GRÉGARISME ou TYRANNIE DE L’OPINION
 

Ecrit par Sechy, le 10-07-2016 19:24

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Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Nomade, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Sédentaire, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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GRÉGARISME ou TYRANNIE DE L’OPINION
 
 
 
Schéma de l’équerre à centrer, donné par Jean Coulonval dans son livre Synthèse et Temps Nouveaux.
Cet outil sert à trouver le centre approximatif d’une surface qui ressemble en gros à une circonférence. La circonférence très irrégulière représente la section d’une barre d’acier plus ou moins cylindrique. En portant l’appui des tétons en plusieurs points on trace autant de ligne AB. On obtient un petit polygone irrégulier qui est le centre approximatif. Ce sont donc les accidents externes du contour de la pièce métallique qui en ont décidé. « En quelque sorte, ils l’ont imaginé, fabriqué. C’est ce que fait le mode de pensée qu’on appelle « opinion », scientifique, métaphysique, ou même religieuse, quand l’homme se fait de l’Absolu (Dieu) une conception qui convient à ses appétits, dans le monde des accidents du spatio-temporel.
Le discours logique qui cherche les essences (1) au travers des accidents opère à la façon de l’équerre à centrer qui ne peut tenir compte de toutes les lignes AB possibles pour la simple raison qu’elles sont en nombre inépuisable, in-défini (ce qu’on appelle à tort l’infini). Pas plus que l’équerre à centrer, il ne peut tenir compte de tous les accidents existants ou possibles dans le spatio-temporel, et en conséquence aucun discours logique (tous les philosophismes sont des discours logiques) ne peut atteindre à la vision de l’Absolu. Il est toujours couillonné. L’Homme ne peut atteindre l’Absolu que si l’Esprit vient lui-même le chercher pour le placer au centre, c’est-à-dire en LUI.
Tous les philosophismes, avec leur miroitement verbal, sont des miroirs à alouettes qui ne sont guère dangereux tant que leurs promoteurs se contentent de pondre des bouquins, mais sont des catastrophes quand ils s’incarnent dans des structures politiques concrètes, dans des « Partis » qui n’existent en tant que tels que parce qu’ils prétendent être détenteurs de la Vérité, du centre de toutes choses [Centrum Centri ou Soi], ce qui qui fait que tous sont des dictateurs, des totalitarismes, en acte ou en puissance.
La Vérité, pour l’Homme et pour chaque homme, c’est l’idée qu’il se fait de na nature d’homme. Et il se trouve que, de même que l’équerre à centrer situe le centre d’une façon subjective, par approximation imaginative, aucune idée de l’Homme acquise par le discours logique, et qu’on appelle « OPINION », n’a de valeur scientifique, quoi qu’elle en prétende », écrit si lumineusement Jean Coulonval, dans : Synthèse et Temps Nouveaux.
 
Il ajoute cette importance : « La politique est la science de la gestion des sociétés selon l’idée qu’on se fait de l’Homme (au sens générique). En conséquence, elle implique, de la part de ceux qui exercent le pouvoir politique, la connaissance des essences de l’Homme, de son ontologie. Connaissance qui ne peut s’acquérir à partir des accidents [le spatio-temporel, la dualité], pas plus que l’équerre à centrer ne peut définir un centre absolu, géométriquement vrai, lequel ne peut absolument pas être une opinion.
L’Absolu, c’est ce que toutes les religions appellent Dieu, l’Être source de tout existant. Ce besoin de perception de l’Absolu régit tous les individus [les Homos Religiosus], ceux qui se disent civilisés et ceux qu’on dit sauvages ; mais il est vrai aussi que l’homme a toujours été tenté de rechercher cet absolu at travers des accidents du spatio-temporel et qu’il est difficile d’atteindre la perception pure de « Je suis ce JE SUIS » [pourtant notre état naturel]. Les civilisations se sont toujours construites sur des compromis entre l’Absolu et les perceptions, contingentes et limitées, du spatio-temporel. Le règne de l’opinion en tant que critère de vérité politique n’a pris valeur dogmatique qu’avec la révolution de 1789, et le communisme [socialisme] en est la maturation historique en se parant des prédicats de l’Absolu [une « République universelle »], ce qui en fait une religion à l’envers, comme l’envers d’un cuivre repoussé… ».

Maintenant, la tyrannie de l’opinion fonctionne parfaitement avec le SUPER GRÉGARISME : OCHLOCRATIE, le pouvoir par la populace, donc par ce qu’il y a de plus vulgaire, de plus bestial, de plus vil et ville comme les citoyens habitants de ces villes et cités. Les messes de la mode du sport moderne sont un exemple d’ochlocratie capable d’influencer leurs meneurs à la tête de l’étatisme.
OCHLOCRATIE = DÉLIRE OU PSYCHOSE DES FOULES, OPINION POLITIQUE. Meetings, défilés et pancartes, chants et drapeaux, caractérisent toutes manifestations des foules en proie à un même culte (d’un homme ou d’un groupe d’hommes, d’une cause, d’une idéologie ou opinion). C’est une véritable liturgie dans le sens laïcité. Ce sont les délires ou psychoses des foules, nazies, socialistes, gaullistes en leur temps, estudiantines en 1968, syndicalistes, ou autres. Toute opinion prétend stabiliser, en le déifiant, du temporel, du vent. C’est une singerie du religieux, donc une laïcité genre « culte de la raison » des républicains de 1789.
Cortèges, manifestations ou défilés, éducation nationale, propagande de partis = grégarisme.


Pour les meneurs, le Super Grégarisme c’est un pain béni et une arme efficace tant les sens critiques individuels sont annihilés par une passion collective incontrôlée. Ainsi les foules sont contaminés, parasitées, MAIS PAS LES MENEURS. L’OCHLOCRATIE EST UNE SINGERIE DE DICTATURE, qui peut s’appeler comme un genre de : « Gauche du Socialisme Démocratique Renouvelée »… Comme pour la pub, c’est vendeur chez Lucifer comme le « Nouveau, Vu à la Télé ! ».
Dans le Super Grégarisme de l’Ochlocratie nous aurons : l’irresponsabilité, le parasitisme et l’opinion (suggestibilité).

Dans le phénomène des foules il y aura une INVERSION DE LA RÉALISATION DU SOI-INSTANT : endormissement de l’ego, entrée en phase vers une sorte d’inconscience, avec orientation par contamination de l’opinion, pour transformer DANS L’INSTANT les opinions suggérées. L’individu en foule AURA UN AUTRE EGO, IL SERA DEVENU ROBOT DIRIGÉ PAR LES MENEURS ET FORT EN GUEULE.
Avec la folie technologie et la société du spectacle et du « tout connecté » il est très facile, tel un virus de la grippe, de « lancer une opinion » ou une nouvelle doctrine de philosophiste. Bref, ON DEVIENT UN PARTISAN, de parti : la DIVISION, LE DUALISME WINNER-LOSER.
Les meneurs au 18è siècle et en 1789 furent les bourgeois, qui imposèrent ensuite leur mot de « citoyen » afin de remplacer l’ancien « Monsieur » plutôt réservé aux Nobles, mais aussi aux bourgeois ou toutes personnes possédantes des biens matériels. Mais, le mot « Monsieur » va ensuite servir pour également désigner les êtres humains de toutes conditions. Le mot Monsieur est respectueux, le mot citoyen ne l’est pas.

Avec la décision de l’Angleterre de sortir du machin capitalo-socialiste : l’Union européenne, les Couilles en Or de la City prennent peur.
Rappel des refus des peuples européens de se soumettre à l’organisation capitalo-socialiste de l’UE :
– En 1992, le Danemark refuse à 51.7% le traité de Maastricht : obligé de revoter !
– En 2000, le Danemark refuse à 53.2% de rejoindre la zone euro : accepté !
– En 2001, l’Irlande refuse à 53.90% le traité de Nice : obligée de revoter !
– En 2003, la Suède refuse à 56.10% de rejoindre la zone euro : accepté !
– En 2005, la France refuse à 54.90% la constitution européenne : ignorée !
– En 2005, les Pays Bas refusent à 61.5%  la constitution européenne : ignorés !
– En 2008, l’Irlande refuse à à 53.20% le traité de Lisbonne : obligée de revoter !
– En 2015, la Grèce refuse à 61.3% le plan de redressement : ignorée !
– En 2016, les Pays Bas refusent à 61,1 % l’accord d’association entre l’UE et l’Ukraine…
- En 2016, l’Angleterre à 51.9 % veut quitter l’Union Européenne. La City se sentant menacée, émigrera-t-elle vers Francfort ?

La mode des « migrants » est un phénomène de grégarisme avec manipulations par le sentiments, donc le grégarisme ! L’Ochlocratie (gouvernement par la foule, la multitude, la populace) n’est pas seulement une démocratie inversée singeant le gouvernement par le peuple, elle est surtout le pire ennemi des peuples.
L’Ochlocratie est dans la mode des béhavioristes et autres spécialistes en « science sociale », comme les psychologues et psychanalystes, qui ont en commun de ne tenir compte que du corps ou mental, le monde du sensible, soit celui des forces telluriques dont on connaît les effets dévastateurs.

Oui, oui ! Il y a bien un PLAN du Nouvel Ordre Mondial, car de plus en plus existe la séparation nette et brutale entre fabricants (quelques-uns et à la limite un seul) et les fabriqués (les 7 milliards de Terriens, le quantitatif), et la séparation n’a jamais été aussi nette que depuis les années 1970. C’EST LE PLAN DU GRAND REMPLACEMENT DE L’HUMAIN, inverse de « Je suis ce JE SUIS », apothéose de la dualité. D’ailleurs, Talleyrand disait que la politique c’est l’art d’agiter les hommes avant de s’en servir. Ainsi, tout individu qui se soumet plus ou moins consciemment à la volonté de la tête d’œuf de le fourrer dans un moule, renonce du même coups à sa liberté, à son Soi, par un processus singeant la religion, et qui de nos jours se nomme LAÏCITÉ. L’individu se soumet à un seul homme quand ce système atteint son point ultime de densité et non pas à un contact total, intégral avec le Soi qui, parce qu’il EST par-delà tout ex-istant, par-delà tout Étant, peut seul donner une vision de la seule Réalité possible.
Tout système philosophique, tout système politique (qui de nos jours se dirons tous « démocratiques ») est une geôle, une loge, une cage, un esclavage, une limitation de l’être. Depuis plus de mille ans nous vivions le règne des systèmes, des dictatures. Toute opinion est le germe d’une dictature…


SORTIR DU SYSTÈME

« Quand on voit le monde, on ne se voit pas soi-même. Quand on voit le Soi, le monde n’est pas vue. Voyez alors le Soi et réalisez qu’il n’y a jamais eu de création » (Ramana Maharshi, entretien 455).
« Voir le monde » c’est tomber naturellement dans le mental ou conscience conceptualisante qui est appelée dans Le Secret de la Fleur d’Or : « lumière de la conscience », ou « inconscient collectif » chez C.G. Jung, donc une forme de grégarisme universalisé.

« Quand l’esprit forme une pensée, cette pensée est l’esprit actuel. Cet esprit-là est lumière, il est remède. Lorsqu’on regarde des objets et qu’on les perçoit spontanément tous ensemble, sans discrimination, c’est la lumière de l’essence, pareille à un miroir qui reflète tout, SANS INTENTION DE LE FAIRE. Mais il suffit d’un instant de discrimination [donc de « raison »] pour que cela devienne la lumière de la conscience. Lorsqu’une image occupe l’espace du miroir, il n’y a plus de réflexion [d’autres images]. Lorsque la conscience occupe l’espace de la lumière, qu’elle lumière reste-t-il ? »
« Tout phénomène est nécessairement attribuable à une cause. La transmission de la lumière est attribuable aux portes et aux fenêtres, la lumière elle-même au soleil et à la lune. Lorsque j’emprunte les choses pour le les attribuer, je découvre en fin de compte que « ce n’est pas à moi ». Et quand il s’agit de déterminer le « ce n’est pas à moi », qui décide de son attribution, sinon vous ? » (Le Secret de la Fleur d’Or, traduction par Thomas Cleary).

 

Note.
1. ESSENCE : « L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle - ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes : « Faire usage de la conscience habituelle et répétitive, c’est faire erreur ».

Lumière de l’Essence et lumière de la conscience sont donc totalement différentes. « Si ceux qui étudient la Voie ne connaissent pas la réalité, c’est parce qu’ils n’ont reconnu que la partie ”conscience” de l’esprit, racine d’une succession infinie de naissances et de morts depuis des temps sans commencements [évolutionnisme], et que pourtant les imbéciles appellent ”l’être originel” », dit un grand maître chan du 9è siècle du nom de Tchangsha, cité dans Le Secret de la Fleur d’Or.
Le principe du Secret de la Fleur d’Or étant « Le Retournement de la Lumière », cela consiste à correctement retourner la lumière primordiale qu’on ne peut attribuer à rien, de telle sorte  que n’intervienne aucune pensée consciente [donc une Réalisation du Soi] ».
Le mot « Essence » peut se définir à travers l’entretien 363 de Ramana Maharshi, le guide : « Par « guides spirituels », nous entendons ceux qui sont « spirituels » [entre guillemets parce que mot est un fourre-tout] par opposition à ceux qui sont « matériels ». L’Esprit est illimité et sans forme. Il en est de même du centre spirituel. Il n’y a qu’un seul centre de cette sorte. Que ce soit en Occident ou en Orient, il ne peut être différent ; ni être localisé d’aucune manière. Étant illimité, il inclut les guides, les hommes, le monde, les forces de destruction et de construction. Il n’y a pas de distinction. Vous parlez d’établir des contacts parce que vous pensez que les guides spirituels sont des êtres incarnés. Mais les hommes spirituels ne sont pas des corps ; ils n’ont pas conscience de leur corps. Ils ne sont qu’esprit, sans limite et sans forme. Ils sont toujours en unité entre eux et avec tous les autres ; bien plus, ils englobent tout.
L’Esprit est le Soi. Si le Soi est réalisé, ces questions ne peuvent pas s’élever ».
Avec la razzia laïcité, de nos jours la foi prend sens de conditionnement éducatif en se faisant une idée de Dieu à partir du temporel. C’est donc une fausse foi comme la démocratie n’est pas une démocratie… Mais la Vraie Foi c’est la Connaissance : voir le temporel à partir de Dieu ou du Soi, et ensuite seulement on peut parler de « création ». Donc la Vraie Foi ou Soi étant notre état naturel, elle ne se cultive pas, ne s’approfondie pas !

« Le Soi ne peut jamais être illusoire. Il est la seule Réalité. Ce qui apparaît doit également disparaître, ce n’est pas permanent. Le Soi n’apparaît jamais et ne disparaît jamais, il est donc permanent ».
Les Essences, ce sont les « Maîtres » intérieurs. Le Maître n’est JAMAIS à l’extérieur. « Si le maître était vraiment un étranger dont vous attendez la venu, il serait voué à disparaître lui aussi. Quel est l’intérêt d’un tel être transitoire ? » pourrait répondre Ramana Maharshi sur l’attente de leur messie par les Juifs !!!
R. Maharshi ajoute cette importance, que tant qu’une personne se considère comme le corps, le ‘je’ ou mental, alors le maître devient nécessaire et il apparaîtra avec un corps ; d’où ce judaïsme totalement matérialiste, et système purement politique de manipulation des foules, comme du temps de Moïse…
 
 

Dernière mise à jour : 10-07-2016 19:45

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