Ah ces salauds de terroristes
 

Ecrit par Sechy, le 11-08-2016 22:53

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Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Daesh, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Impur, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Nomade, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Pur, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Sédentaire, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Ah ces salauds de terroristes
il faut tous les tuer ces méchants

Sentimentalisme puissance 1000
ou comment enfoncer des portes ouvertes.


Bienvenue dans le self-service normatif des compas-équerres.

Bienvenue dans le radicalisme du « vivre ensemble » du capitalo-socialisme
de l’USionistan et de sa démocratie et sa république.
 
 
Vidéo en fin d’article : un exemple étonnant de langue de béton armé, art de parler pour ne rien dire, genre discours appris et scolaire, récité, invraisemblable, caricaturale, surréaliste ! Et bien dans la mode du social où en républicanisme il faut des lieux communs stérilement rabâchés, donc maintenant distinguer ceux qui prennent l’eau de tuyau comme cette dame, de ceux qui s’abreuvent au flot vivant !!! Probablement il faut que cette femme touche sa paye à la fin du mois, et qu’elle fasse fonctionner son ego, ego, ego viande humaine de cette société fourmilière.
Mais pitié Madame, je vais faire dans ma culotte tant votre « génie français » et vos « valeurs » me relâchent les viscères !!! Et qui dit valeur dit voleur.
Notez que pas une fois cette patate à code-barres du Young Dealer n’a prononcé le mot « amour », laïcité judéo-maçonnique oblige ; alors ces ignorants utilisent le mot « fraternité » selon cette mode du socialisme inversé et de sa laïcité. Le mot Amour leur écorche la gueule. Pourtant ces gens là en font des tonnes dans le sentir-ment, alors on peut imaginer le chaos chez eux si un attentat se produit dans une maternelle ou une école primaire !
Young Dealer ou Couilles en Or au pouvoir et cracheurs de langue de béton comme l’étaient les ergoteurs Grecs.
 
L’autre mot à la mode c’est « État de droit », correspondant bien à l’évolutionnisme et sa géométrie de la ligne droite. Mais dans la Nature rien n’est jamais ligne droite, et c’est sous les églises modernes de laïcité qu’il faut chercher les vestiges des religions précédentes : TOUT EST CYCLES ET RYTHMES (comme en musique).
L’État de droit, ce nouveau patriarcat à la Clovis.
Mais rien ne saurait être plus prisonnier de la dualité sujet-objet ou cause-effet que l’État de droit, qui va produire l’étatisme et ses institutions, sa politique de causalité (dit « objectivité »), dont vont dépendre la quincaillerie des lois-interdits ; dogmatisme hérité des perruques poudrées ou riches Couilles en Or du 18è siècle et leur RAISON source de causalité, et qui va perpétuer une morale de l’interdit en forme d’opinion à travers les générations. Ainsi une société est non seulement dans le quantitatif et ses individus sont des patates dans un sac à code-barres, mais ils sont en plus prisonnier de l’HISTOIRE-OPINION : les multiples séparatifs, des unités de « vivre ensemble » qui vont cahin-caha avec leur dualité ou ego. C’EST DANS CET ÉTAT DE DROIT QUE NOUS NAISSONS TOUS PRÉSUMÉS COUPABLES. POUR SE LIBÉRER DE CET ÉTAT DE DROIT IL FAUT ÊTRE DE-MENTIA (DÉMENT), SE DÉCONSTRUIRE (LE MENTAL OU EGO SE DÉFAIT) POUR SE RE-CONSTRUIRE (”N'est pas fou qui veut”, devise du psychiatre Henri Ey).

Les sociétés modernes sont non seulement prisonnières de l’Histoire-Opinion, mais par conséquence elles sont aussi prisonnières de la croissance-engrenage : cause-effet en chaîne sans fin de moralisation-répression.
Question morale la dame au discours si grotesque et scolaire dans la vidéo en fin d’article en connaît un rayon !

