Élections, choisir = DICTATURE
 

Ecrit par Sechy, le 24-04-2017 21:02

Pages vues : 5956    

Favoris : 39

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Christ, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Eau, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Information, Inquisition, Instant, Islam, Israël, Jardin, Jeu, Judaïsme, Kronstadt, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Merde, Métal, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Moteur, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Pays, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Scarabée, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Univers, Vide, Volonté, Yokaï

 
1dollar_prix.jpg
 
 
Élections, choisir = DICTATURE
Le quantitatif (majorité ou winner) contre
le qualitatif (minorité ou losers, opposants)
 
 
Bienvenue chez les Couilles en Or Macronthschild et à la City de Londres. Le Plan des winners est jusqu’ici conforme compas-équerre et à 1789. Inutile de vous déplacer pour la deuxième illusion appelée « second tour » de veautation (là où vont les veaux). Les Papes de la City ont déjà préparés la merde suivante (entendez par merde l’argent).
Ne pas participer à cette monstrueuse DIVISION oligarchique entre la potence et la guillotine ou Macrothschild-Lepen. La Vraie Liberté ne viendra jamais d’une urne quelconque, virtuelle ou pas. Les urnes ne servent qu’à recueillir des cendres de cadavres.
 
Voter c’est nommer, engendrer un nom-la-forme. NOMMER RASSURE et est conforme ou tout sécuritaire si à la mode de l’après 1789 et sa « démocratie » marchande. Nommer c’est vouloir échapper à la PANique et à l’extase, qui ne se déploiement pleinement qu’en fonction de l’absence de nom-la-forme. Se rappeler l’extraordinaire importance vitale chez les Anciens Égyptiens dans les noms des Dieux. Ils les fabriquaient en quelque sorte et leur donnaient vie.

Mais de nos jours où tout est à l’envers, conformément au principe capitalo-socialiste et de cette société de l’entertainment et de la secte des compas-équerre (1) qui veulent que ce soient les accidents qui engendrent les essences, on a seulement un petit pourcentage de veautards qui, selon le point de vu du Pour-Voir, représentent la « majorité » (le quantitatif), contre le reste, les losers, qui n’ont pas veauté parce qu’ils sont contre les offres de chefferie proposée en vente. C’est cela la dictature de la majorité INVERSÉE.

Les élections, le reste, l’Univers, sont des illusions : LE TEMPS N’EXISTE QUE S’IL Y A QUELQU’UN POUR L’OBSERVER, et pour le mesurer, le calculer. Absolument tout est comme ça : c’est l’ego de l’humain qui décide selon son opinion. Même le mot illusion est encore une opinion de nom-la-forme. IL N’EXISTE NI VÉRITÉ NI ILLUSIONS qui ne seront que des points de vue. Or, un point de vue n’est qu’une PERSPECTIVE, qui commença à naître à la Renaissance, notamment avec Piero della Francesca, soit un aspect sous lequel une chose se présente. « Tu as un point de vue t moi j’ai le mien » (surtout en notre époque de tyrannie de l’opinion et de son social « tout connecté » où chacun baigne dans sa petite vérité ou ego).
Pour les Macronthschild et la City de Londres, l’Or sera un trésor ; pour d’autres il sera un « terroriste ». Il y a ceux que l’Or fait gonfler d’orgueil et de combativité ou mordant, comme le jeune Macronthschild ; et ceux que l’Or fait rétrécir ou réduit en pauvreté.


Vérité et illusions sont des noms-les-formes de l’humain et n’ont aucune existence en soi. Comme le temps, il faut un ego pour l’inventer. Vérité et illusions sont des constructions du mental, qui va produire le dualisme du pur-impur et va déterminer ce qui est « bien » et ce qui est « mal ».

Bodhidharma répondant à l’Empereur Wu :
- Quel est le principe de l’éveil du Sage ?
- Être vaste et vide, sans qu’il y ait de Sage.
- Qui est donc celui qui est en face de moi ?
- Je l’ignore.
(il ne pouvait qu’en être ainsi puisqu’Il n’avait plus d’ego).

S’il n’y avait pas d’argent ni de banques ni de valeur il n’y aurait pas de va(o)leurs ! C’est comme le temps, il faut quelqu’un pour l’observer et ainsi le fabriquer. Si l’être humain invente la serrure, c’est bien parce qu’il a inventé la va(o)leur.
SERRURE = PEUR. C’est comme le chat de ma voisine, il ne prend jamais ce qu’on ne lui donne pas. Et pour cause, dès que le chat tend sa patte pour chaparder ou griffer quelque chose, clac ! un petit coup de livre sur le train arrière (la voisine lit des livres à longueur de journée). C’est pareil pour les humains, la sanction tombe quand on est pris « la patte dans le sac », ou dans le vol par effraction.
Le chat de ma voisine était honnête comme un Macronthschild parce qu’il avait peur de perdre quelque chose, mais dès qu’il pouvait se faufiler chez le voisin d’à côté, il dévorait tout ce qui lui semblait appétissant.

