Terreur = Vertu, Démocratie, Socialisme
 

Ecrit par Sechy, le 20-04-2016 21:23

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Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Terreur = Vertu, Démocratie, Socialisme
Dictature = forcer l’autre à être
« libre »
à être
« un homme nouveau »
grâce à l’outil républicain
« le Rasoir national »


RÉPUBLIQUE : LA MESSE NOIRE LÉGALE et sa croix le Rasoir national assurant LE PACTE DE SANG. Bienvenue dans « l’édification du socialisme » (entendre Nouvel Ordre Mondial).

Ce monde républicanisé, à pensée unique.
 
 
Voir aussi la page : République française = crimes contre l’humanité

Robespierre est le premier dictateur diviseur en France : il fait le partage entre le « bien » (lui) et le « mal » (ceux qui ne pensent pas comme lui ou ne se rallient à son ego). Dés ce moment, le possesseur de la « vérité » doit définir l’autre, celui qui ne pense pas comme lui et donc incarne le « mal », et qu’ainsi il juge irrécupérable :
« La terreur n’est autre chose que la justice prompte, sévère, inflexible [on dit d’ailleurs « raide comme la justice », ce qui veut tout dire de la part des fixistes comme Robespierre] ; elle est donc une émanation de la vertu [donc une opinion d’ego croyant posséder la « vérité »] ; elle est moins un principe particulier qu’une conséquence du principe général de la démocratie appliquée aux plus pressants besoins de la patrie » (Robespierre, discours du 5 février 1794).
 
Comme en URSS à ses débuts, il ne peut y avoir de rédemption, d’où les slogans : « Point de salut pour les ennemis de la liberté » ; parfaite idiotie quand on sait que la liberté est notre condition naturelle !
Alors les dictateurs se prenant pour des Dieux veulent « régénérer », « humaniser », « républicaniser » le peuple selon le principe de fabriquer de toutes pièces « l’homme nouveau » comme on sort un paquet de lessive avec le « Nouveau, Vu à la télé ! ».

Le terroriste et conventionnel Jean-Baptiste Carrier ne dit rien d’autre quand il déclare : « Nous ferons un cimetière de la France plutôt que de ne pas la régénérer à notre manière et de manquer le but que nous nous sommes proposé ». Voilà un partisan de la « fin des temps » et de son « but à atteindre ».

Origine de « l’homme nouveau ».
Démolir puis reconstruire en dégageant d’abord « l’homme naturel » pour édifier ensuite l’homme social ».
VOILÀ QUE LE RÉPUBLICANISME VENAIT D’INVENTER LA MODE DU SOCIAL, qui selon lui n’existait pas avant !

Le terroriste Billaud-Varenne déclare : « Il faut créer en quelque sorte le peuple qu’on veut rendre à la liberté puisqu’il faut détruire d’anciens préjugés, changer d’antiques habitudes, perfectionner des affections dépravées, restreindre les besoins superflus, extirper des vices invétérés ».

Le dictateur Robespierre déclare vouloir « extirper tous les vices et tous les ridicules de la monarchie pour les remplacer par ”les vertus et tous les miracles de la République” », faisant ainsi de cette « République » une véritable religion singeant l’ancienne. LA LAÏCITÉ ÇA N'EXISTE PAS, L'HUMAIN ÉTANT UN HOMO RELIGIOSUS.



MODE DU SOCIAL, DU « CONTRAT SOCIAL »

« Le moi et le social sont les deux grandes idoles », disait Simone Weil, cité par Gustave Thibon dans : Notre regard qui manque à la lumière.
SOCIAL = COMÉDIE HUMAINE ET VANITÉS.

DICTATURE : FORCER L’AUTRE À ÊTRE « LIBRE » : « NOUS LE RAMENONS À LA NATURE ET NOUS L’AMENONS À LA JUSTICE ». Et « gare à celui qui résiste, il deviendra criminel et digne de tous les châtiments car il se déclare rebelle et parjure ennemi de l’humanité et traître au pacte social ».

