L’Amour c’est le GRATUIT : vers les autres par notre état naturel d’ÉTAT D’ÊTRE. J’insiste : ÉTAT NATUREL. C’est la société mais surtout l’éducation scolaire obligatoire qui brise cet état naturel. Alors en vivant JE SUIS, IL N’Y A PLUS NI TRAVAIL, NI RENDEMENT À FOURNIR POUR LES ENTREPRISES DES BANQUES, MAIS SEULEMENT ÊTRE. Après une autre Galaxie naît. Parce que cet état d’ÊTRE réalisé étant naturel rayonne vers les autres : il n’existe plus le sanguinaire et orgueilleux « vouloir être » principe de l’ego.

 

« Vouloir être » c’est le business de l’ego et du spatio-temporel (d’autres appellent ça individualité). Ne pas confondre ce qui appartient au personnel de l’individualité et ce qui est valable pour l’Impersonnel ou non-duel…

LE DÉVOUEMENT = EN PRINCIPE PAS D’ÉTAT.
Le Dévouement n’est pas contaminé par l’étatisme, ni monarchique, ni républicain, ni tyrannique. Car être dévoué ne veut pas dire être obéissant à son maître, mais veut dire « être consentant ». Consentir est autrement plus difficile (sans confort) que d’être un mouton qui suit et obéit au berger, car CONSENTIR, comme son nom l’indique : con (avec) et sentir signifie bien : ÊTRE LIBRE DE SES ACTES, et par conséquent assumer la responsabilité de sa participation sans plus aucun autre responsable que soi même. L’État et cette judéo-maçonnerie spéculative bouffée par le pouvoir style Grand Orient de France ayant bien compris cela manipule les masses afin de leur arracher dans le confort DU CONSENTEMENT. C’est en cela que la démocratie actuelle ne veut plus rien dire : elle est totalement faussé par la division winners (majorité des votants) et losers (ceux qui ont voté pour le perdant et se retrouvent cons).
Le sens du mot Dévouement a été détruit.

Comme la Vraie Lumière a été détruite par les perruques poudrées au 18è siècle qui nous conduisent à un nouvel obscurantisme, et nettement plus obscure que ce qu’ils pouvaient juger chez les Anciens ; une obscurité pire parce qu’elle est masquée par la technologie reine et la robotisation de l’humain, tout ça grâce aux Juifs et à leur capitalisme comme l’écrit Jacques Attali dans : Les Juifs, le monde et l’argent.

Notre état naturel étant le JE SUIS, il n’y a pas d’état d’Être si gratifiant que la Félicité : appartenir au TOUT, donc à l’Universel, et surtout SE MOUVOIR AVEC LE TOUT : ÊTRE LA FIXATION CAVALANTE. SOIT NE JAMAIS RECOURIR À L’EGO TERRESTRE OU SPATIO-TEMPOREL.
Pour l’enfant Terrien, être « libre » c’est la société de consommation : « Je fais ce que je veux », « Je couche avec qui je veux », donc le pur moteur de l’ego !
La Félicité ou Vraie Liberté c’est aussi faire ce que veux le Réalisé, mais à cette « dimension » la « volonté » est identique à celle de « Dieu ».
Il y a bien une différence entre liberté selon 1789 et ses perruques poudrées et Liberté DANS le « vouloir » de Dieu : UN ÉCHANGE-AMOUR. Et cet Échange se retrouve absolument partout, dans le moindre Caillou, ce qu’avaient bien compris les Alchimistes quand ils parlaient de leur « Matière », évidemment innommable, et pour cause !
Si on ne comprend pas la différence entre la liberté de 1789 et celle du Soi-Instant, on reste esclave dans la liberté d’agir… de l’ego ! Et c’est là que les enfants Terriens s’accrochent désespérément à cette liberté de 1789, à cette illusion : écoutez un Espagnol même naturalisé Français comme le premier sinistre Manuel Valls parler des « valeurs de la République », et vous comprendrez de quelle liberté il baratine ! Et c’est si facile d’utiliser cet argument de « liberté » pour obtenir du « dévouement » au républicanisme de 89 basé sur l’Empire romain et le fric. Et que dire de la « liberté » voulue par le « mariage pour tous » et la destruction de la famille !
Mais personne ne peut imposer le choix de bouffer les « valeurs » de Manuel Valls. Seul le JE SUIS (JÉSUS JE-SUIS) décide.

Voici des extraits du GRAAL, qui est le Vaisseau Spatial de la Stargate ; le Vaisseau ou CHRIST, ou TERRE : LE TORE aux couleurs de l’Arc-en-Ciel.

