Monde hyper matérialiste juif
 

Ecrit par Sechy, le 31-07-2015 22:48

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Assassiner, Banques, Bombes, Bourgeois, Cacapitalistes, Chaos, Communisme, Complot, Chronologie, Cinéma, Crottasocialistes, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Dualité, Dynamite, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Forêt, France, Gadlu, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Haine, Hébreux, Homéopathie, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Internet, Itri, Jardin, Jérusalemisation, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Maffia, Magie, Manipulation, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Musiques, Nature, Obnos, Occulte, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Pétrole, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Qbit, Religions, Renseignement, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Spirale, Spirolution, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tétéphone, Tétévision, Thermodynamite, Touta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Vide, Volonté, Walt Disney, Yahvé, Yankee, Yokaï

 
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Monde hyper matérialiste juif
Ce sont eux qui amènent la DENSITÉ
de cette dimension à son maximum.
UN COMBLE, POUR DES GENS DU DÉSERT !


Pourquoi il n’y a pas de Bédouins riches et financiers internationaux ?
Alors que des nomades Hébreux sont de nos jours devenus des financiers internationaux ?
 
 
Voir aussi la page : Mal absolu présent : la finance internationale

Tout de suite, il est faux d’attribuer le copyright de Dieu, ou monothéisme aux Hébreux. Ce concept ne peut que remonter jusqu’aux Païens ; même Akhenaton n’invente pas non plus le monothéisme. Tout étant CYCLES, la notion d’un Dieu unique ne pouvait que se trouver AVANT les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, donc chez les Païens…
Le mot Dieu selon Ramana Maharshi signifie le Soi (Instant), soit la tête, et « les Dieux » seraient comme des organes nécessaire à la fonction de la tête : si le cœur ne bat plus le cerveau n’est plus irrigué et l’ensemble cerveau-corps meurt ici dans le spatio-temporel. « Dieu est tout ce qui existe PLUS L’ÊTRE ; et le monde comprend la multiplicité PLUS L’ÊTRE ». « Dans chacun de ces cas, l’Être est réel. Le TOUT, la multiplicité et l’individu sont tous irréels ». « La réalité est ce qui transcende tous les concepts, y compris le concept de Dieu. Le terme hébreu Jehovah (JE SUIS) exprime Dieu correctement. L’Être absolu est au-delà de toute expression » (entretien 112). Jehovah ou YHWH. Mais il est naturel que le Soi soit le même pour tous les peuples.
Maharshi dit que la source de l’ego est Dieu (le Soi).
Pour la Félicité, il n’y a pas de but à atteindre : NOUS SOMMES LA FÉLICITÉ. Le désir de Félicité provient du sentiment d’être incomplet (entretien 106).
 
Comme nous sommes la Félicité, il n’y a pas de « contrat avec Dieu » genre réaliser le « Royaume de Dieu (juif) sur Terre » pour soi-disant retrouver « l’innocence morale », faire disparaître le manque de ceci ou cela. C’est ainsi que les Hébreux et ensuite Juifs inventent l’HISTOIRE ou ÉVOLUTIONNISME : LE BUT À ATTEINDRE, LE PROGRÈS OU FLÈCHE DU TEMPS en une géométrie euclidienne de la ligne droite, et dans un seul sens, sans possibilité de « retour en arrière ». Du même coup les Juifs inventent le soi-disant « libre arbitre » (libre expression) et une singerie de Paradis : l’humain a pour but de « dépasser sa faute ». Alors, IL VA TOMBER DANS LA VALEUR. Le « libre arbitre » (le ‘je’ ou ego) tombe aussi dans le MARCHANDAGE.
Il n’y a pas de libre arbitre, mais seulement : ÊTRE.

Voir la page : Liberté d’expression ou tyrannie de l’opinion

ÊTRE : pas de verbe avoir en hébreu. Yech (être ou il y a) désigne la relation de « celui qui est » avec les objets ; « j’ai » se dit yech li : ceci est à moi, ou il y a pour moi. Donc la chose possédée ne se distingue pas de celui qui la possède (vouloir supprimer l’idolâtrie). Les objets vivent la vie de leur possesseur, et celui qui se défait d’un objet perd beaucoup plus en énergie vitale que ce que lui rapporte en argent sa vente, comme l’écrit J. Attali, Les Juifs, le monde et l’argent.