On n’agit pas au nom de la « morale » édictée par les humains et on ne fait pas le mal quand on est parfaitement libéré, et que l’Univers remplit toutes choses vu qu’il est dans notre mental !
Tout est lié et délié, toi et moi sommes Un, sans qu’une séparation ne nous sépare, mais il suffit qu’un mince papier se glisse entre nous pour qu’aussitôt les infractions surgissent.
Ciel et Terre ont même racine, toutes choses sont Un. Alors il n’existe ni bien ni mal, ni vérité ni illusions, ni avoir ni non-avoir.
LE BIEN PORTE EN LUI LE MAL, ET RÉCIPROQUEMENT ; LE SACRÉ EST TOTALEMENT AMBIGUÏTÉ, COMME TOUS SYMBOLES (puisque tout est symbole et symbolisable, et inversement :
Tout ce qui est observable est symbolique, et tout ce qui est symbolique est observable, donc en totale dualité sujet-objet. En conséquence, le Symbole du Principe Originel Universel ou Unité, ou Soi, est « observable » par le Réalisé vivant, et peu importe le "temps").
Suite à l’après 11 septembre 2001, avoir inventé la mode du terrorisme est criminel.
Il n’existe pas de « terroriste », c’est une invention POUR DIVISER comme d’avoir peur du mal. Tous les êtres humains sans exception ne sont ni bons ni mauvais.
Le Tout fait plus que la somme des parties : une entité contient des facteurs ([FACEON] du Latin Factionem : action de faire ; depuis 1699 : ce sont les éléments qui constituent la chose) que l’on ne peut identifier ; si l’on décompose cette entité pour analyser ses parties constituantes, cela n’indique pas son héritage génétique, ni sa valeur biologique, ni vraiment son fonctionnement.
C’est comme remplacer un symbole par un autre symbole : le pourquoi sera toujours là. Ou bien traduire un symbole ancien en langage clair actuel et rationnel. Le pourquoi, en fait l’attirance sera toujours là. (D’après E. Pfeiffer, biochimiste, et J.W. Goethe, et René Alleau). Le symbole est TOUJOURS VIVANT, car il est voilé et ne laisse jamais percer le sens définitif des choses. De plus le symbole repose sur la dualité sujet-objet : relation entre deux termes grâce au mental.

VOTER AU QUANTITATIF C’EST DIVISER ET NON « RASSEMBLER » car il y aura toujours des losers.
Voter vient de Vœu, donc de croire, comme dans la CRÉDI-CRÉDO-CROYANCE. Faire un vœu c’est diviser, choisir entre ceci ou cela, entre le chaud et le froid, etc. C’est entrer dans la dualité pur-impur. Et dans notre « civilisation » du tout béton on entend à longueur de journée des automatismes de robots comme : « Je vais bien, merci », alors que tout va mal. Ce sont typiquement des noms-les-formes pires que ce qui pourra se faire demain en I.A. par les Google et autres transhumanistes. Dans notre monde où tout est à l’envers, on dit du mal de ce qui est bien ! Alors on peut se demander : qu’est-ce que le bien ? Qu’est-ce que le mal ? Personne en ce monde ne peut répondre à cette question.
Progrès ou recul ? Même le ciel n’en a la mesure ! Qui peut savoir ce qui est du bon sens ou qui « va dans le bon sens », ou à l’envers, ou ce qui est bon ou mauvais pour la santé ? Tout cela n’est qu’opinion et donc mode.


TYRANNIE DE L’OR ET DU TRAVAIL DU CHAPEAU.
Quelles idoles aztèques furent-elles plus inondées de sang humain que les opinions publiques occidentales ou de l’inconscient collectif occidental façon C.G. Jung dont nous sommes si fière comme certains sont fière du mot « démocratie », et auxquelles toute une société maintenant mondialisée tend un culte ?
Depuis les 10.000 ans de la voie de l’Agriculture, exista-t-il jamais un fétichisme comparable par ses atroces exigences, par sa tyrannie qu’il put exercer sur les cerveaux et les ego, À CELUI DE L’OR ET DE L’OPINION ?



Note.
1. Il n’est pas exagéré ni « théorie du complot » d’attribuer aux sociétés secrètes ou sectes un rôle considérable dans l’histoire humaine. Elles assurent un dépôt de connaissances sacrées, donc totalement ambiguës, et elles ont inspiré directement ou indirectement toute l’évolution des opinions, ne fut-ce que par le seul langage parlé ou écrit, ou symbolique.
En politique, donc en étatisme, ce qui va modifier l’histoire humaine est bien-sûr LE COUP D’ÉTAT, et 1789 en France et 1917 en Russie en était un : s’emparer de structures de l’État précédent afin de modifier comme toujours l’opinion.
L’étatisme ne fonctionne que par la force, par la naissance (lignée royale ou de « sang bleu »), ou à la manière judéo-maçonnique : l’élection au quantitatif.
 
 

Dernière mise à jour : 24-04-2017 21:24

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved