Le Mal Absolu : l’Empire USionistan
 

Ecrit par Sechy, le 20-09-2017 00:11

Pages vues : 5730    

Favoris : 53

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Banques, Capitalisme, Civilisation, Ego, Empire, Fractale, Gratuit, Guerres, Histoire, Instant, Liberté, Loi, Loser, Lucifer, Lumières, Microbes, Opinion, Orgie, Païens, Paix, Peste, Raison, Réalité, Religions, République, Simple, Socialisme, Spiritualité, Terrorisme, Transhumanisme, Vérité, Vin, Winner

 
 
frise_tet_mort.png
 
 
Le Mal Absolu : l’Empire USionistan
Non Monsieur la Trompette (1),
le mal ce n’est pas la Corée du Nord,
C’EST VOUS ET VOTRE WASHINGTONISME et
votre maison-mère : la City de Londres
et ses banques-pétroles,
avec les Irlandais « nègres » vendus
comme esclaves pour assurer l’orgueil
de l’empire Grande-Bretagne montant.

Donald la Trompette c’est vous la violence,
le washingtonisme, c’est vous le Mal
Absolu depuis plus de 200 ans.
Vous dépendez de votre maison-mère l’Angleterre,
une entreprise qui œuvra toujours par la force.
 
 
Judaïsation de l’Angleterre, puis du monde… ou le « totalitarisme soft », telle que le défini le principe de la démocratie marchande de l’après 1789 jusqu’à « la république en marché ».
 
 
La perfidie luciférienne de ce monde (2).
 
 
La Bourse ? ou la Vie ?

La maison-mère du washingtonisme, l’Angleterre, est notamment favorisée par le philosophistes John Lock, faiseur de dogmes pour qui la livre doit rester « une unité fondamentale invariable », bref, « Dieu le Père » qui défend les « droits » des propriétaires, la validité et conformité des contrats, l’intangibilité des capitaux prêtés à l’État, soit la société des winners.
Dogme à la John Lock : « Let Gold, as others commodities, find its own Rate ».

À partir de la guerre « américaine » en 1774, l’Angleterre commence à faire de l’argent dans le virtuel : les billets de banque, ceux de la Banque d’Angleterre et des banques privées ; l’Or et l’Argent sont devenus secondaires. Le virtuel, le papier c’est tout confort. L’Angleterre commence a détrôner Amsterdam et devient le point de confluence des échanges de l’univers, et l’univers « se comptabilise chez elle ». Les foires, anciens lieux de confluence  avaient offert des centralisations analogues, le crédit s’installant chez elles au-dessus avant le comptant. L’Angleterre ne fera que moderniser les solutions économiques anciennes et ainsi elle est inondée de papier monnaie que les foires de Besançon et autant que la place d’Amsterdam.

Un quart de siècle durant et jusqu’à 1821, l’Angleterre est en avance sur son temps et aura vécu sous le régime monétaire que nous lui connaissons à ce hui. « Un Français qui y résida durant les guerres napoléoniennes disait même n’avoir jamais vu, pendant toutes ces années-là, une seule guinée d’or. C’est ainsi qu’a été traversée sans trop de dommages une crise en soi exceptionnellement difficile ».

« À la fin du XVIIè siècle, alors que la population de l’Angleterre était insignifiante en comparaison de celle de la France ou de l’Allemagne et inférieure à celle de l’Espagne ou de l’Italie, Londres était déjà, de toute probabilité, la plus grande ville d’Europe. Vers 1700, elle comptait environ 550.000 habitants, soit 10% de la population anglaise. Malgré les coupes sombres et répétées des épidémies et de la peste, sa montée avait été constante et spectaculaire. Ainsi, à la différence de la France trop vaste divisée contre elle-même, tiraillée entre Paris et Lyon, l’Angleterre n’a au qu’une tête, mais énorme ».

Londres c’est trois ou quatre villes à la fois : la City, capitale économique ; Westminter résidence royale, du parlement et des riches ; la rivière allant vers l’aval et qui sert de port et que longent les quartiers populaires ; enfin, sur la rive gauche de la Tamise, le faubourg de Southwark aux rues étroites où se trouvent notamment les théâtres : le Cygne, la Rose, le Globe, l’Espérance, le Taureau Rouge, etc. (17, en 1629, alors que Paris n’en compte qu’un seul à la même époque).
Tout l’espace économique est lié à la monarchie de Londres. La centralisation et l’ego de l’Angleterre c’est Londres.
Londres, administration générale du marché. Elle a le monopole de l’exportation et de l’importation et joui très tôt du contrôle de toutes les productions de l’île et de toutes les redistributions : cette capitale est, pour les diverses régions anglaises, une gare centrale de triage, une mondialisme à elle tout seule ; tout y parvient, tout s’en échappe à nouveau, soit vers le marché intérieur, vers vers le dehors.

LONDRES = DIVISION DU TRAVAIL ET ÉCONOMIE DE MARCHÉ.

Le propriétaire de moutons vend les toisons, puis le boutiquier vend les draps au détail. De plus, il y aura moult employés au passage de la fabrication, du transport et de la vente du produit. Ce sera le « public stock of the nation because the employment of the people is the great and main benefit ot the nation ».