RAPPEL : tous ces ignorants cancérisés par le pouvoir sont prisonnier de l’Histoire-Opinion. En effet, pas de but à atteindre, pas de « fin de temps » que personne n’atteindra jamais, car tout ce qui arrive ne peut qu’être de l’ordre de l’Histoire-opinion et non de la FIN : rien de réel ni de définitif ne se produit ici-bas car tout est mouvement. Une citation du populaire exprime d’ailleurs la confusion entre le monde des accidents et le but : « Le pauvre ! il croit que c’est arrivé ! ». C’est-à-dire c’est arrivé comme HISTOIRE-OPINION, mais cette opinion sera balayé et remplacé par d’autres opinions ; ainsi rien de ce qui arrive dans le spatio-temporel n’est vraiment une « arrivée » ou « fin des temps » : la mort seule fait le joint entre l’événement et l’Être.
L’homonyme entre arriver (atteindre un but) et arriver (survenir, avoir lieu brusquement) désigne par le même mot deux opinions qui, creusées à fond s’excluent l’une l’autre : tant qu’il arrive quelque chose, on n’est pas arrivé, et quand on est arrivé, c’est « Circulez ya plus rien à voir ! ».
Depuis un moment cette civilisation refuse la gratuité, l’Instant ou Soi, soit en désirant l’éternité sans passer par la mort : ce que rêvent les transhumanistes et les trois religions messianiques, temporel, et qui procèdent de l’appétit sacrilège de l’avenir en oubliant la seule Réalité : l’Instant ; soit en désespérant de l’éternité à cause de la mort, donc en ne considérant que le corps ou ego.

De nos jours il devient de plus en plus difficile de distinguer entre un assassinat privé (ou folie privée) et un « acte terroriste » (ou folie publique ou politique liée aux cancéreux du pouvoir). Notamment à cause des médias. Normalement pour définir un « acte fou » il faudrait être fou soi-même !!! Je ne suis absolument pas d’accord avec le psychiatre et juriste de courant freudiste : Pierre Legendre, quand il écrit que la logique n’appartient à personne. Mais si, dans une époque donnée, en langage parlé ou écrit, elle forme l’ego (raison) sur fond de grégarisme mâtiné d’inconscient collectif (la Noosphère de Teilhard de Chardin).
Acte privé ou acte terroriste : dans les deux cas leurs auteurs voient en la ou les victimes, n’importe qui pris au hasard, l’effigie vivante de la RÉFÉRENCE HAÏE (idolâtrie). Pour les organisateurs d’une CAUSE et leurs exécutants, le concept de victime innocente n’a pas court, IL S’AGIT DE TUER DES IMAGES VIVANTES (des idoles), pour faire référence à Pierre Legendre, dans : Le crime du caporal Lortie.

Depuis le 11 septembre 2001 et passant en France à « Charlie Hebdo » et jusqu’à 2016 IL Y A SOCIALISATION DE L’ACTE CRIMINEL : PLACE AU SPECTACLE (donc au sentiment : on sort ses mouchoirs en papier sur le mot fin et logique du film). CHACUN VEUT COMME « POSSÉDER » LES CRIMES parce que nous sommes dans le culte du narcissisme : LE MEURTRE HORRIFIE COMME EN MÊME TEMPS IL FASCINE (il n’y a pas si longtemps les gens n’allaient pas voir un film d’horreur mais allaient voir EN VRAI un condamné se faire écarteler, brûler, pendre ou couper la tête). Et la folie médiatique et républicaine actuelle nage heureux là-dedans tout en l’entretenant superbement à la Hollywood. On fabrique l’opinion autour de LA CROYANCE AU MEURTRE, et comme écrit dans une page précédente : LA CROYANCE EST SANS OBJET, elle est la Super Carotte qui fait fonctionner les gens, comme la consommation sans fin, comme la « fin des temps », comme la croissance sans fin de la technologie. Le meurtre en tant que spectacle demande donc une prompte reprise sociale par la parole, comme le singe la dame ci-dessous.
NOUS SOMMES DANS UNE SOCIÉTÉ RITUALISTE, ce qui n’est pas si étonnant étant donné le républicanisme judéo-maçonnique spéculatif, ou dans tout étatisme.
Ainsi banalisées, souvent réduit à des discours d’une platitude politique républicaine pitoyable, les interprétations de crimes ou attentats par les médias et l’étatisme sont dans la société du spectacle : malgré-nous, nous en sommes tous les spectateurs et ritualisés, surtout devant la télé ou le moindre écran informatique. D’ailleurs, l’échafaud a déjà cette fonction théâtrale. Pour échapper à ce cirque, à cette représentation, il faudrait maintenant vivre dans une forêt profonde !
Pierre Legendre a parfaitement raison d’écrire que le crime ou le meurtre, dans la culture, ne peut apporter une réponse que traduite théâtralement, ce qui se traduit par : Pour-Voir, montrer LA SCÈNE du meurtre accomplit, qu’à l’Empire USionistan les policiers entourent de bandes généralement rayées de jaune citron et de noir.

Nous sommes dans les temps de la FANTASMAGORIE (fantôme, illusion) identique à l’époque du 19è siècle et la mode du spiritisme ! Avec l’acteur jouant L’INTERDIT, toujours dans la représentation. SOCIAL = RÈGNE DE L’INTERDIT (fait pas ci, fait pas ça… comme dans la chanson).
Société du spectacle, de la fantasmagorie au culte du narcissisme généralisé : tous les secrets jetés au vent, comme le fait cette femme en vidéo ci-dessous, deviennent autant de parfaits mensonges, de la poudres aux yeux, du eyes candy art dont sont passés maîtres les Anglo-Saxons.

Nous sommes dans les temps de la société du spectacle : tout bénéfice pour les vendeurs de PASSIVITÉ (comme dans les jeux vidéos) : vers l’an mille, la rêverie la plus niaise d’un adolescent sentimental apparaît comme un sommet de spontanéité créatrice en comparaison du rêve éveillé de maintenant en des images préfabriquées par l’industrie de l’entertainment et de l’informatique, relayé partout sur les « réseaux ». Ainsi le grégarisme est en train de TUER L’IDÉE (cette civilisation est fondamentalement anti-création). Des industries spécialisées rêvent et travaillent du chapeau à notre place, comme la dame ci-dessous, de sorte que surtout en gouvernement représentatif, nos illusions et nos erreurs ne nous appartiennent plus et nous sommes communes, collés au Super Grégarisme avec des milliards de nos semblables (la ressemblance ira bientôt jusqu’à l’identité) qui se ravitaillent chez les mêmes fournisseurs de mensonges, dont ceux de la femme ci-dessous.

La femme ci-dessous, dans un langage scolaire et plombé ou bétonné, probablement voulu, maintient les gens dans la bêtise et le mensonge, l’endormissement. Comme est dangereux pour les actuelles générations et à venir, est l’image du Père fraternel genre patriarcat des trois religions monothéistes, surtout actuellement image construite sur la mode du social-socialisme : la symbolique fondatrice se trouve faussé, CHAQUE FOIS QUE POUR LA NOUVELLE GÉNÉRATION LE PÈRE N’A PAS RENONCÉ À SA POSITION D’ENFANT (tout bouge tout le temps). « Pour un père, rester enfant signifie, à l’égard de son propre enfant, adresser à celui-ci une demande d’enfant, autrement dit le mettre à la place du père ». C’est ce que fait la femme ci-dessous qui maintient les gens à l’état d’enfant ; elle est pourtant mère de jumeaux, mais deuxième d’une famille nombreuse de 7 enfants ! Je la soupçonne d’être resté une mère-enfant-pouponnière, aveuglé par sa fausse personnalité (ego du « Je fais », ou « Je torche »).

La femme ci-dessous dénonce LES péchés actuels, mais PAS LE PÉCHÉ auquel elle est attaché (la City), mal presque incurable qu’est le consentement dans la médiocrité et la religion du confort intérieur à l’abri de son ego - cette suffisance de grenouille dans l’eau stérilisée du killer Pasteur ou de l’eau bénite par le curé - et qui se retrouve partout, y compris dans vos vertus qui sont des paravents contre le Soi, et jusque dans vos repentirs qui sont des purges ou des drogues pour votre ego soucieux de son confort, soucieux de son « rachat ».

Pour terminer en référence à Gustave Thibon (L’ignorance étoilée), nous nous trouvons face au choix de : choisir entre la Réalité invisible d’une éternité sans avenir, ou vers le mirage éclatant d’un avenir sans éternité (comme le proposent les transhumanistes).

On ne peut rien faire d’un isme ou dogme. Et la République en est un, monstrueux, car construit sur L’EGO.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 11-08-2016 23:23

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