Civilisation du Big Other
Depuis 1789 le client est Roi,
mais il achète ce qu’il trouve
dans les rayons du supermarché !
C’est ça le Big Other :
L’OFFRE, pas la demande.
Le Big Other est typiquement
la « Fin des Temps » des Yahvistes.
Le parfait Big Other est
la guerre de tous contre tous
chère au complexe militaro-industriel.

Big Other ou société du « projet », du globish.
Société du FRIC et du FLIC et du FROC-FRAC [sans culottes ou uniforme(ité)] qui va engendrer le FRIC-FRAC.
FLIC-FRIC-FROC ont toujours fait bon ménage en religion capitalo-socialiste religion de l’endoctrinement à l’égalitarisme et de l’uniforme FLIC-FROC-FRAC ; le FRAC pour avoir le monde entre ses mains. Le FRAC Big Brother Big Other.

Page dédiée aux Vauriens et aux Albigeois.

 

 

Le Grand Big Other est donné par toutes les religions : CE QUI EST CHER, DONC AFFECTIVO-ÉCONOMIQUE : une prière sert à acheter quelque chose. Dans le Big Other ON IGNORE LA GRATUITÉ, L’INSTANT, le VAURIEN. D’ailleurs, on parle de « Vaut-il le coup de faire ceci ou cela ? » Le Coût et le Coup !
Les religions et leurs SENTIR-MENTS avec acquisition du BIEN, des BIENS. La liberté ou bonheur ce sera la possession de beaucoup de BIEN, GRÂCE À CETTE NOUVELLE ÉGLISE : LES BANQUES et la DETTE. Et tous ça pour VOTRE BIEN, pour VOTRE INTÉRÊT ; sinon, le système vous reprochera de lui ÊTRE SI CHER. Oui, nous sommes encore loin du VAURIEN ou GRATUITÉ ; ce VAURIEN qui, avec la montée en puissance des banques, sera un véritable symbole des BAGNES RÉPUBLICAINS pendant tout le 19è siècle et jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale.

 

Le Big Other c’est aussi le winner que sont les « métiers » de travailleurs du chapeau : cadre, responsable marketing, présentateur ou trice de télévision, expert-comptable, notaire ou avocat, banquier ou trader ; au détriment des Centrum Centri que sont devenus les losers : cordonnier, menuisier, maçon, jardinier, paysan, éboueur, et moult artisans.
Avec les travailleurs du chapeau winners cités ci-dessus ces gens là font DANS LA MORALE OU OPINION, si bien qu’ils leur seront moralement difficile de se reconnaître parasite de la société, en expliquant que ce sont eux, cette chefferie, qui permet le « progrès » optimum du capital ! Dans une vision de l’Instant, on a donc ces gens là : l’abstrait, contre le concret : les ouvriers, ceux qui ouvrent.
Les winners de demain seront les PAYSANS-PAÏENS, et les citoyens habitants des villes disparaîtront. La robotique du futur ne sera pas placé là où on le met actuellement, pour la simple raison que la Matière sera transcendée ; exemple : une porte n’existera plus, elle sera « cellule » dans un « mur » où par Vraie Télépathie un ouverture se produira dans ce mur.

Le Big Other selon le thème « fin des temps », c’est l’écologie, cette singerie du socialisme en forme de DORG (Demain On Rase Gratis) promettant comme les transhumanistes « le meilleur des mondes » comme les républicains de 1789 promettaient « la liberté ». De nos jour de folie technologie, c’est « qu’elle est verte ma technologie » !
Écologie mercantilisme pour vendre toujours plus de produits afin de déculpabiliser les gens, sous manipulation « faire un geste pour la planète ». Que des artifices mercantiles.
L’abaissement du coût de fabrication fait augmenter la demande : voilà encore un Big Other.

Mais le Big Other essentiel est l’absurdité que fait produire le système démocratie-république et son capitalo-socialisme : des particules nanométrique pour permettre à une crème solaire d’offrir protection et sensation de fraîcheur ; des puces RFID pour payer son chariot de supermarché sans passer à la caisse ; des vitrages pour bureaux des entreprises du CAC40 qui deviennent opaques par impulsion électrique, etc., etc., la liste devient longue avec la mode du tout connecté.
L’innovation ou Big Other A TOUJOURS ÉTÉ LIÉE AUX TECHNIQUES MILITAIRES, DONC DE L'ÉTATISME : voir dans l’antiquité les grands miroirs pour brûler les bateaux de l’ennemi, et encore avant les pierres taillées en haches et en pointes de flèches. L’Internet est une invention pour militaires. Voyez la mode des drones chez les militaires pour « tuer à distance », parfait Big Other.
L’économie mondiale de la drogue et des armes est un parfait Big Other.

RAPPEL : l’époque de la Renaissance commence à nous balancer à la gueule le socialo pas encore trop capitalisme : on commence à parler de création personnelle, on signe ses inventions, ON TEMPORISE, ON TOMBE DANS L’EGO. Avant ? mais avant au Moyen-Âge personne ne signait ses « créations » car cette opinion ne pouvait être associée aux humains dans le monde manifesté. On se ralliait au monde intemporel, au Cosmos : le vrai sens du mot DÉCOUVRIR : DÉ-COUVRIR, ENLEVER LA COUVERTURE POUR VOIR CE QU’IL Y A EN-DESSOUS. Alors, où est le « droit d’auteur » ? Nulle part, sauf inventé à partir de la Renaissance avec les Galilée, l’imprimerie, la Réforme surtout. LES IDÉES APPARTIENNENT À TOUS, or à la Renaissance le cerveau humain commençait à devenir géographique : l’organe qui enregistre tout et mesure tout : la cogitation qui ensuite donnera la « raison », laquelle s’oppose singulièrement à la Paix, on dit souvent : « Penser à tête reposée ». Ainsi le « siècle des lumières » et sa raison n’apporta pas la Paix, mais la guerre du « exploitez-vous les uns les autres ».
RAISON = PENSER-PANSE-VENTRE S’ENFLER LA TÊTE AVEC LA PENSÉE UNIQUE OU IDÉES TOUTES FAITES.

Le paradoxe du Big Other voulant TOUT CONNECTER comme une singerie de la Réalisation du Soi-Instant est que toute cette monstrueuse informatique est un gouffre énergivore en électricité. On est dans un culte du SPEED, de l’Urgence lié à cette mode du CONFORT ; et aussi de Big cette fois Brother : savoir à chaque seconde ce qu’il se passe partout dans le monde. Bref, un Soi-Instant à l’envers, un culte du Speed : « LE TEMPS C’EST DE L’ARGENT ».

Mieux vaut [pour chacun] sa propre loi d’action [svadharma], même imparfaite, que la loi d’autrui, même bien appliquée. Mieux vaut périr dans sa propre loi ; il est périlleux de suivre la loi d’autrui.
(Bhagavad-Gîtâ, chapitre III (II), Verset 35, trad. Shri Aurobindo)
« J’aime mieux m’élever en poursuivant que poursuivre et atteindre ce qui ne me plairait pas » écrivait au 12è siècle le Troubadour Aimeric de Péguilhan.

Depuis au minimum l’après 1789 tout individu se disant en « démocratie » subit ou accepte de subir un modèle, de suivre le grégarisme du moment et se fabrique sur ce moule. Aux influences de la tyrannie de l’opinion tout le monde y est maintenant soumis, à tout âge, en tous pays, à chaque moment de la journée. La jeunesse est avide de modèle, par curiosité naturelle, par besoin de conduite pour canaliser son énergie ; alors que l’adulte se croit « arrivé ».

Cultes de la Vie (les Païens) contre cultes de la soumission ou de la raison (les religions du Livre, les têtes raides, les Raidis-Radins qui n’aiment pas la gratuité).