Société crue contre société cuite
 

Ecrit par Sechy, le 05-07-2017 01:58

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Tags : Amour, Anarchie, Âne, Argent, Artifice, Babel, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Chimère, Christ, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Fréquence, Fusible, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Information, Inquisition, Instant, Islam, Israël, Jardin, Jeu, Judaïsme, Kronstadt, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Merde, Métal, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Moteur, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Prostitution, Ptah, Pays, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Psychiatre, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Scarabée, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Univers, Vaccin, Vase, Vide, Volonté, Yokaï, Zombie

 
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Société crue contre société cuite
ou
Païens contre Abrahamistes
ou
Campagnes (Rural) contre Villes
(Urbain et Rurbain moderne)
ou
Horticulture contre Agriculture
ou
Primitifs contre Civilisés
ou
les sociétés sans État contre avec État.
L’étatisme comporte quatre phases :
- État despotique d’Ancien Régime monarchiste,
- État « libéral » ou « démocratique bourgeois à partis
multiples,
- État totalitaire socialiste ou fasciste à parti unique,
- Para-étatisme comme staliniens et groupes terroristes luttant
au « nom du peuple » et à cause de cela ont pour modèle l’État
(Cambodge et Khmers rouges et Cuba et État islamique)(1),
ce quatrième type d’étatisme est terrifiant car procédant
de la dualité Bien-Mal (comme dans les religions du Salut,
mais surtout LA RELIGION DU SURHOMME OU SUPERMAN ACTUEL),
avec conséquence l’atteinte du principe vitale humain,
le Soi, le : CE QUI EST.
Le Superman moderne ne mène qu’à un obscurantisme pire que
celui dénoncé par les perruques poudrées genre
l’athée intégral Voltaire.

Ces quatre types d’étatisme reposent sur LA DIVISION
(nulle égalité chez elle, comme le prétend
la propagande républicaine depuis 1789).
Le principe de cette division repose sur
LA DUALITÉ WINNERS-LOSERS ou
DOMINANTS-DOMINÉS (principe de la chefferie qui SOUMET).
Comme l’énonce l’Alchimie : Un est le Tout,
principe des communautés sans État et sans politique.
DIVISION = NÉGATION DE LA LIBERTÉ PUISQUE DUALITÉ SUJET-OBJET.
La fièvre de l’égalitarisme imposé depuis 1789
est le symptôme même de cette division.
Imposer l’égalité, ou le laïcisme,
c’est vouloir repeindre le Ciel en bleu pour
qu’il « ressorte mieux » dans la caméra Technicolor !
 
 
LAVAGE DE CERVEAUX : seriner aux humains le slogan typiquement étatique : « sans foi ni loi » (et sans roi ou sans président), pour leur faire comprendre qu’en dehors de la Loi et et la Foi, ce sont les « sauvages », les Païens qui mangent les petits enfants et qui forniquent à longueur de journées.
 
La notion « cru » et « cuit » provient de l’époque en model évolutionniste à la Darwin voyant les « sauvages » bouffant cru et les « civilisés » bouffant cuit grâce à leur thermodynamique (le feu) ! Évolutionnisme ignare allant de l’enfant (sauvage) à l’adulte (civilisé), ces gens parlent de « l’enfance de l’humanité », donc des « inachevés », des « bougnoules », des barbares… Telle est l’opinion concernant les communautés sans État. Telle est l’opinion du HOTC inventé par les Yahvistes.

POLITIQUE : celui qui l’exerce « sait » ce qu’est l’être humain, donc le « Je suis ce JE SUIS », LA CONNAISSANCE DU SOI, la connaissance du qualitatif, de l’origine, par conséquence il ne peut pas être chef puisque le Soi est notre état naturel à tous : « Quant à la libération, il n’y a rien de nouveau à gagner. Elle est l’état originel qui demeure toujours inchangé » (Ramana Maharshi, entretien 139).
À l’entretien 95, R. Maharshi dit que l’ignorance est l’oublie de son Être pur, croire que « Je suis le corps » et croire que le monde est réel ».
À l’entretien 131 à la question de « qu’est-ce que la libération ? » Ramana Maharshi répond : « La libération consiste à savoir que vous n’êtes jamais né. « Reste tranquille et sache que je suis Dieu ». Voir l’encadré en fin de page sur la non-évolution pour annuler le HOTC (annuler le temps qui coule).
Dans l’entretien 192 : « Ce bonheur qui résulte des jouissances des sens est le même que celui de la Libération. Et le désir de Libération est une des quatre conditions pour y parvenir. Il est commun à tout le monde. Et ce de fait tout le monde a droit à cette connaissance - la connaissance du Soi ». […] Chacun est le Soi de par sa propre expérience. Cependant, il n’en prend pas conscience. Il identifie le Soi au corps et se sent malheureux. Cela est le plus grand de tous les mystères. On EST le Soi. Pourquoi ne pas rester dans le Soi et se débarrasser ainsi des souffrances ? »

