Indécence et Narcissisme absolus
 

Ecrit par Sechy, le 13-05-2016 23:47

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Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Indécence et Narcissisme absolus
Société du enjoy
à ne pas confondre avec le Gai savoir !
La mode du social issue de la
matrice socialiste :
LE JUDAÏSME RUSSE DE 1917 ET
SES QUATRE PILIERS JUDÉO-MAÇONNIQUES :
LE SOCIALISME,
LA PSYCHANALYSE,
L’AMÉRICANISME,
LE SIONISME (1)

Bienvenue dans un monde de sodomisme inversé.
 
 
Selfie = « vivre ensemble » ou réseaux sociaux, y compris se suicider en live, pendant de la mode des jihadistes coupeurs de têtes au sabre (ils ne connaissent pas encore le Rasoir Républicain français).

L’indécence et le narcissisme sont absolus quand une personne se filme et met en scène son suicide, ce qui est bien dans la mode du narcissisme avec son « selfie » et maintenant son pendant « social » : Periscope. Ainsi nous avons UNE CHAMBRE D’ÉCHOS MONDIAUX : une grande partie de la vie « moderne » tout est enregistré partout dans une sorte de palais des miroirs, où la vie se présente comme une succession d’images ou de signaux électroniques digitalisés. La vie moderne est complètement médiatisée par les images digitalisées : « Souriez, ou tuez-vous », la caméra ou le tétéphone enregistre. Le selfie et les réseaux sociaux sont un symptôme d’ANGOISSE : il faut respecter la norme et faire comme tout le monde : être à la mode, et toute déviation sera considérée comme pathologique. Le tout connecté en santé reflète aussi cette profonde angoisse du patient qui ne sera rassuré que si ses instruments lui confirme le « bon fonctionnement » de son corps ! Désormais, il est interdit de vieillir, interdit d’être malade car « ça coûte cher à la société » (rentabilité du capitalisme oblige, rien ne doit être gratuit… ).
Même un animal se cache pour mourir. Un humain moderne totalement malade et déraciné, il ne se cache pas, il se filme juste avant son suicide, ou même pendant grâce à la folie technologie.
À quand quelqu’un se filmant en train de chier ?! Comme ça on reviendrait au temps des Romains quand ils allaient chier à plusieurs et pouvaient discuter le coup, comme de nos jours certains vont au café pour refaire le monde au comptoir devant un verre de vin ou une tasse de café, histoire de meubler leur ennui et leur PEUR DU SILENCE.
 
TOUT CELA FAIT LA PARTIE DE LA SOCIÉTÉ MARCHANDE ET DE SON CAPITALISME : ON RENTABILISE SON SUICIDE, MOI, MOI, MOI. PLACE À L’EGO ÉGOÏSME. LA PERSONNE QUI FILM ELLE-MÊME SON SUICIDE ET GRÂCE À LA TECHNOLOGIE LE PLACE EN DIRECTE SUR INTERNET EST UN MONSTRE. ELLE N’EST PAS PRÈS DE TROUVER LA PAIX LÀ OÙ ELLE EST DÉSORMAIS, CAR TOUT EST LIÉ.
La monstruosité est même décuplée si la personne prend un malin plaisir la veille à faire des annonces vidéos sur l’Internet en se voulant « sauver le monde » (équivalent de « faire réagir les gens » ou « ouvrir les esprits »). My God, de quoi elle se mêle ?!


Sous la dictature du capitalisme tout est comme ça : chosifié, culte du moi, moi, moi. C’est d’ailleurs résumé par cette citation capitaliste des frères Abraham et Simon Oppenheim, cité par J. Attali : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ! ».
Vous avez là la parfaite définition de la Super Carotte juive de leur « fin des temps », la définition de la société de consommation. Et c’est bien le principe du capitalisme : continuellement susciter de nouvelles demandes et leur contraire : du mécontentement qui ne puissent être apaisés que par la consommation de marchandises, comme le résume si admirablement les frères Abraham et Simon Oppenheim ; les Juifs ont ça dans leurs gènes, sauf peut-être les « Juifs pauvres » ! Et le même système capitaliste fonctionne en politique suivant son principe de « démocratie » : le citoyen est un client de l’État, et le travailleur de producteur devient consommateur. Ce système modèle Oppenheim fait naître des guerres permanentes comme celle de la bureaucratie que combat le capitalisme qui veut sa « fluidité », vendre-acheter-vendre sans entrave.

Avec leur « fin des temps » et leur Carotte Demain On Rase Gratis (DORG) ou lendemains qui chantent, on se moque de l’âge puisque tout est repoussé à la fin des temps : voyez la mode transhumaniste du « prolongement de la vie » qui rêve de « guérir la vieillesse ». Mais, la crainte du grand âge ne provient pas d’un « culte de la jeunesse » mais d’un narcissisme absolu.
L’utopie transhumaniste technologique sans vieillesse et son fantasme de prolongement de la vie EST UN PARFAIT SYMPTÔME DE MONSTRUOSITÉ, DE SADISME, ET TYPIQUE DE CE MONDE NARCISSIQUE.
L’inspiration et les origines psychologiques du mouvement transhumanisme sont psychotiques comme est une maladie de mettre entièrement son salut dans la médecine : ça exprime sous cette forme caractéristique les angoisses d’une culture qui ne croit plus en l’avenir, qui REFUSE L’INSTANT, QUI EST INCAPABLE DE VIVRE L’INSTANT, QUI EST SEULEMENT OBSÉDÉ PAR L’AVENIR (fin des temps) ET PAR LE PASSÉ (devoir de mémoire et religion de la Shoah pour certains).
OR VIVRE SANS L’INSTANT EST LA DÉFINITION MÊME DU PÉCHÉ. UN INFINI RENONCEMENT À VIVRE VRAIMENT, PUISQU’ON REPOUSSE TOUJOURS PLUS LA « FIN DES TEMPS », OU APRÈS LA MORT.
Et c’est logique, puisque les Juifs FIXENT leur « fin des temps », après, plus rien ne bougera, tout sera figé, cristallisé, sodomisé (réduit en statue de « sel », ou scelle, de sceller : pointer, cocher, marquer ; selle était le nom d’une punition infamante ; on dit aussi « mettre sur la sellette », qui était une sorte de pénitence chez les moines et dans l’ordre de Malte. Les gens de Sodome furent réduit en statue de sel, soit brûlés, purifiés). Le transhumanisme se situe dans ce sodomisme de statue de scelle qui déporte l’Instant à la « fin des temps ». L’histoire d’homosexualité est destiné à « faire peur aux enfants » ! Mais surtout Sodome se montre inhospitalière, donc anti-social !!!

Le capitalisme inventé par les Juifs comme l’indique J. Attali dans son livre : Les Juifs, le monde et l’argent, TRAVAILLE NÉCESSAIREMENT CONTRE LE GENRE HUMAIN, ET QUE PLUS CES HUMAINS SE CONTENTERONT QU’ON LEUR VENDE DES LENDEMAINS QUI CHANTENT, PLUS LE MONDE QU’ILS RECEVRONT EFFECTIVEMENT EN HÉRITAGE SERA IMPROPRE À LA RÉALISATION DE LEUR PLUS PETITE ESPÉRANCE.


EN CAPITALISME TOUT DOIT ÊTRE RENTABLE, Y COMPRIS LA REBELLION, LA RÉVOLUTION COMME EN 1789 ET AVANT CHEZ LES ANGLAIS.


Pour lutter contre le capitalisme SEULE LA GRATUITÉ EN VIENDRA À BOUT, comme le pratiqua un Raymond Roussel, pourtant très riche, et qui n’avait pas besoin de « bosser en usine » pour vivre.
Roussel se moquait de l’illusion que renvoyait ce monde du spatio-temporel. Roussel se libère du langage pour en faire son unique source d’information et d’inspiration. Le « procédé », décrit d’ailleurs dans Comment j’ai écrit certains de mes livres, consiste en gros, à aller d’une phrase à une autre tout à fait ou presque semblable, mais de signification très différente, par la médiation d’une histoire dont la seule fonction est de fournir la matière d’une transition plausible entre la séquence initiale et la fin. Une histoire qui se passe ici de son prétexte ordinaire, et ne présente pas les semblants d’une quelconque réalité. Pour que l’histoire fonctionne, il lui suffit de mettre en rapport deux phrases apparemment sans rapport : d’aller du littéraire au littéraire en passant par le littéraire ! Donc à l’abris de toute illusion du spatio-temporel. Les aventures qui se déroulent sont des histoires de mots/maux : les mots ont une réalité suffisante, il n’y a pas besoin d’ajouter de l’illusion sur de l’illusion !

Raymond Roussel opère une double impasse au réel qui affecte à la fois le spatio-temporel comme signifié (le signe) et le même spatio-temporel comme signifiant (la manifestation du signe ou signifiant, soit le langage. On est dans la dualité sujet-objet).
Le langage roussellien ne passe pas par une signification intérieure et par une illusion du spatio-temporel. Ce langage est GRATUIT : IL N’A RIEN À DIRE, ET NE VEUT ABSOLUMENT RIEN DIRE ! Raymond Roussel s’en prend donc à l’illusion du spatio-temporel. RAPPEL : il est né plein pot à la fin du 19è siècle en plein regain de l’ésotérisme !
Roussel élimine donc cette illusion nommé « réalité » mais s’en prend aussi à « la réalité du langage » lui-même ; il s’en prend au sens. Bref, il n’y a plus d’illusion nulle part ! ni hors du langage, ni à l’intérieur du langage.
L’univers roussellien est étranger à l’illusion du spatio-temporel, et il est en son essence purement fictif parce qu’il a ses propres lois (Roussel voulait composer de la musique), et que ces lois propres sont les instruments même de l’histoire ; les mots/maux sont des jeux où il n’y a aucune logique, ni aucun modèle du spatio-temporel qui viendraient contrarier ces jeux.

Le célèbre psychiatre Pierre Janet observera « le cas clinique » de Raymond Roussel pour qui l’œuvre ne doit rien contenir de « réel », aucune observation du monde ou des esprits, il ne devait y avoir que des combinaisons tout à fait imaginaires.
On sait que Raymond voyageait confortablement « à rideau fermé » dans une roulotte qu’il ne quittait que de loin en loin, le temps de consacrer un quart d’heure à ce qu’il appelait dans une carte postale : « une visite sommaire de la ville », lorsque son chauffeur l’avertissait qu’il était à Ispahan où à Pékin.
Roussel était un maître en évocation de ce qui n’est pas, donc du RIEN. FAIRE QUELQUE CHOSE DE RIEN, ce qui encore une fois correspond à ce renouveau de l’ésotérisme à la fin du 19è siècle si matérialiste. Parce que le RIEN = SOURCE DU BEAUCOUP. ROUSSEL ET NIKOLA TESLA FERAIT UN BEAU COUPLE ! TOUT DEUX FONT DANS L’ÉNERGIE LIBRE AVANT L’HEURE !!!

Raymond Roussel champion du Rien, ne pouvait que faire dans la platitude littéraire, admirable car sans défaillance, car ne sont admis, à l’issue d’une sélection sévère, que le lieu commun connu et éprouvé, l’expression usée et convenue, bref, la parfaite platitude, car est exclu tout ce qui pourrait évoquer le « réel », en particulier tout ce qui pourrait renseigner sur la sensibilité ou les intentions de l’auteur.
Raymond Roussel champion du Rien, car n’est pas plat qui veut : un art d’écrire comme un campeur qui voudrait traverser un torrent en crue sans jamais s’y mouiller les pieds.
ROUSSEL EST LE MAÎTRE DE L’INSIGNIFIANT, DONC DU GRATUIT.
Car il raconte des histoires sans histoires : on n’a aucune possibilité de procéder à une interprétation quelconque de l’histoire ! Si les histoires de Raymond Roussel sont captivantes, c’est justement dans la mesure où elles manquent totalement d’intérêt puisque ce sont des SOURCES : ELLES COULENT, RIEN NE PEUT RETENIR UN INSTANT UNE ATTENTION DE QUELQUE ORDRE QUE CE SOIT, PSYCHOLOGIQUE, PHILOSOPHIQUE, HISTORIQUE, POLITIQUE, RELIGIEUX, SCIENTIFIQUE. La consistance des histoires est nulle, car Roussel ne se « commet » jamais, ni ne se compromet dans son écriture.
IL EST TRÈS RARE DE RÉUSSIR À NE RIEN DIRE, PREUVE D’UN PARFAITE GRATUITÉ, ET BONNE PREUVE PUISQUE ROUSSEL ÉTAIT RICHE. N’EST PAS INSIGNIFIANT QUI VEUT !

RAYMONS ROUSSEL : UNE ÉCRITURE MUETTE, comme ce morceau de musique de John Cage, qui devait avoir lu du Raymond Roussel, à n’en pas douter !
Oui, John Cage se situe dans le courant de Roussel, à y ajouter un frère de Roussel : Erik Satie. Ces trois personnages sont liés au thème du TEMPS.

Capitale = dictature de l’évolutionnisme vers la fin des temps ou robotisation de l’humain : chosification absolue due au capitalisme.
Qui a inventé le capitalisme ? Ce sont les Juifs (lire Jacques Attali : Les Juifs, le monde et l’argent).
CAPITALISME = COMPÉTITION DANS CE MONDE DE WINNERS-LOSERS : DÉTRUIRE L’ADVERSAIRE, LE TERRORISTE. GAGNER AUX JEUX, À LA BOURSE, AUX DÉPENS DU LOSER (le troupeau, les masses et « l’économie de masse » : la démocratie). CONDAMNÉ À LA RÉUSSITE OU ÉTAT DE WINNER. À l’école primaire le « prix d’excellence » m’a toujours choqué ! Évidemment je ne l’ai jamais obtenu, ni même le « bac » (à sable puisque n'y ai jamais joué) !

Comme l’écrit Jacques Attali, les Juifs sont devenus des winner selon leur opinion de « peuple élu » : « Les Juifs seront au premier rang des prodigieuses mutations technologiques, industrielles et financières qui vont rendre possible la production de masse. Démocratie et marché se révéleront là inséparables. L’entrée dans l’une va accélérer l’entrée dans l’autre ». Merci Monsieur Attali, vous avez tout dit ! Il écrit qu’ils commencent leur entrée triomphante là où ils s’approchent de gens atteint par le cancer du pouvoir : dans l’Empire, en Prusse et dans les principautés allemandes ; en 1781 et 1789 l’empereur Joseph II exempte tous les Juifs autrichiens du port de l’insigne distinctif et du paiement d’impôts spécifiques.

Si je lis bien Jacques Attali, les Juifs foutent la merde partout, avant la révolution russe de 1917 ils organiseront et bien-sûr financeront « la découverte de l’Amérique », « extraordinaire odyssée des Juifs d’Espagne, chassé du monde ancien et découvrant le nouveau », écrit Attali, confirmant le début du capitalisme et l’ethnocide des Peuples du Soleil (Mayas, Aztèques Incas, etc.) par les Conquistadors espagnols et portugais, le tout sous packaging « christianisme » et « marranes » ou conversos (faussement convertis) envahissant l’appareil étatique espagnol et portugais (Christophe Colomb). C’est à partir de là que commencera ce qu’on appelle « la diaspora ».

Note.
1. D’après Jacques Attali, qui ajoute qu’après « les malheurs du temps » deux millions de Juifs se retrouvent chez leurs pires ennemis : les Russes et les Autrichiens : la Varsovie russe va devenir la matrice du socialisme (avec aboutissement à la révolution russe de 1917), et l’Autriche va devenir la matrice de la psychanalyse.
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 14-05-2016 00:18

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