L’étatisme fabrique de haine
 

Ecrit par Sechy, le 18-04-2015 20:07

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lumière, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occulte, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Tradition, Transformation, Vide, Volonté, Walt Disney, Yankee, Yokaï

 
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L’étatisme fabrique de haine
et de Big Brother
Le républicanisme ou étatisme divise
L’État c’est l’enfer
aide à la privation de Lumière
 
 
Le « Royaume » des républicanistes-talmudistes-maçonniques dans leur œuvre de l’évolutionnisme conduisant à la mort. Une seule libération possible pour leur échapper : CONNAIS-TOI TOI-MÊME.

Le contraire du mot HAINE est AMOUR, donc aucun étatisme au monde ne peut imposer à coups de lois l’Amour ! Un synonyme de Haine est GUERRE, donc lorsque il n’y aura plus de guerres dans ce monde, alors seulement régnera naturellement et sans loi l’Amour. Ce n’est donc pas un travail de l’étatisme mais un travail à effectuer par chacun de nous ; l’Amour étant une affaire si primordiale pour qu’on commette à autrui, à l’État, le soin d’en débattre ou d’en chier des lois. L’étatisme ne fait que diviser et fomenter les guerres et les haines.

La Haine ou PRENDRE EN GRIPPE, ce que Big Pharma tente de nous fourguer en vaccins à chaque saison pour remplir ses comptes en banques.
 
L’étatisme du républicanisme s’occupe de tout, même de ce que vous avez dans les boyaux : il vérifiera bientôt si nous avons été au minimum une fois par jour à la selle ; il vérifiera par la même ce que nous avons dans la cervelle puisque des cellules du cerveau se trouvent dans les intestins. L’étatisme républicain veille à son dogme ! C’est ça la Loi sur le « Renseignement » dans cette civilisation où tout est « information » ou informe-ation (plus aucune forme où tout est artificiel) ! La racaille politicarde est de plus en plus atteinte de diarrhée législative, alors qu’ils se goinfres en emplissant leurs comptes en banques. Mais depuis l’invention des lois, tout le monde sait qu’elles sont faites pour être violées, au mieux : contournées !
RAPPEL : les « lois » ne sont que les opinions de quelques uns qui imposent contre nature à l’ensemble. C’est le résumé même de la définition qu’en donne Tchouang-tseu dans Pieds Palmés : « Qui se sert du crochet, du cordeau, du compas et de l’équerre pour rectifier, offense la Nature ; qui se sert de la corde, de la ficelle, de la colle et de la laque pour consolider les choses va à l’encontre de leurs qualités propres. Qui plie les hommes par le rite et les rompt par la musique, qui les protège par la bonté et les relie par la justice, celui-là corrompt leur nature originelle ».


L’État c’est l’enfer, la privation de lumière.


En expiation d’un forfait commis par son père président de la république, une jeune femme a été privée de fécondité : elle ne sera jamais mère naturelle, et en plus elle est privée de son ombre. Une ruse en cette période de « libéralisme » consiste en la GPA : acheter une « mère porteuse », mais ça entraîne aussi la suppression de l’ombre chez la mère porteuse et du coup la prive aussi de fécondité. Émue par les conséquences, la fille du président y renonce donc. Alors se produit un miracle : la compassion de la jeune fille est récompensée : elle retrouve et son ombre et sa fécondité. Cet exemple fait référence à « La Femme sans ombre », opéra de Richard Strauss, dans lequel la jeune fille est délivrée du double ou illusion (écho-ego). Elle devient donc elle-même : « Je suis ce JE SUIS », elle devient UNE PERSONNE. La femme sans ombre est la femme actuelle, avec double, illusoire, car être sans ombre signifie qu’on est dans l’illusion ou « l’ombre de soi-même », qui ne vaut que la seule Réalité possible que l’on double sans pouvoir coïncider avec l’Instant ou Soi, sans pouvoir concrétiser la non-dualité. Comme la fille du président éprouve de la compassion, elle est miraculée, l’ACCORD se produit, elle réalise le « Je suis ce JE SUIS ».
Le passage de la femme sans ombre à la femme réalisée ou sans double, sans dualité sujet-objet, est le retour vers l’ici et maintenant, qui marque la Vraie Vie et la non-dualité.

Tout ce qui est « lois humaines » ne fera que provoquer horreurs, injustices, guerres et haines violences.

Les jeunes disent justement « J’ai la Haine », comme si s’était comme attraper la grippe. Ils sont dans la vérité, car LA HAINE EST NATURELLE, comme de boire, manger et chier. La haine fait partie de la trinité naturelle du monde des accidents : ignorance, désir et haine. Comme cette civilisation est basée sur la religion du Saint Fric et sa consommation, donc sur le désir, il faut en premier restreindre le désir !!! Soit connaître l’être humain, ce qu’aucun étatisme au monde n’est capable ! Ainsi tout étatisme est dictatorial et synonyme de prison par principe. Et le contraire de désir c’est la douleur, donc on ne sort pas indemne de cette dualité.