Jehovah (JE SUIS) valorisé par les Hébreux pour inventer LE COMMERCE.

RAPPEL :
En hébreu le mot « valeur » s’écrit sha’ar (calculer une équivalence), étymologie de fixer, préparer ; il désigne aussi une porte de ville, là où le tribunal rend justice et fixe la « valeur des choses » et des actes. Depuis les Anciens Égyptiens l’âme a une valeur puisqu’elle est pesé sur une balance comme une marchandise ! Comme les Juifs ou Hébreux copient tout, la valeur d’argent vaut aussi pour la morale ou opinion !
Le mot payer : leshalem, sonne aussi shlemout (intégrité), et shalom (paix). Ainsi par analogie le règlement des dettes ou acheter et vendre est un moyen juif d’obtenir la paix : le marchandage ou échange monétaire devient une religion ACCORDANT les humains afin de régler les conflits et les guerres ! C’est proprement horrible, démoniaque, destructeur comme opinion, et c’est celle des Hébreux qui se nommeront ensuite Juifs. Alors on comprendra où notre monde en est rendu actuellement !!!
Dans le monde brutal il y a plus de 4000 ans, il apparut que donner de la valeur à une rondelle de métal (cuivre, bronze, etc.) permettait de régler, ou d’accorder les relations humaines sans recourir à faire couler le sang. L’argent commençait à devenir une religion : relier ou accorder les gens entre eux. Et comme les Yahvistes ou Hébreux se désignaient « peuple élu », ils devinrent maître en commerce. « Peuple élu » qui signifie évidemment, selon les Juifs : « faire connaître aux autres ignorants l’unicité de Dieu ». Tout du moins au début, parce que les Juifs ne font pas de prosélytisme de leur religion ; par contre, ils en font avec leur autre religion (laïcité) : le commerce ! Et ils foutent le BAZAR partout : les marchands hébreux suivent les routes des caravanes et échangent des manuscrits, d’innombrables marchandises, de l’Or de Nubie, du Cuivre, des pierres précieuses, de l’ébène, de l’encens, de l’huile, de l’ivoire, des tissus, etc. Ils se font aussi courtiers. « Les villes que mon père a prises à ton père, je les rendrai, et tu pourras créer des bazars à Damas, comme mon père en avait créé à Samarie » (Rois I 20, 34), cité par Attali.

Les Hébreux valorise le NLF (le Nom-La Forme) : travail du chapeau sur le NLF en copiant sur la symbolique des Hiéroglyphes égyptiens, c’est pour cela que de nos jours ils travaillent du chapeau fortement, surtout dans les banques et les loges judéo-maçonniques spéculatives où l’on spécule fort sur le PÉCULE pour se sortir dans la merde que l’on a fomenté soi-même ! Les chiffres ne sont pas naturel, ils sont du pur mental, et la religion des Hébreux vient de régions désertiques, comme si la Nature, la chose verte n’existait pas. En tant que NOMADE, les Hébreux ont donc subit à travers le DÉSERT une capacité d’abstraction leur permettant de jongler avec les mots/maux et donc aussi sur l’économie. L’ego ou mental est devenu hyper développé chez eux, d’où d’ailleurs aussi le nombre de psychiatres Juifs depuis leur « père » à tous : Freud.
Dans le Désert l’opinion se donnait à fond : donner de la valeur à ce que le mental observe, alors que tout est dans le mental. Donner une valeur à quelque chose c’est la faire exister : le Nom-La Forme (NLF). On est dans les temps duels, le binaire du « pur-impur » ou « bien-mal » : « Vous êtes avec nous ou contre nous ! », comme la LOYAUTÉ, l’ALLIANCE, qui est à distinguer de COURAGE (valoir, valide, être puissant, virile, donc avoir du pouvoir), on est encore dans le MARCHANDAGE, donc dans la dualité vendeur-acheteur ou sujet-objet.

Ce sont les prophètes des Yahvistes qui inventèrent l’histoire en lui donnant de la valeur : les faits historiques deviennent des « situations de l’humain face à Dieu » (face à l’opinion de une ou plusieurs personnes), et comme tels ils acquièrent une valeur religieuse que rien jusque là ne pouvait leur assurer. Ils deviennent une CROYANCE en une HISTOIRE. Comme l’écrit Mircea Eliade dans Histoire des croyances et des idées religieuses : « Aussi, est-il vrai de dire que les Hébreux furent les premiers à découvrir la signification de l’histoire comme épiphanie de Dieu », une conception reprise et amplifiée par le christianisme, qui exécrait l’argent qu’il considérait comme sale, à la différence du judaïsme.

