Religion de la Haskalah ou des Lumières
 

Ecrit par Sechy, le 08-08-2015 23:38

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Religion de la Haskalah ou des Lumières
certainement des lumières fonctionnant
à l’électricité et aux banques et leur pétrole !


Haskalah, judaïsme, ne peuvent qu’être condamnés… pas besoin
d’une « fin des temps ».
 
 
La foi en la matière ou banques…
Comme le marxisme et sa foi : formuler une synthèse de ce qu’est l’être humain, par conséquence de ce qu’est le minéral, le végétal, et l’animal et l’humain et sa pensée.
Mais le catholicisme et son Église de Rome en est resté à la dualité matière-esprit, d’où les déséquilibres permanents entre les deux plateaux de la BALANCE : le FLÉAU pas content.
Le marxisme est une fausse synthèse. On attend toujours LA VRAIE SYNTHÈSE, parce que si l’Église se dit « catholique », ce qui veut dire « universelle » (Con-Naître : naître avec), donc capable de l’unité de vision, comme par un ŒIL DE CYCLOPE, du principe qui EST (Je suis ce JE SUIS) et de sa Création est est l’ex-istant. On attend toujours la Synthèse de cette Église. L’Église de Rome est sans arme devant le capitalo-socialisme ou marxisme nouvelle mode. La catholicité dans son sens pur ne peut offrir à l’être humain que le TOUT (FLÉAU de la Balance… ). De nos jours cette Église qui fraye avec le judaïsme depuis Vatican 2 invite seulement à une option sentimentale (opinion), entre une division haut et bas.
Le marxisme, le capitalo-socialisme moderne et le judaïsme sont l’anti-Église, soit une poule qui couve des œufs clairs qui ne peuvent que pourrir. Il n’y aura jamais de « fin des temps » ou lendemains qui chantent, des DORG (Demain On Rase Gratis). Seul le mot CHRIST et son sens : Je suis ce JE SUIS, est la Vraie Synthèse, comme l’écrivait Jean Coulonval à Mgr Matagrin, évêque de Grenoble, en novembre 1977, à propos de la Déclaration du Conseil permanent de l’épiscopat de Juillet 1977, sur laquelle il n’est pas du tout d’accord !
 
Voir aussi les pages :
- Mal absolu présent : la finance internationale
- Monde hyper matérialiste juif
- Évolutionnisme ou instinct de survie
- Marxisme et théologie de la Matière
- Dieu de tribut
- République = évolutionnisme hébreux
- Laïcité = judaïsme/business

La Haskalah terrible bête qui bouffe tout par ses banques.
Terrible bête qui égalitarisme tout, qui ASSIMILE tout sous forme de CITOYEN À PART ENTIÈRE (mondialisme et uniforme). Mettre dans le même sac poubelle la laïcité : cette nouvelle religion qui est devenue une « affaire personnelle » afin de « construire un nouveau monde ».

« Tolérez » dit le pouvoir en place, alors que ses industries ne font que pondre des vaccins parce que les petits organismes vivants ne sont pas tolérés ! Monde de fous qui veut construire un « nouveau monde » à base de machines et de « révolution énergétique ».

Le bête Haskalah marche à la Trinité : entreprendre, explorer, valoriser. Seul ce dernier terme compte : la VA(O)LEUR et ses bailleurs et bailleresses de fonds. Puissants bailleurs qui financent les rois et les empires (du moins avant 1914, de nos jours ce sont les républiques) et renforcent ainsi l’étatisme.
Ça comme avec les courtiers venus d’Allemagne qui font désormais dans l’industrie naissante de ce 19è siècle. De nombreux Juifs européens durant le dernier tiers du 19è siècle appliquent à la terre la Trinité idolâtre cité plus haut.
Par exemple, nous avons le chimiste bavarois Ludwig Mond qui met sur pied l’industrie chimique allemande avant d’émigrer en Angleterre. Son fils prend la suite en devenant membre du Parlement de Westminster. Il va créer en 1926 l’Imperial Chemicals (ICI).


ÉVIDEMMENT QUE LA HASKALAH OU RAISON EMPÊCHE D’ÊTRE SOI-MÊME DANS L’ÂGE DU FER/FAIRE.

Emil Ratheau, né d’une famille juive, acquière le premier brevet d’Edison et fonde la AEG en 1883. Alfred Beit va fonder en 1888 en compagnie de Cecil Rhodes la De Beers et ses diamants.
À Paris en 1895 un Alphonse Kahn et un Théophile Bader vont fonder les Galeries Lafayette. Un Charles Havas traducteur de presse va fonder avec Bernard Wolf, en 1832, la première agence de presse. Là va s’amplifier le phénomène des réseaux, notamment par pigeon voyageur, certes moins rapide que les algorithmes informatiques de la City et Wall Street !
Un instituteur allemand, Philipp Reis, invente le premier téléphone en 1860.
Gabriel Lippmann invente la photo en couleur en 1891. Ayant fait une école d’arts, ce génie m’a toujours fasciné !
André Citroën, fils d’une immigrée de Pologne et de Lévi Citroën bijoutier à Paris découvre un engrenage astucieux en forme de chevron…

Bref, la banque juive est à l’avant-garde de la révolution industrielle occidentale. Ce sera la naissance DU CAPITALISME, avec discussion rabbinique entre ceux qui estiment que la banque est anonyme : l’intérêt devient possible ; d’autres rabbins estiment à l’inverse que la société n’est que le masque de ses actionnaires et que les banquiers juifs ne peuvent prêter qu’aux Goys.

Alors, accrochez-vous, arrive :
- Banque Speyer, fondée en 1794.
- Banque de Joseph Mendelsshon (un oncle du musicien : Félix)
- Le père de tous les banquiers : Mayer Amschel Rothschild, envoie à Londres en 1798 son fils Nathan pour le représenter. Le Patriarche comprend que Londres est l’avenir du marché financier. À Londres Nathan ouvre une banque et se fait courtier pour placer les emprunts du gouvernement, et pour financer les guerres.
Mayer Amschel formera un important réseau d’informateurs (voir ce qui se passe de nos jours au niveau informatique dans la finance internationale… ).
Bien-sûr les Rothschild financent les vainqueurs !
En 1816 Salomon Rothschild part pour Vienne et devient l’un des banquiers des Hasbourg.
En 1817 s’installe à Paris le célèbre James Rothschild dont on a fait une prière !
Le maillage ou toile d’araignée du mondialisme capitalo-socialiste se met en place, avec sa devise talmudiste « altruiste » : « Rien n’est bon pour les Juifs si ce n’est pas bon pour leurs voisins non-Juifs où qu’ils soient ».
Avec les Rothschild vont arriver les Warburg, et Paul Schiff.

Après la mort du Patriarche Mayer, le centre de la smala bascule à Londres : la City, premier entrepôt de devise du monde. Rothschild deviendra la première banque juive du monde.
En 1839 les Rothschild finance les premiers chemins de fer prussiens, puis d’autres en France.

- Les Haber fournissent les duc de Bade-Wurtemberg au 18è siècle deviennent en 1820 une des premières banques allemande.
- Goldschmidt à Berlin.
- Warburg à Hambourg.
- Les Frères Pereire à Paris.
- Les Fould à Paris.
- Les Lambert à Bruxelles.
- Les Hambros, Montagu, Goldschmidt, Sassoon, Montefiore à Londres.
- Les Goldschmidt à Anvers.
- Leopold Kronenberg à Varsovie.
- Rosenberg à Jitomir.
- Les Günzburg à Kiev et Saint-Pétersbourg.
- Les Aschkenasi à Odessa.

Moses Montefiore jouera un rôle important dans la naissance du N.O.M.
Un autre constructeur du N.O.M. sera Maurice de Hirsch, né en Allemagne en 1831 dans un milieu de banquiers ! il deviendra l’ami du prince de Galles (Édouard VII).

Les Fould s’allient aux Oppenheim et aux Heine de Hambourg.
Les Lambert de Bruxelles s’allient aux Rothschild. En principe l’essentiel des dots est incorporé au capital de la banque de l’époux !!!
- Ludwig Bamberger sera un des fondateurs de la BNP en 1868, puis de la Deutsche Bank en 1870, puis de la Reichsbank en 1871.

