ANTI-NATURE
 

Ecrit par Sechy, le 10-08-2017 01:43

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Tags : Amour, Anarchie, Âne, Argent, Artifice, Babel, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Chimère, Christ, Communisme, Conte, Corée, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Fréquence, Fusible, Génocide, Gnostiques, Histoire, Humain, Illusion, Image, Information, Inquisition, Instant, Islam, Israël, Jardin, Jeu, Judaïsme, Kaléidonome, Kronstadt, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Merde, Métal, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Moteur, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Prostitution, Ptah, Pays, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Psychiatre, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Scarabée, Science, Sécurité, Self, Serpent, Sexe, Silence, Social, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Toufta, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Univers, Utile, Vaccin, Vase, Vide, Volonté, Yokaï, Zombie

 
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ANTI-NATURE
soit :
notre civilisation, nos pensées.


Anti-nature contre Énergie Libre et état originel Divin.
 
 
La Planète-Mère contaminée depuis des millénaires par l’anti-nature souffre avec ses enfants. La Mère ne peut plus donner au Fils, ce Fils ne peut plus re-connaître sa Mère, à tel point que les transhumanistes veulent se « dupliquer » (se sauvegarder) pour durer plusieurs siècles, croient-ils.
La Planète-Mère c’est l’EAU. Mais cette Eau a été polluée, salie par la nature même de la pensée de l’être humain qui, avant de se prendre pour un créateur aurait dû s’accomplir dans son état naturel : la Vie divine.
L’être humain au service de l’être humain se traduit par la servitude : « Exploitez-vous les uns les autres ». L’être humain au service du Divin, c’est le FLÉAU dans la Liberté de la Vraie Création (1).
 
FLÉAU qui interdit la dualité, pour cela il est assimilé à une catastrophe, une calamité, un poison, etc., donc LE MAL, évidemment opposé au « bien », un comble pour l'équilibre d'une balance ; un « bien » que les ego assimilent au « vrai » ; en cela ils se comportent comme toute la chefferie occidentale actuelle et sa « démocratie ».
Fléau, étymologie de flagellum, fouet, qui deviendra dans la voie de l’Agriculture le fouet à battre le blé. Fouet ou lanière qui comme le zig-zag de l’éclair produit une réaction. Le fouet « corrige », la flagellation est réservée aux esclaves. Les flagellants se « corrigent », essayent de repousser les tentations terrestres. La flagellation vise à détruire symboliquement toute cause de désordre dans la société et dans l’individu qui perturbe sa transparence, sa fluidité.
Le fouet est un symbole judiciaire, et symbole de la foudre, énergie créatrice (par l’Eau).
La foudre est assimilée à « la colère du Dieu ». Elle est comme la hache, elle tranche.

Dans le Thème du Fléau se trouve la Licorne, emblème de la Transparence et de la justice et variante du Dragon et maître de la PLUIE. Comme le Fléau la Corne de la Licorne est la Révélation divine, soit PANique : surgissement dans l’Instant de la Connaissance, ce qui va provoquer un moment de PANique (PAN : le Tout).
Bref, la Licorne comme le Fléau expriment la PURETÉ, et ça brûle !… Parce que la Pureté fascine, comme le méchant fascine (Dark Vador fascine les enfants. C’est bien connu les enfants adorent les monstres et les « Hou Hou fait moi peur ! ». Tous les héros du mal fascinent, c’est dire l’ambiguïté du SACRÉ, comme souvent répété dans d’autres articles. Les « gentils » sont fades, pasteurisés, sans intérêt, voir moins « intelligents »… comme disait David 12 ans à la sortie du Retour du Jedi, en 1983, film sur la « libre entreprise » modèle américain).

Fléau comme Licorne expriment la PURETÉ AGISSANTE, OU FIXATION CAVALANTE : SUBLIMATION DANS L’INSTANT DE LA VIE MATÉRIALISTE, SOIT L’ÉNERGIE LIBRE QUI ÉMANE DE CE QUI EST PUR. L’ÉNERGIE LIBRE N’AGISSANT QU’AU NIVEAU DE LA VRAIE CRÉATION.