Aucun étatisme sur cette planète ne peut combattre l’ignorance, donc la haine, parce qu’il n’existe pas d’ignorance (aucun but à atteindre), chacun de nous étant le Soi-Instant, chacun de nous est la Connaissance. L’ignorance est simplement un OUBLI, comme le collier au cou du femme, supposé perdu, mais resté autour du cou de cette femme (exemple de R. Maharshi, entretien 199).
L’ignorance, est l’illusion, le ‘je’ (la maya). « Comprendre que l’ignorance n’a jamais eu d’existence est le but de tous les enseignements spirituels. L’ignorance ne peut être perçue que par quelqu’un qui en est conscient » explique R. Maharshi. La Conscience est Connaissance ou Sagesse, et cela aucun étatisme ne peut l’enseigner : Le maître n’est pas à l’extérieur. « Si le maître était vraiment un étranger dont on attend la venue, il serait voué à disparaître. Donc aucun intérêt d’un tel être transitoire, comme l’explique R. Maharshi à l’entretien 363.

Cette civilisation étant basée sur la consommation, donc la possession, donc le PROGRÈS ou ÉVOLUTIONNISME, soit toujours posséder PLUS (le toujours nouveau) ; alors que estomper l’ignorance ce n’est pas posséder des connaissances (l’analyse est duelle). On ne peut pas obtenir de « progrès » dans la recherche du Soi puisqu’il est toujours là ! Il n’y a rien de nouveau « à gagner », pas de carotte, aucun but à atteindre, pas de « Royaume de Dieu (juif) sur Terre » ou de « fin des temps » (pur dogme évolutionniste et droit de l’hommiste).
L’étatisme étant incapable de combattre l’ignorance, il la fabriquerait plutôt. Car l’ignorance n’appartient à la personne, le JE SUIS. Et  de quoi est-on ignorant ? Il y a dualité sujet-objet, le principe du mental, qui contient aussi le Soi (problème du contenant et du contenu ou Vase et contenu).

L’étatisme et sa fabrique de haine ne date pas de nos jours, mais son apogée se trouve à la Renaissance, et un peu avant quand les faiseurs en dogmes de l’Église de Rome réunis au 12è siècle dans l’Abbaye de Saint-Victoire à Paris ont reconnu l’importance de la signification littérale des Écritures, et ont développé une approche systématique de l’interprétation « substituant la recherche à la révélation » (déjà le triomphe de la raison sur l’irrationnel, donc renfort de la dualité). Comme disaient certains à l’époque : LA LETTRE TUE. C’est hautement plus valable aujourd’hui dans cette tyrannie de l’opinion !!!
Mais déjà en son temps, un philosophiste comme Francis Bacon qui se targuait de développer « la science » déclarait cette forme d’opinion : « Dieu interdit que nous prenions un rêve de l’imagination pour une réalité de la nature » (réf. D.R. Olson, L’univers de l’écrit).
Ce sont les humanistes déjà au 13è siècle qui commencent à travailler du chapeau en développant systématiquement l’opinion de sens littéral, ouverture au Nouvel Ordre Mondial et à sa pensée unique : interdiction de lire entre les lignes. Un Saint Augustin défendait l’opinion que le sens spirituel reposait toujours sur le sens littéral et que chaque texte a une signification littérale !

Si nous ne nous prenons pas en main, nous seront manipulé par le Karma et par l’étatisme !

Pour revenir à la haine, elle est comme l’exemple sexuelle entre un homme et une femme. Il se produit un orgasme et une rêverie considérée comme « agréable », car comme presque une « perte de conscience », un apaisement du désir ou plutôt sa satisfaction (on en a pour son argent, pour parler comme maintenant). Mais si nous restons dans la pleine conscience de l’expérience sans tomber dans la dualité sujet-objet, alors, au lieu de nous perdre, nous pouvons retrouver la Fleur d’Or ou Soi-Instant. Le mental vagabondant s’efface dans l’Instant dévoilant le VIDE ; en intégrant la Conscience à l’Instant nous retrouvons la Félicité, notre vraie nature.
Ce n’est pas seulement dans l’orgasme ou le « plaisir » que nous ignorons généralement l’Instant, mais aussi dans les petits plaisirs de tous les jours qui nous lient aux sensations ou aux objets de la société de consommation. Nous pouvons nous entraîner à faire du plaisir lui-même un rappel pour revenir à la Conscience ou Instant, soit abandonner la distraction. La Fleur d’Or est en œuvre dans tout le monde duel du sujet et de l’objet. Quand le plaisir donne accès à la pratique, on ne le perd pas pour autant : pas besoin d’être anti-plaisir. Quand le sujet et l’objet se dissolvent dans la Fleur d’Or, on réalise l’union de la vacuité avec épanouissement de la Fleur d’Or (épanouissement de la Lumière ou Clarté).
Réaliser le Soi-Instant c’est « RETOURNER LA LUMIÈRE » comme l’enseigne le manuel taoïste « Le secret de la Fleur d’Or » : Quand on retourne la Lumière, les énergies du Ciel et de la Terre, le Yin et le Yang, se figent. C’est ce qu’on appelle « la pensée raffinée » (ou domptée), « l’énergie pure » ou « la pensée pure ». Quand on réalise le Soi pour la première fois, on a l’impression d’un non-être dans l’être. Mais une fois le travail achevé, quand on a un corps au-delà du corps, on a l’impression d’un être dans le non-être (Loi du Croisement).
Retournement de la Lumière ou Renversement : passer du mental limité par son vagabondage permanent et son conditionnement, au mental dompté ou libéré, qui est notre état naturel ou primordial. Pour citer la Taoïcité : on peut être créatif SANS POSSESSIVITÉ (pas de « droits d’auteurs » entretenant la dualité sujet-objet).

La façon de traiter la haine ou l’aversion de quelque chose ou d’un personne est comparable. Si l’on observe la colère dans l’Instant, au lieu de s'y abandonner en un confort habituel, ou de s’identifier à elle, par le ‘je’, ou d’être mené par elle comme si elle était une énergie, un moteur, alors la dualité mécanique entre l’objet de la colère ou de la haine prend fin, et la colère se dissout dans le Vide ; donc pas besoin de l’étatisme et de sa diarrhée de lois dictatoriales pour ça !
En maintenant la présence ou conscience dans le Vide, le sujet ou ‘je’ se dissout lui aussi. La présence dans cet « espace vide » est la Fleur d’Or.
Être la Fleur d’Or ne signifie pas que l’on reste un ‘je’ en colère regardant la colère ou haine, mais que l’on est dans le Soi ou Instant.
En regardant le futur ou « fin des temps » des Yahvistes et droits de l’hommistes on perd l’Instant, le ici et maintenant.

La Vraie Liberté se trouve dans le « Pays du Rien du Tout » selon la Taoïcité :
« Vous avez un arbre énorme et vous craigniez qu’il ne soit inutile. Pourquoi ne pas le planter dans la vaste plaine du Pays du Rien du Tout, aller et venir et venir à ses côtés dans le Sans-Effort, et dormir dessous en toute liberté ?  S’il ne tombe pas sous la hache et si personne ne lui fait de mal, c’est bien parce qu’il ne peut servir à rien. Alors, où est le problème ? »

Un diction tibétain dit : « Plus il y a de sagesse, moins il y a de pensées ». C’est-à-dire que plus la réalisation du Soi-Instant devient claire et stable, moins les pensées vont diriger l’expérience (le mental devient dompté).
Certaines personnes craignent cela, car alors en se libérant de la saine colère, par exemple, de ne plus savoir s’occuper de ce qui va mal dans ce monde, comme si elles avaient besoin de la colère ou de la haine comme moteur pour les faire avancer (on dit que la haine est nourricière, elle adore le plein). Ce n’est pas sain et c’est à chacun d’être autonome de notre propre vie, sans attendre le confort du patriarcat de l’étatisme qui décide de tout et de son élection au suffrage « universel ». Si nous avons de la colère, il faut s’en occuper, en soi-même.

Le problème est que cette civilisation a tout compliqué à souhait : le jour, c’est l’immersion violente car totale dans l’activité, le travail, les relations avec les autres, les noms et les formes, le langage parlé et écrit, les sensations et opinions, et odeurs et autres. Les cinq sens sont totalement tournés vers les objets. C’est le piège de la dualité. C’est le piège de l’expérience où l’on se perd, où l’on est embrouillé par l’opinion. Tandis qu’en demeurant dans le Soi-Instant, il n’existe plus de question à poser ni de réponse à donner. Être dans l’Instant détruit la dualité et répond à toutes les questions.
 
Notre identification habituelle au ‘je’, donc au mental ou corps nous empêche de retrouver la Fleur d’Or, notamment pendant le sommeil. La même raison fait que dans le monde des accidents, celui de l’éveil, nous vivons continuellement dans la distraction et les manipulations de toutes sortes et la confusion, et les rêveries du business de la société de consommation. Au lieu d’être dans notre état naturel, le Soi, nous restons prisonnier de l’imaginaire et des projections mentales ou « raison ».
La distraction de notre vie quotidienne et l’inconscience dans le sommeil sont les deux faces de la même IGNORANCE.

L’étatisme, soit la sécurité ou patriarcat, est le plus grand ennemi des mortels (pour paraphraser Hécate dans Macbeth).
La sécurité en général et en l’actuelle mode du sécuritaire vendu par l’étatisme faisant que l’on se croit « protégé » et à laquelle on confie son destin constitue par excellence la tyrannie de l’opinion en la perdition de l’être humain.

Le mondialisme et sa « culture » ne doit pas conduire les masses à « la bêtise devenue consciente d’elle-même » (pour paraphraser Hegel), car ce serait le faux Soi.

L’étatisme actuel, surtout français et judéo-maçonnique qui veut nous fourguer son « vivre ensemble » suivant la mode du socialisme, singe NARCISSE : une attention exagérée à l’autre. Ainsi, Narcisse est incapable d’aimer personne d’autre, ni l’autre, et encore moins lui-même !
 
 

Dernière mise à jour : 18-04-2015 20:45

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