Dans la dernière moitié du 19è siècle la City de Londres attire désormais les fortunes d’Europe et les pousse à s’investir aux USA, en Indonésie, au Nigeria, au Kenya, en Afrique australe. Les banques juives s’intéressent surtout aux chemins de fer (les Pereire en France), à la sidérurgie, les mines, le pétrole ; elles prêtent à des aciéries en Suède, à des compagnie de chemins de fer aux USA, à des sociétés minières en Afrique australe, etc.

Devise des matérialistes suprêmes ou « Circulation suprême » :
« Les Warburg ont toujours eu cette chance : chaque fois qu’ils étaient sur le point de devnir très riches, quelque chose  survenait qui les faisait redevenir pauvres et les forçait à tout recommencer à zéro ».


Mais la perle de la définition du CAPITALISME peut se trouver dans la devise des deux frères Abraham et Simon Oppenheim :
« Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ! ».
Ça se rapproche de l’histoire du pantalon à une jambe racontée par Jacques Attali ! Et qui est une définition de notre société de consommation érigée en religion du judaïsme dévoyé.


En France en 1863, les banques d’affaires juives : Fould, Pereirer, Dreyfus, Lazard, Rothschild, Milhaud, Hass, Bamberg (associé à Camondo et Leonino) financent le commerce extérieur et le déficit budgétaire, tout en se tenant à l’écart des banque de dépôt qui se développe en 1863 autour du Crédit Lyonnais.
À Paris en 1865 cinquante Juifs sont dirigeants de banques.
En 1872, sur 440 patrons d’établissements financiers, 95 sont juifs. Les Juifs restent influents comme conseils des États, précise J. Attali.
Les Warburg : Moritz, Paul et Felix partent aux USA. En 1894 Felix rencontre Frieda, fille de Jacob Schiff, un émigré allemand à la tête de la banque Kuhn, Loeb & Cie., la banque la plus célèbre de New York.

« La plus ancienne famille de banquiers juifs encore en activité, venue d’Italie au 16è siècle sous le nom de Del Banco, s’implante en Amérique au premier rang de la fortune sous le nom de Warburg », écrit Attali.
Max Warburg reste en Allemagne, et très lié aux pouvoir allemand qu’il veut engager dans le colonialisme et « éloigner du tsar antijuiviste ».
Voici un portrait des financiers juifs du moment, par Chaïm Weizmann, à propos de Max : « Il était le type même du Juif de cour, plus allemand que les Allemands, obséquieux, super-patriote, anxieux de deviner à l’avance les desseins et projets des maîtres de l’Allemagne »

Selon Jacques Attali, aucun Juif, même les Rothschild, n’atteignent n’approche la fortune des Morny, ou des Hottinguer.

Comme déjà écrit, et l’argent n’ayant pas d’odeur puisqu’il est chez lui partout dans le monde, DIASPORA = L’ARGENT DOIT CIRCULER, c’est un « outil de travail », pas une fin en soi (précise Attali). Facile, et très très très confortable quand on a été riche… et de se retrouver « pauvre »…
« Partout, instruits par des millénaires de persécutions [POURQUOI ?], ces banquiers refusent les honneurs et les titres trop voyants. Ils savent qu’on peut leur en vouloir pour les services qu’ils rendent et pour l’argent qu’ils prêtent [toujours la même rengaine : Monsieur Attali, il faut remonter à l’origine pour trouver la CAUSE]. Ils vivent donc entre eux avec un grand sens de l’étiquette [tu m’étonnes !] et une obsession unique : l’éducation des enfants [bien-sûr : le formatage à faire rentrer dans le crâne de générations en générations selon le principe de l’histoire ou évolutionnisme, donc rendre dépendant, prisonnier !]]


[En références à : Les Juifs, le monde et l’argent - Histoire économique du peuple juif, de Jacques Attali ; Synthèse et Temps Nouveaux, de Jean Coulonval]
 
 

Dernière mise à jour : 09-08-2015 00:08

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