Festival de canne républicaine
Vrai que les cannes ou matraques et
cagoules c’est très pratique
pour organiser les casses puisque
tout est désormais INVERSÉ.
Grosse mise en scène avec nombre
de caméras (voir vidéo ci-bas).
Bienvenue à Hollywood où le nouveau rasoir
républicain est la propagande
comme le pharisien Paul fut le rasoir de
conversion massive du catholicisme débutant.

Big Brother et Big Other
Tout tourné vers l’extérieur !
Tous vers la pensée unique,
tous tournés vers l’extérieur
vers l’autre,
L’AMOUR DE L’AUTRE (xénophilie),
amour de l’extérieur,
au lieu de commencer par
se tourner vers le SOI,
et seulement ensuite
naturellement sans le vouloir
on rayonne vers l’autre.
RAPPEL : LE SPHYNX TOURNE SES REGARDS
EN LUI-MÊME ET NON PAS VERS L’EXTÉRIEUR.
Adolphe Hitler est plus important mort que vivant,
le Chancelier entame donc une seconde carrière !
Les Juifs morts « aux combats » sont
plus importants que les Juifs vivants,
tout est inversé !

LES CHRÉTIENS ET LEUR BIG OTHER ou socialisme des 2000 ans.
Nouvel Ordre Mondial : 2000 ANS DE PSYCHOSE DE LA CROIX.

 

 

S’il n’y avait pas de violences policières, les policiers n’auraient pas besoin de manifester eux-aussi !!! Monde à l’envers, monde de l’opinion. Il est temps de construire un monde où n’existe ni militaires, ni police, ni justice humaine, donc un monde sans étatisme, sans chefferie de malades. 10.000 ans de voie de l’Agriculture ça suffit !

 

Il y a déconstruction du « Moi individuel » revenue comme dans l’Antiquité au « Moi collectif » mais à l’envers : en BIG OTHER. Le Big Unity du « Moi collectif » est transformé en Big Other : des individualités ou ego sans aucun lien les un aux autres. Le « vivre ensemble » de la propagande socialiste actuelle n’est pas le Big Unity mais le Super Grégarisme, LA PRISON renforcée aussi par réseaux sociaux.
Big Other : toujours tourné vers l’autre, vers l’extérieur, jamais vers l’intérieur. C’est une « Moi individuel » inversé, alors que l’Antique « Moi collectif » était un « Moi Individuel » très présent et en parfaite harmonie avec l’ensemble : le « Moi collectif ». C’est la même chose que les Anciennes Religions qualifiés par les haineux abrahamistes de « polythéistes ». Elles ne l’étaient nullement, elles connaissaient toutes un Dieu suprême dont les multiples expressions et le fractionnement dans la création étaient symbolisées par les autres Dieux (comme le cerveau et les organes du corps échangeant avec lui).

LA DETTE : le péché vis-à-vis de Jésus.
LA DETTE : l’évolutionnisme, le but à atteindre, etc., toujours à l’extérieur, jamais dans l’Instant ou Soi. Cependant, les Yahvistes et autres copieurs comme les Mahométans se mettent l’Instant au bout du zizi dans la CIRCONS-cision au lieu de vivre la CIRCONS-tance ; ces gens vivent par procuration et signe un contrat : « le sang de l’Alliance », le serment du sang ; identique au sang de la communion, soit par rituel, soit par la guerre. Le contrat et sang moderne c’est l’argent qui circule partout.

L’ESCROQUERIE AUX BONS SENTIMENTS : L’ÉGLISE DE ROME, et ça dure depuis plus de 2000 ans, en comptant d’après le décompte inventé par cette même église.
Ce que Jean Coulonval dénonce à longueur de son livre : Synthèse et Temps Nouveaux.
Oui, l’Occidental est un dettman : il doit par ci par là. Il suffit d’entendre le mot « responsabilité » dans la bouche de cancéreux du pouvoir. Qui dit dette dit remboursement. Donc se sentir COUPABLE. il y a aussi la mode de la victime héros : la victime a toujours raison ; voyez cette religion de la Shoah, des gays, des femmes, etc., la liste des victimes est désormais longue !!! Le mot « victime » comme le mot « complot » sert à censurer l’opposant au système étatique ou de pensée unique.
La DETTE ou ÉPÉE DE LA DAME AU CLEBS : on vous tient par les couilles ; ON VOUS TIENT PAR LES BONS SENTIMENTS, PAR LA PLEURNICHE, dont les spécialistes sont les Yahvistes. Vous n’allez pas passer pour un salaud et vous allez tendre la main au pauvre « migrant » nageant vers vous parce que son bateau a crevé ! Vous lui devez une dette. Tout est comme ça dans ce monde construit sur la religion de l’argent.





Ah oui ! « La filiation en masse comme la betterave », donc les humains robotisés, transhumanisés : « l’homme nouveau », la société fourmilière, avec ses Couilles en Or comme les Rothschild-Rockefeller & Cie.
Donc nous perdons progressivement ce que Jean Coulonval nomme dans son livre Synthèse te Temps Nouveaux : LES ESSENCES.

Le RACISME, naturel ou combattue, est une Big Other, tout comme le triomphe des minorités, phénomènes d’après mai 1968 : il suffisait de voir comment les homosexuels avec le FHAR se démenaient à l’époque… Les pays les plus racistes au monde sont les États-Unis (esclavage des noirs notamment) et le pays artificiel : Israël. Le phénomène du grégarisme est encore un Big Other, comme son « vivre ensemble » qui va amener naturellement de force l’immigrationisme actuel.
L’après mai 1968 va donner le racisme anti-Pétain, anti-Vichy, la France devient grande coupable. Puis va arriver le phénomène SOS racisme, puis la chefferie reconnaît la « responsabilité de l’État français dans la déportation des Juifs » (ce même État NE RECONNAÎT TOUJOURS PAS SA RESPONSABILITÉ DANS L’EXTERMINATION DES VENDÉENS).

BIF OTHER = PENSÉE UNIQUE, GRÉGARISME, MEETINGS ET MANIPULATION EN TOUS GENRES.

SOCIALISME DES CHRÉTIENS = L’AMOUR DE L’AUTRE, soit UN SUPER GRÉGARISME, UN SUPER BIG OTHER, UNE SURVALORISATION DE L’AUTRE en forme de culte de Super Héros.
« Si chacun s’occupait de ses propres affaires, il n’y aurait pas de querelles ».
« L’homme, qui n’est qu’un grand de poussière dans le monde, veut en obtenir davantage et récolte ainsi les ennuis ».
Ramana Maharshi, entretiens 479 et 63)
Il était évident que les Chrétiens ne pouvaient que se livrer au COLONIALISME ET SE MÊLER DES AFFAIRES DES AUTRES COMME LE FERA À PARTIR DE 1789 LE RÉPUBLICANISME.

Oui, le Big Other est la continuation du socialisme du marxisme-léninisme : pas de classe, pas de race, société fourmilière à la « United Colors of Benimoimoi ».
BIG OTHER = DÉRACINEMENT UNIVERSEL.
Ce Big Other a été déjà dénoncé en 1941 par Gustave Thibon quand il écrivait dans Notre regard qui manque à la lumière :
« Si nous suivons l’échelle qui va du minéral à l’homme, nous voyons les êtres devenir de plus en plus originaux et irremplaçables et, corrélativement, de plus en plus susceptibles d’échanges avec le reste du monde. Au plus bas degré, il n’y a ni différence ni échanges entre deux grains de sable. Au sommet, les êtres sont très différents, mais ouverts à tout ce qui les entoure par la connaissance et l’amour. Au sommet suprême, Dieu est à la fois le plus distinct et le moins séparé des êtres : il ne ressemble à rien (Quis similis Deo ?) et il est partout.
La matière, au contraire, est le principe de la confusion et de la séparation [l’ego, le ‘je’, l’opinion]. Son caractère amorphe et indéterminé fait qu’on peut la diviser à l’infini [fractales] et que toutes ses parties sont homogènes.
Veut-on des exemples ? Deux personnes qui s’aiment sont irréductibles l’une à l’autre et, en même temps, elles ne font qu’un dans leur amour, tandis que deux machines fabriquées en série sont parfaitement semblables et parfaitement séparées : leur différence est purement spatiale et numérique [et c’est ce qu’il se passe avec le Nouvel Ordre Mondial : le quantitatif, les humains-marchandises, et demain les robots du transhumanisme]. Comparez deux amants unis et deux automobiles du même type : là, la communion dans la différence ; ici, la séparation dans l’identité. Rien de ce qui est complémentaire (c’est-à-dire fait pour l’Unité) n’est interchangeable et tout ce qui est interchangeable est nécessairement séparé [là encore : Nouvel Ordre Mondial, voyez « le monde hôtel » de Jacques Attali où tout est interchangeable puisque lié à l’argent qui lui aussi circule partout d’hôtel en hôtel : IL N’A PAS D’ODEUR, et est devenu un Dieu, une IDÔLE. Nous aurons un monde fourmilière effectivement sans odeur, pasteurisé, terne comme jamais auparavant]
C’est malheureusement vers la seconde formule - celle de l’individu séparé et interchangeable [le monde hôtel d’Attali] que semble s’orienter l’évolution de sociétés humaines. le nivellement universel, en tuant les différences entre les hommes, tue aussi la vraie Unité sociale, mais il crée du même coup, étant donné que la mort est infiniment plus docile et plus malléable que la vie, mille possibilités d’unité factice, rapide et transformable à loisir : celle qu’impose à des hommes vidés de leur âme et de leur liberté le joug de la force brutale ou l’influence à peine plus subtile de la propagande ».

Oui, l’Union européenne est la graine de projet judéo-maçonnique et sa « République universelle » qui doit régner sur le monde entier. Une graine semée par la City de Londres et son oligarchie anglo-américaine.

Oui, la mode est au trans ceci, trans cela, dont le transhumanisme, le transgenre (opinion sexuelle), etc.
TRANS : autre Big Other signifiant : par delà, au-delà de, à travers ceci ou cela, et qui marque le changement, la transformation. Tout ça pour aboutir à l’humain déraciné, L’HOMME-HÔTEL DE JACQUES ATTALI. Là encore Big Other puisque nous n’avons plus de maison… il n’existera plus que des hôtels, donc des trucs extérieurs, une « société ouverte », une société transhumanistique : on change les pièces…
Le Big Other comporte la chefferie des fabricants d’opinion, de psychoses collectives comme celle de la Croix, celle de la République, ces inventeurs de « ismes », ces têtes d’œufs géants comme proche de nous : Staline, Hitler, Mussolini, De Gaulle, Nasser, Mao. Tout le monde veut trouver la sécurité, s’intégrer, trouver le confort intellectuel et sentimental dans la harde ou Super Grégarisme et son « vivre ensemble ». C’EST ABOMINABLE ! C’EST LA PRISON PARFAITE.