Si le Désert inspira l’économie aux Hébreux qui furent nomades au départ, et même de nos jours avec le symptôme « diaspora », POURQUOI LES BÉDOUINS NE SONT PAS DES FINANCIERS INTERNATIONAUX ? Car eux aussi voyagent, échangent, transmettent.
LES BÉDOUINS ÉCHANGENT UNIQUEMENT DES SOUVENIRS (réf. d’après Wilfred Thesiger : Le Désert des Déserts). Ils échangent des SALAM ALAIKUM (que la paix descende sur vous !, et des ALAIKUM AS SALAM (que sur vous descende la paix).

Notre état naturel étant la FÉLICITÉ, alors pourquoi prier ? Sinon pour marchander : demander quelque chose en retour, et le Judaïsme est construit sur la prière : LE DÉSIR DE, ou LA NOSTALGIE DE, comme la perte de l’Âge d’Or ou Paradis, alors que, encore une fois, la Félicité est notre état naturel : tout est là pour le bonheur, et éternellement. « Prier Dieu » est comme l’équivalent d’une médecine : RÉCONFORTER (des mots/maux de la vie).
« Il faut qu’il y ait un ‘je’ pour prier Dieu. Ce ‘je’ n’est pas considéré comme tel. Cherchez lequel est le plus intime ; vous pourrez ensuite déterminer l’autre et le prier si nécessaire » (entretien 580).
«  Les gens prient Dieu et ils finissent leur prière en disant : « Que Ta Volonté soit faite ! » Si Sa Volonté doit être faite, pourquoi Le prient-ils encore ? La Vérité est que la volonté divine prévaut en tout temps et en toutes circonstances [Instant]. L’individu ne peut pas agir de son plein gré. Reconnaissez donc la force de la volonté divine et restez tranquille. Chacun est pris en charge par Dieu, car c’est Lui qui a tout créé » (entretien 594).
Pourquoi Dieu oublierait-Il quelqu’un ? C’est absurde ! L’argent renvoyant à la réclamation, au désir, à la paresse, à la passion surtout, comment peut-il être une médecine contre les guerres ? Comme tente de le dire l’Ecclésiaste 5, 9, comment voulez-vous tempérer cette passion de l’argent qui coule de nos jours la planète ?

Si, selon les Hébreux, l’argent empêche les guerres et violences, cela a un rapport avec LE SANG.
SANG : voyez le CUIVRE et LE ROUGE-VERT (le règne végétal). Sang = feu, chaleur, rouge de la passion, rouge de la guerre comme la planète Mars. Le Sang est bien-sûr la vie (l’Eau rouge).
Pour les Hébreux le sang est comme un breuvage d’immortalité (leur « Royaume de Dieu (juif) sur Terre »), alors que le sang qui coule de la plaie de Jésus est recueillit dans le Graal et est aussi breuvage d’immortalité. Il existe aussi le serment par le sang… Certains peuples considèrent le sang comme véhicule de l’âme.
Pour les Hébreux le sang est inséparable du sacrifice d’Isaac. Sang-argent sont bien-sûr un argument solide contre le Judaïsme. Sang de la circoncision...
Argent ou redevance : DaMim, qui est aussi le pluriel de DaM (sang). « L’argent substitut du sang : on asperge l’autel avec le sang (DaM) de l’animal sacrifié [encore une horreur], acheté avec l’argent (DaMin) de celui qui offre le sacrifice », écrit Jacques Attali, dans : Les Juifs, le monde et l’argent.

Il est très grossier d’écrire, comme le fait J. Attali dans le livre cité, qu’après le Déluge tabula rasa, puisque les humains ne sont pas accessibles à Dieu, Il charge un peuple d’être Son intermédiaire auprès d’eux (le peuple-prêtre ou socialisme spirituel). Bah Voyons, c’est tellement confortable pour l’ego ! Ensuite il était logique qu’un Abram devenant Abraham « doive sauver l’humanité » grâce à « Dieu ». le monothéisme devenait à la mode.
Abraham c’est déjà plein pot dans la voie de l’Agriculture : Abraham met en valeur la terre (selon le bon vouloir de son Dieu).