Exemple donné par Daniel Defoie : une pièce de broad cloth fabriquée à Warminster, dans le Wiltshire : le fabricant (clothier) l’envoie par un transporteur (carrier) à Londres, à Mr. A, facteur de Blackwell Hall, chargé de sa vente : le facteur le vend à Mr B, woolen draper, grossiste chargé de le revendre et qui l’enverra par la route à Mr C, boutiquier à Northampton. Icelui le détaillera par coupes à tels gentilshommes campagnards.
Le marché anglais se présente dès le 18è siècle, comme une unité vivante mercantile, siècle où d’énormes investissements ont été faits, portant à 1160 miles le réseau des rivières navigables et mettant la plus grande partie du pays à 15 miles au plus d’un transport par eau. Les routes suivront le même processus marchand.

DIVISION DU TRAVAIL.
« Avec l’évènement du marché des futurs pétroliers en 1973, l’industrie pétrolière devint de plus en plus sous le contrôle des banquiers d’investissement. Comme l’a si bien dit une ancienne source de l’industrie du transport pétrolier du Fearnly’s Research de Norvège: “Aujourd’hui, entre le moment où un pétrolier est chargé disons à Dubaï et le moment où il est déchargé disons dans une raffinerie de Rotterdam, ce chargement pourrait être vendu 15 ou 20 fois ou même plus. Les marchés dérivatifs ont rendu tout cela possible… soit sur le London International Petroleum Exchange où se négocie le Brent de la Mer du Nord ou sur le Nymex (New York Mercantile Exchange), à New York, où les contrats du west Texas Intermediate sont négociés. Aujourd’hui le marché est complètement dominé par les traders, les courtiers ». (Réf. Finance et Nouvel Ordre Mondial : l’axe Rockefeller/Morgan et le monopole financier)

« Au début du siècle suivant, en 1815, un ancien prisonnier de guerre, resté longtemps en Angleterre, fait une remarque éclairante : « Si tous les intérêts de l’Angleterre se concentrent dans la ville de Londres, devenue aujourd’hui le centre de réunion de toutes les affaires, l’on peut dire que Londres est aussi dans toute l’Angleterre », c’est-à-dire que les marchandises en vente à Londres, issues de tous les points de l’Angleterre et du monde, le sont dans tous les marchés et villes des comtés. L’uniformité de l’habillement, surtout féminin, l’ubiquité des modes sont de bons indicateurs de la réduction de l’espace économique anglais à l’unité. Mais il est d’autres tests, ainsi la diffusion des banques à travers le pays. Les premiers landbanks apparaissent en 1695, modestes encore, puisque la masse entière de leurs billets, cette année-là, se monte à 55.000 livres sterling seulement […]. Et surtout les landbanks vont se multiplier, liées aux banques de Londres et à la Banque d’Angleterre, créée en 1694. Il y a, sur le plan du crédit, unification, satellisation des économies provinciales ».

RAPPEL : au Nord et à l’Est, l’Angleterre est un ensemble de paysages d’accès difficiles, pastoraux et longtemps très pauvres, et peuplé de Celtes hostiles à la culture anglaise.

« L’Angleterre est devenue la maîtresse incontestée de l’économie-monde européenne vers les années 1780-1785. Le marché anglais n’a-t-il pas alors réussi simultanément trois achèvements : sa propre maîtrise, la maîtrise du marché britannique, la maîtrise du marché mondial ? », écrit Fernand Braudel.

[Référence à : Civilisation matérielle, économie et capitalisme, 15è-18è siècle, vol.3 : Le temps du monde, de Fernand Braudel].


Notes.
1. Trompette : règle les principaux moments du jour ou pour annoncer de grands événements cosmiques ou historiques genre « jugement dernier »… Voir les trompettes et le « mur de Jéricho »… Souvent les Anges sont représentés sonnant de la trompette. Bref, la trompette marque les événements marqués par une manifestation céleste (air, souffle, son).

2. COMMENT FAIRE MARCHÉ(R) LE COMMERCE. Perfidie parfaitement illustrée ci-dessous par cette forme de Novlangue kabbaliste interdisant toute possibilité de « liberté d’expression »… de liberté tout court. C’est flagrant et du même thème que la « théorie du complot », toutes armes inquisitoriales destinées à fermer la gueule de tous ceux qui contestent ce monde mercantile et en voit l’extrême danger. Source image civilwarineurope.
En temps de guerre, ou de dictature, on sait à quoi s’en tenir et on agit en conséquence ! Depuis 1945 comme en Occident, en Europe, il n’y a pas de guerre, de plus il n’y a pas de guerre mondiale déclarée, alors on se croit en « paix » et on s’imagine qu’il n’y a aucune urgence pour les peuples de la Terre, alors on consomme… Maintenant c’est une GUERRE DE L’ESPRIT QUI EST INSTALLÉE EN PERMANENCE, l’illustration ci-dessous le prouve aussi. Cette propagande est le principe du « United colors of benicon » : la fausse spécialisation fabricant l’uniformité et la pensée unique, et par là même elle ne connaît pas de limites : on peut diviser sans fin un corps indifférencié ! d’où d’ailleurs la mode à la « liberté d’expression » faisant croire à la démocratie. On a donc le paradoxe qui fait croître simultanément l’atomisation (culture de l’ego) et l’uniformité de l’égrégore du Nouvel Ordre Mondial.




Confort dans le mercantilisme. L’humain-robotisé, évidemment pour la City de Londres. Ah ! Aaron Russo avait prévenu… Toujours tout pour l’argent et le exploitez-vous les uns les autres.
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 20-09-2017 00:35

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved