Les Espagnoles colonisateurs et criminels
 

Ecrit par Sechy, le 19-10-2016 01:22

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Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Daesh, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Impur, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Jeu, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Nomade, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Pur, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Sédentaire, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Les Espagnoles colonisateurs et criminels
comme Pizarre, Colomb et Cortès et
leurs bandes de pilleurs et criminels organisées
au nom de leur religion-opinion.
 
 
ÉTERNEL GUERRE ENTRE PAÏENS ET ABRAHAMISTES, CES DERNIERS ÉTANT DEPUIS UN MOMENT LES WINNERS ACTUELS QUI DÉTRUISENT CETTE PLANÈTE.

L’HISTOIRE DES HUMAINS DES 10.000 ANS EST UNE TERRIFIANTE CHRONOLOGIE DE RAPINES ET DE CRUAUTÉ EN COMPAGNIE DE CETTE POINTE PARTICULIÈRE DE SOIF DE L’OR DES ESPAGNOLES (là où s’installèrent les marranes et sous Louis 9 quand commença le départ du capitalisme moderne, ET DU TOUT VIRTUEL, j’insiste).


Ce monde des 10.000 ans de la voie de l’Agriculture rongé par LA FIÈVRE DE L’OR (dans le sens Or-métal et la City de Londres et ses banques, et dans le sens de HORS ou LIBERTÉ, STARGATE, SOI-INSTANT).
 
Dans une mauvaise période cancérisée par le pouvoir, Atahualpa devint faux Inca en même temps qu’arrivait sa ruine par les mers en la personne de Pizarre, de ses soldats et de leurs maladies comme la variole introduites en Amérique par ces Espagnoles. Pendant 9 mois (temps de grossesse) sa bande s’empara des cités qui n’opposèrent aucune résistance. Puis l’affrontement arriva : Atahualpa qui avait ordonné l’exécution de Huascar son frère captif fut à son tour fait prisonnier. Il s’ensuivit un demi-siècle de chaos et de luttes pendant lesquels les Espagnoles s’entretuèrent, et l’armée inca fut tantôt amenée à se soumettre, tantôt détruite. Cela sonna le glas de l’immense civilisation américaine cosmique.

Bizarrement en républicanisme nous nous approchons du système des Incas : unité du pays réalisé par l’intermédiaire d’une « dictature bénéfique » (la fameuse « république ») : sécurité à tous les étages, personne ne meurt plus de faim, entretien gratuit des habitations particulières et des biens publiques, la pauvreté n’existe pas puisqu’il n’existe pas d’économie au sens moderne (production et donc consommation démentielles). Mais la population est totalement dépendante de l’Inca suprême. Aussi, en contrepartie des conditions de sécurité et d’une plus grande aisance, les Incas acceptaient en général cette entrave à leur liberté. Depuis le début du 16è siècle, le Pérou n’avait jamais connu un tel bien-être social. Il semble qu’à partir de 1917 en Russie, des individus cancérisés par le pouvoir aient copiés ce système, toujours en conflit entre individualisme et collectivisme, puisque cela conduisit à des dizaines de millions de morts et dura tout de même pendant 74 ans.

LA FIÈVRE DE L’OR.

L’Or-métal apparaît au Pérou dès le deuxième millénaire avant notre ère. Il est la parure des Dieux et des chefs. Les Incas en font le symbole du Soleil. Le Pérou est lui aussi une terre d’Or-métal. Tous les trésors découverts pas les envahisseurs Espagnols vont bouleverser l’histoire de l’Occident, notamment en donnant la naissance effective AU CAPITALISME : FINANCER LES GUERRES QU’ENTREPRENNENT LES HABSBOURG POUR ÉTABLIR LEUR DOMINATION, et en même temps briser la menace turque qui pèse sur l’Europe centrale.
Évidemment tout l’Or-métal pillé fut fondu par les envahisseurs et parasites Espagnols leur permettant de construire facilement leur empire monarchique jusqu’au 19è siècle. Ce qui resta à découvrir par les générations suivantes ce sera de rares trésors enfouis dans des sépultures et sous des ruines, faible lumière de ce qu’autrefois la beauté elle-même représenta aux yeux d’êtres humains.

