NIS L’ÉGYPTIEN 2
 

Ecrit par Sechy, le 26-06-2016 18:35

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Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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NIS L’ÉGYPTIEN 2
 
 
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Publication du début d’un projet de long métrage comportant plusieurs chansons.
Précédemment on laissait Nis le chanteur s’enfuyant de la Maison du Roi Djeser et un vieil homme à la sortie de la Maison de Bière, où ils venaient d’entrer en contact avec le passeur du lac : Khefety.

 
Monstruosité de l’être humain actuel qui veut péter plus haut que son cul avec ses ordinateurs et son dentifrice au fluor !
La meilleure imbécilité de ces deux derniers siècles est d’un curé : l’Abbé Georges Lemaître. Concevoir la totalité de l’Univers comme une plus grande sphère possible (volume euclidien), et à l’opposé « l’atome » qui serait le plus petit volume euclidien possible est d’une absurdité totale. Si grande que soit une quantité, on peut en ajouter. Si petite que soit une quantité, on peut la diviser. Il est impossible, sinon par opinion dictée par le besoin d’une « raison », d’une logique, d’éteindre un problème, de décider d’une limite dans le plus grand ou le plus petit. L’humain de l’après Renaissance n’aime pas le mystère, il préfère le supprimer, l’étouffer dans une pseudo-rationalité.
RAPPEL : toute opinion se clôt sur elle-même, comme la surface d’une sphère. Toutes les opinions sont autant de BILLES-RAISON qui s’entrechoquent sans se pénétrer. Par nature, elles sont antagonistes, inconciliables. Seul, le Soi-Instant n’a pas d’opinion, les pensées qu’il inspire sont complémentaires et ne peuvent se combattre. Le Soi ou Instant n’a pas d’ennemis, mais en l’espace-temps l’ego ou ‘je’ en a besoin pour s’en nourrir. L’ego ou triomphe et culte de la « raison » des perruques poudrées du 18è siècle, qui vont donner naissance au républicanisme et à l’ordinateur et aux transhumanistes : TUER L’ÊTRE HUMAIN, et même « modifier le temps » (atmosphérique et celui qui coule comme le sable dans le sablier ou le "sable-silice” de l’informatique…). L’esprit scientifique actuel engendre sa propre mort en accouchant de l’ordinateur et ses folies technologies, toutes reposantes sur la thermodynamique (dont fait partie le binaire). L’humain piégé devient robot.
Tant que l’humain n’aura pas résolu le dilemme individualisme-collectivisme, problème le plus profond des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, il n’y aura jamais de liberté comme tente de le faire avaler les opinions de la « sociale-démocratie » où les capitalistes et égoïstes font grandes affaires en traitant avec l’étatisme.
 
 
SÉQUENCE 4
Dans une rue de Pithom. Ptah n’arrive pas à suivre Nis et trottine essoufflé derrière lui.
- PTAH : Oh fils, tu vas trop vite pour moi, j’ai à faire, je te quitte, salut à toi, à une prochaine fois.
Et il se dirige vers l’encoignure d’une maison où il y a de l’ombre, il finit par se confondre avec elle et devient complètement transparent. Nis se précipite vers l’encoignure :
- NIS : Attend un instant… Oh, sacré caractère. Comment a-t-il fait pour disparaître ?
Désolé, il donne quelques accords sur sa harpe, mais Ptah ne revient pas ; seule une ribambelle d’oiseaux se pose aux pieds de Nis qui leur répond :
- NIS : Désolé, c’est tout pour aujourd’hui.
La plupart des oiseaux reprennent leur vol en piaillant bruyamment. Nis continu son chemin suivit par quelques oiseaux, il se retourne vers eux et leur répète :
- NIS : Désolé.

