Cancer ou mort moderne
 

Ecrit par Sechy, le 27-12-2008 12:33

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Cancer, Compétition, Nature, Rentabilité

 
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Cancer ou mort moderne
Ou erreurs sur la Nature


Le cancer moderne ou actuel peut se résumer à COMPÉTITION et RENTABILITÉ et donc à MEURTRE. Ça ronge et pollue notre planète Bleue. Ces deux mots-maux sont encore un truc inventé par l’homme et qui doit être un coup des Babyloniens !
L’idée reçu que dans la Nature il faille combattre pour survivre, ou que seul le plus fort survive, ou le genre griffes et dents et le combat acharné faisant de la violence presque une loi et par là même rendant « naturel » la compétition et le rendement sont des terribles erreurs !
Tout est lié, ainsi comme écrivait un poète : Qui cueille une fleur dérange une étoile. Comme il est dit dans l’adage alchimique : Tout ce qui est en Haut est comme tout ce qui est en Bas et l’inverse, cela indique une sympathie magnétique entre haut et bas et l’inverse (Microcosme et Macrocosme) (1).
Selon les biologistes avancés deux espèces n’occupent jamais la même niche. Beaucoup d’exemples montrent que des espèces semblables coexistent parce qu’elles mangent des nourritures différentes, sont actives à des moments différents et occupent des espaces différents. Certaines plantes ont trouvé un habitat dans le désert, d’autres dans des forêts tropicales. Certaines créatures sont nocturnes, d’autres pas. La Nature est si bien organisée que la nourriture est généralement partagée, ainsi que le territoire. Les animaux pour survivre n’ont donc pas besoin de se faire la guerre. La corporation des orfèvres ne va pas faire la guerre à celle des bouchers pour survivre !
Le botaniste Frits Went dit :
- Il n’y a pas de combats violents entre les plantes, pas de meurtres belliqueux, mais un développement harmonieux sur une base de partage d’égal à égal. Le principe coopératif est plus fort que le principe compétitif.

Il indique aussi que le prédateur tue seulement quand c’est nécessaire. Il ne tue pas par haine, colère, ou plaisir comme le font les prédateurs humains. Selon Konrad Lorenz, de nombreuses photos de tigres et de lions bondissant pour tuer ne montrent ni colère ni violence sur leurs faces.
Comme de mystérieux engrenages les choses s’emboîtent les unes dans les autres pour former un TOUT. Ainsi des aigrettes voyagent sur le dos des buffles et les délivrent des insectes et des punaises qui les irritent, et les buffles fournissent aux oiseaux les insectes quand ils arrachent l’herbe de la Terre. Il y a une aide mutuelle et naturelle de la Nature, nous-même humains offrons l’hospitalité à des micro-organismes dans notre corps. Il semble de bon sens d’admettre qu’aucune espèce ne pourrait survivre seul sur notre planète. Il paraît que si les abeilles disparaissaient, ce serait la fin de l’être humain.

M. R.


Note.
1. Voir la Table d’Émeraude.
 

Dernière mise à jour : 27-12-2008 12:40

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