous sommes les deux pieds dans le philosophisme que combattait de toutes ses forces Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux. Un philosophisme dangereux qui ne fait que véhiculer des opinions contraignant les peuples.

À la vue de tout cela, et du livre de Coulonval, on peut dire que ADOLPHE HITLER A GAGNÉ LA GUERRE, comme d’ailleurs l’écrit Philip K. Dick dans son roman : Le maître du haut château. Si le mot « social » a tant d’importance de nos jours, c’est parce que c’est lui qui a fabriqué ce petit bourgeois, produit de ce système qui veut tout contrôler, tout administrer et ne jamais laisser la moindre spontanéité (Big brother veille, et la soi-disant « liberté d’expression » est une manipulation de plus de cet étatisme galopant vers le totalitarisme mondial). Sortir du système deviendra de plus en plus difficile, parce qu’il n’y a plus rien en dehors, ni rien pour guider, d’où mon expression de pris-au-nier. Mais le seul guide est bien désormais, et pour l’éternité : LA RÉALISATION DU SOI-INSTANT, le « Connais-toi toi-même » qui échappe à tout étatisme, dr’où là encore la mode de l’emploi du mot « terrorisme ».

EN RÉSUMÉ : le totalitarisme actuel prenant tellement forme - surtout sous la poussée de l’opinion judéo-chrétienne et judéo-maçonnique avec leur « Dieu unique », leur étatisme UN en forme de laïcité et leur rejet du paganisme et de l’idolâtrie ou plusieurs Dieux - que le seul échappatoire reste le mariage entre UN DIEU et LES DIEUX, ou mariage des monothéistes et des polythéistes. Seul le MULTIPLE en forme de mini Un sera salutaire et ouverture vers la Vraie Paix. La Vraie Paix est vivre l’Un à travers les MULTIPLES. C’est pour ça que la véritable initiation de Groupe n’est possible, et ne peut se faire de façon qualitatif ou supérieure que lorsque le Groupe est devenu par le travail de chacun le « Je suis ce JE SUIS » ou réalisation du Soi-Instant, c’est-à-dire que le Groupe n’est plus comme maintenant un ensemble de multiples séparatifs puisque constitués d’ego qui vont cahin-caha avec leur dualité sujet-objet et au grès des modes du système. En un sens il s’agit de retrouver le Saint Chaos.

Je rappel que l’obsession de l’Un est une particularité de l’Occident. En Inde si l’Un existe aussi il y a plein de multiples Dieux. Idem dans l’Égypte des Pharaons et de bien d’autres Anciennes Civilisations.
Se rappeler aussi que l’infecte « Plus jamais ça » ne fera que nous ressortir prochainement des Auschwitz à la puissance dix, surtout si comme maintenant le système n’arrête pas de pondre des commémorations et des musées et autres « devoirs de mémoires » tous plus ridicules et outranciers les uns que les autres, et qui ne font que jeter de l’huile sur le feu qui couve. Là encore on voit l’extérieur au lieu de voir l’intérieur.
 
 

Dernière mise à jour : 25-03-2015 21:39

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