À la dictature républicaine il faut y ajouter le départ de l’EUGÉNISME (travail méthodique sur le système de dépopulation) : trop de bouches à nourrir en France : « Des bouches inutiles, sans quoi il ne peut exister de République ». Ainsi, dans certains départements, « nous allions à la chasse aux prêtres. Je n’ai jamais tant ri qu’on voyant la grimace que faisaient ces brigands là en mourant » (Tronson-Ducoudray, La Loire vengée).
Mais faire avaler aux peuples le meurtre de masse d’une partie d’eux-mêmes semble de la folie furieuse. Ainsi, faute d’exemple, TOUT RESTE À INVENTER AFIN DE MANIPULER LES MASSES. LE SYMBOLE DE L’ÉLIMINATION COMME ON SE VIDE LE VENTRE EN SERA LE RASOIR NATIONAL (guillotine) placé en permanence, comme un « cinéma permanent » sur la place de la « Concorde » à partir du 11 mai 1793, SYMBOLE D’UN PACTE DE SANG, donc comme une messe satanique, UNE MESSE NOIRE LÉGALISÉE.

La loi du 17 septembre 1793 dite « loi des suspects » sera une première étape de la mise en œuvre de la mort à grande échelle : en république en fait désormais dans le quantitatif, dans LA PRODUCTION, C’EST LE PROGRÈS du BUSINESS.

Article 1 : Ceux qui sont ou seront prévenus d’avoir pris part aux révoltes ou émeutes contre-révolutionnaires qui ont éclaté ou qui éclateraient à l’époque du recrutement dans les différents départements de la République…
Article VI : Les prêtres, les ci-devants nobles, les ci-devant seigneurs, les insurgés, les agents et domestiques de toutes ces personnes, les étrangers, ceux qui ont eu des emplois ou exercé des fonctions publiques dans l’ancien gouvernement ou depuis la Révolution, ceux qui auront provoqué ou maintenu quelques attroupements des révoltés, les chefs, les instigateurs et ceux qui auront des grades dans ces attroupements et ceux qui seront convaincus de meurtre, d’incendie ou de pillage subiront la peine de mort. (Gazette nationale, 18 septembre 1793).

Cela servira de modèle à la révolution russe de 1917 :
Le gouvernement juif bolchevique déclare le 5 septembre 1918 : « protéger la République soviétique contre ses ennemis de classe isolant ceux-ci dans des camps de concentration ». (Izvestia, 10 septembre 1918). La nouveauté sera L’INTERNEMENT ARBITRAIRE, des « otages » de catégories étiquetées « socialement dangereuses », puisque depuis 1789 on étant à la mode du « social ».
Les cancéreux soviétiques du pouvoir ont érigé les prises d’otages et les pratiques de répression cruelle à l’encontre des proches, voir des connaissances des insurgés et des émigrés, en un système de terreur parfaitement planifié. Ceci pour soumettre de façon absolue le peuple russe à l’opinion de têtes d’œufs du parti socialiste ou communiste, c’est la même chose.
Pour l’édification du « socialisme » on ne montrait plus le Rasoir national sur la place de la « Concorde », trop grotesque, ON FAISAIT DANS LA DISCRÉTION. L’élimination des masses devait se faire dans la discrétion, Ainsi l’OGPU a étendu l’expérience locale du Goulag qu’il a conduite dans le Nord à la totalité du pays. Il fleurissait un peu partout des camps de travaux forcés ou Goulag.
Avant de faire crever les contre-révolutionnaires, en 1923 l’OGPU décide : « Pourquoi exécuter les contre-révolutionnaires, les popes, les NEPmen, les moines et toute cette engeance alors qu’ils pourraient nous être utiles ? Qu’ils travaillent un peu pour les Soviets d’abord ! ». Ainsi les popes et autres « nuisibles » sont progressivement éliminés, mais pas avant d’avoir travaillé au-delà de leurs forces : « Ils crèvent doucement » disent les tchékistes [police politique de la Tchéka], « mais laissent derrière eux du bois prêt à être exporté », ce qui est la preuve QUE LE SOCIALISME NE PEUT PAS SE PASSER DU CAPITALISME, parce que ce bois réel était exporté notamment vers les USA, qui ainsi se rendaient complices des horreurs du socialisme de l’URSS, elle aussi contaminée par « le contrat social » de 1789.

Depuis près des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture on tue toujours au nom de la « liberté » (ou comme de nos jours avec ”la guerre contre le terrorisme”). Partout au nom de la « liberté » on torture lors d’interrogatoires nocturnes, on provoque la faim, on passe à tabac, on exécute sans jugement, et en 1793 on coupe des têtes. Voilà la prétendue « liberté » qui n’est qu’ego ou possession de quelques uns gangrénés de pouvoir.
 
 

Dernière mise à jour : 20-04-2016 21:51

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