INQUISITION MODERNE ou liberté d’expression
 

Ecrit par Sechy, le 16-06-2015 17:31

Pages vues : 7532    

Favoris : 29

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Itri, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Musiques, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Qbit, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
serpentvigie_alerte_liberte_expression.jpg
 
 
INQUISITION MODERNE ou liberté d’expression

Le POUVOIR c’est l’ÉTEIGNOIR DE LA CHANDELLE.
 
 
Contrôle de la pensée ou « Circulez ya rien à voir ! » : même soupe pour tous. Comme écrivait Gustave Thibon : « L’éducation est un instrument à deux tranchants : elle rogne en même temps les griffes de la brute et les ailes de l’ange ». Thibon écrit aussi : « Le principe de l’unité de la société humaine réside au-dessus de celle-ci, de sorte q’une climat athée [laïcité], c’est toujours la confusion et la mort qu’on poursuit sous le nom d’unité ».
 
* le chercheur qui dérange perd sa place ;
* l’universitaire qui ne pense pas comme tout le monde perd son poste ;
* l’écrivain qui émet une opinion insolite est censuré ;
* le dirigeant sportif qui veut que ses élèves soient bien dans leur peau et tous heureux de pratiquer, au détriment des médailles, est remplacé ;
* douter, et ne pas vivre ce qui est officiel ou de l’État en place, c’est être un « complotiste », et donc être un antisémite ;
* celui qui critique le « mariage gay » est traité d’homophobe ;
* celui qui donne son avis sur les coutumes d’une minorité est traité de raciste.

Des outils de l’Inquisition :
* Inquisition par le COPYRIGHT ou mercantilisme de la pensée.
* Inquisition par tracasseries administratives d’État.
* Inquisition par ruine de « l’hérétique ».
* L’accusation de « complot judéo maçonnique ».
* L’accusation de haine par les Juifs, alors qu’il suffit de lire l’Ancien Testament (1).
* L’accusation « d’antisémitisme » (terme faux).
* L’accusation « d’anti Judéité » pour toute critique du sionisme.
* L’accusation  de « dévergondé, terroriste, fou, nazi, négationniste, etc. ».
* L’outil du « Plus jamais ça » et du « Si c’était votre enfant » ou dogme de la souffrance, thème de la PEUR.
* Les lois inquisitoriales d’État contre la remise en cause de « l’histoire », une opinion fabriquée par les vainqueurs (Nuremberg), et qui pratiquent ainsi un racisme inversée en enfermant dans un ghetto des intouchables, ce qui établit une monstruosité en forme « d’universalité humaine », comme le sont déjà les « droits de l’homme... ».
* La Laïcité ou opinion judéo-franc-maçonnique spéculative est l’outil inquisitorial redoutable.
* L’opinion inquisitoriale renvoyant au poncif « Point Godwin ».
* L’opinion inquisitoriale renvoyant à « la théorie du complot ».
* L’emploi inquisitorial du mot « Amalgame ».
* Les mot précédents « Amalgame, complot, antisémite, négationniste, révisionniste, etc. », et aussi l’emploi des mots « extrême-droite, royaliste, monarchiste » font la partie d’un dérivé de la Novlangue inventé par George Orwell dans « 1984 », destinée à manipuler l’opinion publique.
* La soi-disant « menace terroriste » brandit à toutes les sauces façon maffieuse, comme un vaccin à la mode du sécuritaire et du confort.
* Enfin, la diarrhée chronique législative devenant liberticide dans toute « démocratie » qui ne repose que sur l’OPINION et la MANIPULATION afin d’obtenir du consentement aux élections.

EN RÉSUMÉ : tout ce qui dérange la « pensée unique » anglo-saxonne impérialiste, destinée à mondialiser l’économie, c’est-à-dire à concentrer les profits dans quelques mains juives de la City de Londres, est balayé. Dans cette vision le « bien-pensant » sera celui qui détient les cordons de la bourse et la clé du garde-manger, et qui fait établir les lois.
C’est aussi la PEUR de ce que l’autre peut faire, dire, ou penser, qui nous fait suivre le troupeau, ou les fèces (fesses) de la Matière dans cette mortifère civilisation de consommation et de son « pouvoir d’achat ».

L’analyse (la raison) et son argument font aussi la partie du contrôle de la pensée car en Occident issu du monde gréco-latin, et ne laissant pas la place à l’Intuition : toujours cette guerre entre Païens et Chrétiens (2). C’est toujours le combat entre la « raison » (le carré) ou ce qui est mesurable, et la transcendance (le cercle).

Celui qui remet en cause la pensée unique est qualifié en jugement de valeur de dévergondé, de terroriste, de fou, de négationniste, etc. Pourtant le principe de la Nature est le MOUVEMENT, la TRANSFORMATION. L’instauration de tout nouveau processus ou système naturel exige le changement et la variété. Il n’y a pas de stagnation ni d’uniformité dans la Nature, ce qui peut se résumer par le terme « Fixation Cavalante ».
Les formes de la Nature sont non euclidiennes, ouvertes et dynamiques : spirale, courbes et vortex...
Ici sur Terre nous ne sommes que de PASSAGE/PARTAGE/PAYSAGE, dans le sens de celui qui n’a pas les fontannelles bouchées, et qui ne s’occupe pas des besoins et des moyens (le Fer et Faire). L’activité est comme une drogue, un refuge ; un point d’attache ne peut être qu’une étape de Décantement...

La soi-disant « liberté d’expression » est le principe de la tyrannie de l’opinion amorcée en 1789. Ainsi de nos jours on ne censure plus : selon le principe de la laïcité on AUTO-CENSURE, c’est plus propre que de torturer en faisant couler le sang puisque depuis les perruques poudrées nous sommes dans le temps de la « raison ». Pour le républicanisme il s’agit de défendre son dogme, c'est-à-dire une position mentale, qui pour l’accusation, est censée être implicitement acceptée par tout le monde (principe de la laïcité) comme un centre dont on ne doit pas s’écarter sous peine de raisonnement faux. Si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent, sont nécessairement faux. Tout accusé qui se reconnaît lié à la foi d’une religion (c’était le cas de Galilée et c’est le cas de tout membre d’un parti politique, surtout marxiste ou socialiste) est supposé avoir parfaitement conscience d’avoir contrevenu au dogme, sauf dérangement mental. Il est donc normal que le tribunal lui demande : « Sais-tu pourquoi tu es là ? » S’il le sait, il ne subit pas une condamnation imposée, une injustice, il se condamne lui-même par auto-critique suivant la mode de la démocratie et du triomphe de l’ego ou mental. S’il ne le sait pas, c’est qu’il est fou. Pour ce genre de « fous », le post stalinisme des années 1960-70 a institué des hôpitaux psychiatriques spéciaux. L’ancienne Inquisition les brûlait comme possédés de Satan. C’était moins barbare que les hôpitaux psychiatriques. La police politique du républicanisme ou de Staline ne copie pas l’Inquisition. La similitude vient de configurations mentales identiques. C’est une question de géométrie du mental. (En référence à Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, dans sa lettre de juin 1974 à Arthur Koestler à propos de son livre : Les Somnambules).

RAPPEL : tout « isme », tout « parti », en religion, en philosophie, en politique ou en science et en économie, tend à imposer ses lois à l’ensemble. Ainsi tout « parti », tout « isme » est une forme de dictature. Et de nos jours de l’après 1789 la mode est au SOCIAL puisque le ‘je’ ou ego, le mental, la raison, est devenu le MAÎTRE. Tout ce qui se rapporte au social (honneur et médailles, privilèges, prestige, cancer du pouvoir, etc.) est vanité et reflète bien cet ego de 1789. Alors, pour échapper au social ou vanité, on se réfugie la plupart du temps dans le ‘je’ ou ego ! Pour échapper à l’orgueil et à la vanité, seule la Réalisation du Soi-Instant est la Libération.

Tout ce que l’humain entreprendra en se coupant de la Nature échouera. Contenant et contenu sont liés.

« Rien plus qu’un certain mythe de la liberté n’a contribué à détruire, dans l’âme des masses, la vraie liberté, la vraie sagesse » (Gustave Thibon, Diagnostics).


Notes.
1. Dans les trois exemples ci-dessous, on aperçoit déjà la division « peuple élu » et le projet de colonisation, et du principal : l’ORGUEIL, LE RACISME, LA HAINE DE L’AUTRE ET DE SES CROYANCES. On s’aperçoit aussi que le Dieu nommé Yahvé est un raciste, et un Dieu comme il peut y en avoir dans le paganisme. Ce Yahvé là ne pouvait reposer que sur la BASE PAÏENNE.

Deutéronome 7, 16 : « Tu dévoreras donc tous ces peuples que Yahvé ton Dieu te livre, ton œil sera sans pitié et tu ne serviras pas leurs dieux : car tu y serais pris au piège ». Accusation d’être des Païens.
Deutéronome 20, 16 : « Quant aux villes de ces peuples que Yahvé ton Dieu te donne en héritage, tu n’en laissera rien subsister de vivant. Oui, tu les dévoueras à l’anathème, ces Hittites, ces Amorites, ces Cananéens, ces Perizzites, ces Hivvites, ces Jébuséens, ainsi que l’a commandé Yahvé ton Dieu... »
Isaïe, Vocation d’un prophète 61, 5-6 : « Des étrangers se présenteront pour paître vos troupeaux, des immigrants seront vos laboureurs et vos vignerons. Mais vous, vous serez appelés prêtres de Yahvé, on vous nommera ministres de notre Dieu. Vous vous nourrirez des richesses des nations, vous leur succéderez dans leur gloire... »

2. De nos jours, on a encore cette guerre entre le mythe de l’éternel retour (Païens), et la fin des temps (Juifs ou religions du Livre, les religions abrahamiques). Une guerre des winners contre les losers.
« L’important, au fond, ce n’est pas d’être vainqueur ou vaincu dans la compétition sociale, c’est de rester extérieur à cette victoire ou à cette défaite, et de placer ses meilleurs raisons de vivre et d’agir en dehors des prestiges du social » (Gustave Thibon, Notre regard qui manque à la lumière).
 
 

Dernière mise à jour : 16-06-2015 17:47

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved