Marxisme Freudisme = socialisme N.O.M.
 

Ecrit par Sechy, le 22-10-2015 19:59

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Marxisme Freudisme = socialisme N.O.M.
Tous procèdent du « regard d’en bas »,
LA MASSE, en dessous de la ceinture : l’instinct.
SOCIAL = VANITÉ
SOCIAL = RELIGION DE L’ARGENT
SOCIAL = RELIGION SHOAHTIQUE
SOCIAL = CAPITALISME D’ÉTAT (affiche ci-dessus)

TYRANNIE DE L’IDOLÂTRIE SOCIALE,
LES ASSURANCES ET SÉCURITÉ SUR TOUT,
PROTÉGEZ MON ET MA CACAPITAL.
Il n’y a pas plus idolâtre que ce monde « moderne »,
dans le sens de faux païens accrochés à la technologie
.
 
 
Contre les « ismes » ou système, seul l’humour est une arme plus puissante que la plus petite bombe nucléaire.
L’HUMOUR EST LE FUSIBLE DU TOUT.


Voir aussi la page : FREUDISME - ÉVOLUTIONNISME

Ce système Marxisme-Freudisme a le mérite d’avoir posé la bonne question à la suite des perruques poudrées du 18è siècle, celle du CORPS dans l’espace-temporel. Hélas, comme nous le vivons à ce hui, le salut ne vient pas d’en bas, ne vient pas du corps ou mental, le ‘je’ ; la « délivrance » marxiste ou freudienne se résout en chaos humain, en « social », et donc en pourriture d'ego. On ne guérit pas non plus une société malade et actuellement un monde malade, à coups de réformes de sa seule élite, qui ne sont plus que des malades, des meneurs.
Le salut ne peut venir que du SUPÉRIEUR, mais un supérieur ou Vraie Foi qui correspond à l’état naturel de l’être humain : l’Amour (privation de mort), soit le mariage du Haut et du Bas ou Réalisation du Soi-Instant. Ainsi le meneur psychopathe qui dirige un pays guérira par son peuple.
Purgés de leur venin révolutionnaire et donc de violence et de meurtre, le marxisme et le freudisme ont le seul mérite de nous faire prendre conscience que le corps existe, et qu’il ne peut pas fonctionner correctement sans le Soi : le Soi a besoin d’un corps pour exister. Le problème est que le marxisme et le freudisme ignorent le Soi, ou ils le conçoivent comme terrestre, comme ego nommé « masse » !!!
 
Comme déjà écrit, l’historien du Moyen-Âge Georges Duby écrivait qu’à cette époque les êtres humains n’avaient pas perdu le sens de leurs responsabilité à l’égard des autres.
Comme les sociétés africaines, les sociétés médiévales étaient fondées sur la Vraie Solidarité. Tout le monde était intégré dans un groupe. Il y avait la famille, le village, la seigneurie, qui fonctionnait un peu comme la Sécurité Sociale. Lorsque survenait une famine, le seigneur ouvrait ses greniers pour nourrir les pauvres.
Le marxisme n’a pas inventé le socialisme !
SOCIAL : mot de 1557, époque qui donne la Renaissance et l’humanisme jouxté à la technologie naissante (imprimerie surtout), les explorations lointaines, et donc le recours à l’argent. Le social se répandait par les livres, du moins pour ceux qui avaient l’argent pour se payer ces livres. Après 1789 en passant par cette judéo-maçonnerie spéculative née à Londres en 1717, c’est le déluge du « social ».


SOCIALISME = CAPITALISME (CAPITALO-SOCIALISME) ou WINNER-LOSER.

Depuis le siècle des perruques poudrées (les « lumières »), l’ego ou raison et le social sont à la mode, c’est vendeur c’est « humaniste » : LE MOI-JE, qui donne la « démocratie » : privilège, pouvoir (d’achat), honneur, diplômes, etc. Si on se protège du social qui est vanité, on tombe dans l’ego ! Des deux côtés est le PIÈGE.
L’idolâtrie du social ne peut fonctionner que sans Conscience, là où ne règne pas l’état naturel de l’être humain : la Félicité.

Le social ne peut fonctionner qu’en SURFACE : la couverture sociale, la justice sociale. La profondeur ou la BASE HUMAINE n’est jamais sociale, et encore moins marxiste ou freudienne. Le critère social de ce hui nous renseigne le moins sur la qualité de l’être humain : fortune, emplois, honneurs et diplômes, loser ou winner, etc., en fonction duquel nous jugeons le plus couramment des personnes.
RAPPEL : on vit ensemble, mais on naît seul, on mange seul, on meurt seul ; personne ne peut le faire à notre place !
Ainsi l’humanité actuelle est prisonnière de la trinité : instinct individuel ou corps, le mental : le « petit coin à soi » (travail, relations, logement, etc.) ; l’Amour, qui ne peut être que le reflet de l’Homo religiosus, même chez un athée absolu.
L’Église de Rome fut le social par excellence pendant plus d’un millénaire. Mais s’en tenant au dessous de la ceinture : le sentimentalisme ou moral du « bien-mal » (les apparences ou opinions), avec à certaines époques un mélange de vraie pauvreté et de fausse opulence déguisée en vraie, une misère menteuse, qui est aussi le grand stigmate du monde actuel (au symptôme en forme de société de consommation) ; l’Église a échoué définitivement.

L’important est d’effacer l’horreur produite par le social-capitalisme : la division winner-loser ou COMPÉTITION SOCIAL, le « exploitez-vous les uns les autres ». Il est alors vital de vivre en dehors de cette dualité infernale, donc vivre en dehors du prestige social, vivre en dehors de sa mode, de son grégarisme.
Winner ou loser sont identique par l'hypnose provoquée par le rang qu’ils occupent dans la hiérarchie ou pyramide des vanités, et tous deux sont impuissants à goûter les biens authentiques : l’Amour ou Instant, qu’aucun succès ou diplôme ne peut nous donner, ni aucun échec ne peut nous ravir. Sortir de cette dualité des « expériences » et des « échecs » chères à des John Lock et autres perruqués empiristes.

L’Angleterre du 19è siècle est symbolique du capitalo-socialisme : naissance du monde industriel sur fond de thermodynamique, donc de misère des uns et de Couilles en Or des autres, accompagné de l’exode rural des paysans qui courent vers les villes pour se faire ouvriers et dépendre du sécuritaire donné par les nouveaux seigneurs : les Couilles en Or ou « capitaines d’industries », soit les banquiers. Industrialisation ou PRODUCTION DE MASSE PAR LA MASSE, SOIT LE SOCIAL. Ajoutez à cela le développement de l’électricité et des machines tournantes qui remplacent la force motrice des humains ou des animaux.
Le social du Moyen-Âge est devenu « propriété privée » : le MOI-JE, le C’EST-À-MOI, le C’EST MON DROIT, l’instinct de propriété des entreprises (copyright, brevets) etc. Idem pour « les masses populaires » ou super grégarisme.

Le social de nos jours ne peut prendre naissance que dans la religion des Couilles en Or : cette juiverie financière internationale (voir Jacques Attali : Les Juifs, le monde et l’argent), qui seront nombreux tout au long du 19è siècle, puis ils seront amenés à être toujours de moins en moins nombreux, concurrence ou guerre entre eux oblige, ils seront mille, puis quelques centaines, et finalement une cinquantaine ou une dizaine quand le Nouvel Ordre Mondial sera effectif, soit une gigantesque entreprise mondiale : voyez les cartels industriels ou financiers qui dominent surtout l’entre deux guerres mondiales (les 300 familles en France) qui s’achètent les États. De nos jours tout le monde est un « employé de l’État », et donc une marchandise des Couilles en Or…

MORALE : justice des Pharisiens ou paravent sécuritaire et confortable masquant ce qu’il y a de plus immoral en chaque moraliste (Pharisien), qui cultive ainsi sa misérable satisfaction de lui même et sa rage de juger les autres. Le meilleur exemple actuel en étant ce « peuple élu » jouxté de cette judéo-maçonnerie spéculative à pouvoir, genre Grand Orient de France.
La morale ou opinion ne s’intéresse qu’aux apparences, donc au social, au GRÉGARISME.
La morale s’inscrit dans le scientisme du 19è siècle suite à l’encyclopédie des Diderot & Cie : le visible, ce qu’on peut mesurer par ses cinq sens ou par un appareil de mesure, donc L’APPARENCE, L’OPINION ; et certains appellent ça « science ». La morale ne peut être qu’opinion ou CONVENTIONNELLE, par exemple les interdits comme l’adultère ou l’inceste, le vol, le cannibalisme (rare de nos jours de « paix »), mais ne s’inquiète pas de savoir si c’est par impuissance, par crainte, ou par amour que nous respectons la « loi » ; idem pour la fameuse laïcité si à la mode depuis 1789 : seul le résultat de l’appareil de mesure compte pour la loi, on baigne donc encore dans le social. Ainsi la morale ou loi n’attache aucune importance à la pureté ou à l’impureté des eaux, pourvu qu’elle empruntent les canaux qu’elle a tracés (les opinions et conventions), et comme elle est incapable de changer le mal en bien, elle n’a souvent pas d’autre ressource que de neutraliser le mal par le mal (mode du terrorisme en ce moment et diarrhée législative et liberticide de l’étatisme).
La Vraie Morale repose sur le primat de la vie intérieur, le Soi ou « Bien absolu » : Le Royaume des Cieux est au-dedans de vous… Il ne lui suffit pas de canaliser le mal, elle veut le tarir dans sa source, qui est le Soi-Instant oublié de l’être humain. C’est le sens du mot de l’Évangile : metanoiete, changez d’âme ou retrouvez la votre immortelle.
Bien et mal sont une des pires, sinon la pire des dualités, car ils roulent les mêmes souillures. On ne peut que purifier la source, et non construire des digues et des canaux autour d’un fleuve pollué ! « Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source » écrivait Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux ; ‘je’ et ‘Je’ sont liés comme le Dragon est lié à son dragonnier.

S’il y a un but à atteindre, ce but ne peut pas être permanent. il doit déjà être présent [non localité… ]. Nous cherchons à atteindre le but avec l’ego, mais le but existe avant l’ego. Ce qui est dans le but est antérieur même à notre naissance, c’est-à-dire à la naissance de l’ego. C’est parce que nous existons que l’ego semble exister aussi.
Si nous considérons le Soi comme étant l’ego, nous devenons l’ego ; si nous le considérons comme étant le mental, nous devenons le mental et si nous le considérons comme étant le corps, nous devenons le corps. C’est la pensée qui construit des enveloppes de tant de façons différentes [opinion]. L’ombre sur l’eau tremble. Quelqu’un peut-il arrêter le tremblement de l’ombre ? Si elle s’arrêtait de trembler, on ne discernerait plus l’eau mais seulement la lumière. De même, ne tenez pas compte de l’ego et de ses activités et voyez uniquement la lumière derrière lui. L’ego est la pensée ‘je’. Le vrai ‘je’ est le Soi.

Quand on est à la recherche du Soi, le mental n’est plus nulle part. Quand on demeure dans le Soi, on n’a plus besoin de s’inquiéter du mental [ou raison].

L’ego est comme notre ombre sur le sol. Tenter de l’enterrer serait une sottise. Le Soi n’est qu’un. S’il est limité, c’est l’ego. S’il est illimité, c’est l’infini, la Réalité.

La réalité, c’est simplement la perte de l’ego. Détruisez l’ego en cherchant son identité [apprivoisez le Dragon]. Parce que l’ego n’est pas une entité, il disparaîtra automatiquement et la Réalité viendra spontanément d’elle-même. C’et la méthode directe. Tandis que dans toutes les autres méthodes l’ego subsiste. Celles-ci soulèvent quantités de doutes et à la fin la vraie question reste en suspens. Dans cette méthode-ci, par contre, la question finale est la seule qui existe, et elle est posée dès le début. Aucune discipline n’est nécessaire pour s’engager dans cette quête.
(Ramana Maharshi, entretien 147)

Ce n’est que lorsque vous aurez transcendé le mental que vous demeurerez le pur Soi. Votre connaissance actuelle est limitée ; la véritable connaissance est illimitée et ne peut donc être comprise par la connaissance actuelle. Cessez d’être le ‘connaisseur’ [le spécialiste], et ce sera la Perfection.
(Ramana Maharshi, entretien 148).

La technologie galopante en progression constante ne peut s’envoyer en l’air de l’évolutionnisme que dans les temps de décomposition de la civilisation, du social, soit le développement de l’ego, du moi-je, et de l’atomisation des masses : croissance simultanée de la masse ou mondialisme et de l’uniformité, dont le phénomène artificiel de l’immigration est par exemple un outil.

Les humains de l’après 1789, et depuis la « théorie du genre » et autres illusions transhumanistes, ne se veulent plus fils de l’homme et de la femme, cela ne leur suffit pas : ils croient qu’ils sont davantage ; ils s’inventent ainsi de faux repoussoirs de limites. Les humains de l’après 1789 et leur « raison » vivent LE PÉCHÉ DE RAISON ou PÉCHÉ DU MENTAL : ILS SOUFFRENT DE L’INFINI.

Celui qui n’obéit pas à la loi sera petit dans le Ciel, mais celui qui n’obéit qu’à la loi n’y entrera pas, parce qu’il sera enfermé dans son ego noyé dans le grégarisme du social ; il ignore le Soi et s’ignore lui-même.