Le dictionnaire Le Robert, écrit que le mot Politique vient du latin politicus : relatif au gouvernement, et d’un « homme d’État », donc le mot « politique » est entièrement lié à l’étatisme, lié à l’organisation de cet État et de sa société. Le mot « politique » ne peut qu’être lié à cette chefferie nommée : « exercice du pouvoir ». C’est clair. Et c’est notre prison actuelle !!! Le vrai sens du mot « démocratie » NE DOIT PAS FAIRE LA PARTIE D’UN ÉTAT ou RÉGIME RÉPUBLICAIN.

Le communauté originelle est a-politique, le mot « politique » ne concernant que l’étatisme et ses divisions à n’en plus finir.

De nos jours le « social » si à la mode depuis l’après 1789 c’est la politique, c’est LA TYRANNIE DE L’OPINION que dénonce si longuement Jean Coulonval dans son livre Synthèse et Temps Nouveaux, et je prend la relève. Voter aux élections EST en son principe de la tyrannie de l’opinion : celle de la majorité, le quantitatif qui devient winner au détriment des losers. Dans sa lettre 51 à Aimé Michel Jean Coulonval écrit : « Vous dites que voilà trente ans que Arthur Koestler annonce la mort de la philosophie professionnelle. J’espère, avec ce livre, contribuer à la tuer. Les philosophes prétendent, parce que diplômés et enseignants, avoir le monopole du droit de penser, parce que « spécialistes » !!! [ de nos jours ces spécialistes sont de plus en plus nombreux comme cet étatisme et Occident qui divisent tout]. Mais, par ailleurs, on prétend imposer à tous, sauf aux fous internés par décision judiciaire, le devoir de voter, c’est-à-dire d’accomplir un acte en vertu d’une position philosophique [sens de celui qui sait, à distinguer de l’opinion].
Histoire de fous ? Peut-être pas, et même certainement pas. Il en est bien quelque part des intelligences conscientes de ces conneries mais qui ont intérêt à les entretenir ».
RAPPEL : « Lorsque vous adhérez à un seul système philosophique, vous êtes obligé de condamner les autres » (Ramana Maharshi, entretien 40).
Les philosophistes et autres physiciens veulent péter plus haut que leur cul comme l’exprimait Lautréamont : « On m’a dit que j’étais fils de l’homme et de la femme [par encore celui d’une éprouvette ou d’une PMA] ; cela m’étonne : je croyais être davantage ». Voilà une parole de transhumaniste en cette ironie grinçante de Lautréamont, cité par Gustave Thibon dans : Notre regard qui manque à la lumière.

Les communautés indivises ignorent le philosophisme ; elles ignorent la mode actuelle du social, et surtout ses « sciences sociales ». Elles vivent le Soi-Instant et n’ont rien à foutre des « ismes » en tous genres.

Donc en étatisme celui qui sait, qui est un Réalisé vivant, le Christ ou le « Je suis ce JE SUIS » est à même de commander, et comme nous sommes tous « JE SUIS », la notion de chef, de super ego, s’annule ! D’un autre côté, « Les instructions spirituelles [la Connaissance] diffèrent selon le tempérament des individus et leur maturité spirituelle. Il n’est pas possible d’instruire en masse » comme le précise Ramana Maharshi à l’entretien 107. Il précise aussi : « L’aspect des choses varie selon le point de vue de la personne. La vue émane de l’œil. Et l’œil doit se situer quelque part. Si vous voyez avec les yeux de la matière, le monde aura la même nature. Si vous regardez avec les yeux subtils (ceux de l’esprit), le monde apparaîtra subtil. Et si votre œi devient le Soi, le Soi étant infini, l’œil sera infini. Il n’y a rien d’autre à voir qui soit différent du Soi » (entretien 106).

Primitif ou bétonisé (civilisé et eyes candy et verroteries), la dualité existe comme maintenant : ami-ennemi, ou autochtone-barbare, ou cru et cuit, comme en titre d’article.

