Senti-ment : inconscient à contrôler par la chefferie.

En religion de laïcité ou de consommation, l’être humain dort, bouffe et chie parce qu’il est corporel. Mais la laïcité des judéo-maçons spéculatifs travailleurs du chapeau et les banquiers ne veut pas que les humains s’éveillent par eux-mêmes à la Science des Anges ou Félicité.

 

En l’état actuel des consciences où dans le culte du narcissisme des individus qui sont devenus des ego sur pattes, la chefferie aura recours le plus en plus à des manipulations pour contrôler les masses. Manipulation que je compare à l’imbécilité qui consiste à mettre sur les emballages de la bouffe souvent industrielle ou du quantitatif la phrase en apparance anodine : « Suggestion de présentation », alors que la dite « suggestion » est impossible à réaliser, par exemple sur le fromage de Comté un photo représente une meule entière devant un rayonnage ou s’étalent des dizaines de meules ! Et maintes autres « suggestion » sont du même ordre, et me font penser au vide du verbiage macronique !
Il est évident que dans notre civilisation qui se complexifie presque à la vitesse d’un ordinateur des années 1980, et que la diarrhée législative de la chefferie expulse un loi à chaque problème, dans peu d’années il n’existera plus aucune liberté de penser et d’action pour les Terriens. Aussi pour leur faire « avaler la soupe », toutes chefferies auront recourt à des manipulations plus ou moins sophistiquées. Naguère c’était l’Église de Rome, de nos jours c’est le système capitalo-socialiste et sa propagande.

En se complexifiant la civilisation tend à uniformiser en une pensée unique, LE CONVENTIONNEL ENCARTÉ, LE FORMULAIRE À LA CARTE : auquel il faudra désormais se référer dans tous événements vécus, ce qui amènera une transmutation du savoir. Par exemple au Moyen-Âge les allégories du bestiaire sont souvent en relation avec ce qui est vu, et dans la Nature tout est symbolique : tout ce qui est observable est symbolique, et inversement tout ce qui est symbolique est observable puisque nous le fabriquons. Par exemple, que veut dire « Tous les hommes naissent égaux » ? Cela concerne-t-il TOUS les êtres humains ? Parce que si c’est le cas, c’est une gigantesque fumisterie. Dans la complexité de notre civilisation les problèmes sémantiques vont aller en s’aggravant, surtout lorsque apparaissent les expressions qui ne sont pas utilisées au sens littéral, mais dans un sens métaphorique, ou ironique, où la question n’est plus de savoir à quoi se réfère l’expression, mais comment elle s’y réfère ; alors naissent les problèmes qu’aborde la pragmatique (le faire, le matérialisme, le but à atteindre, l’affirmation de quelque chose, l’opinion…). Mais il y a plus de liberté à observer soi-même que de compter sur l’observation des autres dans ce monde du tout connecté et du conventionnel !

Sur l’Internet, il y a non seulement l’outil inquisitorial qui se nomme « complot », que, au même titre que les autres outils : « antisémitisme », « fascisme » etc., on vous brandira sous le nez si vous n’êtes pas dans l’opinion du Pour-Voir mondialiste le nouvel inquisitorial : LE TROLL.
Singerie de la tyrannie de l’opinion commencée à la Renaissance, alors que le vrai sens du mot Troll est celui des ÉLÉMENTALS ou ESPRITS DE LA NATURE DANS LES QUATRE ÉLÉMENTS ICI EN OCCIDENT, au Japon ce seront les YOKAÏ. Le mot Troll a été transformé en GRÉGARISME OU ÉGRÉGORE ANTI-CONTESTATION DE L’EFFONDREMENT DE LA CIVILISATION ACTUELLE. IL FAUT IGNORER LES PERSONNES POSSÉDÉES PAR CET ÉGRÉGORE ET QUI UTILISENT LE SENTI-MENT COMME FAUX ARGUMENT PAR PRINCIPE.

Jamais cette civilisation n’a été à la fois aussi enfermé dans l’ego de chacun et paradoxalement « connecté » en un monstrueux grégarisme surtout facilité par l’évolutionnisme galopant de la technologie. Il s’en suit inévitablement la peur, et la chefferie, les forts en gueule qui jouent de l’inquisition d’antisémitisme, qui jouent les trolls en s’en donnant à cœur joie, parce que, paradoxalement l’égoïsme de chacun dans ce culte du narcissisme fait que nous sommes tournés EN PERMANENCE VERS L’EXTÉRIEUR, alors va naître la peur et ce besoin du sécuritaire renforcé par l’étatisme : « Les ennuis ne surgissent que lorsqu’il y a un autre que soi-même », dit Ramana Maharshi à l’entretien 58, et tout est fait dans cette civilisation pour que nous soyons autre que nous même. Mais lorsqu’on réalise que le Soi ou Instant est unique, il n’existe plus de second, et alors il n’y a plus de raison d’avoir peur. La peur provient de ce que l’AUTRE peut : faire, dire, ou penser.

Sentiment et peur sont du Thème de la Chute (dans la matière ou éjection de l’Âge d’Or). Mais l’Âge d’Or, comparable au Soi, EST TOUJOURS LÀ : le Vrai ‘Je’ est toujours là, il est ici et maintenant. Il n’apparaît ni ne disparaît jamais. Seul ce qui EST perdure à jamais. Ce qui apparaît nouvellement doit aussi disparaître. C’est comme vouloir atteindre un but : ce but ne peut pas être permanent, il doit déjà être présent. Si nous cherchons à atteindre un but, c’est l’œuvre de l’ego (la pensée ‘je’) ; mais ce « but » existe bien avant l’ego ! C’est parce que nous existons que l’ego semble exister aussi.

Qu’est-ce que la peur ? « Ce n’est qu’une pensée » dit R. Maharshi à l’entretien 146 : « Qui est celui qui voit quelque chose d’autre, extérieur à lui-même ? C’est l’ego qui s’élève en premier et qui considère les objets comme extérieurs. Si l’ego ne s’élève pas, le Soi seul existe et reste sans second (sans manifestations extérieures). Toute chose extérieure suppose un spectateur intérieur [comme le temps qui coule : il faut une personne pour l’observer, donc le fabriquer] en le cherchant à l’intérieur, tout doute, toute peur - non seulement la peur, mais toutes les autres pensées centrées autour de l’ego - disparaîtront en même temps que celui-ci ».
Dans le même entretien :
« L’ego est comme notre ombre sur le sol. Tenter de l’enterrer serait une sottise. Le Soi n’est qu’un. S’il est limité, c’est l’ego. S’il est illimité, c’est l’Infini, la Réalité [la perte de l’ego, qui n’est pas une entité, mais, je dirais, une sorte de masque : la persona] ».