Dans la tapisserie du Musée de Cluny : La Dame à la Licorne, l’inscription « À mon seul désir » est identique à la devise supposée des Burgondes, Alains et Suèves : « Mes droits sont à mon libre arbitre » (image en fin d’article). Soit être « sauvage », indompté, originel, et ne dépendant d’aucune chefferie donc ne dépendant d’aucun État quelconque.
Les rois Francs, burgondes et goths portaient sur leurs enseignes la chatte de la déesse Freya, dont ils prétendaient descendre, d’après le nom grec thera, ou fera, qui signifie sauvage, indompté. Dame à la Licorne ou devise des peuples mentionnés expriment simplement a Réalisation du Soi : la créature se confond avec l’Infini ; le soi ou ‘je’ se dissout pour laisser resplendir le ‘Je’ ou Soi-Instant, dans la tapisserie sous la tente cosmique reliée à l’étoile polaire. La Dame à la Licorne est SANS EGO : elle EST, elle est ‘Je’-‘Je’, ni réel ni irréel ; ni connaissance ni ignorance ; ni obscure ni lumineuse, C’EST. Cette tapisserie est typiquement une grande ingénierie universelle de l’Énergie Libre : la Corne dressée de la Licorne symbolise la fécondation spirituelle et capte le flux d’énergie universelle, en accord avec le symbolisme des deux lances, de la coiffure de la Dame et de sa suivante, surmontées d’une aigrette, et des arbres qui célèbrent les noces mystiques de l’Orient et de l’Occident (Chêne et Houx répondent à l’Oranger et à l’Arbre à pain…), marier la Croix et le Croissant…

En résumé : Licorne, Fléau, sont symboles de la Réalisation du Soi, Vraie Création, en Chine Licorne se dit Ki lin (yin-yang).
FLÉAU = REFUS DE L’INSTANT, REFUS DE LA NON-DUALITÉ. Cela va donner les guerres de religions à n’en plus finir car il faut y inclure inévitablement la composante politique.
FLÉAU = CONSERVATEUR qui refuse le rayonnement naturel du Principe Originel Universel, le Trou en son Centre. Mais grâce à l’ambiguïté de toutes choses nous avons du recul face au système des Inquisiteurs et Meurtriers de l’égalité-légalité se voulant vérité : « car tous ceux qui prennent le glaive périront par le glaive » du encore Matthieu 26, 52. C’est particulièrement valable pour le washingtonisme de tous temps…


LIBERTÉ-LICORNE :
Notre état naturel : la Liberté :
- Être en accord avec l’Universel, et il n’y en a qu’Un.
- Être libre de se mouvoir dans le Tout.
- Pour cela ne jamais tomber dans la dualité sujet-objet du spatio-temporel et du culte de l’ego.

Pour le Terrien depuis les 10.000 ans de sa voie de l’Agriculture, être « libre » c’est utiliser à fond son ego (et faire du business : libéralisme et forme d’anti-autoritarisme mais tout de même encore chefferie because fric et rentabilité… Le libéralisme est en son essence une fausse liberté, une fausse autonomie, plutôt le contraire : un enchainement au fric).

Au plan Universel ou Cosmique, la Liberté c’est évidemment aussi faire ce que l’on veux, mais À CETTE DIMENSION COSMIQUE, c’est utiliser l’Énergie Libre et risque de produire des symptômes identiques à ceux des Dieux (à ne pas confondre avec le pouvoir siddhi : pouvoir surnaturel hautement condamnable) !
Il y a bien DEUX libertés : liberté (‘je’) et LIBERTÉ (‘Je’). Dans le ‘Je’ n’existe plus d’individuel ni de collectif, toile de fond depuis des millénaires de tous les conflits politiques. L’URSS et son socialisme a tenté de donner une solution tout comme la Corée du Nord, mais très différencié de l’URSS tout en restant une inversion ou singerie de la Vraie catholicité (toujours pas réalisée… surement à cause du Vatican, du protestantisme, évangélisme, etc.).
Dans la LIBERTÉ le toi et le moi sont transcendés dans le ‘Je’ qui les unifie par triangulation :
       Je
Moi      Toi