Jusqu’à la fin du 8è siècle, avec l’invasion Toltèque, l’Or-métal reste presque inconnu des Mexicains et des Mayas. L’Or-métal abonde en Amérique centrale et au bord de l’Amérique du Sud à l’aube de l’ère chrétienne. Dans la région de Bogota, en Colombie, au pays des Chibchas, l’Or-métal prend une valeur sociale.

Tout étant lié et délié, après des prédictions faites par des Mexicains, Hernan Cortès débarqua le jouir, pardon, le jour où le Dieu Quetzalcoalt devait revenir proclamer la victoire sur le Dieu de la guerre des Mexicains. Les vêtements de Cortès ressemblaient beaucoup à ceux qu’on disait appartenir au Dieu. L’Empereur Montézuma fit don à Cortès d’un énorme trésor, de masques de Dieux, d’une grande masse d’Or, de nombreux livres.
Les envahisseurs Espagnols progressaient facilement parce que leur cuirasse était imperméable aux armes en bois et en pierre des Aztèques. Ils prirent Tlaxcala, défirent l’armée mexicaine à Cholula et finalement arrivèrent à Mexico. Ils furent éblouis par la beauté de la capitale, plus grande qu’aucune cité d’Europe à cette époque-là. Montezuma fut évidemment pris en otage et les parasites Espagnoles demandaient toujours plus d’Or. Un jour, ces parasites apprirent qu’une autre armée espagnole avait débarqué pour arrêter Cortés. Cortés quitta Mexico et nomma un de ses acolytes, Alvaredo, responsable de la place. la plus grande partie de l’armée se dirigea vers la côte et y écrasa l’ennemi. De nouveaux soldats se joignirent à eux et regagnèrent Mexico. À leur retour, un silence régnait sur la ville, parce que les chefs guerriers mexicains faisaient une grande parade en l’honneur de leurs Dieux et que cela avait « effrayé » Alvaredo qui les avait fait tuer, ce qui avait donné naissance à une grande hostilité du peuple entier. Ils savaient que les ennuis allaient commencer. Le palais où ils maintenaient Montezuma prisonnier fut bientôt assiégé. Ils l’emmenèrent près des remparts afin qu’il calmât son peuple mais en échange il reçut une pierre que l’un des siens lui avait lancée. Cela acheva son désir de vivre, il mourut une semaine plus tard, refusant de parler à ses ravisseurs. Son corps fut rendu aux Mexicains qui le brûlèrent.
Apeurés, les Espagnoles décidèrent de quitter secrètement la ville lors d’une prochaine nuit sans Lune. Malgré ces précautions, au passage d’une première digue, on les aperçut. Ce fut le départ d’un terrible combat où les deux tiers des Espagnoles furent tués avant d’avoir pu regagner la terre ferme.

Avec ce qu’il lui restait de son armée, Cortés se retira à Tlaxcala, dans les montagnes. Les Aztèques ne les harcelèrent point. Leur nouveau chef était Cuitlahuac, atteint de variole, maladie introduite par les envahisseurs que Cortés avait battue. Cuitlahuac mourut et c’est un jeune homme de 19 ans, Cuauhtemoc (L’Aigle qui s’abat) qui lui succéda.

La chute de Tenochtitlan (le « Rocher au Cactus », Mexico) fut dramatique. La ville en ruine abandonnée pendant 6 mois ou 7 mois, afin que les milliers de cadavres puissent se décomposer sans risque pour les populations. Plus tard, des bandes d’individus revinrent raser les ruines et préparer le terrain pour l’édification de la Mexico parasitée par les Espagnoles. Pendant ce temps l’armée espagnole s’était éparpillée très loin à travers le pays pour bien-sûr rechercher l’Or et l’Argent. Ils ramenèrent des centaines de tonnes de métal précieux. Les parasites Espagnoles étaient semble-t-il incapables de reconnaître si une œuvre avait une valeur sur le plan artistique. Seul le métal précieux les intéressait. Tout ce métal fut fondu. Le « Cinquième », qui revenait au Trésor du roi d’Espagne fut envoyé en Espagne sous forme de lingots ; le reste fut partagé entre les différents bandits et criminels « conquistadors ».