UPANISHAD DE LA GRENOUILLE (Mandukya Upanishad), EXTRAITS DU KARIKA III (Advaita, non-dualité)
2 - Une doctrine qui n’est pas étriquée, tu vas l’entendre maintenant,
C’est celle du non-né, qui est le même en tout lieu ;
Apprends pourquoi rien ne naît, de quelque façon que ce soit,
Bien que tout naisse, en tout lieu que ce soit.
3 — Si l’Atman [le Soi] est tel l’espace éthéré,
Si le Jiva [être vivant, âme individuelle] est tel l’espace enclos dans un pot [vaisseau],
Le corps physique faisant office de pot ;
Voilà une métaphore illustrant l’origine [de ce qui est né].
4 - Quand se brise le pot,
Qu’advient-il de l’espace qu’il contenait ?
Il se fond dans l’espace éthéré ;
Ainsi donc le Jiva est aussi l’Atman.
5 - De même qu’en certains pots,
On peut trouver des poussières ou de la fumée,
Ce ne sont pas tous les pots qui partagent ces caractéristiques ;
Il en va de même pour les joies et les souffrances des Jivas.
6 - Les formes, les fonctions et les noms différent,
Certes, mais en fonction des endroits qu’ils occupent ;
Cependant l’espace, au sein duquel ils sont localisés,
Est le même, essentiellement ; il en est de même des Jivas.
7 - L’espace d’un pot, face à l’espace éthéré,
N’en est ni le produit, ni une portion ;
De même du Jiva face à l’Atman :
Il n’en est ni le produit, ni une portion.
8 - Tout comme les yeux de l’enfant
Le ciel (en réalité incolore) est vraiment bleu,
Aux yeux de l’être inexpérimenté,
L’Atman apparaît souillé par les imperfections.
9 - Sur la question de la mort et de la naissance,
Du départ et du retour,
De l’omnipénétration de tous les corps -
L’Atman est semblable à l’espace éthéré.
10 - La multitude des corps, comme les rêves,
Comme les illusions, est projeté par l’Atman ;
Semblable à lui, ou dissemblable ?
On ne peut en juger, en aucune façon.
11 - Âme individuelle [Jiva] enveloppée par cinq fourreaux [koskas],
Ainsi que l’enseigne la Taittiriya,
L’Atman suprême se tient là, occulté,
Lui que nous assimilons à l’espace éthéré.
12 - Dans la ‘Section du Miel’ de la Brihadaranyaka,
Le suprême Brahman [Absolu] est présenté comme possédant deux formes,
La forme grossière apparaissant comme terre en entrailles ;
Et c’est lui que nous assimilons à l’espace éthéré.
13 - Si les Écritures, comme par équation,
Déclarent que le Jiva et l’Atman, sont un,
Condamnant de ce fait toute la multiplicité,
C’est alors une vérité, au sens plein du terme.
14 - Et même si un texte considère qu’avant la Création
Ces deux-là étaient séparés (Chandogya 6,3,2),
Cela doit se comprendre au sens figuré, et non littéral,
Et comme s’appliquant à ce qu’ils sont supposés devenir.
15 -  Et si toujours les Écritures enseignent la Création
En utilisant les images de l’argile, du minerai et des étincelles (Chandagya 6,1,3 et Brihad. 2,1,20),
Celles-ci servent uniquement de techniques d’enseignement ;
Car ‘il n’y a aucune multiplicité, en aucune façon’ (Briah. 4,4,19).

18 - Dans la Réalité absolue (paramartha), il n’y a que la non-dualité,
La dualité se trouve dans le monde de la division ;
Les dualistes expliquent la dualité de deux façons,
Chez nous, les monistes, il n’y a pas de telle ambiguïté.
19 - C’est seulement en tant qu’illusion que se manifeste la division
De Cela, qui est un et éternel,
Car si l division existait réellement,
Ce qui est éternel deviendrait mortel.
20 - De l’existence - qui est celle du non-né -
Ces dualistes enseignent qu’elle eut un commencement ;
Mais comment donc le non-né, l’immortel,
Pourrait-il se métamorphoser en mortel ?
21 - L’immortel ne peut devenir mortel,
Pas plus que l’inverse ;
Rien ne peut jamais être autrement
Que selon sa nature essentielle.
22 - Si un être immortel
Devait se métamorphoser en un mortel,
Alors son immortalité serait purement fictive ;
Qu’adviendrait-il alors de sa nature éternelle ?

29 - De même qu’en rêve, le mental e’st actif,
Se manifestant dans la multiplicité, uniquement par le biais de l’illusion,
De même, dans la veille, le mental est actif,
Se manifestant dans la multiplicité, uniquement par le biais de l’illusion.
30 - Le mental, bien qu’il soit un, apparaît
Comme multiplicité dans le rêve - cela est évident ;
Et le mental, bien qu’il soit un, apparaît
Comme multiplicité dans la veille - cela aussi est évident.
31 - C’est uniquement dans le mental que toute chose devient visible,
Et que se manifeste la multiplicité des êtres animés et inanimés ;
Et lorsque le mental s’extrait de lui-même,
Il n’y a plus de multiplicité qui soit visible.
32 - Aussitôt que le mental cesse de produire ses imaginations,
Lorsque l’aube de l’Atman, de l’Être, pointe sur lui,
Alors, en tant que non-mental, il ne perçoit plus rien,
Car il ne demeure plus rien à percevoir.
33 - Et comme la Connaissance éternelle et immuable
N’est en rien différente du connu,
Le Brahman est connu intégralement ;
Seul l’éternel peut connaître l’éternel.
34 - La procédure adéquate consiste en ceci :
Avec détermination, on réprime
Tous les mouvements du mental -
C’est bien différent du sommeil profond.
35 - Le mental est dissous dans le sommeil profond ;
Lorsqu’il est réprimé, il n’est pas dissous,
Mais il devient uni à Brahman,
Le sans-peur, la lumière de la Connaissance [et pas celle des perruques poudrées]

41 - De même qu’une goutte d’eau s’est fondue dans l’océan,
Qui auparavant reposait sur un brin d’herbe,
De même la suppression du mental
N’entraîne aucune difficulté que ce soit.
42 - Il faut supprimer méthodiquement l’activité mentale,
Tirée en tous sens par le désir et la convoitise ;
Elle s’apaisera progressivement et disparaîtra,
Et sa disparition est similaire au plaisir amoureux.

48 - Aucune âme individuelle n’est jamais née,
Il n’y a jamais eu d’origine au vaste univers,
C’est la vérité suprême et sacrée :
Il n’existe rien que la naissance.

Le vieil étang !
Une grenouille y plonge :
Ah ! Quel clapotis !
(Bashô, 1644-1694)