Des oiseaux s’envolent par-dessus les murs de Pithom. Les 2 gardes caracolent pitoyablement à côté des murs de Pithom. En vue de l’entrée de la ville, ils aperçoivent un homme sortant de l’extérieur avec son baluchon sur l’épaule.
- GARDE 1 : Salut à toi voyageur, n’as-tu pas…
L’homme sursaute et veut fuir.
- HOMME PEUREUX : Non, non, regardez (il montre son baluchon). C’est à moi, à moi, je n’ai volé personne !
- GARDE 1 : Ne fuit pas homme peureux, on ne veut pas t’arrêter. As-tu vu un étranger récemment dans la ville ?
- HOMME PEUREUX : Non, mais allez voir à la Maison de Bière. Et merci de ne pas me faire de mal, salut à vous deux.
Il se sauve en courant. Les deux gardes rigolent et entrent dans la ville. Ils croisent Nis ! À ce moment-là, un chat bondit et se faufile entre leur jambe, et faillit faire tomber l’un des gardes qui laisse choir son bouclier provoquant un grand bruit.
- GARDE 1 : Si je t’attrape, je te fais momifier !
Dans la confusion, cela laisse le temps à Nis de ne pas être reconnu, mais lui a vu ses poursuivants, et il marche avec précaution tant qu’il n’est pas hors d’atteinte de leurs vues.
Nis se retrouve bientôt dans la campagne d’Égypte, très sablonneuse et rocailleuse, avec des palmiers dattiers tout le long du chemin. Au loin, l’homme peureux avance seul. Nis se dirige rapidement vers lui. Il va pour l’appeler, quand l’homme se retourne brusquement et sursaute.
- NIS : N’est pas peur, je voulais te saluer et te demander où se trouve le petit lac ?
- HOMME PEUREUX : Tu m’as fait peur, ça fait deux fois ce matin, mais je te remercie de ne pas me faire de mal. Continue ta route vers l’Est et tu trouveras le petit lac. Salut à toi.
Et chacun s’éloigne en une direction opposée.

SÉQUENCE 5
(Hommage à Afanassiev : Ivanouchka l’idiot, conte populaire Russe).
Le jour dans la campagne sèche et désertique de la haute Nubie, à l’orée d’un village avec ses maisons basses sur le sable d’or du désert. Un canal arrose quelques dizaines de maigres palmiers dattiers.
Oukhaou (l’idiot, le 3e fils d’une même union), arrive les mains pendantes vers ses 2 frères sensés, assis sur le pas de la porte de l’une de ces maisons basses.
- FRÈRE 1 : Que viens-tu faire ici Oukhaou ?
- OUKHAOU : Je vous ai apporté à manger.
Les 2 frères sensés se regardent en rigolant.
- FRÈRE 2 : Eh alors, donnes vite !
- OUKHAOU : C’est que, mes frères, un homme que je ne connais pas s’est mis à me suivre le long du chemin et il a tout mangé !
- FRÈRE 1 : Quel homme ?
- OUKHAOU (il désigne son ombre) : Le voilà ! il est toujours là !
Les 2 frères se lèvent et tapent sur leur frère Oukhaou qui crie. Puis ils poussent leur frère derrière la maison.
- FRÈRE 2 : Bon à rien et idiot et toc toc (il montre sa tête), tu garderas nos brebis.
Et ils plantent Oukhaou devant le troupeau et s’en retournent devant la maison. Oukhaou s’avance et essaye de rassembler les 5 brebis qui courent dans tous les sens à son approche. Il les attrape une par une et leur crève les yeux. Après cela, il les rassemble et s’assied à côté, heureux de son labeur. Au bout de cet « incident » les 2 frères reviennent trouver leur frère et aperçoivent le sang sur les têtes des 5 brebis.
- FRÈRE 1 : Qu’as-tu fait Oukhaou, pourquoi les bêtes sont-elles aveugles ?
- OUKHAOU : Et à quoi leur serviraient leurs yeux ? Quand vous avez été partis mes frères, elles ont commencé à se disperser. Alors, moi, j’ai eu la bonne idée de les attraper, de leur crever les yeux et de les rassembler. Oh, quel mal j’ai eu !
- FRÈRE 2 : Attend un peu, tu vas le retrouver le mal.
Et tous les deux lui tape dessus. Oukhaou crie.

Un autre côté de la maison. Le vieux père envoie son fils Oukhaou faire des achats, il lui donne une bourse et le pousse en avant. Oukhaou faillit tomber, mais il reprend sa marche en sautillant joyeusement pour essayer d’échapper à son ombre. Il croise les 2 gardes qui cherchent Nis ; ceux-ci regardent fort intrigué le curieux jeu entre Oukhaou et son ombre.
- OUKHAOU (parlant à son ombre) : Tu m’en veux tant que ça pour me suivre toujours ainsi ? ou tu es amoureuse de moi ! (il se met à rire).

Sur le marché du village de haute Nubie. Nis est en train de mendier quelques provisions. Il se retourne pour observer la vive discussion entre Oukhaou et un marchand. Oukhaou se tient à côté d’une charrette ou son entassé table, ustensiles de cuisine, jarres de vin et d’eau et poteries diverses. La charrette est attelée à une misérable rosse. Après quelques palabres violentes avec le marchand, Oukhaou fait avancer le cheval ; et au détour d’une maison, il fait arrêter la charrette et se met à l’observer.
- OUKHAOU (il réfléchit tout haut) : Le cheval a 4 pattes, mais il est bien faible. La table a 4 pattes aussi et elle semble costaud, qu’elle fasse le chemin toute seule !
Et il balance la table sur le sable doré. Arrive Nis qui aperçoit cette table les 4 pieds en l’air sur le sable.
Intrigué, il suit Oukhaou qui tourne à l’angle d’un mur. Un peu plus loin, un bassin attenant à une maison contient une eau bien claire. Oukhaou s’en approche et regarde le cheval si fatigué. Il essaye de faire boire le cheval, mais celui-ci refuse.
- OUKHAOU : Ah, tu ne dois pas boire sans sel ! Attends.
Il prend une cruche dans la charrette et déverse son contenu dans le bassin. Il essaye de faire boire le cheval, celui-ci refuse toujours.
- OUKHAOU : Pourquoi ne bois-tu pas charogne à loups ? Crois-tu que j’ai vidé toute cette cruche pour rien ?
Oukhaou saisit dans la charrette une jarre d’eau et la casse sur la tête du cheval qui s’effondre et ne bouge plus. Il constate que le cheval est comme mort, alors il dételle la charrette et se met à la tirer à la place de la bête.
Nis de plus en plus intrigué s’approche du bassin, plonge un doigt dans l’eau, le met dans sa bouche et recrache aussitôt. Il va vers le cheval mort, s’accroupit, met son oreille sur la panse du cheval ; avec un sourire, il tire quelques accords de sa harpe, à l’instant le cheval se remet sur ses pattes et cavale. Au détour d’une rue, le cheval renverse les 2 gardes qui se rapprochaient dangereusement de Nis. Ils tombent tous les deux sur leur derrière en criant et dans le tintamarre de leurs armes.

Devant la maison d’Oukhaou. Les 2 frères voient leur Oukhaou tirer la charrette lui-même, ils s’aperçoivent qu’elle est vide.
- OUKHAOU (joyeux) : J’ai tout acheté mes frères !
- FRÈRE 1 : Bravo Oukhaou. Mais les achats, où sont-ils passés ?
- OUKHAOU : Et bien, la table arrive toute seule, mais on dirait qu’elle a du retard ; quant aux provisions, les oiseaux les ont mangées, les jarres, j’ai comblé les fossés du chemin avec, et le sel, je l’ai mis dans un grand bassin pour abreuver le cheval, comme il ne voulait pas boire, je lui ai cassé sur la tête une jarre d’eau.
Les 2 frères fous de colère attrapent Oukhaou, lui tape dessus. Il est à moitié assommé. Le 2ème frère entre dans la maison et ressort avec un grand sac. Les 2 frères mettent Oukhaou dedans et ficellent le sac, ensuite ils le chargent sur la charrette et la traîne vers le canal où baignent les palmiers dattiers. Nis continuant sa fuite de l’Égypte, aperçoit les 2 frères déposant le gros sac gigotant sur le sol, puis ceux-ci se dirigent ensuite vers le bord du canal. Nis veut intervenir, mais il n’a pas le temps, car un noble Égyptien en belle robe de fin lin avec un collier aux émaux de couleurs vives, vient à passer assis sur un beau cheval racé et fougueux.
Le sac crie :
- OUKHAOU : Délivre moi, on veut me faire Gouverneur, m’envoyer administrer une province, mais je ne connais rien à tout ça !
- NOBLE : Attends un peu, moi je sais administrer.
Le noble dénoue les ficelles du sac et aide Oukhaou à sortir.
Aussitôt Oukhaou tape sur le noble et l’assomme à moitié, puis il le place dans le sac qu’il ficelle. Ensuite, Oukhaou monte sur le cheval fougueux et décampe. Au bord du canal, l’un des 2 frères plonge un bâton dans l’eau.
- FRÈRE 1 : C’est assez profond pour y jeter Oukhaou.
Et ils vont chercher le sac qu’il traîne jusqu’au canal et le flanquent dedans. Les 2 frères retournent vers leur maison. Nis qui avait observé la scène se précipite et délivre le pauvre noble suffocant et recrachant de l’eau.
Devant la maison, les 2 frères aperçoivent Oukhaou arriver sur son beau cheval.
- OUKHAOU : Vous avez vu le cheval que j’ai attrapé ! Mais dans l’eau, il en est resté un encore plus beau, gris pommelé qu’il est, une vraie merveille.
- FRÈRE 2 : Oukhaou, met nous dans un sac et jette-nous à l’eau, et le pommelé est à moi… À nous !
Oukhaou descend de cheval, va chercher un très grand sac dans la maison, et ficelle ses 2 frères dedans. Il charge le sac sur une sorte de brouette, et se dirige vers le canal où Nis finit de ranimer le noble qui crie :
- NOBLE : C’est lui !
Mais Oukhaou a déjà déversé le sac dans le canal et s’enfuit vers sa maison. Nis effaré, se met les mains sur la tête, et abandonne le noble reprenant lentement ses esprits. Nis tire les 2 frères hors de l’eau, les délivre, les ranime comme il peut, puis il s’entretient avec eux. (On ne les entend pas).

SÉQUENCE 6.
(Lutte avec Khefety).
Au soleil couchant : paysage de gros blocs de granit rose (comme ceux de la cataracte en amont d’Assouan). Nis se prépare pour passer la nuit au pied d’un bouquet de palmiers dattiers ; il aperçoit le lac au loin, à côté de la ville d’Ismaïlia, mais comme le soleil va bientôt disparaître dans le monde de la Douat (monde des morts), il s’allonge et ferme les yeux, pour les ouvrir à nouveau, car il sent le chat Miou se frotter contre ses jambes en ronronnant.
- NIS : Ah Miou, ça doit être Ptah qui t’envoie. (Il caresse Miou).

Au même endroit le matin. Le chat Miou trotte vers Nis, lui lèche le visage et va s’asseoir un peu plus loin.
- NIS : Brave Miou, tu es de nouveau revenu. Comme cela mon propre cœur aura son compagnon.
Il se lève, emporte sa harpe et se met en route vers le lac, en escaladant les blocs de granit rose. Le chat saute de roche en roche accompagnant ainsi Nis.

Le jour au bord du lac. Khefety est planté sur son chaland sans gouvernail. Devant, se trouvent une dizaine de personnes qui payent leur droit de passage à Khefety. Une femme avec un enfant s’en va rejoindre son compagnon qui paye Khefety. Un paysan tire un chariot à bras.
Arrive Nis suivit de Miou. Il s’assoit sur une pierre avec Miou à ses côtés. Une fois que tout le monde a embarqué, Nis se lève et va pour embarquer lui aussi. Khefety lui barre le passage de ses 2 bras puissants.
- KHEFETY : Ah le chanteur ! il faut payer avant !
- NIS : Tu sais bien que je n’ai pas de pièces de cuivre.
- KHEFETY : Eh bien tu restes de ce côté du lac.
- NIS : Bon alors, je vais charmer tes oreilles par ma musique pour obtenir ta permission de monter sur ton chaland.
- KHEFETY : Ah non ! J’aime pas les chanteurs et leur musique. C’est bon pour les femmes. Tu as un joli collier, donne-le moi !
Nis fait non de la tête. Khefety réfléchit :
- KHEFETY : Si tu veux passer, on va lutter ensemble ; viens te battre avec moi.
Et Khefety ramasse son bouclier, une hache d’arme, et 5 javelines. Les passagers redescendent du chaland et forment un cercle. Nis veut fuir, mais un homme s’avance vers lui et donne à Nis un arc et quelques flèches.
Il a un grand corps sur lequel repose un visage poupin avec un regard oriental, doux et perçant à la fois.
- IRI : Tiens prends, je te prête mon arc. C’est le compagnon d’Iri. Tel est mon nom.
- NIS : Merci Iri. (À Khefety) Tu es un grand gaillard qui aime la bagarre, mais a besoin de tous ses jouets. Qui de nous deux Ptah va-t-il favoriser ?
Khefety prend un air de colère.
Nis bande l’arc, puis examine les flèches. Les hommes et les femmes commencent à murmurer.

À suivre… Si le Dieu Ptah le permet…

DISTRIBUTION (CAST) pour les séquences ci-dessus :

NIS L’ÉGYPTIEN : (25 ans) chanteur pour le Roi Djeser
PTAH : Dieu de Mur-Blanc, Réalisé et prototype d’Osiris, de Jésus, etc.
GARDE 1
GARDE 2
HOMME PEUREUX
OUKHAOU : idiot
FRÈRE 1
FRÈRE 2
LE VIEUX PÈRE
LE NOBLE
CHAT MIOU
KHEFETY : passeur du Lac
IRI : l’homme à l’arc
PLUSIEURS PERSONNES
 
 

Dernière mise à jour : 09-07-2016 22:20

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