Les Chrétiens appellent la Réalisation du Soi : Communion des Saints. Ce que le Jésus exprimait en disant : « Je suis la vigne (‘Je’) et vous êtes les sarments [Moi-Toi - Nous-Vous]. Celui qui demeure en moi, et moi en lui, celui-là porte beaucoup de fruits [Vraie Création] ; car hors de moi vous ne pouvez rien faire [anti-création, anti-nature]. Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors comme le sarment et il se dessèche ; on les ramasse et on les jette au feu et ils brûlent » (Jean 15, 5-6).

SARMENT : rameau de la vigne après l’aoûtement. On parle « des vignes du Seigneur » à juste titre ! De nos jours d’après 1789 les sarments sont des esclaves seulement libre EN APPARENCE ET C’EST POURQUOI ILS S’ACCROCHENT DÉSESPÉRÉMENT À CETTE APPARENCE : voyez l’aliénation du tout connecté, des réseaux « sociaux » et du tétéphone, le tout faisant la partie de cette mode du « social » (faux social et triomphe du culte du narcissisme et du clinquant de l’artifice, inverse de la devise de la Dame à la Licorne citée plus haut).

LIBERTÉ = ÉTAT SEULEMENT D’ÊTRE, LÀ OÙ N’EXISTE AUCUN TRAVAIL NI AUCUN RENDEMENT DE LA PART DE ÊTRE, MAIS SEULEMENT ‘CELA’, LE SANS POURQUOI.
ÊTRE = AMOUR : PRIVATION DE MORT, LE SANS EGO, car il n’y a plus la volonté de « sauver le monde » ou de « rendre service  », ces deux tueurs de mondes, parce qu’ils cherchent À AUGMENTER, comme rêvent de le faire les transhumanistes et qui se réalise déjà avec des mains artificiels pour remplacer les mains accidentellement coupées. Même si ça paraît charitable, il y a toujours derrière le fric/flic ou le faire/fer (l’utilitaire, le faire valoir, le confort). Ceux qui veulent surtout « augmenter » ce sont les êtres humains de la City de Londres et de leur finance internationale…
Être ou le Soi comme l’Instant n’ajoute rien de plus, sinon le Soi retombe dans la dualité !

En politique la chefferie actuelle est hautement POSSESSIVE et conforme à cette culture du narcissisme : cette chefferie et oligarchie surtout anglo-américaine croit POSSÉDER la vérité que ces gens nomment « démocratie » (ou « république »), et hautement plus grave : ils veulent faire valoir leur possession à coups de bombes sur la gueule, soit un déséquilibre extrême. Cette chefferie voudrait avant tout posséder sa « démocratie » pour son bien être personnel, pour son confort en cheville avec la City de Londres. Alors vis-à-vis de ceux qu’ils dénoncent, ils veulent garder leur rang, leur côté winners de « celui qui possède » (la démocratie), comme un enfant qui a des bonbons, ou des images, et qui joyeusement se moque des autres enfants qui n’en ont pas (je pense à un Donald Superman la trompe qui doit jouir de ses possessions matériels et maintenant politiques).
Ah le geôlier de la City de Londres est bien un puissant winner, et quasiment increvable tant il s’adapte à tout et à la vitesse des bites informatiques et du eyes candy de l’artifice…
Pire : le clinquant de la « démocratie » et de ses artifices agit de plus en plus sournoisement, il agit alors par le moyen de sentiments et de mental de plus en plus recherchés et raffinés : on l’entend tous les jours dans les médias français, et évidemment dans l’intertainment. Ainsi plus personne n’arrive à distinguer le vrai du faux, parce que nous devenons de plus en plus artificiel ; des Fils qui ne peuvent plus re-connaître leur Mère la Terre.
Cette « démocratie » étant de plus en plus sournoise, fausse, qu’elle prétend qu’il n’existe plus de guerre (dixit l’épéiste académique Michel Serres), parce qu’effectivement depuis les machines « société des Nations », ONU, etc., nous nous croyons en « paix », la France est en « paix » depuis 1945 ; alors la chefferie et ses banques dans la tradition rabbinique de l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule) inventent le TERRORISME et sa « guerre contre le terrorisme », nouvelle mouture de guerre généralisée en « petits bouts de machins », et parfois gros comme sur la Syrie, la Libye, l’Irak, etc. C’est une variation du Thème Guerre Mondiale, qui utilise maintenant de plus gros jouets comme une bombe atomique.