BÉTON, CENTRALISATION, ÉCONOMIE-MONDE = URBAIN-CAPITALE-CAPITALISME ACIER-VERRE. L’Acier c’est l’unité de la chaîne, et le verre la transparence laissant voir la diversité comme le voudrait la devise « unie dans la diversité » gravée sur l’épée d’académicienne de la grosse dame sioniste qui vient de mourir.
CAPITALISME = ACCUMULATEUR, CONCENTRATION en faveur de certains lieux d’élection de l’accumulation.

URBAIN = ROME (latin urbanus, de la ville Urbs, Rome). ROME d’abord Empire ensuite Église tueuse de Païens et réservoir à dogmes à morales et sentiments.

En dualité nous avons bien le centre et la périphérie, la ville et la banlieue, ce qu’avait essayé de rompre les Atlantes, quand on voit la supposée illustration symbolique de la représentation de leur cité en disposition rayonnante, MAIS où le centre doit être partout et la circonférence nulle part, ce qui est inreprésentable en plan…. De nos jours nous avons la cité et sa banlieue avec chacune LEUR LANGAGE comme il y a un langage-banlieue parisienne chez les jeunes. Les Grecs anciens de même que les Chinois de cette époque voient en ami-ennemi, ou ceux de la cité et les barbares qui ne sont pas de la « paroisse ».
Selon un historien du 16è siècle, ses compatriotes appelaient « barbares crus » ceux qui se maintenaient indépendants en conservant leurs mœurs primitives, et « barbares cuits » ceux qui avaient accepté plus ou moins la civilisation chinoise, en se soumettant à l’Empire.
« Ici, politique, culture, économie, modèle social entrent conjointement en ligne de compte. Le cru et le cuit, dans cette sémantique, explique Jacques Dournes, c’est aussi l’opposition culture-nature, la crudité signalant, avant tout, par la nudité des corps : « Quand les Pötao [« rois » des montagnes] paieront le tribut à la cour [sinisée] d’Annam, celle-ci les couvrira de vêtements », cité par Fernand Braudel dans : Civilisation matérielle, économie et capitalisme 15è-18è siècle, vol 3 : Le temps du monde.

L’économie de marché c’est l’Homme augmenté, increvable : « L’économie supérieure enveloppe ainsi la production, en dirige l’écoulement. Pour réussir, tous les moyens lui sont bons, en particulier les crédits accordés à bon escient. Ce n’est pas autrement que les Anglais ont installé leur suprématie au Portugal, après le traité de Lord Methuen (1703). Ou que les Américains ont expulsé les Anglais de l’Amérique du Sud, après la seconde guerre mondiale », écrit F. Braudel.

De nos jours la Campagne est enfoncé, sinistré par le béton de l’urbain. On a la ville et sa périphérie avec ses peuplements denses, son archaïsme et son exploitation facile par autrui, comme écrit Braudel, qui ajoute : « Cette géographie discriminatoire, aujourd’hui encore [en 1979] piège et explique l’histoire générale du monde, bien que celle-ci, à l’occasion crée aussi d’elle-même le piège par sa connivence ».

S’il y a la périphérie des villes il y a naturellement celle des pays. « Là, l’erreur est impossible : ce sont des pays pauvres, archaïsants, où le statut social dominant est souvent le servage ou même l’esclavage (s’il n’y de paysans libres, ou soi-disant libres, qu’au cœur de l’Occident). Des pays à peine enfoncés dans l’économie monétaire », écrit Braudel.

Quand les pays s’enfoncent dans le système de l’économie monétaire, IL NAÎT LA DIVISION, LES PRIX AUGMENTENT. Dans les pays où la division du travail est inexistante, où le paysan assure tous les métiers à la fois, quand il n’y a pas encore la fièvre des « spécialistes » comme maintenant, les prix monétaires quand ils existent sont dérisoires. Ainsi TOUTE VIE À BON MARCHÉ = « SAUVAGES », « PRIMITIFS »…
En 1618 le prédicateur hongrois, Martino Szepi Combor, « observe le haut niveau du prix des produits alimentaires, en Hollande, en Angleterre ; la situation commence à changer en France, ensuite en Allemagne, en Pologne et en Bohême, le pain continuant à baisser de prix tout au long du voyage, jusqu’en Hongrie ». Il ajoute qu’en Sibérie « les choses nécessaires à la vie sont si bon marché qu’un homme du commun y peut fort bien vivre pour dix roubles par an ».
PAYS « ARRIÉRÉ » = ÉCONOMIE MARGINALE.
La Sibérie sera exploitée par l’économie-monde russe, y compris dans l’économie de l’institution ou plutôt étatisme du Goulag, depuis l’après 1918 et la guerre civile jusqu’à la mort de Staline.