On dit parfois couramment que les « biens » comme la beauté, l’Amour ou la Foi « n’ont pas de prix ». Donc ils valent plus que l’Or des banquiers et leurs « espèces sonnantes et trébuchantes », et aussi ils ne valent rien : au-delà de tous les chiffres ou zéro (Rien dans le Tout et tout dans le Rien).
Mystère et mystification ont la même étymologie : la nuit fait naître les étoiles et les fantômes. Et pour celui qui n’a besoin que de la lumière solaire pour « faire son chemin » sur la Terre, les étoiles même sont des fantômes, car il ignorera le Soi, comme s’il oubliait de naître !

Le marxisme et le freudisme ne peuvent se concevoir sans L’HISTOIRE, DONC SANS ÉVOLUTIONNISME : la fameuse « condition humaine » est du pur évolutionnisme, de l’événement et donc de l’histoire. C’est de la pure illusion de chez Illusion de dire que l’humain est « histoire », ou « moderne » ! De plus c’est prendre les Anciens pour des imbéciles, de la même manière que l’on « compte le temps » depuis « l’histoire de Jésus », en effaçant ceux qui vivaient avant, comme si leur mode de vie c’était de la merde.
RAPPEL :
L’historien des événements politiques ou religieux, l’ethnologue, le sociologue, le psychologue, l’archéologue, ne sont pas des entités qui opèrent en dehors du temps qui coule dans le spatio-temporel. Ce ne sont que des humains engagés, d’une part, dans une situation « concrète », et d’autre part, dans une logique déterminée par la mode du moment, suivant une évolution (histoire), dont ils prétendent rendre compte. Ainsi cette « logique » n’est pas autonome, elle n’est pas un étalon, un dogme, mais une opinion, soit elle ne représente qu’une superstructure qui recouvre, dans le mental de l’observateur, tout une idéation caché, où des mythes nouveaux ont été substitués par la culture, par l’opinion de l’enseignement universitaire, associé à des opinions de mythes anciens !

L’histoire ou le mot-à-dire (opinion) : en Occident la « pensée moderne » est une pensée CONDITIONNÉE (une opinion), et plus que jamais avec l’Empire anglo-saxon et judéo-maçonnique spéculatif (née à Londres en 1717). En Occident, le mythe de la « raison » qui, lui-même, a été élaboré à partir d’éléments irrationnels multiples qui donneront des « évidences » sur lesquelles reposeront les « principes d’intelligibilité » que finalement, personne ne saurait expliquer ni définir de façon rationnelle.
« Le domaine de l’histoire n’est pas le domaine des « faits » ni, encore moins, celui des « phénomènes ». Il est celui de la reconstitution de l’événement, d’une « re-composition » de ce qui a été « dé-composé » par le temps. L’histoire « re-créé » une durée intellectuelle, un enchaînement logique entre des moments abolis en tant que tels, elle « re-fait » les faits et les déforme d’autant. Il y a des faits proprement dits et scientifiquement observables dans la seule mesure où ces faits peuvent être reproduits dans les mêmes conditions. Le « fait religieux » et le « fait magique » n’existent pas en tant que « phénomènes observables » car, dans les sciences humaines, l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il observe et il y apporte tant d’éléments d’incertitudes que l’on ne saurait accorder quelque crédit à une méthode qui, prétendant décrire « objectivement » les faits historiques, prouve ainsi qu’elle méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité ».
(En référence à René Alleau : Aspects de l’Alchimie Traditionnelle, qui donne une bonne définition du sens « moderne » de l’histoire).

Avant 1789 il était difficile d’échapper à l’obéissance (ère des domestiques et des serfs) ; de nos jours nous ne pouvons échapper à la servitude du libéralisme (triomphe de l’ego) et de l’étatisme (même avec nos « droits » ou « liberté individuelle » : le pouvoir de consommer et du 'plaisir' : drogues pour tous).
Plein de « sauveurs de l’humanité » pleurent sur le sort actuel de la condition des humains, mais ces mêmes « sauveurs » ne cherchent pas de qui ils ont refusé d’être les serviteurs. Ici-bas Oui commence à Non ; sinon on est robotisé par le grégarisme ou opinion.
Enfin, le Vrai Social ne peut se concevoir que comme l’Effet Domino, mais dans les deux sens (UN EST LE TOUT : le ‘Je’)…
 
 

Dernière mise à jour : 22-10-2015 20:39

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