Autre opinion bouffie d’orgueil : Dieu et « son peuple » aurait mis fin à des « millénaires de meurtres rituels » (je cite Attali). Puis ce même « Dieu » ne se contente plus de sang humain, mais seulement animal. My God ! Incroyable !!!
Ce Dieu de tribus placerait l’humain à part dans la Création et détournerait la violence vers la seule destruction de ses richesses matériels : alors un animal c’est une « richesse matérielle ». My God, pauvre monde affamé  !!! Car on retrouve en permanence ce lien entre l’argent et le sang, là où l’argent serait un MARCHANDAGE permettant d’éviter la violence. On comprendra facilement les actuels tribunaux condamnant à des peines d’argent…
Le sacrifice est remplacé par « l’offrande », en d’autres mots : l’impôt ! Puisque l’argent s’impose à lui-même en remplacement, en SUCCÉDANÉ.
SUCCÉDANÉ :  de cesser, du latin succedaneus, de succedere (remplacer, succéder). Là encore nous sommes dans l’évolutionnisme. Succès, et damné : donc du FAUX, de l’ARTIFICIEL, du EYES CANDY ou substitut ; exactement comme une photocopie de photocopie de photocopie, et à chaque copie ou passage dans la machine la qualité est dégradée.
Donc pour les Juifs l’argent est le moyen de « négocier au lieu de combattre » (là encore voyez les tribunaux qui essorent les biens de ceux qui tombent entre ses griffes).
« Le peuple juif annonce son destin : il utilisera l’argent comme moyen de réparer les dommages et arrêter l’engrenage des représailles. L’argent va devenir pour lui un moyen de négocier au lieu de combattre, de faire la paix », écrit Jacques Attali.
HORREUR, HORREUR, HORREUR !!!
En plus, il ajoute que, par l’argent le « peuple » juif va dire sa haine de la violence. Jusqu’à ce que la violence de l’argent se retourne contre lui… »
Et OUI, Monsieur Attali ! Qui a commencé ?

En plus, les Isaac et Jacob s’enrichissent « pour plaire à Dieu ». Oh, my God ! En plus leur Dieu bénit la fortune ! Ce qui prouve que le sens du mot Jehovah (JE SUIS) a depuis l’origine été perdu et transformé à toutes les sauces juives.
Un Dieu extérieur, puisque le mot « Israël » signifie « le combattant de Dieu ». Depuis quand on prête à un Dieu l’opinion de combattre ? et d'être violent ? et dans quel but ? Alors qu’il n’y en a point !!! Mais Jacques Attali estime « que tout se monnaye ». On est en pleine thermodynamique.

Les Cananéens et les Phéniciens furent très commerçants, les Hébreux d’abord paysans bergers et soldats les imitèrent ! Dans ces 10.000 ans de la voie de l’agriculture, le judaïsme s’organise autour des cycles de la vie agricole.
Attali écrit que rien n’est bon pour les Hébreux s’il n’est bon pour les autres, et toute richesse doit être partagée avec le reste du monde : « un coin du champ est ainsi réservé aux étrangers qui peuvent librement venir récolter le fruit du travail du paysan hébreu ». Cela devait être au début !

Si la religion c’est le pur socialisme : réunir les peuples ; la religion judaïque est à l’inverse : « Vends-toi toi-même pour un travail qui t’est étranger, mais ne sois pas dépendant » ; ainsi de siècles en siècles les Juifs refuseront le plus souvent d’appartenir à des corporations comme les Ouvriers français au Moyen-Âge chrétien. C’est comme ça que les Juifs en arrivent à un despotisme financier et commercial. Pourtant dans le système juif les salariés ont le droit de s’unir, et bien-sûr ces unions ne peuvent pas donner lieux à exclure un individu du travail.

Bref, avec toutes leurs lois tant vantées, la situation des Juifs commencent à se dégrader dès que Salomon meurt, leur royaume est au bord de l’implosion.

APPARITION DES BANQUES : à Babylone les Juifs créent leurs propres banques et se font payer en bétail, bijoux, esclaves, revenus du sol. Certains deviennent très riches (Néhémie 7, 67-69) et sont admis à la Cour du roi Nabuchodonosor
À partir de ce moment, les Juifs établissent une stratégie de survie, ce sont d’ailleurs toujours les meilleures : obéir à la loi locale, rester groupés (l’union fait la force, dit un proverbe), ne faire confiance qu’aux siens (racisme qui pourra donner plus tard les marranes), ne pas accumuler de fortune foncière, transmettre une culture (facile dès le départ avec la circoncision, là encore lié au sang), convaincre les non-Juifs épousant des Juifs de se convertir à la religion de Moïse. La famille juive est donc très forte car érigée en « valeur suprême » puisqu’ils valorisent tout ! Avec un contrôle rigoureux de la morale sexuelle [sic]. Avec la naissance de la DIASPORA (dispersion à l’époque de Zorobabel) le dogme de l’économie vise désormais à fixer les meilleures conditions de survie du groupe en milieu étranger ; pensez tout de suite aux émigrés Juifs arrivant aux États-Unis aux débuts du 20è siècle et fondant l’Empire Hollywood.
Diaspora ou dispersion comme l’argent circule partout : il n’a pas d’odeur… et sa langue est l’anglais qui remplace le latin et se parle partout dans le monde. L'argent est bien devenu une religion.

Le Juif étant seul en affaire : pas de salariat : travailler pour autrui peut constituer une aliénation, il vaut mieux travailler pour son compte ; ce qui est le contraire de la philosophie Hindou où il est dit par exemple : « Détachement à l’intérieur et attachement en apparence », dit le Yoga-vâsishtha, cité par R. Maharshi à l’entretien 495. Le travailleur Juif est donc DÉPENDANT, ce qui n’est pas le cas du travailleur Hindou cité par R. Maharshi. Le Talmud dit : « Mieux vaut faire son shabbat un jour ouvrable que dépendre d’autrui » ; ces gens ont tout dogmé comme du papier à musique ! Effroyable...
Donc l’économie juive est essentiellement formés de « petites entreprises » obsédées par fixer les prix les plus bas possibles, et vendre souvent moins cher que leurs concurrents Chrétiens ! Ce qui perdra d’ailleurs les Chrétiens en matière économique.
Travailler pour son compte, ou être autodidacte veut dire, si on a « une petite entreprise », avoir des esclaves ou salariés sous ses ordres. Donc ça ne résous rien ! La meilleure « petite entreprise » est d’être à son compte EN POLITIQUE : salarié de l’État, et avoir sous ses ordres les habitants du pays.

RÉSUMÉ : Les juifs ont fait de l’argent un instrument universel d’échange, un accord identique à une religion, tout comme ils ont fait de leur Dieu l’instrument universel d’une religion honnête à l’origine, mais complètement pourrie à l’arrivée. Pourrie à cause des lois ou dogmes (les religions du Livre, Torah, Coran, etc.), les systèmes qui servent encore de nos jours.
4000 ans de juiverie financière censée supprimer la violence et les guerres et apporter le « Royaume de Dieu (juif) sur Terre » n’ont fait qu’augmenter de façon gigantesque les guerres et les violences, car pour faire des guerres et « imposer la paix » il en faut du sang, de l’Holocauste et du Goulag !!!
Enfin, le Juif étant un « élu » de son Dieu, il est censé défendre, à chaque époque dans la linge droite du temps qui coule, le monde contre « la colère de Dieu ».  Nous sommes tous liés.
Mais problème ! Comment un Dieu peut-il être colérique ??? Sinon par invention de l’opinion de quelqu’un ou de quelques uns. Ces gens fabriquent un Dieu colérique pour mieux fabriquer la CAROTTE, le truc qui fait marcher l’âne qu’est le non-Juif. Et depuis quand un Dieu demande d’être riche pour le servir ? De nos jours ce sont les banques qui servent Dieu…
Notez que Google en tant que « peuple-prêtres » car fondé par des Juifs se veut littéralement un « sauveur de l’humanité » ! Ces gens donnent de la valeur à n’importe quoi, mais surtout pas à l’humanité : « Ceux qui travaillent à l’amélioration de la condition humaine ont généralement cessé depuis longtemps de vouloir du bien à quiconque ! »
« Les Juifs, cette poignée de déracinés a causé le déracinement de tout le globe terrestre », disait Simone Weil.


[En référence partielle à : Les Juifs, le monde et l’argent, de Jacques Attali]

[En haut de page : Zorobabel]
 
 

Dernière mise à jour : 01-08-2015 00:16

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