BÉTON = TECHNOLOGIE : par exemple dès qu’arrive au 17è siècle en Hollande des travaux hydrauliques, les « campagnes deviennent capitalistes là où avaient existé jusqu’alors des hommes libres, habitués à la pêche et à la chasse du gibier aquatique ; ces primitifs lutteront férocement pour préserver leur vie, attaquant les ingénieurs et les terrassiers, crevant les digues, assassinant les ouvriers maudits. De tels conflits, modernisation contre archaïsme, se reproduisent encore sous nos yeux, aussi bien dans la Campanie intérieure qu’en d’autres régions du monde. Ces violences sont pourtant ”relativement” rares. Généralement, la « civilisation », quand elle en a besoin, a mille moyens pour un de séduire et de pénétrer les régions qu’elle avait abandonnées longtemps à elle-mêmes. Mais le résultat est-il si différent ? », écrit Braudel.

Il ne devrait exister d’autre chefferie que celle qui interdit l’aliénation de chacun ! Or nous sommes tous aliénés, privés de notre SINGULARITÉ, de notre JE SUIS depuis le début du Néolithique, depuis l’invention du HOTC… L’Histoire-Opinions-Temps qui coule coupe en petits bouts de machins.


POURQUOI UN « DEMAIN » ???

LE CRU et la Loi de l’Alternance (jour-nuit ou Rythme circadien).
Le Serpent APOPIS (ou Apophis, Apap), Dragon mythologique qui RYTHME (feu-fréquence-cadence) le Saint Chaos : adversaire-renaissance en Égypte ancienne, identifié tardivement à SETH. NEÏTH la déesse bisexuelle, ou Vierge Immaculée ou Père Mère ou Grande Mère.
RYTHME : « Je n’ai pas éteint un Feu dans son ardeur » (une des déclarations d’innocence, du chapitre 125, du Livre des Morts des Anciens Égyptiens).
« Va chercher la Fleur Rouge », dit Bagheera la panthère noire exprimant ainsi le Feu. Le Feu dans un petit pot ; il faut donner à manger à ce Feu. (D’après le Livre de la Jungle, de Rudyard Kipling, page 31).
Par ses chants Orphée savait garder le RYTHME jusqu’à en charmer les Cailloux !
RYTHME-HABITUDE : rien n’est pareil d’un Instant à l’Autre (paradoxe et oscillation).

Que fait Apopis ? Il censure l’innovation, il REMET À ZÉRO : pas d’évolutionnisme chez Apopis, par d’évolutionnisme au sens de centralisation ou technique ou de Pour-Voir qui bouffe tout.
APOPIS LE SERPENT : LA SIMPLICITÉ MÊME, et ça s’est scandaleux aux humains ! En plus il est : et Matrice et Phallus de grande longueur ! Voir les Anciens Égyptiens qui le piquaient de partout !
Serpent Apopis ou OUROBOROS.

CRU : TOUT EST DEDANS, SANS ARTIFICE… Une chose crue une chose dure…
C renvoie par R U de Unité ou Vérité.
Cuire (bruler) renvoie à la Chair et Chaire (opinion), et fondre (le métal).
Cuire, Cuisinier : Poppus en gaulois, d’après le nom populaire, comparable au gallois pobi (cuire), pobydd (boulanger), au vieux cornique pober, au breton pober (boulanger), pibi (cuire), poaz (cuit), etc. Dict. Français-Gaulois, de J.P. Savignac.

Au moins, question cuisson, nous avons l’avantage sur nos Anciens qui mangeaient froid, nous savons à quel sauce nous allons être bouffés ! Car les époques incertaines comme les nôtres sont effectivement les plus sécurisées : on sait à quoi s’en tenir sur ce monde !

La ploutocratie ne peut que se manger cuite, elle en devient inorganique, comme le monde-hôtel de Jacques Attali où n’existe aucun lieu spécifique (un riche est riche partout, l’argent n’ayant pas d’odeur, aucun raciste ne lui résiste), ainsi elle est étrangère à l’ordre vivant de la moindre communauté vivante, elle ne peut qu’être un facteur de tyrannie d’opinion, soit un parasitisme.



Note.
1. Voir « Le banquier anarchiste » de Fernando Pessoa, où des anarchistes se comportent comme de probables futurs Khmers rouges ou de Cuba et de l’État islamique. Cela dit, il y a anarchistes et anarchistes comme le précise bien F. Pessoa.
 
 

Dernière mise à jour : 05-07-2017 02:36

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