L’esclavage commença pour les Aztèques, qui, suivant leur méthode traditionnelle envers les Maures, furent répartis et distribués en « repartimientos » à différents propriétaires fonciers espagnols qui reçurent « l’ordre exprès de bien les traiter et de leur enseigner les rudiments du christianisme » ; de nos jours on dirait « les rudiments de la république » et de la « démocratie » ! Évidemment la plupart du temps les Indiens étaient réduits à la condition d’esclaves ! L’Église de Rome essaya bien d’aider les propriétaires fonciers, mais les religieux envoyés étaient dupés, ou au mieux ramenés de force à leurs couvents ! Pourtant, la haute noblesse indienne, qui comportait les descendants des seigneurs toltèques du Mexique, était considérée comme l’égale des « grands » d’Espagne et gardait une certaine autorité et un certain pouvoir.
Il est intéressant de se souvenir que chez les Mayas, le fléau national était l’ivrognerie, facilité par la simplicité à fabriquer un mélange de miel très liquide avec des épices, le tout va fermenter et donner une boisson alcoolique, très appréciée lors de fêtes religieuses ; il s’ensuivait un certain débordement sexuel qui n’était pas considéré comme vraiment criminel. Mais, L’IVRESSE ÉQUIVALAIT AU POLITIQUE : entretient d’un sentiment de bonheur, de sécuritaire, et les Dieux ayant reçu de nombreux cadeaux devaient forcément s’apercevoir que leurs fidèles étaient « heureux ». Alors on les bourrait encore plus de cadeaux ! C’est de la politique… De nos jours, l’Alcool c’est la tablette informatique, l’écran ou entertainment et les médias et la propagande-spectacle du monde républicaniste.
La révolte et l’ethnocide des Mayas va se poursuive jusqu’à Porfirio Diaz, protecteur des propriétaires fonciers et qui va enclencher la révolution mexicaine.

Les deux siècles de 1500 et de 1600 furent déterminant pour façonner le monde (Mon-de ou Dé-Mon) de nos jours et sa religion de l’argent. Mais le drame des Peuples du Soleil est LE PLUS GRAND ETHNOCIDE DES 10.000 ANS DE LA VOIE DE L’AGRICULTURE QUI COMMENCE AVEC COLOMB à la fin du 15è et au début du 16è siècle, parce que le « RÉSEAU » s’installe et parvient jusqu’en Espagne pour avertir que ces contrées regorgent de richesses comme n’en connaîtra jamais la petite Espagne.

Les parasites Espagnoles voyaient l’Or ou l’Objet, mais ne voyaient pas le TROU ou ÉNERGIE, ni d’ailleurs LA CROIX QUI FORME UN TROU AU CROIsement. Ils ne voyaient que l’HISTOIRE-OPINION-TEMPS QUI COULE. Ils ne voyaient que l’itinéraire et non l’Idité ou le Point. Chez ces parasites il n’a jamais été question de religion, même s’ils étaient accompagnés de religieux. Ces parasites Espagnoles sont comme les mêmes parasites actuels de l’oligarchie anglo-américaine qui se prennent pour Dieu et « veulent rectifier la Nature » en ne se « rectifiant » pas eux-mêmes (y compris les transhumanistes…). TOUS CES GENS SONT DANS L’ÉMOTIONNEL, LE SENTIMENT : la religion, le philosophisme, la technologie font dans l’émotionnel (voyez la mode du « vivre ensemble », celle de l’informatique, etc.).
OR MÉTAL = SENTIMENT, ÉMOTIONNEL.


[En référence à : Les Peuples du Soleil - Civilisations de l’Amérique précolombienne, de Cottie Arthur Burland]
(En haut de page : aquarelle de Michel Roudakoff) 
 
 

Dernière mise à jour : 19-10-2016 01:50

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