Communion des Saints ou Libérés-vivant.

« Bien qu’un jivan-mukta (Libéré-vivant), ayant un corps en raison de son prârabdha [résultat d’actions passées, responsable de la continuité de corps même au-delà de la Réalisation], puisse donner l’impression d’être ignorant ou de manquer de sagesse, il est cependant pur comme l’éther (akasha) qui garde toujours sa clarté, recouvert ou non de sombres nuages. Il se réjouit toujours du seul Soi, comme une épouse aimante éprouve du plaisir de son seul époux, tout en le servant avec des biens reçus d’autres personnes que lui (par héritage déterminé par son prârabdha). Bien que le juvan-mukta demeure silencieux tel un ignorant, son inertie ne provient pas d’un manque de savoir, mais de la dualité implicite de la vaikhari-vâk (le langage parlé) des Véda ; son silence est la plus haute expression de la non-dualité réalisée qui, somme toute, est le vrai enseignement des Véda. Bien qu’il instruise des disciples, il ne se pose pas en maître, étant pleinement convaincu que le maître et le disciple ne sont que de pures conventions nées de l’illusion (maya) ; et ainsi, il continue à prononcer des mots (telle l’âkâshavâni : voix venant du ciel). Si, par ailleurs, il murmure des mots incohérents tel un insensé, c’est que son expérience est inexprimable, comme l’est celle des amants durant leur étreinte. Si, au contraire, il s’exprime avec aisance, comme un orateur, il s’agit seulement du souvenir de son expérience passée puisqu’il est maintenant l’inaltérable, unique Réalité sans dualité et dépourvu de tout désir.

S’il apparaît quelquefois en proie à une profonde douleur, comme n’importe quel homme face à un deuil, il ne fait que manifester le juste amour et la pitié à l’égard des sens qu’il contrôlait autrefois, avant de réaliser qu’ils n’étaient que de simples instruments et manifestations de l’Être suprême. Quand il semble vivement intéressé par les merveilles du monde, il ne fait que ridiculiser l’ignorance née de la surimposition (adhyâsa : comme la corde prise dans la pénombre pour un serpent, et qui, une fois l’ignorance vaincue, on s’aperçoit de l’illusion). S’il semble avoir quelque indulgence vis-à-vis des plaisirs sexuels, il faut comprendre qu’il jouit de la Félicité éternelle et inhérente au Soi, lequel, divisé Lui-même en soi individuel et Soi universel, se délecte de leur union pour regagner Sa Nature originelle. S’il apparaît en colère, c’est qu’il veut du bien à ceux qui l’offensent. Tous ces actes ne doivent être pris que pour des manifestations divines qui s’effectuent sur le plan humain. Pas le moindre doute ne doit s’élever sur le fait qu’il est libéré bien qu’il soit vivant. Il ne vit que pour le bien du monde ».
(Ramana Maharshi, entretien 449, du 31 janvier 1938).

Seul le FLÉAU (Soi) peut réguler le monde : équilibre des individualités qui composent CHAQUE monde (y compris au-delà de notre système solaire…)

Note.
1. Vraie Création = « Je ne suis pas venu abolir, mais accomplir » (Matthieu 5, 17).
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 10-08-2017 02:37

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